Citation
ok a écrit:
La fille du genrale Oufkir est Tout aussi arrogante et prétentieuse que son pere; meme après toute ses années passées dans un trou.oui car vous savez comme elle dit chez Ruquier elle a été dans les hautes spheres du pouvoir maroquain(ho, lala)! Et comme elle le dit dans son premier livre, il est fort possible qu'elle descende du prophete Mahomet (temoignage choc!!!!).Heureusement qu'elle s'est barrée à Miami avec son étalon de mari avant de s'etre fait lyncher par le roi.
Je suis aller à la mektaba pour y laisser une annotation. Toutefois pour tout les fans de Malika il est important de remarquer que son livre a été interdit de publication au Maroc. Raison de plus pour l'acheter car il est ecrit avec un style qui le rend assez interessant malgré les pretentions d'un auteur qui se prend pour Dieu.
Citation
bouchra bent saidia a écrit:
si tu pouvais retirer ton :"ah ces marocains ils se la pètent toujours..." s il te plait , tu profites d un post pour lequel on est pratiquement tous d accord, à savoir l arrogance de cette melle oufkir, pour critiquer et généraliser une attitude qui ne correspond en aucun cas au style des marocains.
effectivement nous sommes un peuple qui assure sur beaucoup de niveaux et je peux comprendre l amertume que tu peux avoir ainsi que la jalousie que tu peux ressentir rien qu en visionnant la chaine algérienne.... évite de comparer ça te feras moins souffrir!!!!!
Citation
algerien-beau-gosse a écrit:Citation
bouchra bent saidia a écrit:
si tu pouvais retirer ton :"ah ces marocains ils se la pètent toujours..." s il te plait , tu profites d un post pour lequel on est pratiquement tous d accord, à savoir l arrogance de cette melle oufkir, pour critiquer et généraliser une attitude qui ne correspond en aucun cas au style des marocains.
effectivement nous sommes un peuple qui assure sur beaucoup de niveaux et je peux comprendre l amertume que tu peux avoir ainsi que la jalousie que tu peux ressentir rien qu en visionnant la chaine algérienne.... évite de comparer ça te feras moins souffrir!!!!!
tous les marocains que j'ai connu a quelques exceptions près se disaient déscendants du prophete, ca m'a toujours fait rire d'ailleurs...
Citation
Ex-missdoll a écrit:
ben deja le 1er arabe qui est venu au maroc cetai un cherif(moullay driss) si tu connai un peu lhistoire,etait un descendant du prophet sws.
et stp epargne nous tes prejuges et arrete de generaliser stp!
Citation
algerien-beau-gosse a écrit:Citation
bouchra bent saidia a écrit:
si tu pouvais retirer ton :"ah ces marocains ils se la pètent toujours..." s il te plait , tu profites d un post pour lequel on est pratiquement tous d accord, à savoir l arrogance de cette melle oufkir, pour critiquer et généraliser une attitude qui ne correspond en aucun cas au style des marocains.
effectivement nous sommes un peuple qui assure sur beaucoup de niveaux et je peux comprendre l amertume que tu peux avoir ainsi que la jalousie que tu peux ressentir rien qu en visionnant la chaine algérienne.... évite de comparer ça te feras moins souffrir!!!!!
tous les marocains que j'ai connu a quelques exceptions près se disaient déscendants du prophete, ca m'a toujours fait rire d'ailleurs...
Citation
salma26 a écrit:
Pourtant Algérien, la moitié de son sang est marocain, eh ben on voit l'amour que tu voues à ta maman et au pays de ta maman, de tes grands parents!!!!
Tu vas arrêter de casser du marocain ici, ah ces algériens!
Le général Oufkir était un berbère! Elle dit trop de bêtises la malika, je préfèrais son premier bouquin, mais celui-ci après avoir vu son interview chez fogiel, elle ne m'a pas touché
rentre chez toi ,tu t es égaré ! tu les aime tt de meme les marocains .c est pour cela que tu viens leur rendre visite sur leur site .(monsieur se croit cultivé pour venir argumenter ).Berbere ou pas ,on est tous des marocains , nous on est solidaires entre nous malgré tt.Que la paix et la prospérité soit sur tout les marocains.Citation
algerien-beau-gosse a écrit:Citation
salma26 a écrit:
Pourtant Algérien, la moitié de son sang est marocain, eh ben on voit l'amour que tu voues à ta maman et au pays de ta maman, de tes grands parents!!!!
Tu vas arrêter de casser du marocain ici, ah ces algériens!
