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amiro a écrit:
tout les services publiques sont au mains des etrangers.
des ordures en passant par la telefonie,la construction des autoroutes,les supere marchés et meme les "bonnes" ecoles.
presque tout...
pourquoi ne pas louer le maroc en bloq et comme ça chaque marocain aura une somme d'argent chaque moi...disons 1000euro.
pensez-vous que si on pose la question au futures harraga ils vont dire non sous pretexte de l'idependance,le drapeau,les valeurs machins et patati patata...?
on louera le maroc pour une durée limité pour commencer toute en gardant nos m9adem,nos mroudes,nos bergaga,notre couscous et notre tagine,
alors messieurs les patriotes dial 2rial?
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sakki a écrit:
bonsoir
ah bon !!! on appel ça appel d'offre je crois cher Mr
toutes les sociétés marocaines on les soupçonne de mal travailler ou mal gérer ou corrompues
que faire alors? c'est très difficile de faire quelque chose sans être critiquer ou soupçonner ,!!!! ou pointer des doigts !!! ou traités de malversation ,
tu as une solution?
bonne soirée
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amiro a écrit:Citation
sakki a écrit:
bonsoir
ah bon !!! on appel ça appel d'offre je crois cher Mr
toutes les sociétés marocaines on les soupçonne de mal travailler ou mal gérer ou corrompues
que faire alors? c'est très difficile de faire quelque chose sans être critiquer ou soupçonner ,!!!! ou pointer des doigts !!! ou traités de malversation ,
tu as une solution?
bonne soirée
la solution est dans le titre du sujet: louer le maroc.
bonsoir
je ne comprends pas le (mot louer) est ce tu l'as traduit de l'arabe en français ?
en tous cas les locations des services ou prestations de services nous savons tous que tous les payes en rêvent d'en procurer,
quant à l'exécution ou l'acquisition des grands marchais ou des gros projets ça c'est une autre conception
tout d'abord tous les pays de tiers monde sont incapables de réaliser des gros projets ou des projets innovants ou de technologie avancée! ! ils ont un retard énorme; d'un siècle et demie bien derrière le monde occidental en retard
on le voit et on le constate dans tous les pays musulmans ou arabes musulmans ils sont très en retard techniquement socialement, et économiquement sauf dans certains domaines ils excellent , ils sont imbattables
faire la guerre entre fraction n frère
en conflit avec leur voisin, en privant des millions d'âmes de leur liberté
faire la guerre entre 2 courants islamistes en faisant des massacres
en guerre entre 2 courants idéologiques, etc......
tu va s me dire c'est du HS? c'est un constat et une réalité répondant ainsi à ta question
je te cite (alors les patriotes de 2 dérial)
bonne soirée
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El Gitano a écrit:
Il n'y a pas que le Maroc a louer , c'est tous les pays pauvres . L'investement est bien venu et necessaire .
Main basse sur les terres agricoles en pleine crise alimentaire et financière
GRAIN, octobre 2008
La synergie actuelle entre la crise alimentaire et la crise financière a déclenché un nouvel « accaparement des terres » au niveau mondial. D’un côté, des gouvernements préoccupés par l’insécurité alimentaire qui recourent à des importations pour nourrir leurs populations s'emparent de vastes territoires agricoles à l’étranger pour assurer leur propre production alimentaire offshore. De l’autre, des sociétés agro-alimentaires et des investisseurs privés, affamés de profits dans un contexte d’aggravation de la crise financière, voient dans les investissements dans des terres agricoles à l’étranger une source de revenus importante et nouvelle. De ce fait, des terres agricoles fertiles sont de plus en plus privatisées et concentrées. Si elle devait rester incontrôlée, cette main basse sur les terres à l’échelle planétaire pourrait sonner le glas des petites exploitations agricoles et des moyens de subsistance ruraux dans bien des régions du monde.
[Aussi disponible en arabe, espagnole et anglais]
[Voir aussi le tableau des cas d’accaparement des terres : [www.grain.org] et les Bloc-notes « Accaparement des terres » : [www.grain.org]]
Introduction
L’accaparement des terres existe depuis des siècles. Il suffit de penser à la « découverte » de l’Amérique par Christophe Colomb et à l’expulsion brutale des communautés indigènes qui en a découlé, ou aux colons blancs qui se sont emparés des territoires occupés par les Maoris en Nouvelle Zélande ou les Zoulous en Afrique du Sud. C’est un processus violent qui reste tout à fait d’actualité, par exemple en Chine ou au Pérou. Il n’y a guère de jour sans que la presse se fasse l’écho de luttes pour la terre, lorsque des compagnies minières comme Barrick Gold envahissent les hauts plateaux d’Amérique du Sud ou lorsque des sociétés agro-alimentaires comme Dole ou San Miguel spolient des agriculteurs philippins de leurs droits fonciers. Dans de nombreux pays, des investisseurs privés acquièrent d’immenses surfaces destinées à être gérées comme des parcs naturels ou des zones de conservation. Et où que l’on regarde, on découvre que la nouvelle industrie des biocarburants, promue comme réponse au changement climatique, semble se fonder sur l'expulsion des populations de leurs terres.
Pourtant, en ce moment, il se passe quelque chose de plus particulier. La synergie des deux grandes crises mondiales qui se sont déclenchées au cours des 15 derniers mois (la crise alimentaire mondiale et plus largement la crise financière dont la crise alimentaire a fait partie 1) ont donné naissance à une tendance préoccupante consistant à acheter des terres pour externaliser la production alimentaire. Il existe deux stratégies parallèles qui animent deux types d’accapareurs de terres. Pourtant, si leur point de départ est peut-être différent, leurs voies finissent par converger.
La première voie est celle de la sécurité alimentaire.Un certain nombre de pays qui dépendent des importations alimentaires et sont préoccupés des tensions sur les marchés, alors qu’ils ont des liquidités à placer, cherchent à externaliser leur production alimentaire nationale en prenant le contrôle d’exploitations agricoles dans d’autres pays. Ils l’envisagent comme une stratégie innovante à long terme pour assurer l’alimentation de leurs populations à bon marché, avec une sécurité bien supérieure à ce qu'elle était auparavant. L’Arabie saoudite, le Japon, la Chine, l’Inde, la Corée, la Libye et l’Égypte sont à placer dans cette catégorie. Des responsables de haut niveau de beaucoup de ces pays se sont engagés depuis mars 2008 dans une sorte de chasse au trésor diplomatique, à la recherche de terres agricoles fertiles dans des pays comme l’Ouganda, le Brésil, le Cambodge, le Soudan et le Pakistan. Compte tenu de la crise qui se poursuit actuellement au Darfour, où le Programme alimentaire mondial essaie de nourrir 5,6 millions de réfugiés, il peut sembler fou que des gouvernements étrangers achètent des terres agricoles au Soudan pour exporter des denrées alimentaires à l’intention de leurs propres citoyens. On pourrait dire la même chose du Cambodge où 100 000 familles, soit un demi-million de personnes, ont actuellement une alimentation insuffisante. 2 Et pourtant, c’est ce qui se passe aujourd’hui. Convaincus que les opportunités agricoles sont limitées et qu’on ne peut se fier au marché, les gouvernements « de l’insécurité alimentaire » achètent en ce moment des terres ailleurs pour produire leur propre alimentation. À l’autre extrémité, les gouvernements courtisés pour qu’ils accordent l’utilisation des terres agricoles de leurs pays accueillent généralement favorablement ces offres d’investissements étrangers d’un nouveau type.