Vouloir enrayer une pandémie avec un vaccin qui n'empêche pas la contamination et la transmission d'un virus à mutation est une hérésie.
C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité et depuis la découverte des vaccins que le choix de vacciner en masse sur un virus qui mute en permanence a été décidé.
C'est une aberration et n'importe quelle personne détenant un minimum de connaissance sur la biologie évolutive vous le dira.
Les vaccinés sont devenus d'excellent bassin de mutation et de reproduction pour les variants les plus infectieux. Les pass-vaccinaux sont devenus un véritable Cheval de Troie dans l'immunité collective. Ils ont permis aux virus de circuler uniquement parmi les personnes qui se rencontraient (vaccinés). Un bassin de mutation parfait pour les variants.
Cette stratégie vaccinale est d'autant plus aberrante que les vaccins ciblent la protéine de pointe du virus qui permet à ce dernier sa transmission. Qu'est-ce que cela signifie ? En visant la protéine de pointe, on vise l'outil permettant aux virus de se répandre ce qui les incite donc à trouver un moyen plus efficace pour se répandre.
On est en train de supprimer une immunité innée parfaite et extrêmement puissante au profit d'une immunité imposée, imparfaite et partielle qui finira à son tour par sélectionner des variants capables d'y échapper.
Donc plutôt que d'avoir une majorité de la population possédant une immunité naturelle et innée, entraînée à faire face à de nombreux variants, on est en train de générer une pandémie interminable.
Deuxième effet pervers : au lieu de permettre à leur immunité innée d'exterminer le virus (l'immunité innée est stérilisante, c'est à dire qu'elle détruit le virus avant qu'il n'ait le temps de se développer), on les ajoutera au bassin de mutation déjà grand des vaccinés, rendant ce dernier encore plus propice à générer des variants de plus en plus problématique.
Voilà où en est à l'heure actuelle. Quand un super-variant fera surface, il ne sera plus possible d'atteindre une immunité collective, seuls les non-vaccinés dont l'immunité innée aura été préservée auront une chance de se défendre.
Il aurait fallu vacciner uniquement la population à risque avec un vaccin traditionnel qui cible complètement le virus.
Un papier qui prouve par l'expérience et l'observation que notre stratégie actuelle est mauvaise :
Il est indéniable que la vaccination de masse ne fera qu'inciter le virus à exploiter pleinement sa capacité d'évolution y compris - si nécessaire - sa capité à utiliser d'autres domaines récepteurs sur des cellules permissives.
En d’autres termes : si nous continuations à adopter cette stratégie, il y a de fortes chances que nous courrons droit à la catastrophe.
L'immunité innée et celle acquise ne s'excluent pas mutuellement. C'est ballot.
L'article date de 2015. Niveau pertinence, on a vu mieux. Les différents variants du covid-19 auxquels on a eu droit ne se sont pas montrés plus virulents. Seulement plus contagieux. Donc, article complètement à côté de la plaque.
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