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FATEM95 a écrit:
J'ai lu la presse algérienne tout au long de ce week-end. Les pompiers étaient de sortie avec les éléments de langage qui leur ont été soufflés. Sonia Lyes, encore, elle, à sorti deux articles disant la même chose qui ne s'attaquent jamais à la réalité des preuves mais aux analysent la géopolitique, en dénigrant bien sur notre pays et son MAE. Dans TSA un autre auteur écrit rigoureusement la même chose sous le vocable de contribution, on ne sait pas s'il est journaliste ou expert. Mais il ne parle pas de la véracité des preuves. Cette activité soudaine et concertée de la presse algérienne prouve qu'il y a le feu en la demeure.
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bordeaux45 a écrit:
ce que vous ne savez pas c'est la DRS qui écrit les articles les donnes aux journaleux pour les transcrire
regardez les biens même tonalité, même fautes même mots même paragraphes tout est identique
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FATEM95 a écrit:
ça ne m'étonne pas. Les trois articles que j'ai lus disaient rigoureusement la même chose. Ils étaient écrits en l'espace d'une demie-journée, avant la parution officielle de l’article de Jeune Afrique.
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bordeaux45 a écrit:
ce que vous ne savez pas c'est la DRS qui écrit les articles les donnes aux journaleux pour les transcrire
regardez les biens même tonalité, même fautes même mots même paragraphes tout est identique
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Krim a écrit:
Le pauvre Nasser Bourita doit encaisser alors qu´il ne fait qu´executer des ordres.
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yassy37 a écrit:
"Si le ton de la réaction du porte-parole du département de Messahel est à la mesure des accusations portées à l'encontre de l'Algérie par le ministre marocain des Affaires étrangères, elle étonne néanmoins. En effet, le fonctionnaire a décoché ses flèches uniquement en direction de Nasser Bourita et a évité de pointer l'Etat marocain, comme il est de coutume dans pareils circonstances entre les deux voisins".
Messahel attaque uniquement notre MAE Nasser Bourita car il pense que la côte de Bourita n'est pas à la hausse :
- Une crise silencieuse entre le MAE N. Bourita et un de ses sous ministre, embauché depuis peu, chargé des affaires africaines... Lequel sous-ministre refuserait de s'installer avec son équipe, qu'il est toujours entrain de recruter, dans un "vieux" bâtiment... Certain.e.s reprocheraient au MAE son manque d'implication en Afrique...
- D'autre part, il parait que les AL-Fassi essayent de placer un de leur rejeton (celui qui s'occupe du truc bidule à Tanger chaque année )... et donc les Al-Fassi glisseraient des peaux de bananes à Bourita...
Et oui, le succès de l'offensive du MAE actuel fait des jaloux même chez nous...
Mais l'ivrogne de Messahel se met le doigt dans l’œil en espérant que ses attaques contre Bourita feraient plier celui-ci...
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FATEM95 a écrit:
Ta remarque est pertinente car il faudrait un minimum de solidarité dans notre dispositif pour ne pas laisser à l'ennemi de prise. La moindre faille peut être utilisée par le noyé pour se sortir d'affaire.
Le truc bidule c'est pas le midays ?
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yassy37 a écrit:
Oui. MEDays
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charmeur de serpent a écrit:
Je pense que la riposte de l'Algérie a été minutieusement préparée, contrairement à ce qu'on peut penser. L'Algérie accuse le ministre marocain des affaires étrangères de tenir des propos déplacés et irresponsables pour deux raisons :
1- Pour dire que ces propos n'engagent que Nasser Bourita puisque le Maroc n'a pas accusé officiellement l'Algérie après les événements qui impliquent l'Iran et le Hizbollah. C'est une manière pour les dirigeants algériens de comparer la sortie médiatique de Bourita à la sortie médiatique de Msahel qui avait accusé l'économie marocaine d'être dépendante de trafic de drogue et de blanchiment d'argent. Autrement dit, une manière de faire croire que les propos des deux ministres n'engagent que leurs personnes et pas leurs gouvernements, ce qui amoindrit l'importance de la teneur de ces accusations.
2- Les dirigeants algériens donnent plus d'importance à ce que déclarent les dirigeants marocains aux médias surtout les médias internationaux puisque les lobbies pro-algéro-polisariens s'occupent des instances internationales. Autrement dit, les dirigeants algériens donnent plus d'importance à soigner leur image à l'international et leurs lobbies s'occupent de ce qui déroule dans les coulisses des instances internationales.