Le général Oufkir était un berbère! Elle dit trop de bêtises la malika, je préfèrais son premier bouquin, mais celui-ci après avoir vu son interview chez fogiel, elle ne m'a pas touché
Qu'elle soit berbere ou pas (peu importe, tous les marocains sont d'origine berbere) ce qui me fait sourire c'est cette tendance des marocains a s'inventer des ancetres: arabes, andalous, allemand, etc...
j'ai meme ren contré un marocain qui m'a dit que l'atlantide c'etait au maroc....
Citation
algerien-beau-gosse a écrit:Citation
salma26 a écrit:
Pourtant Algérien, la moitié de son sang est marocain, eh ben on voit l'amour que tu voues à ta maman et au pays de ta maman, de tes grands parents!!!!
Tu vas arrêter de casser du marocain ici, ah ces algériens!
Le général Oufkir était un berbère! Elle dit trop de bêtises la malika, je préfèrais son premier bouquin, mais celui-ci après avoir vu son interview chez fogiel, elle ne m'a pas touché
Qu'elle soit berbere ou pas (peu importe, tous les marocains sont d'origine berbere) ce qui me fait sourire c'est cette tendance des marocains a s'inventer des ancetres: arabes, andalous, allemand, etc...
j'ai meme rencontré un marocain qui m'a dit que l'atlantide c'etait au maroc....
Citation
algerien-beau-gosse a écrit:Citation
ok a écrit:
La fille du genrale Oufkir est Tout aussi arrogante et prétentieuse que son pere; meme après toute ses années passées dans un trou.oui car vous savez comme elle dit chez Ruquier elle a été dans les hautes spheres du pouvoir maroquain(ho, lala)! Et comme elle le dit dans son premier livre, il est fort possible qu'elle descende du prophete Mahomet (temoignage choc!!!!).Heureusement qu'elle s'est barrée à Miami avec son étalon de mari avant de s'etre fait lyncher par le roi.
Je suis aller à la mektaba pour y laisser une annotation. Toutefois pour tout les fans de Malika il est important de remarquer que son livre a été interdit de publication au Maroc. Raison de plus pour l'acheter car il est ecrit avec un style qui le rend assez interessant malgré les pretentions d'un auteur qui se prend pour Dieu.
ah ces marocains, ils se la pètent toujours. mais avec un nom de famille berbere comme oufkir, je doute qu'elle descende du prophete, mais on en est plus a une contradiction près dans le pays musulmans le plus éloigné de la mecque et celui qui compte le plus de chérifs (déscendants du prophete) !
Citation
Abdi2 a écrit:
Voici un rappel historique -faisant presque office de lapalissade pour quasiment tous mes compatriotes- qui va permettre à notre ami algérien de mieux comprendre, pourquoi le Maroc, parmi toutes les nations, par la grâce et la bonté d'Allah, est celui qui comporte le plus de chorfas:
Idriss 1er a connu de grandes inquiétudes à la cour de Bagdad où il était recherché comme opposant aux Abbassides (les descendants d’El Abbas oncle du prophète(SAWS)), devenus à leur tour les nouveaux maîtres du monde musulman. Après s'être réfugié en Egypte, Idriss 1er se dirige vers le Maroc en passant par Tanger et Tlemcen , avant de s'installer définitivement à Walilah (volubilis), en 789 (à vérifier) ou il a été accueilli par la tribu berbère des Aouraba. Idriss 1er s’était mis sous la protection du chef de cette tribu des Aouraba, Abou Layla Ishaq ben Abdelhamid.
Accompagné de Rachid Ben Morchid El Koreichi, esclave qu’il avait affranchi, Driss trouve un Maroc en proie à des luttes tribales axées sur les interprétations du Coran, avec au premier plan le mouvement Kharidjite particulièrement actif. Très vite il fut reconnu comme descendant du Prophète Muhammad (SAWS), il fut proclamé Imam, six mois après son arrivée, il prêche l'orthodoxie sunnite( ?) et rallie autour de lui la majorité des tribus du pays.
De Walilah, il dirige des expéditions dans tout le pays, assoit son autorité et augmente sa puissance. Celle-ci inquiète les Abbassides qui craignent une action de sa part dans l'avenir. C'est ainsi que Haroun al-Rachid, nouveau Calife Abbasside décide de le supprimer et lui envoie pour cela un messager, Souleyman Ben Djaber-en-Nabdi-el-Zindi, supposé être un émissaire de soutien et d'amitié. Celui-ci séjourne le temps nécessaire à Walilah pour capter sa confiance et parvient à l'empoisonner en 793 grâce à une fiole de musc contenant du poison. Mais il laisse une femme enceinte. Celle-ci donne le jour à un fils qui règnera plus tard sous le nom d'Idriss II.
