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Nixe a écrit:
Que faire dans ce cas de figure? Patienter? Partir?
Le choix est difficile, car ne compte pas que les sentiments de l'enfant concerné, il y a toute une famille derrière.
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muslima974 a écrit:
et puis surtout c'est contraire à l'islam de marier quelqu'un contre son gré , c'est de la fornication et les parents j'aurai peur à leur place le jour de quiyamah.
heureusement là d'où je vient ça ne se fait plus. al hamdoulillah
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Nixe a écrit:
Il n'y a pas d'échec dans les mariages d'amour, il n'y a que de la mauvaise volonté, les couples concernant cette catégorie ne font pas d'effort et de concession pour que le couple tienne, ce qui n'a rien à voir avec les mariages arrangés/forcés.
Les enfants issus de mariages arrangés/forcés, présentent un taux important de pathologie psychique. Cela même sans qu'ils ne s'en rende compte. Si quelques uns d'entre eux, arrivaient finalement à poser le doigt dessus, nieront aussitôt.
Souffrir de pathologie psychique est synonyme d'aliénation dans la culture maghrébine.
La religion n'oblige pas et ne cautionne pas les mariages arrangés/forcés, donc il n'y a aucune raison de patienter au nom d'une règle que les parents ont "inventé" pour leur complaisance.
Occulter les sentiments de son enfant, c'est le pousser dans le déclin.
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Nixe a écrit:
Depuis la nuit des temps, chez les maghrébins, se perpétue une tradition plus que détestable voir ignoble. Les histoires de mariages "arrangés".
Vendre son enfant au plus offrant pour une dote, souder une alliance bourgeoise, dissimuler une horrible honte, etc, etc....
Les parents, croyant avoir réussit le coup du siècle, pensent ensuite pouvoir dormir sur leur deux oreilles et sur leurs lauriers.
Ensuite ces enfants en question, sont confrontés à deux choix : Soit ils pensent que l'amour viendra avec le temps, c'est tout à leur honneur. Parfois cela fonctionne, avec un infime pourcentage..
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