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Lumière sur lumière
f
6 septembre 2010 15:52
Assalam alaikoum



C’est par sa conscience que l’homme devient le réceptacle de la lumière. Ainsi, du degré de développement de cette conscience dépendra le degré de qualité de la lumière qu’il reçoit, dont essentiellement la lumière de la foi, laquelle s’intensifie ou s’affaiblit selon l’état de conscience, potentiellement susceptible à retrouver son état originel (en émergeant de l’état individuel limité à l’état universel non limité), état de pure lumière, où l’être est totalement illuminé, état de certitude et de vision intérieure (œil de certitude : ‘ayn al-yaqîne) par lequel l’être baigne dans le Lumière divine, source de toute lumière.
Par ailleurs, les autres lumières ; de celle des sens, à celle de la raison, à celle de la foi, sont limitées (à différents degrés), alors qu’en réalité, la seule et unique Lumière est la Lumière divine.

« Dieu est la Lumière des cieux et de la terre […] Lumière sur lumière, Dieu guide vers Sa lumière qui le veut [ou qui Il veut]. » (Coran)

C’est par la guidance divine qu’on peut cheminer et accéder, à travers une succession de voilements et dévoilements, à cette source de lumière, “ où il n’y a plus que la Réalité, plus que Lui (Huwa), terme qui chez les soufis désigne l’instantanéité divine à travers l’espace et le temps. ” (*)
Ce cheminement spirituel est capital pour l’homme, car il lui permet d’aller de l’état d’oubli à l’état de conscience et d’éveil, de l’état d’obscurité et de voilement à l’état de lumière et de dévoilement, de l’état d’ignorance à l’état de connaissance, en renouant avec lui-même, avec sa réalité et sa fonction en tant qu’Homme.

« Oui, Nous avons proposé aux cieux, à la terre et aux montagnes de porter le Dépôt, et, effrayés, ils l’ont refusé. Seul, l’homme l’a accepté, et il est injuste et ignorant. » (Coran)

Par ce Dépôt (Amâna), l’homme se distingue du reste de la création. Il est paradoxalement un isthme entre deux positions, lumière et obscurité, et entre deux attitudes, juste et injuste. S’il revient vers sa nature primordiale, il renoue avec la connaissance, trouve la paix en lui et la répand autour de lui. Et si, par malheur, il l’occulte et se voile à elle, il tombe dans la perversion, l’obscurité de son être.
L’homme a été crée pour être à la fois de dépositaire et le lieutenant de Dieu, fonction pour laquelle le destin l’a choisi. Refusant cela, il devient injuste, intolérant, porteur de mort, de violence et d’iniquité envers ses semblables et le reste des créatures. Il se crée, dès cette vie, son propre enfer intérieur en sombrant dans la peur et les désirs illusoires.
Pour sortir de l’ignorance de lui-même, l’homme a besoin de cette Lumière qui chasse l’obscurité et permet une prise de conscience, faisant de lui un être de plus en plus responsable. Comme le dit le Coran :

« Dieu est l’allié de ceux qui ont cru. Il les fait sortir de l’obscurité à la lumière. Ceux qui ont mécru, les idoles sont leurs alliées, qui les font sortir de la lumière à l’obscurité. »

Ce double mouvement qui nous conduit, soit de l’obscurité vers la lumière, soit de la lumière à l’obscurité, est relatif à la guidance divine permettant à l’homme de cheminer vers cette source de Lumière ou de s’en éloigner. La connaissance, qui est elle-même une guidance, peut parfois être la source de la perdition ou de l’égarement, car toutes les formes de connaissance ne chassent pas nécessairement l’obscurité. Ce n’est pas forcément par l’érudition qu’on peut atteindre cette lumière intérieure. D’ailleurs, chaque fois qu’on fait les « Salutations (prières) sur le Prophète », on rappelle que Mohammed était ummî (ce qui signifie vierge de tout savoir). C’est pour nous montrer que la connaissance qu’il est venu transmettre n’est pas une connaissance livresque, mais qu’elle est d’un tout autre ordre et à notre portée, puisque, en tant qu’homme, il l’a lui-même expérimentée et vécue ainsi que l’atteste une tradition prophétique :
« Vous êtes tous d’Adam et Adam est de la terre. »

Une indication nous est donnée, un modèle à suivre nous est suggéré pour acquérir cette lumière, par nous-mêmes, pour nous-mêmes :

« Vous avez dans l’Envoyé de Dieu un beau modèle. » (Coran) (*)

(*) Cheikh Khaled Bentounès « Thérapie de l’âme »




Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/09/10 15:55 par faqir.
z
6 septembre 2010 22:04
Salam,

Barakallah o fik pour ce partage.

