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l'ange de la mort
f
30 mai 2006 19:14
Subject: lizez ca !!! c tro intéréssan é c pa lon !!!!
Date: Thu, 18 May 2006 19:15:07 +0200
>>>>>> >> >Il était 4 h du matin >> >Lorsque la mort frappa à la
>>>>>>porte. >> >Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété. >> >Je suis
>>>>>>Izraël. Laisse-moi donc entrer! >> >Alors l'homme se mit à
>>>>>>trembler, >> >Comme pris d'une fièvre subite. >> >Il cria à sa
>>>>>>femme endormie : >> >Ne le laisse pas me prendre la vie ! >> >
>>>>>> >> >S'il vous plaît, O Ange de la mort ! >> >Laissez-moi, je
>>>>>>ne suis pas encore prêt. >> >Ma famille vit à mes dépens, >>
>>>>>> >De grâce, ton acte suspend
>.
>>>>>> >> > >> >Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa
>>>>>>porte. >> >Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, >>
>>>>>> >Prépare-toi, pour la tombe, >> >C'est pour maintenant. >> >
>>>>>> >> >Je te couvrirai d'or, >> >Mais épargne-moi la tombe
>>>>>>sombre. >> > >> >Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon
>>>>>>le vœu d'Allah ? >>Viens, >> >souris-moi et ne t'attriste
>>>>>>point, Soit heureux de revenir vers
>>>>>>
>>>Lui.
>>>>>> >> > >> >Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de
>>>>>>penser à >>Allah, Du >> >matin au soir, je faisais ma richesse
>>>>>>sans pensée pour ce moment. >>Aux >> >ordres d'Allah, je n'ai
>>>>>>point obéi, Tout comme jamais, cinq fois >>par >> >jour, je
>>>>>>n'ai prié. Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan"
>>>>>>
>>>>>> >>passaient, >> >Mais toujours sans mon repentir. >> >Le Hajj
>>>>>>fut déjà Faraz sur moi, >> >Mais de mon argent,
>je ne voulus point me départir.
>>>>>> >> >La charité, j'ignorais, >> >Mais l'usure et l'intérêt, je
>>>>>>m'en accaparais. >> >Mes engagements, j'oubliais. >>
>>>>>> >L’administration, je craignais, >> >De ma foi, j'avais honte.
>>>>>> >> >Le blâme des mécréants m’effrayait. >> >La détresse de mes
>>>>>>frères m’ennuyait. >> >Les artifices de ce monde m'attiraient.
>>>>>> >> >Les mécréants, j'imitais, >> >Le champagne et le vin,
>>>>>>j'appréciais. >> >Les femmes m'attiraient. >> >Malheur sur moi!
>>>>>> >> >Ô ange,
>accorde-moi donc un sursis.
>>>>>> >> > >> >J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier
>>>>>>de ta vie. >>Ne >> >sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque
>>>>>>âme ? Tu as vécu dans >>ce >> >monde et tes parents tu as
>>>>>>négligé, Tandis que le mendiant, >>affamé, tu >> >repoussais.
>>>>>>Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de >>nuits. >>
>>>>>> >Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. >>
>>>>>> >Au lieu de procréer des musulmans, >> >Tu as
>fait de tes enfants des mécréants.
>>>>>> >> >Riches, mais si pauvres ! >> >L'appel du muezzin, tu
>>>>>>ignorais, >> >Tout comme le Coran t'est étranger. >> >Tes
>>>>>>promesses ne furent jamais tenues, >> >Et ton arme favorite
>>>>>>était la calomnie. >> >Tes employés, tu sous-payais, >> >Et le
>>>>>>fruit de leur travail, tu récoltais, >> >Jamais partagé avec le
>>>>>>pauvre ou l'orphelin. >> >Les malades tu fuyais la compagnie.
>>>>>> >> > >> >Ô ange de la mort, >> >Je sais, j'ai honte
>>>>>>
>>> >Que n'ai-je reçu de ta part,
>>>>>> >> >Des signes, quelques avertissements, >> >De cette mort si
>>>>>>imminente ! >> >Âme misérable, le Créateur y a pourvu. >>
>>>>>> >Point donc ne L'insulte, Il est parfait. >> >Mais à Ses
>>>>>>signes tu restais sourd et aveugle. >> > >> >Tes cheveux blancs
>>>>>>t'annonçaient le retour... >> >Ta vue faiblissante t'annonçait
>>>>>>le retour... >> >Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour..