En 789/90, Idriss Ier entreprit la conquête de Tlemcen-Agadir où il posa les fondations du Masjid El Attiq (la grande mosquée d’Agadir). C’est la première mosquée construite dans le Maghreb central. IDRISS Ier y fit édifier un minbar (chair) sur lequel on inscrivit son nom. C’est seulement à cette époque que Soleiman Ibn Abdallah El Kamel émigra d’Orient pour venir retrouver son frère IDRISS Ier à Tlemcen. Ce dernier l’installa dans la région et le nomma émir de Tlemcen. Soleiman Ibn Abdallah El Kamel est quant à lui à l’origine des Chorfas d’Ain El Hout (village dans les environs de Tlemcen ) et de Bedjaia (Bougie). Il séjourna et mourut à Tlemcen. Quant à IDRISS Ier il retourna s’installer comme nous l’avons dit plus haut à Walilah (Volubilis). Bien accueilli, usant de son autorité religieuse, habile à nouer des relations avec les tribus Berbères, il étend son autorité sur une grande partie du Maroc .
Mais, trois ans plus tard, en 793, IDRISS Ier fut traîtreusement empoisonné sur ordre du Khalife Haroun Rachid à Bagdad, comme nous l’avons décrit plus haut. Son agresseur fut rattrapé par son frère de lait Rached à la ville d’El Hira qui se nomme actuellement Oujda ( racine arabe Wajada signifiant trouver). Quelques mois après la mort d'IDRISS Premier, son épouse Kenza, originaire de la tribu Aouraba, donne naissance à un garçon surnommé Idris Ethani ou Idris II. L'éducation du jeune prince est confiée au fidèle affranchi de son défunt père, Rached, qui le fait proclamer Sultan du Maroc en 804, à l'âge de 11 ans.
Au fil des années, sa sagesse et son sens politique s'affirment, le nombre de ses fidèles s'accroît, la capacité et la puissance de son armée se développent. Ne pouvant agrandir la ville de Walilah (située sur une crête à l'accès difficile) et voulant se doter d'une capitale, il décide de chercher un lieu remplissant des conditions économiques et stratégiques les plus adéquates. L'édification d'une cité prestigieuse s'imposait pour fixer l'Islam parmi les tribus unifiées autour de lui. Il voulut concentrer les forces du jeune état islamique et réaliser le brassage des différentes ethnies pour en faire une nation.
IDRISS II succéda donc à son père. Il continua son œuvre dans le raffermissement de la dynastie Idrisside issue de Ali et Fatima Zahra. Il partit lui aussi pour Tlemcen en l’an 814 où il séjourna pendant trois années. Il élargit ainsi le royaume vers le sud et l’est. Contrôlant le carrefour de toutes les routes marocaines. A Tlemcen, Il épousa la fille de son cousin Muhammad Ibn Soleiman (Ibn Abdellah Elkamel, celui-ci étant son g-père) et repartit à Fès pour donner à la ville ses véritables dimensions. Quant à Muhammad Ibn Soleiman après un règne très court , il mourut à Tlemcen et fut enterré à Ain El Hout . La succession de l’émirat échut à son fils Ahmed Ibn Soleiman qui devint à son tour émir de Tlemcen. A sa mort il laissa dix enfants :
Ahmed , Aissa, Idriss, Ibrahim, Hassan, Ali, Hossein, Abdellah, Soleiman et Mohammed.
IbnHazm ( Abu Muhammed Ali ibn Hazm 994-1064, outre ses fonctions de vizir auprès des derniers Omeyyades, fut un théologien et un historien de grande érudition) confirme dans ses écrits le règne des émirs Soleimanites dans le Maghreb central. En 931, les Fatimides occupèrent Tlemcen et chassèrent le dernier émir Idrissi-Soleimanite, El Hassan Ibn Abou Aich Ibn Aissa Ibn IDRISS Ibn Mohammed Ibn Soleiman.
La conquête du Maghreb central par les Fatimides (dynastie de califes shiites qui régnèrent en Afrique du Nord et en Egypte de 910 à 1171) chassa tous les descendants de Mohammed Ibn Soleiman. Ces derniers embrassèrent alors la cause des Omeyyades de Cordoue et se réfugièrent en Andalousie. La chute de Cordoue en 1091 vit la fin des Omeyyades. Certain des Chorfas Soleimanites rentrèrent au Maghreb et s’établirent dans le Souss ( Maroc), le Riff marocain, ainsi qu’a Bejaia (Algérie), dans le sud Algérien. A titre d’information historique, rappelons qu’en 1437, il y eut une découverte miraculeuse ; celle du corps du Chérif Moulay IDRISS II retrouvé intact et reconnu par toutes les autorités ainsi que par le chef de la famille Idrisside, le chérif Djouti El Imrani. Cet événement a eu lieu dans le sanctuaire lui-même, près de la mosquée des chorfas de Fès. Cette découverte rehaussa le prestige de la famille Idrisside pendant la période des troubles sociaux, religieux et politiques qu’a connu le Maroc dans la deuxième moitié du XVe siècle sous les Bani-Ouattas.
