A l’aube du dernier jour, la fin se ressent, Une valse silencieuse vers l’inconnu qui suspend. Les larmes coulent en symphonie, Les adieux déchirants au seuil de l’infini.
Les étoiles chuchotent des secrets funèbres, Des éclats d’âmes, des mystères célestes. Dans le livre de la vie, la dernière page se tourne, Laissant derrière nous les choix qui détournent.
Les souvenirs, comme des papillons fragiles, Dansent dans l'air, tel une douce mélodie. La mort, une étreinte qui effleure le cœur, Nous laissant seuls, empreints de douleur.
Les roses fanent, mais l'essence subsiste, Les lueurs d’âmes, une lumière qui résiste. Chaque regard perdu, chaque mot envolé, Compose la trame d'une éternité voilée.
Au bout d’un moment, les gens nous oublient, Comme des empreintes effacées par le temps. Les souvenirs, tels des grains de sable fugaces, S’évanouissent, laissant le néant prendre place.
Les noms se dissipent dans le souffle du vent, Comme les feuilles perdues d’un livre déchirant. Les visages s’effacent dans l’obscurité, Laissant derrière eux une trace de leur réalité.
Dans le crépuscule de cette existence éphémère, Les émotions frémissent, attisant les peurs. La mort, une étoile qui scintille dans le noir, Guide nos pensées vers l'infini miroir.
Dans ce bal ininterrompu de la vie, Les cycles se répètent, comme une mélodie. Chaque existence, une note dans la symphonie, De l’éphémère à l’éternité, une quête infinie.
Modifié 22 fois. Dernière modification le 17/02/24 11:46 par EspritFusionné.
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