>>>>>> >> >Ton échine recourbée t'annonçait le retour... >> >Voilà
>>>>>>des avertissements suffisants, >>
>>Pour des gens qui réfléchissent !
>>>>>> >> >Mais ta préoccupation se confinait à ce monde. >> > >>
>>>>>> >Puisque le Coran tu as ignoré, >> >Sache au moins alors,
>>>>>>qu'il y était écrit >> >Que ce monde n'est qu'un éclair devant
>>>>>>l'éternité. >> >Mais les avertissements du Coran, tu as
>>>>>>dédaigné! >> >Cesse de pleurnicher, O humain! >> >Vers ton
>>>>>>Créateur sera ton retour, >> >Car ton âme je la prends
>>>>>>maintenant. >> >Le répit m'est interdit. >> > >> >Un cri de
>>>>>>l'homme et sur le sol il
>s'affaissa.
>>>>>> >> >Son corps immobile, son visage éteint. >> >Il semblait se
>>>>>>reposer, du sommeil éternel. >> >Son corps ne pouvait
>>>>>>simplement plus exprimer >> >La douleur alors toujours intense
>>>>>>de l'âme qu'on arrache. >> > >> >La vie, des fois, peut
>>>>>>réserver des surprises, mais jamais la
>>>>>>
>>>>>> >>mort. Car >> >enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour
>>>>>>un jour, mourir ! >> > >> > >> > >> > >> >Frères et
>soeurs vous avez maintenant deux options :
>>>>>> >> > >> >1) Laisser ce mail dans votre inbox. Rien ne pourra
>>>>>>vous arriver >> >(inch'Allah) >> > >> >2) forwarder ce mail au
>>>>>>gens que vous connaissez, et inch'Allah >>vous >> >serez
>>>>>>récompensés autant de fois que le nombre de personne ayant
>>>>>> >>reçu >> >ce mail. >> > >> >La puissance n'est pas innée :
>>>>>>elle se construit. >> > >>
>>>>>>
h
31 mai 2006 04:41
Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte.
Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété.
Je suis Izraël. Laisse-moi donc entrer! Alors l'homme se mit à trembler, Comme pris d'une fièvre subite. Il cria à sa femme endormie : Ne le laisse pas me prendre la vie ! S'il vous plaît, O Ange de la mort !
Laissez-moi, je ne suis pas encore prêt. Ma famille vit à mes dépens, De grâce, ton acte suspend.
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte.
Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pour la tombe, C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or, Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon e vœu d'Allah ?
Viens, souris-moi et ne t'attriste point, Soit heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de penser à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce moment. Aux ordres d'Allah, je n'ai point obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié. Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient, Mais toujours sans mon repentir. Le Hajj fut déjà Faraz sur moi, Mais de mon argent, je ne voulus point me départir. La charité, j'ignorais, Mais l'usure et l'intérêt, je m'en accaparais. Mes engagements, j'oubliais. L’administration, je craignais, De ma foi, j'avais honte. Le blâme des mécréants m’effrayait. La détresse de mes frères m’ennuyait. Les artifices de ce monde m'attiraient. Les mécréants, j'imitais, Le champagne et le vin, j'appréciais. Les femmes m'attiraient. Malheur sur moi! Ô ange, accorde-moi donc un sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta vie. Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ? Tu as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé, Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais. Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits. Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. Au lieu de procréer des musulmans, Tu as fait de tes enfants des mécréants. Riches, mais si pauvres ! L'appel du muezzin, tu ignorais, Tout comme le Coran t'est étranger. Tes
promesses ne furent jamais tenues, Et ton arme favorite était la calomnie. Tes employés, tu sous-payais, Et le fruit de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre ou l'orphelin. Les malades tu fuyais la compagnie.