La zaouïa de Moulay IDRISS II est un lieu sacrée à Fès elle a été construite au IXe siècle puis renouveler 1437. Le sanctuaire est interdit aux non-musulmans. L'enceinte de la zaouïa est sacrée aucun musulman ne pouvait être arrêté. car il y est protégé et bénéficie du droit d'asile Fès étant considérée comme la ville de Moulay IDRISS .De nos jours de nombreux habitants de Fès connaissent encore par cœur ce que les chroniqueurs rapportent comme étant les paroles de IDRISS II, au moment de déposer la première pierre de l'édifice:
"O Dieu, tu sais que je n’ai pas construit cette ville par recherche de brio , ou par vanité, ou par désir de renommée et d’orgueil. Cependant je voudrais que tu sois adoré , que ton livre saint y soit récité et ta loi appliquée tant que durera le monde. O Dieu, guide vers le bien ceux qui y habitent et aide les à l’accomplir, cache à leurs yeux le glaive de l’anarchie et de la dissidence…" Idris II
Nous savons que Abdellah El Kamel (le père de Idriss 1er) Ibn Hassan El Muthanna, Ibn Hassan Assabt, Ibn Ali et Fatima Zohra , laissa en postérité sept fils :
1- Mohammed Ennefs Ezakia,
2- Moussa,
3- Ibrahim,
4- Aissa,
5- IDRISS (Al Akbar, 1er)
6- Yahia, et
7- Soleiman.
De plus, IDRISS , Soleiman, et Aissa avaient la même mère : Attika el Mekhzoumia ; tandis que Moussa, Mohammed Ennefs Ezakia et Ibrahim avaient eux aussi une même mère : Hind bent Abi Obeida Ibn El Djarrah Essahabi (compagnon du Prophète Mohammed ) Rappelons que Abdallah El Kamel était la personnalité les plus en vue pour accéder au Khalifat Abbasside. Il représentait la famille des Alides, cousins des Abbassides. Ces derniers ayant détrôné les Omeyyades en 750 pour venger les Hachémites tués par les tenants de l’ancien régime, étaient devenus à leur tour ennemi des Alides et les combattaient partout. C’est ce qui explique les luttes fratricides et la fuite des vaincus à travers le monde islamique.
Nous tenons à mentionner qu’a Ain El Houte existe aussi le tombeau de Muhammad Ben Ali descendant en ligne direct, à la cinquième génération, de Abd Allah Ben Mansour. Ce Saint homme vivait vers 1700 de notre de l’ère Chrétienne, sa mort se situe aux environs de 1755-56. C’était un savant, il était considéré comme un des principaux Eulamas de son temps. Son mausolée se trouve près de Sidi Abdallah Ben Mansour sur la colline de Ain El Houte.
Ainsi, le deuxième khalife Abbasside Jâafar El Mansour fit arrêter en 762 Abdallah El Kamel et certains de ses frères (enfants de Hassan Al Muthanna) les transféra de Médine à Koufa ou il les fit exécuter après mille humiliations.
Les Alides étaient alors en pleine révolte contre le régime arbitraire et abject du khalife.
Ainsi Mohammed Ennefs Ezzakia (fils de Abdellah El Kamel) surnommé le Mahdi se souleva avec un groupe de partisans dans le Hedjaz, passa à l’action, mais fut tué à son tour le 06/12/762. Son frère Ibrahim, révolté à Bassora ( Iraq), connut lui aussi le même sort, un mois plutôt, le 6 novembre 762 .
Mohammed Ennefs Ezakia avait une réputation de Sainteté qui lui valut le surnom de Nefs Ezakia, c’est à dire l’âme pure. Il était l’auteur d’un ouvrage théologique El Kittab Essayar. Par ailleurs nous avons vu que les « chérif » IDRISSI et Soleiman, tous deux fils d’Abdallah El Kamel avaient bel et bien résidé dans cette contrée. Ils ont donc dirigé le Maghreb El Aksa à Wallilah d’un coté et Le Maghreb El Aousat à Tlemcen de l’autre.. Ils seraient donc les ancêtres de Ahl Ain El Hout et Ahl Bedjaya en l’occurrence Sidi Abdallah Ben Mansour et sa descendance, cela d’une façon logique et historique. La présence de ces Chorfas remonte donc au VIIIe (8e) siècle en Afrique du Nord. Pour certains biographes dont les sources d’information sont occultes, Sidi Abdallah Ben Mansour aurait pour ancêtre Mohammed Ennefs Ezakia, frère d’IDRISS premier et de Soleiman.
