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Kitab-al-Azrif - Abdul al-Hazred
a
3 juin 2005 22:39

L'énigme du livre qui rend fou smiling smiley

Existe bel et bien winking smiley

Connaissez-vous l'histoire d'Abdul Al Hazred & du necronomicon ?




Salam a ceux et celles que j'aime , je ne suis pas encore dément , tout comme ce poète d'antan , j'y crois a l'atlantide .loool

g
3 juin 2005 22:49
voilà avec ça tt le monde va se mettre a fouiner pour essayer de resoudre cette enigme!!
s
3 juin 2005 22:51
Salut Abdel ,

Ravie de te relire , bily ,



Histoire du Nécronomicon



Le titre original était Al-Azif, Azif étant le terme uilisé pae les arabes pour désigner le bruit nocturne (bruit des insectes) supposé être le murmure des démons. Compesé par Abdul al-Hazred, un poète fou de Sanaa, au Yémeen, qui aurait vécu à l'époque des califies Oméyyades vers l'an 700. Il visita les ruines de Babylone et les souterrains de Memphis et passa dix années dans la solitude du grand désert au sud de l'arabie, le Roba el-Khaliyeh ou « Espace vide» des anciens et le Dahna ou « Désert écarlate» des arabes modernes. On dit que ce désert est habité par des esprits qui protège le mal et des monstres de mort. Ceux qui prétendent y avoir pénétré racontent qu'il s'y produit des étranges et surnaturelles. Pendant les dernières années de sa vie, Al-Hazred vécut à Damas, où il écrivit le Nécronomicon (Al-Azif) et où circulent des rumeurs terribles et contradictoires concernant se mort ou sa disparition, en 738. Son biographe du XIIième siècle, Ibn-Khallikan, raconte qu'il aurait été saisi en plein jour par un monstre invisible et dévorée de façon horrible devant un grand nombre de témoins glacées de peur. On raconte aussi beaicoup de choses sur sa folie. IL prétendait avoir vu la fameuse Irem, la cité des Piliers, et avoir trouvé sous les ruines d'une certaine cité du désert les annales et les secrets d'une race plus ancienne que l'humanité. Il fut un musulman peu zélé, adorant des antitée inconnues qu'il nommait Yog-Sothoth et Cthulhu.

En l'an 950, le Azif, qui avait circulé en secret parmi les philosophes de l'époque, fut secrètement traduit en grec pas Théodorus Philetas de Constantinople, sous le titre de nécronomicon. Pendant unn siècle, à cause de lui, se déroulèrent certaines expériences terribles, de sorte que le livre fut interdit et brûlé par le patriache Michael. Après cela, on n'en parla plus que furtivement mais, en 1228, Olaus Wormius en fit une traduction latine, qui fut imprimé deux fois, l'une au XVième siècle, en lettre noires (en allemand vraisemblablement), en l'autre au XVIIième siècle (probablement en Espagne). Les deux éditions ne portaient aucune mention particulière et c,est seleument par leur typographie qu'on peut supposer la date et le lieu de leur impression. L'ouvrage dans sa version grecque comme dans sa version latine, fut interdit par le pape Grégoire IX en 1232, peu après sa traduction en latin qui avait attiré l'attention. Aucune trace de la version grecque, imprimée en italie entre 1500 et 1550, depuis l'incendie d'un certain habitant de Salem en 1692. Il y aurait également une traduction faite par le docteur Dee, qui ne fut jamais imprimée et donc les fragment viendraient du manuscrit original. Des textes latin qui reste, l'un (du XVième siècle) serait enfermé au British Museum et l'autre (du XVIIième siècle) est à la Bibliothèque nationale de Paris. Une édition du XVIIième siècle est à la bibliothèque Widener à Hadvard et une autre à la bibliothèque de l'université Miskatonic à Arkham ; une autre également à la bobliothèque l'université de Buenos Aires. IL existe probablement de nombreuses autres copies secrètes et une rumeur persistante assure qu'une copie du XVième siècle ferait partie de la collection d'un célèbre millionaire américain. Une rumeur plus faible assure qu'une copie du XVIième siècle du texte grec serait la propriété de la famille Pickman de Salem ; mais cette copie aurait disparu avec l'artiste R.U. Pickman, en 1926. L'ouvrage est sévèrement interdit dans la plupart des pays par les autorités et par toutes les branches des Églises organisées. C'est après avoir entendu parler de ce livre (peu connu du grand public) que R.W. Chambers a tiré l'idée de son roman Le roi en jaune. Une rumeur dit que le père de H.P. Lovecraft, Winfield Lovecraft, serait un franc maçon égyptien.D'autre disent que le Nécronomicon serait peut-être en fait qu'une partie d'un énorme livre et qu'il aurait été écrit par plusieurs hommes(Abdul al-Hazred inclus). Plusieurs trouvent que le Nécronomicon aurait des similitudes avec le livre de Dzuan(livre très important dans l'occultisme car, officiellement, il est le livre le plus ancien des bases de la magie qu'on ai trouvé). La traduction du livre en anglais a été faite par le docteur Jhonn Dee, occultiste, cryptographe et "devin" personnel de la reine Elizabeth 1ière, au XVII ième siècle.
Le Nécronomicon semble se diviser en trois partie principales:

Une histoire de la magie et de la démonologie sur notre planète.
Un symposium sur les rapport entre la terre et d'autres sphères et espaces, tels que "Yuggoth"...
Une incroyable variété et collection de sorts, formules et incantations.
Chronologie
Al- Azif écrit en 730 à Damas par Abdul al-Hazred.
Traduction en grec du livre qui devient le Nécronomicon en 950, par Théodorus Philetas.
Brûlé par le patriache Michael en 1050 (le texte grec). Le texte original est perdu.
Olaus Wormius traduit le texte grec en latin, en 1228.
Les éditions latines et grecques sont détruites par Grégoire IX en 1232.
En 14.. (?) édition en lettrte noires, en Allemagne.
En 15.. (?) le texte grec es imprimé en Italie.
En 16.. (?) traductions en espagnol du texte latin.



Panthéon du Nécronomicon



Les Vénérables Anciens
Azatoth
Le chaos primitif siégant au centre de l'infini; informe et impossible à reconnaître. L'animateur des ténèbres; le désordre. Le destructeur de pensée et de forme. L'antithèse de la création; l'aspect complètement négatif du feu élémentaire, qui relève, astrologiquement, du lion archaïque et, dans la sphère terrestre, du "sud caché" (hidden south).

Yog-sothoth
Le "Tout-Un", corégent d'Azatoth; véhicule du chaos. Manifestation extérieure de l'expression primitive. Porte du vide par laquelle doivent passer "ceux qui viennent d'ailleurs". L'intelligence active extérieure de celui qui restera toujours enfermé dans des ténebres impénetrables. Manifestation positive du feu, marqué au firmament par le signe du lion et plus particulièrement par l'étoile connue des anciens Arabes sous le nom d'"Al-Kalb- al-Asad" et des Romains sous celui de "Cor Leonis" -le Coeur du Lion- qui se trouve dans la poitrine de la bête céleste. Son point cardinal terrestre est le Sud Immédiat.

Nyarlathotep
Le chaos rampant, mouvant, l'Ether qui sert de médiateur entre les différent aspects des Vénérables Anciens, Il est le réceptacle de leurs volonté combinée, leur messager et serviteur - pouvant exister sous n'importe quelle forme à n'importe quel endroit et à n'importe quelle époque. Astrologiquement, Nyarlathotep relève de la Voie lactée, cette bande mystique de lumière nébuleuse qui s'étend dans les cieux avec une inclinaison de 63 degrées par rapport à l'équateur céleste et délimite notre galaxie. Les anciens Akkadiens reliaient cette pâle lumière à leur mythe du grand serpent, les Polynésiens l'appelaient le long requin bleu mangeur de nuages; en Inde, elle portait le nom de Ngavithi -la piste du Serpent-.

Hastur
La voix des Vénérables Anciens. Le Vengeur et Destructeur, celui qui marche sur le vent et que l'on ne doit pas nommer. Dans la sphère des élément, Hastur correspond àl'air -élément de la dispute- et parmi les constellations, est reconnu par le signe du Verseau, astérisme supposé régir le "TRigone Aérien"(Airy Trigon). Sur Terre, Hastur correspond à l'est.

Cthulhu
Maître des pronfondeurs intérieures, initiateur des rêves. Parmi les éléments, Cthulhu est représenté par l'eau, et astrologiquement par le scorpion connu des Akkadiens sous le nom de Girtab -celui qui attrape et pique celui devant lequel on doit s'incliner. Géographiquement, Cthulhu correspont à l'ouest -zone de la mort dans l'ancienne religioon égyptienne.