J'ai beaucoup apprécié ce passage :

"L’homme a été crée pour être à la fois de dépositaire et le lieutenant de Dieu, fonction pour laquelle le destin l’a choisi. Refusant cela, il devient injuste, intolérant, porteur de mort, de violence et d’iniquité envers ses semblables et le reste des créatures. Il se crée, dès cette vie, son propre enfer intérieur en sombrant dans la peur et les désirs illusoires.
Pour sortir de l’ignorance de lui-même, l’homme a besoin de cette Lumière qui chasse l’obscurité et permet une prise de conscience, faisant de lui un être de plus en plus responsable. Comme le dit le Coran :

« Dieu est l’allié de ceux qui ont cru. Il les fait sortir de l’obscurité à la lumière. Ceux qui ont mécru, les idoles sont leurs alliées, qui les font sortir de la lumière à l’obscurité. »"
f
7 septembre 2010 02:44
Assalam alaikoum

Concernant cette fonction existentielle de l'homme, ce verset coranique :

« Oui, Nous avons proposé aux cieux, à la terre et aux montagnes de porter le Dépôt, et, effrayés, ils l’ont refusé. Seul, l’homme l’a accepté, et il est injuste et ignorant. »

nous dit que l'homme est injuste et ignorant ; cette injustice et cette ignorance est avant tout vis-à-vis de lui-même, vis-à-vis de ce dépôt, de cette amâna, qui en même temps l'anoblit, le charge d'une charge et d'une responsabilité envers lui-même, et envers les autres et le reste de la création.
A
8 septembre 2010 13:21
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
C’est par sa conscience que l’homme devient le réceptacle de la lumière. Ainsi, du degré de développement de cette conscience dépendra le degré de qualité de la lumière qu’il reçoit, dont essentiellement la lumière de la foi, laquelle s’intensifie ou s’affaiblit selon l’état de conscience, potentiellement susceptible à retrouver son état originel (en émergeant de l’état individuel limité à l’état universel non limité), état de pure lumière, où l’être est totalement illuminé, état de certitude et de vision intérieure (œil de certitude : ‘ayn al-yaqîne) par lequel l’être baigne dans le Lumière divine, source de toute lumière.
Par ailleurs, les autres lumières ; de celle des sens, à celle de la raison, à celle de la foi, sont limitées (à différents degrés), alors qu’en réalité, la seule et unique Lumière est la Lumière divine.
« Dieu est la Lumière des cieux et de la terre […] Lumière sur lumière, Dieu guide vers Sa lumière qui le veut [ou qui Il veut]. » (Coran)
C’est par la guidance divine qu’on peut cheminer et accéder, à travers une succession de voilements et dévoilements, à cette source de lumière, “ où il n’y a plus que la Réalité, plus que Lui (Huwa), terme qui chez les soufis désigne l’instantanéité divine à travers l’espace et le temps. ” (*)
Ce cheminement spirituel est capital pour l’homme, car il lui permet d’aller de l’état d’oubli à l’état de conscience et d’éveil, de l’état d’obscurité et de voilement à l’état de lumière et de dévoilement, de l’état d’ignorance à l’état de connaissance, en renouant avec lui-même, avec sa réalité et sa fonction en tant qu’Homme.
« Oui, Nous avons proposé aux cieux, à la terre et aux montagnes de porter le Dépôt, et, effrayés, ils l’ont refusé. Seul, l’homme l’a accepté, et il est injuste et ignorant. » (Coran)
Par ce Dépôt (Amâna), l’homme se distingue du reste de la création. Il est paradoxalement un isthme entre deux positions, lumière et obscurité, et entre deux attitudes, juste et injuste. S’il revient vers sa nature primordiale, il renoue avec la connaissance, trouve la paix en lui et la répand autour de lui. Et si, par malheur, il l’occulte et se voile à elle, il tombe dans la perversion, l’obscurité de son être.
L’homme a été crée pour être à la fois de dépositaire et le lieutenant de Dieu, fonction pour laquelle le destin l’a choisi. Refusant cela, il devient injuste, intolérant, porteur de mort, de violence et d’iniquité envers ses semblables et le reste des créatures. Il se crée, dès cette vie, son propre enfer intérieur en sombrant dans la peur et les désirs illusoires.
Pour sortir de l’ignorance de lui-même, l’homme a besoin de cette Lumière qui chasse l’obscurité et permet une prise de conscience, faisant de lui un être de plus en plus responsable. Comme le dit le Coran :
« Dieu est l’allié de ceux qui ont cru. Il les fait sortir de l’obscurité à la lumière. Ceux qui ont mécru, les idoles sont leurs alliées, qui les font sortir de la lumière à l’obscurité. »
Ce double mouvement qui nous conduit, soit de l’obscurité vers la lumière, soit de la lumière à l’obscurité, est relatif à la guidance divine permettant à l’homme de cheminer vers cette source de Lumière ou de s’en éloigner. La connaissance, qui est elle-même une guidance, peut parfois être la source de la perdition ou de l’égarement, car toutes les formes de connaissance ne chassent pas nécessairement l’obscurité. Ce n’est pas forcément par l’érudition qu’on peut atteindre cette lumière intérieure. D’ailleurs, chaque fois qu’on fait les « Salutations (prières) sur le Prophète », on rappelle que Mohammed était ummî (ce qui signifie vierge de tout savoir). C’est pour nous montrer que la connaissance qu’il est venu transmettre n’est pas une connaissance livresque, mais qu’elle est d’un tout autre ordre et à notre portée, puisque, en tant qu’homme, il l’a lui-même expérimentée et vécue ainsi que l’atteste une tradition prophétique :
« Vous êtes tous d’Adam et Adam est de la terre. »
Une indication nous est donnée, un modèle à suivre nous est suggéré pour acquérir cette lumière, par nous-mêmes, pour nous-mêmes :
« Vous avez dans l’Envoyé de Dieu un beau modèle. » (Coran) (*)
(*) Cheikh Khaled Bentounès « Thérapie de l’âme »
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Tout en appréciant ce commentaire de haut niveau, je déplore la traduction littérale de:
''Lumière sur lumière'' car, en optique une lumière ne peut être sur une lumière sans que la plus intense n'éclabousse la moins forte. Je pense que cette approche serait plus judicieuse:
''35. Source de lumière immanente, Allah inonde de Sa lumière les cieux et la terre ; celle dont Il imprègne le cœur des croyants est semblable à un faisceau qu’émettrait une lampe de forte intensité. Logée dans un globe de cristal, cette lampe offre l’aspect d’un astre scintillant de tous ses feux, feux entretenus par un combustible provenant d’un arbre béni, un olivier résistant aux intempéries d’où qu’elles viennent et produisant une huile si pure que, même sans le contact d’une source de chaleur, elle semble éclairer tout l’espace alentour. Ajoutant la lumière astrale à celle transcendante dont Il imprègne le cœur des croyants, Allah dirige vers Sa lumière tout méritant et propose aux gens Ses Enseignements sous forme de paraboles. Il cerne tout de Son Omniscience.
Achour
f
8 septembre 2010 14:25
Assalam alaikoum