Abdallah El Kamel d’après Ibn Ishak et Ali Ben Ferhoun laissa six enfants (et non 7) dans la presqu’ile de Sous et à Zerhoun où est enterré Sidi Moulay IDRISS I.
Idriss II laissa douze enfants :
1- Mohammad,
2- Ahmed,
3- Abou-el-Kacem,
4- Amran,
5- Omar,
6- Ali,
7- Aissa,
8- Yahya,
9- Hamza,
10- Abdallah,
11- Daoud et
12- Kheither.
L’aîné Sidi Muhammad resta à Fez et fit le partage des autres villes entre ses frères sur ordre de sa grand-mère Kenza.
A Ahmed :Habta avec ses montagnes et ses dépendances
A Abou-el-Kacem :Ceuta et sa banlieue
A Amran : Dados et sa banlieue
A Amar ou Omar: Tedjehassa et ses dépendances
A Ali : Tafilalet et ses dépendances
A Aissa et Yahia Marrakech et ses environs
A Hamza et Abda Allah :Taadla
A Kheither : Malaga et Grenade ainsi qu’une partie du Djebel el Fath.( Gibraltar)
Au cours des siècles qui suivirent leurs descendants ont été repartis dans tout le Maghreb. Citons les principaux :
Les BeniDjermoun sont les habitants de Fez. Une de leur fraction habite a Figuig, l’autre dans la ville de Tlemcen.
Les Sak’Fiyoun habitent eux aussi Figuig , leur ancêtre ayant bâti une maison en dur avec un toit ( Sakkaf ) d’ou leur dénomination.
Les Oulad Mimoun se repartissent chez les Beni Ysnas, une dans la montagne de Beni Snous (Wilaya de Tlemcen) Les Beni Toudghir formaient une tribu nomade parmi les Arabes du Maghreb. Ils avaient cent vingt-quatre cavaliers. Ils habitaient à Tames et Doukkala province très fertile dans le Sud Marocain. La majorité des autres descendant habitent Figuig et sa région, tandis que les Bani Hamza habitent Constantine , les Beni Hamza habitent Ksar El Hadid prés de l’oued Meguarra. Les Ouled El Kadi par contre habitent Biskra. Les Ouad Harfad sont localisés dans le Djebel El Alaam prés de Tetouan une autre fraction réside à Marrakech, une autre à Tlemcen et Tunis. Leur ancêtre est Abdessalam Ben Mechich célèbre Saint marocain mort en 1227 de J-C et enterré au Djebel El Alam.
Les Ahl Wazzan campent surtout à Angad chez les Bani Horma. Les Bedriyite descendent de Hamza Ben Idriss et habitent Tlemcen , une de leur fraction se trouve à Sakiet El Hamra une autre dans le Djebel Ammour ( prés d’Oran). Les Beni Ziane habitent Tlemcen, une de leur fraction les Oulad Chaieb mène une vie nomade dans le Sud Algérien, une autre parmi les Arabes nomades de Tunisie. Sidi Abd Allah Ben Hussein enterré à Tamessmouda tire son origine de Massmouda ; il est l’ancêtre de plusieurs chorfas.
Citation
algerien-beau-gosse a écrit:Citation
Abdi2 a écrit:
Voici un rappel historique -faisant presque office de lapalissade pour quasiment tous mes compatriotes- qui va permettre à notre ami algérien de mieux comprendre, pourquoi le Maroc, parmi toutes les nations, par la grâce et la bonté d'Allah, est celui qui comporte le plus de chorfas:
Idriss 1er a connu de grandes inquiétudes à la cour de Bagdad où il était recherché comme opposant aux Abbassides (les descendants d’El Abbas oncle du prophète(SAWS)), devenus à leur tour les nouveaux maîtres du monde musulman. Après s'être réfugié en Egypte, Idriss 1er se dirige vers le Maroc en passant par Tanger et Tlemcen , avant de s'installer définitivement à Walilah (volubilis), en 789 (à vérifier) ou il a été accueilli par la tribu berbère des Aouraba. Idriss 1er s’était mis sous la protection du chef de cette tribu des Aouraba, Abou Layla Ishaq ben Abdelhamid.
Accompagné de Rachid Ben Morchid El Koreichi, esclave qu’il avait affranchi, Driss trouve un Maroc en proie à des luttes tribales axées sur les interprétations du Coran, avec au premier plan le mouvement Kharidjite particulièrement actif. Très vite il fut reconnu comme descendant du Prophète Muhammad (SAWS), il fut proclamé Imam, six mois après son arrivée, il prêche l'orthodoxie sunnite( ?) et rallie autour de lui la majorité des tribus du pays.
