Je ne sais pas qui a prévu 10 millions de touristes en 2010 Est ce une Chouafa? Les Hôtels sont complets en été à cause des RME qui visitent leurs familles. Pour avoir 10 millions de touristes. Il faut des toilettes propres et partout. Les bouchers doivent cacher la carcasses des animaux dans les réfrigérateurs à l’abris des mouches. Les commerçants doivent pratiquer une politique de prix honnêtes pour tout le monde, la meilleure est d’afficher les prix. Le Maroc doit ouvrir le ciel à la concurrence parce que la royale air maroc est un obstacle majeur pour le développement touristique. Je ne comprends pas comment on peut avoir un billet New York Paris moins cher que Paris Casablanca.
Lors de mon séjour au Maroc, je bouge beaucoup, je visite et je revisite les régions du pays pour montrer à mes enfants le véritable Maroc, dans sa diversité, ses richesses ses atouts et aussi ses problèmes.
Ainsi je suis un bon client pour les hôtels, et je peu vous dire que j’en connais un paquet et de toutes les catégories.
ET je peu vous affirmer que le coût est 5 fois plus élevé pour un service 5 fois moins bon (pour ne pas dire médiocre) comparé aux autres pays comparables.
Le pire c’est quand vous réservez et à votre arrivée on vous dit c’est complet !!! Et vous tournez en rond avec votre famille !!
J’ai entendu parler des projets Accor, c’est vrai que les hôtels de ce groupe sont correctes, leur petit déjeuner est excellent…des tarifs raisonnables (les hôtels Ibis).
Si ces projets se concrétisent ça sera un fameux plus pour la capacité touristique du pays.
Par ailleurs, comme vous le savez, il ne suffit pas de construire des hôtels avec des piscine pour attirer 10 millions de touristes ! c’est un slogan et je le souhaite pour le pays, mais il faut rester réalistes : ce n’est pas acquis, il faut transpirer pour gagner les touristes, la concurrence est rude, il y a l’éducation, la formation, l’investissement dans la culture….etc.
« Bon courage pour cet été malgré tout, sinon tu es le bienvenu chez moi si tu ne trouves vraiment pas où crécher » »
Attention je vais vous prendre au mot et vous risquez de voir une famille devant chez vous!! Merci pour l’hospitalité, je suis certain que vous ferez votre devoir car le partage et l’hospitalité sont des valeurs chères à la famille marocaine.
Non, il n’y aura pas de faux-fuyant : rien ne viendra occulter l’amère réalité ; en ce week-end long et triste, nous serons seuls face à notre deuil. Le 15 mai ne pourra pas éclipser le 16 mai. Le hasard du calendrier a en effet situé le jour de la proclamation du verdict de la FIFA à la veille de la journée fatidique du 16 mai. La joie nous fut refusée par une loi implacable pour mieux nous rendre à notre évidence : les deux dates ouvraient sur des perspectives différentes. Un Oui de la FIFA aurait déclenché une vague d’enthousiasme ; une forme d’euphorie pour dépasser le traumatisme ; une raison d’espérer pour sortir du marasme. Il n’en fut rien. Le 16 mai est là ; comme un cauchemar. A nous de trouver les forces internes nécessaires pour forger d’autres raisons d’espoir à partir cette fois d’une perception réelle et lucide de nos moyens et de nos capacités. Et surtout sur la base d’une approche intelligente du monde qui nous entoure et qui nous invite sans cesse à nous positionner pour faire les choix les plus pertinents, les plus adéquats. Et cela commence par une analyse sereine, pensée et raisonnée de notre échec.
Soulignons d’emblée sur cette voie qu’il est stupide de s’en prendre à Blatter, de crier au complot ourdi par des forces occultes qui agissent dans les coulisses de la FIFA. C’est un raisonnement qui rappelle les lendemains de défaite d’une équipe de série B commentée au café de Commerce : on s’en prend à l’arbitre, à l’état du gazon, au public adverse voire carrément aux règles du jeu. Non, la posture victimaire n’est pas la plus adéquate. Chercher un bouc émissaire externe relève du stratagème usé ; il nous ramène à la communauté des récits primitifs où l’expiation de la faute passe par le sacrifice de l’autre. Une communauté incapable de se trouver les moyens politiques et institutionnels de gérer ses crises et ses défaites tend à imputer la responsabilité de tout ce qui peut l’accabler à un ou plusieurs individus à portée de main : samedi on a assisté, sur les plateaux de nos deux chaînes publiques, à l’exécution rituelle du président de la FIFA, frappé d’anathème : «Tu n’aimes pas le Maroc», lui a dit maladroitement un membre de la «délégation» marocaine. Un vrai moment mythologique ! Revenons aux faits. Tentons de comprendre le réel têtu. De le cerner.
