Citation
Tarik Ouaazizi a écrit:
Je partage les idées de la LCR en France et pour moi, le PJD est plus d'extreme gauche que de droite
L'extreme droit en france est pour le néolibéralisme tandis que le pjd est pour la justice sociale et la redistribution des biens
Votre parallèle est complètement débile
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a écrit:
Tarik Ouaazizi
La démocratie n'est pas un but
Citation
Tarik Ouaazizi a écrit:
Tu compares la religion à une femme d'histoire
Nie que les occidentaux n'apportent pas plus de pédophilie et de prostitution qu'avant
Les marochiennes se voient refuser l'accès à de nombreux pays parce qu'elles sont soupçonnées de faire partie du mossad
Les festivals à outrance nous soulent tous et ne font pas avancer le maroc
TOut est dans l'art de la modération
L'excès nuit
Et alors?Citation
a écrit:
Réguler la prostitution
Réguler la pédophilie
Réguler la pauvreté
C'est bien pensé Abou Nouass n'aurait pas fait mieux.
L'Islam a besoin des pauvres pour faire la Zakat il faut juste les réguler.
Citation
Tarik Ouaazizi a écrit:
L'islam c'est aussi la démocratie
La démocratie n'est pas un but en soi, il n'est qu'un moyen et non une fin
Tout moyen qui finit par devenir une fin est dangereux
La technologie et la science en sont de très bons exemples
Le paradis est une fin pour nombre de citoyensEt alors?Citation
a écrit:
Réguler la prostitution
Réguler la pédophilie
Réguler la pauvreté
C'est bien pensé Abou Nouass n'aurait pas fait mieux.
L'Islam a besoin des pauvres pour faire la Zakat il faut juste les réguler.
Pourquoi le PJD n'a pas el droit de s'accaparer ces thèmes?
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kmelcasa a écrit:
*pour le PJD "le maroc est envahis de touristes qui amenent des maladies, la prostition et la pedophilie"
les marocains en tant que muslmans sont des hommes parfaits ..... impossible que des pedophiles et des clients de prostitués soient des marocains !Citation
kmelcasa a écrit:
Ha ! Bon ......
Il semblerait pourtant qu'on n'ait pas besoin d'aide extérieure !!!
Lisez la suite :
Maroc : Père de famille, imam et pédophile
L’imam de la mosquée «Al Karma», située au quartier Sidi Abdelkrim à Safi, sexagénaire et père de 6 enfants a été arrêté pour pédophilie
Nous sommes au quartier Sidi Abdelkrim, au nord de la ville de la poterie, Safi. La mosquée «Al Karma» est fréquentée par tous les fidèles de la région, du moins le vendredi pour écouter le prêche de l’imam Mohamed. B. Ce prêcheur de soixante et un ans jouit d’une bonne réputation. Tout le monde le respecte, l’apprécie et lui fait le baise-main.
Personne ne se souvient avoir entendu dire du mal ni sur lui ni sur son épouse, et encore moins sur ses trois garçons et trois filles dont deux enseignants ; éducation islamique pour l'un d'eux dans un collège de la ville alors que le deuxième enseigne dans une école primaire. À cinq cents mètres de la mosquée «Al Karma», près du Centre pédagogique régional Mohammed V, sis rue Colon, l’imam Mohamed occupe une maison dont il est propriétaire. D’abord, il a aménagé, depuis plus d’une trentaine d’années son rez-de-chaussée en école coranique où il enseigne aux enfants et aux adolescents le Coran. Plusieurs fkihs de la ville ont appris le Coran grâce à lui et ont rejoint d’autres villes pour enseigner la parole divine aux enfants. ............Nous sommes le jeudi 14 juin. Vers 17 h, Youssef, élève en deuxième année du primaire quitte l’école, se rend chez lui et casse la croûte. Une pause d’une demi-heure lui suffit pour se rendre ensuite à l’école coranique de l’imam de la mosquée «Al Karma». Vers 18 h, son frère aîné quitte également l’école, arrive chez lui et sa mère lui demande d’aller voir si Youssef est en train d’apprendre le Coran ou s’il joue avec ses camarades du quartier. Sans tarder, Yassine se lance pour accomplir la tâche. Quand Yassine arrive devant l’entrée, l’imam l’empêche d’y accéder. Non pas directement, mais en lui remettant une pièce d’un dirham et lui demandant d’aller acheter une aiguille chez un commerçant situé un peu plus loin. Mais, Yassine décide d’aller chez le commerçant le plus proche. Quelques secondes plus tard, il regagnait l’école coranique. Seulement, il remarque cette fois-ci Abdelkader, âgé de dix ans, planté à l’entrée. Pourquoi ? Il n'en savait rien. Sans parler à l’enfant, il y rentre. Il ne trouve ni l’imam ni son frère ni les autres enfants à «Lamhadra», l’espace où se regroupent les enfants qui apprennent le Coran. Où étaient-ils passés ? Il n’en a aucune idée. Lentement et sans faire de bruit, il se dirige vers «Lakouissa», recoin situé sous les escaliers et réservé à garder les planches en bois où sont inscrits les versets du Coran à apprendre. En y mettant le pas, il est comme foudroyé. Il ne peut plus avancer d’un pas. Soudain, il sort en courant et criant : «Le fkih abuse de mon frère, le fkih abuse de mon frère». En un clin d’œil, les badauds s’attroupent devant l’entrée de l’école coranique, s’interrogent sur ce que racontait Yassine. L’imam ne présidait ni la prière d’Al Maghrib ni celle d’Al Ichaâ. Il reste chez lui. La police du premier arrondissement réagit, interroge Yassine, son frère Youssef et Abdelkader qui était planté à l’entrée de l’école coranique. Ce dernier a avoué avoir été abusé par l’imam à quatre reprises, la dernière remonte au matin du même jeudi 14 juin.
Youssef en est à sa troisième expérience. Le lendemain, vendredi, l’imam Mohamed ne préside pas la « prière d’Al Joumouâ ». Parce qu’il a été arrêté. Il avoue son crime. Dimanche 17 juin, il est traduit devant le parquet général près la Cour d’appel de Safi. Jeudi 28 juin, il sera présenté devant le juge d’instruction. L’imam avait-il fait d’autres victimes ? La présidente de l’association «Touche pas à mes enfants», Najia Adib, a affirmé à ALM qu’il y en avait plusieurs, mais leurs parents se sont abstenus de porter plainte.
Source : Aujourd'hui.ma