Citation
le_marocain a écrit:
bonjour à toutes et tous,
iletaitunefois, vous m'aviez traité de subversif, j'ai répondu à quel point j'aime mon pays et comment je m'y impliquais avec de bons résultats. J'attends toujours vos références me montrant que vous n'êtes pas le véritable subversif, parce que pour moi, vous en êtes un.
Les questions que vous posez démontrent clairement que vous n'avez pas tout lu, mais je crois plus tôt que vous n'avez pas compris. Alors relisez avec un esprit ouvert au lieu du prisme qui vous sert de cervelle et vous verrez qu'à l'instar de votre comportement, vos questions sont aussi ridicules.
Vous avez usé de diffamation, calomnie et insultes à mon égard, je ne l'oublie pas. Mon nom, prénom, adresse, tel sont publiés. Où que vous soyez, je vous trouverai et là, il y aura 2 cas de figures:
- Vous êtes un simple particulier aigri par sa vie et qui passe son temps, je vous poursuis pour ce que j'ai cité plus haut et vous en payerez le prix
- Vous travaillez pour le makhzen et là, ce sera beaucoup plus grave.
Mais il s'agit bel et bien d'une PROMESSE et vous comprendrez ce qu'est la compétence
cordialement
Citation
Kojjat a écrit:
Rappel de la lettre ouverte à Sa Majesté (concernant l'affaire Benouaknine www.saveimouzzer.org)
Sylvie GIRARDOT
1460 route de Gavot
74200 Marin
Tél. 04 50 73 04 87
Port. 06 73 89 97 33 Thonon le 30 novembre 2006
Lettre ouverte à MOHAMED VI
Votre Majesté Mohamed VI
Je rentre de votre beau pays et je dois vous faire part de l’enchantement de mes yeux, de mon nez et surtout de mon cœur.
Les yeux pour les paysages fabuleux, le nez pour les odeurs de la nature et des souks et enfin mon cœur pour la gentillesse de votre peuple.
Mais si je vous écris après un si beau voyage, (vous vous doutez bien), c’est pour un problème grave et important.
Mes pas m’ont amené vers IMOUZZER IDA OU TANANE
Pour rencontrer mon guide Mohamed Mezzen Benouaknine.
Le temps passant, Mohamed m’a fait confiance et a fini par me raconter son histoire :
Il faut savoir que la famille de Mohamed a toujours habité le village et qu’aujourd’hui, il a en charge une famille de sept enfants. Comme il habite le village prés des cascades, il a des les premières arrivées de touristes créé un petit magasin de souvenirs avec l’accord des autorités
Le 29.09.2001, les problèmes commencent, deux hommes et le commanditaire le tabassent et l’attachent à une voiture et lui font parcourir plusieurs kilomètres afin de lui faire peur et qu’il quitte le pays.
Le 19.09.2003, cinq personnes viennent au magasin de Mohamed et le saccagent. Ils rossent Mohamed et lui disent qu’ils viennent le tuer (toujours au nom de la même personne).
Le gouverneur d’Agadir intervient, offre une tente à Mohamed et lui redonne le même emplacement que le magasin avec les autorisations
Le 25.06.2005, Nordine le fils âgé de 7 ans se fait renverser par une voiture.
Le 18.10.2006, Mohamed se fait rosser dans le tente, conduit à l’hôpital, il a 28 jours d’incapacité.
Le 21.10.2006, nouvelle intrusion dans la tente et cette fois, les coups sont donné avec barre de fer et de bois : 45 jours d’incapacité et un bras cassé et plusieurs points de suture au visage.
Mohamed n’a comme tort que d’avoir un magasin, maintenant une tente sous les cascades, là où un notable a fait un hôtel restaurant. Ce que veut cette personne, c’est l’emplacement pour faire un parking.
Votre Majesté, j’ai entendu beaucoup de propos concernant l’abus de pouvoir de certaines personnes et de la difficulté du petit peuple à pouvoir s’adresser à quelqu’un. Dans le cas de Mohamed, les photos existent, les rapports de police existent, les incapacités de travail sont établies.
Mais à qui peut-il s’adresser, si la chape de l’autorité bloque la machine judiciaire, si ce n’est au roi.
J’ai eu la chance un soir de regarder votre télévision et là j’ai vu le Maroc en marche. C’est ce qui m’a décidée de vous écrire dés mon retour en France. Je suis sûre que vous savez que certaines provinces subissent le joug de roitelet ou se croyant tel.
Cela serait un honneur pour moi, que vous puissiez vous occuper du cas de Mohamed Mezzen Benouaknine.
Bien sûr, j’ai le nom de la personne persécutant Mohamed mais je pense que vos services sont les mieux habilités pour faire une enquête sur cette région et sur l’utilisation des fonds versés par l’état.
Je crois que les pistes sont l’électricité du village, la fête de Moussen du miel annuel,
Et sûrement bien d’autres choses.
Comme il est difficile de savoir à qui s’adresser, je vais faire parvenir ce courrier à
Une de vos fondations
L’Association Marocaine des Droits Humains
Aujourd’hui le Maroc
Le matin Maroc
Et si je trouve son adresse, à Jamel Debbouze qui je crois est votre ami.
Ne prenez pas ombrage de ces différents envois, qui me permettent simplement de vous atteindre peut-être.
Je finirais ce courrier en vous parlant de ce peuple qui vous aime, qui parle de vous avec affection et confiance, de Mohamed qui a cherché à Agadir une photo de votre femme et de votre fils car je lui avais dit que je ne les connaissais pas. Avec quelle fierté, il m’a montré une photo où votre femme tendait les bras à son fils dans un jardin avec vous à leurs côtés.
C’était mon septième voyage dans votre beau pays, et j’espère le faire découvrir à mon fils dans l’avenir si Dieu le veut,
En attendant ce moment, je vous prie d’agréer, Votre Majesté, mes salutations distinguées.
Sylvie GIRARDOT
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mussss93 a écrit:
salam le marocain
courage mon frere on est tous et toutes avec vous de nos coeur et vous faites pas attention a ce qu'ils disent les deux la (iletaitunefois et façades) ça se peut etre en complice avec les caid et les bachas.
et je voudrai vraimen saluer le courage de sarah .
et pour toi iletaitunefois VICTOR HIGO a dit" quant on a rien à dire on parle mal"
courage courage monsieur le marocain
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malak71 a écrit:
bonsoir frére mabrouk al aid a toi aussi et bon courage dans tes demarches pour trouver justice ,ton histoire me rappelle celle de mon pére ,harcelé toute sa vie par des gens qui se croyaient au dessus des lois ,enfin ils l'etaient vraiment ,il a fini par laisser tomber son affaire .
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