Je suis d'accord que l'approche littérale n'est la bonne approche, mais lors de la traduction du Coran (et je n'en suis pas spécialiste), je crois qu'il est plus sûr et plus légal de garder les termes tesl qu'ils sont mentionnés dans le Coran, sans faire intervenir nos propres interprétations, et sans pour autant se limiter à une compréhension purement littérale.
Ainsi, le terme coranique « lumière sur lumière » peut être considéré comme un concept ou comme une métaphore, dont on essaie de comprendre, selon nos possibilités, sa siginification. On pourrait comprendre qu'il s'agit d'une lumière multipliée par elle-même, d'une "supralumière" que nous ne pouvons appréhender, que nous ne pouvons saisir, que nous ne pouvons limiter, que nous ne pouvons décrire.
"Par cette métaphore, Dieu nous invite à saisir la fulguration rapidité de Sa présence dans son instantanéité et le caracrère relatif de la création."



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/09/10 14:32 par faqir.
A
8 septembre 2010 16:06
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Je suis d'accord que l'approche littérale n'est la bonne approche, mais lors de la traduction du Coran (et je n'en suis pas spécialiste), je crois qu'il est plus sûr et plus légal de garder les termes tesl qu'ils sont mentionnés dans le Coran, sans faire intervenir nos propres interprétations, et sans pour autant se limiter à une compréhension purement littérale.
Ainsi, le terme coranique « lumière sur lumière » peut être considéré comme un concept ou comme une métaphore, dont on essaie de comprendre, selon nos possibilités, sa siginification. On pourrait comprendre qu'il s'agit d'une lumière multipliée par elle-même, d'une "supralumière" que nous ne pouvons appréhender, que nous ne pouvons saisir, que nous ne pouvons limiter, que nous ne pouvons décrire.
"Par cette métaphore, Dieu nous invite à saisir la fulguration rapidité de Sa présence dans son instantanéité et le caracrère relatif de la création."
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Les mots ajoutés sont en italique dans le texte sur papier. Voir ''avertissement'' in texto
Achour
A
9 septembre 2010 14:31
Citation
ahmed derrous a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Je suis d'accord que l'approche littérale n'est la bonne approche, mais lors de la traduction du Coran (et je n'en suis pas spécialiste), je crois qu'il est plus sûr et plus légal de garder les termes tesl qu'ils sont mentionnés dans le Coran, sans faire intervenir nos propres interprétations, et sans pour autant se limiter à une compréhension purement littérale.
Ainsi, le terme coranique « lumière sur lumière » peut être considéré comme un concept ou comme une métaphore, dont on essaie de comprendre, selon nos possibilités, sa siginification. On pourrait comprendre qu'il s'agit d'une lumière multipliée par elle-même, d'une "supralumière" que nous ne pouvons appréhender, que nous ne pouvons saisir, que nous ne pouvons limiter, que nous ne pouvons décrire.
"Par cette métaphore, Dieu nous invite à saisir la fulguration rapidité de Sa présence dans son instantanéité et le caracrère relatif de la création."
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Les mots ajoutés sont en italique dans le texte sur papier. Voir ''avertissement'' in texto[/quote
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Avertissement

