Est un laïc celui qui ne relève pas du clergé, notamment dans une société chrétienne. Les personnes qui n'en relèvent pas font partie du laïcat. Dans l'Église catholique, on désigne comme «laïc» les personnes qui, tout en appartenant au sacerdoce commun des fidèles, n'ont pas la responsabilité du sacerdoce ministériel.
La laïcité désigne au sens moderne la séparation du civil et du religieux. Le principe de séparation des pouvoirs politique et administratif de l’État du pouvoir religieux en est une application. Au sens contemporain, elle est le principe d'unité qui rassemble les hommes d'opinions ou de convictions diverses en une même communauté.
L'adjectif «laïque», qui s'oppose d'abord à «clérical», peut aussi désigner l'indépendance par rapport à toute confession religieuse. [[/b]mé ne sé jamé décolé complétemen du substra chrétien, j'ajouteré]
Citation La Boetie a écrit: C'est difficile en effet de se sortir complètement du contexte culturel "judéo-chrétien"
Cela semble encore plus difficile pour d'autres humains relevant d'autres aires culturelles sacralisées.
C'est juste, c'est universel, quoi qu'on fasse on apporte toujours un peu de sa culture comme la poussiére a la semelle de sa chaussure
Le milieu dans lequel on baigne nous imprègne au point qu'il est souvent nécessaire de prendre du recul pour examiner a quel titre une valeur est sacrée , naturelle, évidente .... ou bien ne l'est pas du tout D'autre part on n'arrive même pas a savoir si une mesure est païenne ou religieuse
l'exemple du poisson le vendredi, qui sans nul doute est d'origine religieuse, est actuellement une mesure d'équilibre alimentaire et plus du tous une revendication comme règle de vie chrétienne catholique (exception faite d'une minorité fondamentaliste négligeables en France) => abolition du précepte dans le concile Vatican II
a coté de cela, alors que la laîcité est reconnue comme un bienfait par la majorité des citoyens (je préciserait même une grande majorité de musulmans en France), nous somme en présence de déni de laïcité par le concordat => une aberration , un paradoxe vraiment surprenant ; même s'il y a des explications sur l'origine il n'y a pas de raison du maintient
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