De Walilah, il dirige des expéditions dans tout le pays, assoit son autorité et augmente sa puissance. Celle-ci inquiète les Abbassides qui craignent une action de sa part dans l'avenir. C'est ainsi que Haroun al-Rachid, nouveau Calife Abbasside décide de le supprimer et lui envoie pour cela un messager, Souleyman Ben Djaber-en-Nabdi-el-Zindi, supposé être un émissaire de soutien et d'amitié. Celui-ci séjourne le temps nécessaire à Walilah pour capter sa confiance et parvient à l'empoisonner en 793 grâce à une fiole de musc contenant du poison. Mais il laisse une femme enceinte. Celle-ci donne le jour à un fils qui règnera plus tard sous le nom d'Idriss II.
En 789/90, Idriss Ier entreprit la conquête de Tlemcen-Agadir où il posa les fondations du Masjid El Attiq (la grande mosquée d’Agadir). C’est la première mosquée construite dans le Maghreb central. IDRISS Ier y fit édifier un minbar (chair) sur lequel on inscrivit son nom. C’est seulement à cette époque que Soleiman Ibn Abdallah El Kamel émigra d’Orient pour venir retrouver son frère IDRISS Ier à Tlemcen. Ce dernier l’installa dans la région et le nomma émir de Tlemcen. Soleiman Ibn Abdallah El Kamel est quant à lui à l’origine des Chorfas d’Ain El Hout (village dans les environs de Tlemcen ) et de Bedjaia (Bougie). Il séjourna et mourut à Tlemcen. Quant à IDRISS Ier il retourna s’installer comme nous l’avons dit plus haut à Walilah (Volubilis). Bien accueilli, usant de son autorité religieuse, habile à nouer des relations avec les tribus Berbères, il étend son autorité sur une grande partie du Maroc .
Mais, trois ans plus tard, en 793, IDRISS Ier fut traîtreusement empoisonné sur ordre du Khalife Haroun Rachid à Bagdad, comme nous l’avons décrit plus haut. Son agresseur fut rattrapé par son frère de lait Rached à la ville d’El Hira qui se nomme actuellement Oujda ( racine arabe Wajada signifiant trouver). Quelques mois après la mort d'IDRISS Premier, son épouse Kenza, originaire de la tribu Aouraba, donne naissance à un garçon surnommé Idris Ethani ou Idris II. L'éducation du jeune prince est confiée au fidèle affranchi de son défunt père, Rached, qui le fait proclamer Sultan du Maroc en 804, à l'âge de 11 ans.
Au fil des années, sa sagesse et son sens politique s'affirment, le nombre de ses fidèles s'accroît, la capacité et la puissance de son armée se développent. Ne pouvant agrandir la ville de Walilah (située sur une crête à l'accès difficile) et voulant se doter d'une capitale, il décide de chercher un lieu remplissant des conditions économiques et stratégiques les plus adéquates. L'édification d'une cité prestigieuse s'imposait pour fixer l'Islam parmi les tribus unifiées autour de lui. Il voulut concentrer les forces du jeune état islamique et réaliser le brassage des différentes ethnies pour en faire une nation.
IDRISS II succéda donc à son père. Il continua son œuvre dans le raffermissement de la dynastie Idrisside issue de Ali et Fatima Zahra. Il partit lui aussi pour Tlemcen en l’an 814 où il séjourna pendant trois années. Il élargit ainsi le royaume vers le sud et l’est. Contrôlant le carrefour de toutes les routes marocaines. A Tlemcen, Il épousa la fille de son cousin Muhammad Ibn Soleiman (Ibn Abdellah Elkamel, celui-ci étant son g-père) et repartit à Fès pour donner à la ville ses véritables dimensions. Quant à Muhammad Ibn Soleiman après un règne très court , il mourut à Tlemcen et fut enterré à Ain El Hout . La succession de l’émirat échut à son fils Ahmed Ibn Soleiman qui devint à son tour émir de Tlemcen. A sa mort il laissa dix enfants :
Ahmed , Aissa, Idriss, Ibrahim, Hassan, Ali, Hossein, Abdellah, Soleiman et Mohammed.
IbnHazm ( Abu Muhammed Ali ibn Hazm 994-1064, outre ses fonctions de vizir auprès des derniers Omeyyades, fut un théologien et un historien de grande érudition) confirme dans ses écrits le règne des émirs Soleimanites dans le Maghreb central. En 931, les Fatimides occupèrent Tlemcen et chassèrent le dernier émir Idrissi-Soleimanite, El Hassan Ibn Abou Aich Ibn Aissa Ibn IDRISS Ibn Mohammed Ibn Soleiman.