Ô ange de la mort, Je sais, j'ai honte
Que n'ai-je reçu de ta part, Des signes, quelques avertissements, De cette mort si imminente ! Âme misérable, le Créateur y a pourvu. Point donc ne L'insulte, Il est parfait. Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle. Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour... Ta vue faiblissante t'annonçait le retour... Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour.. Ton échine recourbée t'annonçait le retour... Voilà des avertissements suffisants, Pour des gens qui réfléchissent ! Mais ta préoccupation se confinait à ce monde. Puisque le Coran tu as ignoré, Sache au moins alors, qu'il y était écrit Que ce monde n'est qu'un éclair devant l'éternité. Mais les avertissements du Coran, tu as dédaigné! Cesse de pleurnicher, O humain! Vers ton Créateur sera ton retour, Car ton âme je la prends maintenant. Le répit m'est interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa. Son corps immobile, son visage éteint. Il semblait se reposer, du sommeil éternel. Son corps ne pouvait simplement plus exprimer La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on arrache. La vie, des fois, peut réserver des surprises, mais jamais la mort. Car enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour un jour, mourir ! Frères et soeurs vous avez maintenant deux options :
1) Laisser ce mail dans votre inbox. Rien ne pourra vous arriver inch'Allah)
2) forwarder ce mail au gens que vous connaissez, et inch'Allah vous serez récompensés autant de fois que le nombre de personne ayant reçu ce mail.
La puissance n'est pas innée : elle se construit.
s
31 mai 2006 15:45
Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte.
Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété.
Je suis Izraël. Laisse-moi donc entrer! Alors l'homme se mit à trembler, Comme pris d'une fièvre subite. Il cria à sa femme endormie : Ne le laisse pas me prendre la vie ! S'il vous plaît, O Ange de la mort !
Laissez-moi, je ne suis pas encore prêt. Ma famille vit à mes dépens, De grâce, ton acte suspend.
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte.
Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pour la tombe, C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or, Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon e vœu d'Allah ?
Viens, souris-moi et ne t'attriste point, Soit heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de penser à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce moment. Aux ordres d'Allah, je n'ai point obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié. Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient, Mais toujours sans mon repentir. Le Hajj fut déjà Faraz sur moi, Mais de mon argent, je ne voulus point me départir. La charité, j'ignorais, Mais l'usure et l'intérêt, je m'en accaparais. Mes engagements, j'oubliais. L’administration, je craignais, De ma foi, j'avais honte. Le blâme des mécréants m’effrayait. La détresse de mes frères m’ennuyait. Les artifices de ce monde m'attiraient. Les mécréants, j'imitais, Le champagne et le vin, j'appréciais. Les femmes m'attiraient. Malheur sur moi! Ô ange, accorde-moi donc un sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta vie. Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ? Tu as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé, Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais. Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits. Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. Au lieu de procréer des musulmans, Tu as fait de tes enfants des mécréants. Riches, mais si pauvres ! L'appel du muezzin, tu ignorais, Tout comme le Coran t'est étranger. Tes
promesses ne furent jamais tenues, Et ton arme favorite était la calomnie. Tes employés, tu sous-payais, Et le fruit de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre ou l'orphelin. Les malades tu fuyais la compagnie.
Ô ange de la mort, Je sais, j'ai honte
Que n'ai-je reçu de ta part, Des signes, quelques avertissements, De cette mort si imminente ! Âme misérable, le Créateur y a pourvu. Point donc ne L'insulte, Il est parfait. Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle. Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour... Ta vue faiblissante t'annonçait le retour... Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour.. Ton échine recourbée t'annonçait le retour... Voilà des avertissements suffisants, Pour des gens qui réfléchissent ! Mais ta préoccupation se confinait à ce monde. Puisque le Coran tu as ignoré, Sache au moins alors, qu'il y était écrit Que ce monde n'est qu'un éclair devant l'éternité. Mais les avertissements du Coran, tu as dédaigné! Cesse de pleurnicher, O humain! Vers ton Créateur sera ton retour, Car ton âme je la prends maintenant. Le répit m'est interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa. Son corps immobile, son visage éteint. Il semblait se reposer, du sommeil éternel. Son corps ne pouvait simplement plus exprimer La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on arrache. La vie, des fois, peut réserver des surprises, mais jamais la mort. Car enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour un jour, mourir ! Frères et soeurs vous avez maintenant deux options : 1) Laisser ce mail dans votre inbox. Rien ne pourra vous arriver inch'Allah) 2) forwarder ce mail au gens que vous connaissez, et inch'Allah vous serez récompensés autant de fois que le nombre de personne ayant reçu ce mail.
La puissance n'est pas innée : elle se construit.
f
31 mai 2006 18:22
 
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