De plus, il ne pose pas la bonne question: L'avenir des Amazighs en général et de l'Azawad en particulier, en passant pas la gestion des frontières en ligne droite qui fractionnent les territoires saharien et sahélien.
La première réponse provient des indépendantistes touaregs: Il n'exigent plus l'indépendance, mais une répartition équitable des richesses.
Sur cette base, la majorité des problèmes est résolue: - L'identité amazighe est reconnue - Les Amazighs ne sont pas exclus de la répartition des richesses qui proviennent de leur territoire ancestral. (du coup, le Sahara cesse d'être une tache jaune sur la carte) - À partir du moment où les Amazighs reçoivent leur part légitime, les trafics deviennent illégitimes.
Une ou deux générations après cette nouvelle répartition, la Culture amazigh se sera renforcée et les frontières rectilignes pourront sans aucun doute être adaptées localement aux caractéristiques du territoire. Ce type de modification ne peut être effectué que lorsque chacun est fort et peut prendre des décisions éclairées et libres.
Ajuster des bouts de frontières au relief n'a probablement pas une importance vitale, mais sa portée symbolique est immense.
Dans, moins d'une génération, l'identité amazigh devrait trouver partout une reconnaissance constitutionnelle et toutes les zones amazighs devraient jouir d'une autonomie culturelle. Ce qui va être fait en Azawad, partage des richesses et reconnaissance culturelle, va probablement devenir un modèle. Entre le modèle constitutionnel marocain et le nouveau modèle malien, chaque entité amazigh devrait trouver une solution convenable.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt.
Les chiens aboient, la caravane passe.
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le loukoum gouasmi maintenant, ami de jean marie le pen, soral et toute la clique de fachos. en voila une source qu'elle est bonne. ce représentant de l'extreme droite chiite iranienne aurait du etre expulsé.
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