Shub-niggurath
La Grande Chèvre Noire des Bois avec un milliers de petits. Manifestation terrestre de la puissance des Vénérables Anciens. Le dieu du sabbat des sorcières. L'élément naturel de Shub-niggurath est la Terre, symbolisé par le signe du Taureau, au firmament, et, sur Terre, par la porte du vent du Nord.

Les dieux anciens
Bien que de nombreuses créatures bienfaisantes interviennent dans le texte du Nécronomicon, seul Nodens -Maître des Profonds Abysses- est réellement nommé. On suppose que la demeure naturelle des dieux ancien se trouve dans une région proche de l'étoile Betelgeuse, dans la constellation d'Orion. Les dieux anciens apparaisaient comme les protecteurs de l'humanité et un signe, le signe des dieux anciens -un pentagramme martelé-, confirme leur rapport avec elle. Les occultistes révèrent le pentagramme comme Étoile des mages, symbole de l'homme microcosme, divinité révélée sous forme humaine. Dans le cadre de la magie, l'homme est cosidéré comme une créature à quatre éléments -feu, air, eau, terre- équilibré par la puissance de l'esprit, cinquième élément ou élément caché, symbolisé par les cinq points du pentagramme. Nous pouvons donc en déduire que la puissance du "signe des dieux anciens" sur les " Vénérables Anciens, provient de son rapport avec une race de créature présentant ces cinq forces universelles, par opposition à leurs adversaires aggresifs de constitution monoélémentaire (les Vénérables Anciens).

Je vous suggère de lire "Le Nécronomicon" de Neville Spearman si vous voulez en savoir davantage sur le sujet (Assez difficile à trouver!!!) car il parle de ce livre, bien sûr, mais il parle surtout de la vie et de la pensée de H.P Lovecraft.TRÈS INTÉRÈSSANT!
siryne
3 juin 2005 22:59
jespere que tu n'as pas lu ce bouquin durant ton abscence de yabiladi mon frere abdell?

parceque ...
:o
g
3 juin 2005 23:03
Parce que????????
a
3 juin 2005 23:09

Salam fantomasmir ,

Effectivement je suis plongé dedans , c'est du virtuel a l'état pure !!! winking smiley
3 juin 2005 23:32
dans ce cas il fait se munir de beaucoup de cheba et du harmel pour labkhourgrinning smiley

tu connais?
:o
a
3 juin 2005 23:41

Oui le mauvais oeil et les histoires mythologique existent , j'ai deja vu ici sur ce site des personnes a 7 tetes et d'autres avec des cervelles de truies ...

Et bcp ont un groin et sentent mouton .



Lool , c'est pour rire grinning smiley
r
4 juin 2005 08:53
ravie de te relire ...


Dans une lettre à Clark Ashton Smith datée du 27 novembre 1927, H.P. Lovecraft affirme que le dernier exemplaire arabe d'Al-Azif a été perdu après 1228 ; une traduction en espagnol de la version arabe récemment cataloguée à la bibliothèque de Buenos Aires prouve cependant que le texte a traversé le XVIIe siècle et qu'il existait à Salamanque à cette époque.

Johannes Hispalensis, également connu sous le nom d'Avendath, médecin juif converti et membre de l'école des traducteurs de Tolède, acquit en 1164 les ouvrages de la bibliothèque de l'Andalousien Ibn Yulyul, qui servit sous Hishâm II dans la seconde moitié du Xe siècle. Parmi les textes médicaux et botaniques, Johannes trouva une copie d'Al-Azif. Peu enclin à des poursuites religieuses, il donna le livre au savant Abd-Al-Kadir Guilânî. Musli profondément dévôt, Guilânî réalisa la nature blasphématoire du livre et, partagé entre son devoir religieux de le détruire et la contrainte paradoxale de la plupart des savants du préserver les écrits, Al-Kadir scella le livre et le confia à Abdel Haqq, secrétaire du calife de Córdoba. Peu de temps après, Guilânî sombra dans un coma délirant et mourut en 1166. [1]

L'Al-Azif doit être resté à Córdoba lorsque la ville fut reconquise par les chrétiens en 1236 et la bibliothèque du Mezquita déplacée par Alonso de Ojeda à Salamanque. Au XVIe siècle, León de Sagredo, natif de Tárrega, traduisit l'Al-Azif de Salamanque sous le nom El Libro De Los Antiguos Demonios Escrito por el Arabe Abdul Hazred. Une entrée dans le catalogue de l'époque de la bibliothèque de l'Université de Salamanque indique "Impreso a la gloria de Sancta Catherina, gloriosa Virgen Patrona de la Universidad de Salamanca, por Cornelio Bonardo. Año del Señor de 1512." [2] Il n'y aucun indice sur le nombre de copies imprimées.