La conquête du Maghreb central par les Fatimides (dynastie de califes shiites qui régnèrent en Afrique du Nord et en Egypte de 910 à 1171) chassa tous les descendants de Mohammed Ibn Soleiman. Ces derniers embrassèrent alors la cause des Omeyyades de Cordoue et se réfugièrent en Andalousie. La chute de Cordoue en 1091 vit la fin des Omeyyades. Certain des Chorfas Soleimanites rentrèrent au Maghreb et s’établirent dans le Souss ( Maroc), le Riff marocain, ainsi qu’a Bejaia (Algérie), dans le sud Algérien. A titre d’information historique, rappelons qu’en 1437, il y eut une découverte miraculeuse ; celle du corps du Chérif Moulay IDRISS II retrouvé intact et reconnu par toutes les autorités ainsi que par le chef de la famille Idrisside, le chérif Djouti El Imrani. Cet événement a eu lieu dans le sanctuaire lui-même, près de la mosquée des chorfas de Fès. Cette découverte rehaussa le prestige de la famille Idrisside pendant la période des troubles sociaux, religieux et politiques qu’a connu le Maroc dans la deuxième moitié du XVe siècle sous les Bani-Ouattas.
La zaouïa de Moulay IDRISS II est un lieu sacrée à Fès elle a été construite au IXe siècle puis renouveler 1437. Le sanctuaire est interdit aux non-musulmans. L'enceinte de la zaouïa est sacrée aucun musulman ne pouvait être arrêté. car il y est protégé et bénéficie du droit d'asile Fès étant considérée comme la ville de Moulay IDRISS .De nos jours de nombreux habitants de Fès connaissent encore par cœur ce que les chroniqueurs rapportent comme étant les paroles de IDRISS II, au moment de déposer la première pierre de l'édifice:
"O Dieu, tu sais que je n’ai pas construit cette ville par recherche de brio , ou par vanité, ou par désir de renommée et d’orgueil. Cependant je voudrais que tu sois adoré , que ton livre saint y soit récité et ta loi appliquée tant que durera le monde. O Dieu, guide vers le bien ceux qui y habitent et aide les à l’accomplir, cache à leurs yeux le glaive de l’anarchie et de la dissidence…" Idris II
Nous savons que Abdellah El Kamel (le père de Idriss 1er) Ibn Hassan El Muthanna, Ibn Hassan Assabt, Ibn Ali et Fatima Zohra , laissa en postérité sept fils :
1- Mohammed Ennefs Ezakia,
2- Moussa,
3- Ibrahim,
4- Aissa,
5- IDRISS (Al Akbar, 1er)
6- Yahia, et
7- Soleiman.
De plus, IDRISS , Soleiman, et Aissa avaient la même mère : Attika el Mekhzoumia ; tandis que Moussa, Mohammed Ennefs Ezakia et Ibrahim avaient eux aussi une même mère : Hind bent Abi Obeida Ibn El Djarrah Essahabi (compagnon du Prophète Mohammed ) Rappelons que Abdallah El Kamel était la personnalité les plus en vue pour accéder au Khalifat Abbasside. Il représentait la famille des Alides, cousins des Abbassides. Ces derniers ayant détrôné les Omeyyades en 750 pour venger les Hachémites tués par les tenants de l’ancien régime, étaient devenus à leur tour ennemi des Alides et les combattaient partout. C’est ce qui explique les luttes fratricides et la fuite des vaincus à travers le monde islamique.
Nous tenons à mentionner qu’a Ain El Houte existe aussi le tombeau de Muhammad Ben Ali descendant en ligne direct, à la cinquième génération, de Abd Allah Ben Mansour. Ce Saint homme vivait vers 1700 de notre de l’ère Chrétienne, sa mort se situe aux environs de 1755-56. C’était un savant, il était considéré comme un des principaux Eulamas de son temps. Son mausolée se trouve près de Sidi Abdallah Ben Mansour sur la colline de Ain El Houte.
Ainsi, le deuxième khalife Abbasside Jâafar El Mansour fit arrêter en 762 Abdallah El Kamel et certains de ses frères (enfants de Hassan Al Muthanna) les transféra de Médine à Koufa ou il les fit exécuter après mille humiliations.
Les Alides étaient alors en pleine révolte contre le régime arbitraire et abject du khalife.
Ainsi Mohammed Ennefs Ezzakia (fils de Abdellah El Kamel) surnommé le Mahdi se souleva avec un groupe de partisans dans le Hedjaz, passa à l’action, mais fut tué à son tour le 06/12/762. Son frère Ibrahim, révolté à Bassora ( Iraq), connut lui aussi le même sort, un mois plutôt, le 6 novembre 762 .
