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INGRATITUDE !
l
lmk
2 février 2005 20:23
Si c'est sa femme qui lui porte la poisse, il a mis du temps pour s'en rendre compte quand meme...::::
c
3 février 2005 18:36
armani kan ta di sa a la meuf
jcroi bien ke tetai en galere ce jour la
BE WEAR FREE GENERATION
m
4 février 2005 11:26
je crois que les femmes pour toi ne sont qu'un "objet"de sexe, un outil pour assouvir tes désirs.

crois moi le coté spirituel est bien plus important et agréable que la simple jouissance tirée par la chair.
A
4 février 2005 14:17
T'es à la rue mon cher : je cherche la complicité et l'intelligence. Je suis assez débauché pour savoir que les plaisirs de la chair sont éphémères et incomplets sans la fusion intellectuelle et cérébrale : Aucune caresse ne survit à la carence de l'amour !
z
4 février 2005 15:36
Description de Casanova par Fellini

« Casanova est un personnage ridicule, tout au plus tragi-comique. Je veux le démasquer. Il est l’éternel jeune garçon qui ne devient jamais adulte. Casanova est pour moi le type de l’italien immature, du Papagallo, du bourreau des cœurs, de l’homme à femmes qui, en vérité, n’est que le petit garçon gâté de sa maman, qui refuse toute responsabilité et qui vit en s’imaginant tranquillement que tout doit venir d’en haut : de maman, du roi, du Duce, de la Sainte Vierge. Un homme qui est le prisonnier de ses mythes – et donc aussi du mythe d’être un bourreau des cœurs. »
Giacomo Girolamo Casanova était pour lui « un écrivain ennuyant », dit-il entre autres, « un faiseur d’esclandre, un fanfaron, un super trou du cul, quelqu’un qui a la folie des grandeurs, un fasciste, un amoureux au sperme glacé, une machine à piston humaine, un pantin, un playboy de province, un vieux rustre ».

Ehh ehh c'est Fellini qui décrit Casanova, on ne signale personne du doigt; on ne s'adresse à personne en particulier, c'est juste pour abonder dans la reflexion, au vu de tou ce qui a déjà été dit.
A
4 février 2005 17:31
Fellini était jaloux des succès de Casanova parce car aussi grand cinéaste qu'il était, il n'arrivait pas à la cheville de son illustre compatriote en matière de séduction et de libertinage : trop sérieux, trop policé et trop ennuyeux.

"Elle me demande comment je pouvais défier la foudre avec une telle scélératesse, je lui réponds que la foudre est d'accord avec moi".
z
4 février 2005 19:37
Voilà le coeur de la reflexion.

Fellini a vécu 50 ans avec sa femme. UN VIE, UN SEUL AMOUR.

Et c'est pour cela qu'il serait jaloux de ceux qui ont gaspillé leur vie en séduction et libertinage : trop sérieux, trop policé et trop ennuyeux.?

Il savait de quoi il parlait.
Le monde de Fellini était marqué par la débauche et la démesure. Il était peuplé de femmes plantureuses et de personnages volubiles.

Il savait que dans Casanova il n'y avait que du cynisme, et il démystifia le séducteur légendaire. La Cité des femmes (1979), explora l'univers féminin entre réalité et onirisme. Les deux films se répondent avec un certain pessimisme quant aux relations entre hommes et femmes. Fellini transfigure sa vision tragique de la vie et des relations humaines par les symboles, le merveilleux et la poésie.

Non il n'était pas jaloux de Casanova. Il ne trouvait rien de bon; ni à lui ni à sa vie.

La vie de FELLINI était largement plus pleine avec un seul amour que la vie de Casanova ne put l'être.

Il n'avait pas besoin de se prendre pour Zeus pour "draguer" misérablement, à la recherche du bonheur.
Il s'accomplissait dans la plenitud d'un seul amour, contrairement à Casanova qui ne connut jamais l'amour...le vrai.
A
4 février 2005 19:58
Le mariage ne dit jamais ce qu'il faut faire pour rester ensemble, pour garder la femme qu'on aime. Il ne garantit, dans les sentiments amoureux, aucune constance, aucune permanance, aucune totalité définitive. C'est du temporaire, de la guerre des nerfs, du fragmentaire.

L'amour est une petite chose à côté du désir, un caillou tombé par hasard sur le chemin absurde de la vie. Il disparaît pour un mensonge de plus, un regard de trop ou un mot de travers. L'amour n'a aucune importance. Le désir est plus tragique.

La fidélité est à la vie amoureuse ce que la logique est à la vie intellectuelle : un aveu d'échec.
z
4 février 2005 23:08
Celui qui estime la grandeur de l'humain peut surpasser la lissière du dèsir.
Mais seuls le courageux, femme ou homme, osent s'aventurer dans le chemin de l'amour.
Derrière eux, restent statiques devant les envies animales, ceux qui nagent dans les basseses de ce monde, ceux qui confondent l'amour avec les sentiments passagers, inconstants, courts, partiels.
En dogmatisant ainsi leur impuissance, ils tentent de condamner les braves, ceux qui affrontent l'inconnu, l'âme nue et pure, prêts à la catharsis amoureuse et triomphale.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/02/05 23:21 par zalzal.
A
8 février 2005 18:12
Mon orgueil abdique, je renonce à la vertu !
A
8 février 2005 18:14
Mon orgueil abdique, je renonce à la vertu !

A
8 février 2005 18:14
Mon orgueil abdique, je renonce à la vertu !

A
8 février 2005 18:14
Mon orgueil abdique, je renonce à la vertu !

j
8 février 2005 18:48
Giorgio...........réduit le son grinning smiley
z
8 février 2005 22:53
Qui c'est qui a vidé mon Dolce Gabbana ???
A
10 février 2005 17:50
Je carbure plutôt au Lolita Lempicka pour homme : EXQUIS !
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