Citation
C.C. a écrit:
Salut,
Oui, mon chéri et moi sommes heureux en couple depuis 10 ans. Nous avons deux enfants merveilleux, une fille et un garçon.
On se dit très souvent qu'on s'aime, tous les soirs je m'endors dans ses bras.
On ne s'est jamais couché fâchés.
Je lui parle beaucoup, il m'écoute beaucoup, il est toujours de bon conseil. Il m'apaise et moi, je lui secoue les puces.
Quand un des deux a un coup de mou, l'autre prend la relève, que ce soit pour les enfants, la gestion de la maison etc.
On ne se fait jamais de reproche devant les autres, si on a qqch à se dire, on attend le soir et on en parle calmement.
On s'accepte comme on est, avec tous nos défauts, car ce ne sont pas des défauts qui mettent en péril notre équilibre.
On essaie chaque jour d'être qqn de meilleur grâce à l'autre, pour l'autre, pour nos enfants.
On se fait confiance car on est très loyaux tous les deux, on se laisse beaucoup de libertés, on ne s'appelle presque jamais dans la journée. On n'est pas très texto ni téléphone. On sait que l'autre pense à nous.
C'est un papa extraordinaire, très drôle, très tendre.
Voilà : la tendresse. C'est ça qui nous caractérise.
Tous les soirs, j'ai hâte de le serrer dans mes bras.
D'ailleurs, il est sorti et j'aimerais le serrer dans mes bras là maintenant.
Citation
CHN-W a écrit:
Assalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâh.
Le bonheur, c'est médiocre comme projet. Mais si commun. Les Musulmans devraient avoir d'autres projets. Détails ici.
Wassalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâh.
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C.C. a écrit:
Salut,
Oui, mon chéri et moi sommes heureux en couple depuis 10 ans. Nous avons deux enfants merveilleux, une fille et un garçon.
On se dit très souvent qu'on s'aime, tous les soirs je m'endors dans ses bras.
On ne s'est jamais couché fâchés.
Je lui parle beaucoup, il m'écoute beaucoup, il est toujours de bon conseil. Il m'apaise et moi, je lui secoue les puces.
Quand un des deux a un coup de mou, l'autre prend la relève, que ce soit pour les enfants, la gestion de la maison etc.
On ne se fait jamais de reproche devant les autres, si on a qqch à se dire, on attend le soir et on en parle calmement.
On s'accepte comme on est, avec tous nos défauts, car ce ne sont pas des défauts qui mettent en péril notre équilibre.
On essaie chaque jour d'être qqn de meilleur grâce à l'autre, pour l'autre, pour nos enfants.
On se fait confiance car on est très loyaux tous les deux, on se laisse beaucoup de libertés, on ne s'appelle presque jamais dans la journée. On n'est pas très texto ni téléphone. On sait que l'autre pense à nous.
C'est un papa extraordinaire, très drôle, très tendre.
Voilà : la tendresse. C'est ça qui nous caractérise.
Tous les soirs, j'ai hâte de le serrer dans mes bras.
D'ailleurs, il est sorti et j'aimerais le serrer dans mes bras là maintenant.
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posteuse a écrit:
Françoise Dolto disait : "si votre enfant, vous avez pas envie de le tuer au moins une fois par jour, c'est que vous ne l'aimez pas."
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Theresajane a écrit:
Salam aleykoum
Oui ça existe. Mais, j'ai l'impression que ta vision du "être heureux" est erronée. Le bonheur, c'est des petits moments par ci par là. Pas du non stop. Et c'est aussi grâce à un certain état d'esprit qu'on le savoure. Parfois, on l'a sous les yeux mais, on ne s'en rend pas compte. Parfois, on veut du "tout cuit", alors que les efforts font le nerfs de la vie car par leur biais, on apprend à mieux profiter de ce qu'on a et de la facilité quand elle arrive. Parce que la facilité à haute dose peut devenir fade, de même qu'on aide pas un enfant en le gâtant trop, de même que les personnes célèbres adulees à qui tout semble réussir finissent souvent mal (suicides...).
Profite de ce que tu as. Il y a pas LE bonheur mais des petits bonheurs entrecoupés de petites épreuves qui sont des leçons de vie. Merci Dieu.
Bonne continuation
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Le Feu Follet a écrit:
La pyramide des besoins, je l'aime bien pour définir le bonheur.
[fr.wikipedia.org]
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) j'apprends toujours de nouvelles choses, je vois beaucoup de yabis mettre ce genre de "morale" j'en profite pour savoir comment on le fait 
Tu m'a eu je penSaiis vraiment Que tu parlais d'une femme. Mais en faites ta femme c'est ta caisse
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