L'AFFAIRE est sensible et ses suites judiciaires étaient hier soir à l'étude dans les cabinets ministériels de l'Intérieur et de la Justice. Dans la nuit de mardi à mercredi, les policiers parisiens ont à nouveau été confrontés aux agissements violents du fils cadet du dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi. Motassim Bilal Kadhafi, plus connu sous le prénom d'Hannibal, se croit à l'abri de toutes poursuites grâce à son immunité diplomatique . Mais dans le cadre de l'enquête en flagrance confiée à la 1 e r e division de police judiciaire de Paris, les enquêteurs s'intéressent de près à la réalité de cette protection et pourraient être amenés à l'entendre . Le ras-le-bol des policiers Aux alentours de 2 heures, mercredi, une violente dispute éclate entre cet homme de 28 ans et son épouse, Aline Skaf, 24 ans, dans la suite qu'ils occupent au Grand Hôtel Intercontinental, situé près de la place de l'Opéra. La jeune femme essuie des coups violents. Passant outre les rugissements de son mari ivre, elle décide de déposer plainte à Neuilly, où elle est examinée à l'Hôpital américain. Le couple reprend ensuite la direction de la capitale, où ils s'établissent à l'hôtel Royal Monceau, dans le VIII e arrondissement. Là, selon les constatations policières, le fils du leader libyen se serait déchaîné contre le mobilier de la chambre, mais aussi de nouveau contre sa femme, qui s'est vu prescrire une interruption temporaire de travail (ITT) de plusieurs jours. Aline Skaf a même dû être conduite à l'hôpital sous la protection d'un officier de police judiciaire. Les enquêteurs ont saisi l'arme qu'Hannibal Kadhafi portait sur lui : un Walter P99 dont les conditions de détention sont en cours d'examen. Ils étudient également la réalité de l'immunité diplomatique du jeune homme qui a empêché, dans un premier temps, son audition. Hier soir, plusieurs sources faisaient état de doutes sur cette protection. Les policiers sont ulcérés depuis longtemps par le comportement du fils Kadhafi. Dans la nuit du 24 au 25 septembre 2004, la Porsche du Libyen dévale les Champs-Elysées à 140 km/h, à contre-sens, en grillant plusieurs feux rouges. Les policiers qui l'interpellent ont à peine le temps de constater son ivresse que le ton monte. Un des gardes du corps du jeune homme a été condamné à un mois de prison avec sursis alors que son patron a échappé à toutes poursuites. Toujours grâce à son immunité diplomatique.
Et dire que c'est celui-là qui va diriger la Lybie un jour et va s'asseoir à la même table que les autres présidents et rois de la planète. Pour discuter de quoi au fait ?
Des orgies dans les hôtels du monde entier. Ah les Arabes et leur pétrole ? Il monte à la tête cet or noir, c'est vraiment dur oui de "l'or dur".
Et dire aussi que :
Saddam préparait ces deux fils à le remplacer comme l'a fait auparavant Assad avec son fils ( actuel président de la Syrie ), comme le fait actuellement Moubarak et peut-être notre voisin Boutef. Il en un a lui ? Ou une ? Je ne sais pas ?
Pourquoi ne proclame-t-on pas la monarchie dans le monde arabe et que l'on ne parle plus de démon...cratie et d'elle non pas elle...ek... pardon... ek... encore pardon... ek... pardon. Assurément le mot éléction ne veut pas sortir. ça y est je suis saoul aussi. Allez au revoir ! Il vaut mieux que je me taise.
"Dans la nuit du 24 au 25 septembre 2004, la Porsche du Libyen dévale les Champs-Elysées à 140 km/h, à contre-sens, en grillant plusieurs feux rouges. Les policiers qui l'interpellent ont à peine le temps de constater son ivresse que le ton monte."
Comment ça se fait que ces flics parisiens qui ont d'habitude la main sur la gâchette dès qu'ils aperçoivent un jeune arabe sur une mobylette, alors qu'ils ne bougent pas face à une Porsche de Khaddafi qui transforme les Champs-Elysées en circuit de F1..........
chargement...
+ 