Le modeste travail que nous comptons mettre entre les mains du lecteur francophone est le fruit d’un effort soutenu pendant près de sept années entières pour la première édition. Celle-ci nous aura finalement servi de test et l'épuisement rapide des deux mille exemplaires écrits en français seulement a stimulé en nous le désir de faire mieux; ce ''mieux'' nous a valu un effort supplémentaire de quatre années
consacrées à la recherche de la perfection, laquelle demeure, on le sait bien, un apanage exclusif de Dieu le Créateur.Cet engouement, rappelons-le, s’inspire d’un engagement moral pris envers celui qui nous avait initié à l’apprentissage du texte coranique et découle de la mise à profit de la méthodologie didactique acquise au cours des années passées dans l’enseignement.
Cet effort supplémentaire a consisté pour nous à :
- prêter une oreille attentive à toutes les remarques, orales ou écrites, et faire preuve d'une profonde humilité et accepter les propositions de modification;
- recueillir les avis de certains érudits en institutions musulmanes et mettre à profit leurs avis quant à l'interprétation de certaines formulations;
- relire le texte originel dans sa globalité et rechercher le sens le plus adéquat parmi les commentaires des divers exégètes, lesquels ne sont pas toujours enclins à voir du même oeil les mêmes formulations;
- procéder à une deuxième lecture de la traduction et à nous arrêter sur certaines formulations que nous considérons comme peu intelligibles pour le commun des lecteurs francophones.
C'est ainsi que cet ouvrage s'adresse aux francophones où qu'ils se trouvent, et en particulier, les jeunes générations issues de l'émigration résidant en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse ou au Canada.
Cet ouvrage servira d'appoint aux musulmans de l'Afrique francophone pour les aider à apprécier le patrimoine civilisationnel dont ils sont porteurs.
Il s'adresse également aux francophones non musulmans avec l'espoir de les amener à faire le distinguo entre la sagesse de la pensée généreuse de l'islam vrai et l'amalgame colporté par les extrémistes de tous bords.
Ceci étant, nous tenons à attirer l’attention du lecteur sur les quatre particularités qui caractérisent cette oeuvre :
1° Il ne s’agit pas d’un travail académique puisque nous la destinons au commun des francophones;
2° Ce n’est pas non plus un travail de recherches : c'est à dessein que nous avons passé sous silence nombre de données utiles au chercheur;
3° Cette oeuvre s'interdit de porter un jugement de valeur sur les nombreuses traductions déjà en circulation.
4°A la différence de la plupart des traductions à l'usage des bilingues, cette édition offre une lecture à la française, c'est-à-dire, de gauche à droite, le texte arabe figurant en médaillon n'étant qu'un support à consulter en cas de besoin. Dans le même registre, et pour éviter au lecteur toute confusion entre les intervenants dans les dialogues, nous avons remplacé les redondances du genre ‘’il dit’’, ‘’il répond’’ par un simple tiret et l'insertion entre guillemets de l'intervention.
Notre souci constant d’éviter autant que faire se peut les contresens, les tournures amphibologiques, les arabismes, les anacoluthes et autres pléonasmes nous a contraint à avoir recours à des rajouts et des redites, et souvent à l’utilisation de lourdes périphrases.
Nous avons cependant pris la précaution de mettre en italique tous les éléments qui ne figurent pas dans le texte originel mais dont l’insertion a été rendue nécessaire par le souci d’assurer, soit la transition d’une idée à une autre, soit la clarification expresse d’un sous-entendu insaisissable pour celui qui n’est pas habitué aux subtilités de la langue arabe.
Pour épargner au lecteur l’interruption du fil de la lecture, nous avons pensé utile d’insérer, immédiatement en bas de page, les notes et renvois destinés, soit à expliquer le sens de la formulation, soit à indiquer l’origine de la citation coranique.
Nous avons également préféré, à la prolixité de l'introduction, éditer en appendice, un glossaire grâce auquel le lecteur pourra appréhender le sens de certains vocables d’usage peu courant ou auxquels le contexte a donné une signification spécifique.

L’auteur.
Achour
 
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