Il est intéressant de noter que le titre de cette traduction - "le livre des anciens démons" - est plus fidèle à la sémantique originale arabe que le mot grec "Necronomicon" choisi par Theodorus Philetas. Un autre fait intéressant concerne l'orthographe d'Abdul Hazred : les difficultés idiomatiques de la construction "Abdul Alhazred" sont bien connues ; le nom Abdul inclut déjà le préfixe Al- répété dans [Al]hazred impliquant ainsi une redondance inutile jamais employée en arabe.

En 1559, l'Index de la Sainte Inquisition - la liste des livres interdits - inclut cette traduction dans la liste des livres hérétiques et, plus tard, en 1623, le tribunal de Tolède, sur la requête de l'Inquisition ordonna la destruction par le feu, en plus d'autres titres, des copies de cette traduction espagnole d'Al-Azif. Cependant, il n'y a aucune certitude que le texte arabe original lui-même ait été détruit ou mentionné dans les Index de 1559 et suivants. [3] Le catalogue courant de la bibliothèque de l'université n'a enregistré aucune version originale arabe ou traductions espagnoles d'Al-Azif.

En 1952, la "Biblioteca Nacional" de Buenos Aires, dans sa vieille "Anexo" d'Avenida Santa Fe 1851, avait une copie de la traduction catalogué comme "Sagredo, León. El Libro De Los Antiguos Demonios Escrito por el Arabe Abdul Hazred, Salamanca, 1612. " [4]

L'entrée du catalogue est embarrassante. Premièrement l'année citée est 1612 alors que Freyre de Andrada attribue une date de 1512 à la publication de la traduction de Sagredo. Deuxièmement, la mention de Palau est énigmatique puisque ce bibliographe ne semble pas avoir catalogué Al-Azif ou Libro El-de Los Antiguos Demonios Escrito por Arabe el-Abdul Hazred. En outre, Palau n'a jamais travaillé à Buenos Aires ; est-ce une référence à une autre copie, encore non découverte, de la traduction espagnole ?

L'"Anexo" a été fermée en 1978 quand l'immeuble a été déclaré insalubre et condamné à la démolition. Les collections ont été transférés à la bibliothèque du "Servicio Geologico Nacional" au second étage du "Secretaria de Industria Comercio y Mineria" à Avenida Julio A. Roca 651 à Buenos Aires. Cependant, le catalogue moderne ne mentionne pas El Libro De Los Antiguos Demonios Escrito por el Arabe Abdul Hazred dans ses fonds actuels...

Ph D, M Env St, B E (Chem), Dip Rad Tech
FAusIMM, CPMan, CPEnv, MMICA, MRACI, CChem
Université de Macquarie
Avril 2001
a
4 juin 2005 21:23
je vous ferai un resumé de ce livre , il est captivant et génère une douce folie
de l'ame .winking smiley
s
4 juin 2005 22:04
je ne connaissais ps du tt abdellito ...Et sincèrement cela ne m'intrigue nullement cm concepte ...Ca me fout pls la trouille de savoir qu'il y a des gens assez fous pr faire des livres sur ça ...

Je préfère les romans d'amour grinning smiley et à l'eau de rose grinning smiley laissez-moi rêver chui encore tite ...

(Et de loin je préfère lire les ahadiths)

Oua allah aalam...
r
4 juin 2005 23:19
abdell a écrit:
-------------------------------------------------------
> je vous ferai un resumé de ce livre , il est
> captivant et génère une douce folie
> de l'ame .


insha allah ...

on l'attend avec impatience en espérant ne pas sombrer dans la folie grinning smiley
a
4 juin 2005 23:22
Salut sadhia ,

j'aimerai bien faire un film la dessus .

Un livre exotique avec des milliers de secret sur une science que juste les anciens scerné .
Spielberg aurait la trouille de sa vie , le fantastique mélé aux gouts suaves
d'une caverne berbère ...
des signes sur des tapis mouvementés qui bougent et font vasciller la flamme "dial chemha tebki" et une arraignée assoifé d'alcool tissant un voile épaix qui maintiendrais un élephant dans son piège !

Bon mon foot reprend 2iem mi-temps .winking smiley
a
6 août 2005 23:36
 
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