Mohammed Ennefs Ezakia avait une réputation de Sainteté qui lui valut le surnom de Nefs Ezakia, c’est à dire l’âme pure. Il était l’auteur d’un ouvrage théologique El Kittab Essayar. Par ailleurs nous avons vu que les « chérif » IDRISSI et Soleiman, tous deux fils d’Abdallah El Kamel avaient bel et bien résidé dans cette contrée. Ils ont donc dirigé le Maghreb El Aksa à Wallilah d’un coté et Le Maghreb El Aousat à Tlemcen de l’autre.. Ils seraient donc les ancêtres de Ahl Ain El Hout et Ahl Bedjaya en l’occurrence Sidi Abdallah Ben Mansour et sa descendance, cela d’une façon logique et historique. La présence de ces Chorfas remonte donc au VIIIe (8e) siècle en Afrique du Nord. Pour certains biographes dont les sources d’information sont occultes, Sidi Abdallah Ben Mansour aurait pour ancêtre Mohammed Ennefs Ezakia, frère d’IDRISS premier et de Soleiman.
Abdallah El Kamel d’après Ibn Ishak et Ali Ben Ferhoun laissa six enfants (et non 7) dans la presqu’ile de Sous et à Zerhoun où est enterré Sidi Moulay IDRISS I.
Idriss II laissa douze enfants :
1- Mohammad,
2- Ahmed,
3- Abou-el-Kacem,
4- Amran,
5- Omar,
6- Ali,
7- Aissa,
8- Yahya,
9- Hamza,
10- Abdallah,
11- Daoud et
12- Kheither.
L’aîné Sidi Muhammad resta à Fez et fit le partage des autres villes entre ses frères sur ordre de sa grand-mère Kenza.
A Ahmed :Habta avec ses montagnes et ses dépendances
A Abou-el-Kacem :Ceuta et sa banlieue
A Amran : Dados et sa banlieue
A Amar ou Omar: Tedjehassa et ses dépendances
A Ali : Tafilalet et ses dépendances
A Aissa et Yahia Marrakech et ses environs
A Hamza et Abda Allah :Taadla
A Kheither : Malaga et Grenade ainsi qu’une partie du Djebel el Fath.( Gibraltar)
Au cours des siècles qui suivirent leurs descendants ont été repartis dans tout le Maghreb. Citons les principaux :
Les BeniDjermoun sont les habitants de Fez. Une de leur fraction habite a Figuig, l’autre dans la ville de Tlemcen.
Les Sak’Fiyoun habitent eux aussi Figuig , leur ancêtre ayant bâti une maison en dur avec un toit ( Sakkaf ) d’ou leur dénomination.
Les Oulad Mimoun se repartissent chez les Beni Ysnas, une dans la montagne de Beni Snous (Wilaya de Tlemcen) Les Beni Toudghir formaient une tribu nomade parmi les Arabes du Maghreb. Ils avaient cent vingt-quatre cavaliers. Ils habitaient à Tames et Doukkala province très fertile dans le Sud Marocain. La majorité des autres descendant habitent Figuig et sa région, tandis que les Bani Hamza habitent Constantine , les Beni Hamza habitent Ksar El Hadid prés de l’oued Meguarra. Les Ouled El Kadi par contre habitent Biskra. Les Ouad Harfad sont localisés dans le Djebel El Alaam prés de Tetouan une autre fraction réside à Marrakech, une autre à Tlemcen et Tunis. Leur ancêtre est Abdessalam Ben Mechich célèbre Saint marocain mort en 1227 de J-C et enterré au Djebel El Alam.
Les Ahl Wazzan campent surtout à Angad chez les Bani Horma. Les Bedriyite descendent de Hamza Ben Idriss et habitent Tlemcen , une de leur fraction se trouve à Sakiet El Hamra une autre dans le Djebel Ammour ( prés d’Oran). Les Beni Ziane habitent Tlemcen, une de leur fraction les Oulad Chaieb mène une vie nomade dans le Sud Algérien, une autre parmi les Arabes nomades de Tunisie. Sidi Abd Allah Ben Hussein enterré à Tamessmouda tire son origine de Massmouda ; il est l’ancêtre de plusieurs chorfas.
mais oui et Romus et Romolus ont construit Rome en un jour.
Et Romus et Romulus sont les descendants d'Enée lui meme fils de Zeus.
et le roi Inca déscend du soleil de meme que pharaon.
Citation
Abdi2 a écrit:
A supposer que l'on soit un tant soit peu intelligent, on comprendra sans difficulté, me semble-t-il, qu'il n'y a rien de légendaire ds le petit rappel hist. auparavant proposé. Cela dit , ce type de prises de position n'est pas anodin : il semble émaner, j'en ai la certitude, de certains individus qui, confondant le plus souvent la possibilité d'agrégat humain avec la nécessité de projet communautaire, trouvent un malin plaisir à vouloir semer la discorde. Ce sont des choses qui réussissent ailleurs, mais certainement pas chez nous. Si vous m'avez compris, c'est que je me suis mal exprimé.