Le geste inaugural est signé par la plus que diplomatique lettre royale adressée au président sud-africain pour le féliciter ; illustré dans l’enceinte de la FIFA par le secrétaire d’Etat à la jeunesse qui est allé immédiatement féliciter la délégation de la R.S.A et notamment son leader charismatique Nelson Mandela. C’est une façon de dire que nous sommes conscients des enjeux ; nous ne sommes pas dupes mais nous acceptons les règles du jeu d’un système dont le fonctionnement n’est pas spécifique à cet instant. Il est parti d’un tout. Ce tout qui nous interpelle et auquel nous tentons d’accéder en nous adaptant à ses critères.
Après, il ne faut pas briser le miroir. Acceptons l’image qu’il reflète et tentons de la lire, de la décrypter, de la restituer en fonction de nouvelles perspectives. Des observations sont utiles dans le cadre d’un débat serein et responsable. Loin du chauvinisme facile et de la démagogie enivrante. Les marchands d’illusions tenteront des fuites en avant, fausseront le débat car ils n’ont plus rien à vendre : l’étalage de leurs gadgets s’amenuise. Il est temps qu’ils plient bagage. Le pays a besoin d’autres choses. Il est fatigué de chimères.
Rappelons alors quelques vérités pour expliquer que le triomphe de l’Afrique du Sud, ou l’échec de notre quatrième tentative n’a rien d’une surprise. Il est dans une certaine logique. Et il était clair depuis le début que cette logique allait être respectée. Mais…
peut dire par exemple qu’objectivement il est difficile de parler pour le Maroc d’une quatrième candidature. Il paraît plus évident de parler de la première ; celle qui est la plus conforme à la conduite d’un projet en fonction de règles puisées dans l’arsenal en vogue en la matière. La qualité des personnalités impliquées ; les perspectives tracées donnaient du Maroc une nouvelle idée. Ce qui correspond en fait à une nouvelle réalité qui forge sa percée dans le contexte d’une transition spécifique. Or, il est difficile de parler en ces termes des précédentes tentatives. Faut-il rappeler que pour la première fois cela relevait plutôt de l’aberration et que la candidature du Maroc constituait une forme de couverture idéologique pour un système dont les dysfonctionnements font aujourd’hui l’actualité médiatique et judiciaire.
D’autant plus que l’organisation de la coupe du monde est présentée sans cesse comme une sorte de panacée, la clé magique pour accéder à l’Eldorado. Une façon de nourrir des illusions à partir d’une décision qui reste somme toute aléatoire.
Une construction intellectuelle absurde ; une coupe du monde arrive plutôt dans un pays comme une cerise sur le gâteau souvent au terme d’un processus : à la suite d’un boom économique : Italie, Mexique, Argentine, Corée du sud… ou d’une transition politique réussie : Espagne...et aujourd’hui de l’Afrique du Sud. Ce pays fête cette année les dix ans de la victoire sur l’apartheid ; il a réussi sa transition démocratique sur la base d’une réconciliation nationale construite à partir d’une formule inédite qui a forgé l’admiration du monde. Le hasard veut que le Maroc entame à peine ce processus ; notre pays vientde se doter de sa commission Equité et Réconciliation. Nous sommes loin du sport, mais ce sont les symboles qui forgent l’imaginaire. On peut alors s’interroger : était-il opportun d’entrer en compétition avec l’Afrique du sud ? Je précise bien avec l’Afrique du sud de Mandela ?
Notre élite, notamment celle qui gravite autour des cercles de décision, semble engluée dans une culture consensuelle qui neutralise son flair historique. Or, la gestion d’un dossier comme celui de la candidature à une compétition planétaire doit s’ouvrir sur le culturel et le symbolique au lieu de s’enfermer dans une logique de marketing. On rappelle à ce niveau qu’à la fin des années 90, des manifestations grandioses ont été organisées à l’occasion de l’anniversaire de Mandela. Une importante délégation marocaine avait pris part à ses festivités. Nous étions quelques-uns à penser que le Maroc aurait pu faire un geste en annonçant, comme cadeau d’anniversaire au leader historique de l’Afrique, son désistement au bénéfice de l’Afrique du sud qui aurait du coup pu organiser l’édition 2006 et faire du Maroc le candidat africain suivant le plus plausible. Nous aurions gagné sur plusieurs fronts ; nous aurions pu éviter le ridicule de la quatrième candidature inutile. Chaque candidature correspond à un calcul : quel est le nôtre, en dehors des supputations oiseuses sur le vote de telle ou telle personnalité ?
Aujourd’hui, nul besoin de se lamenter. Il s’agit plus que jamais de se mettre au travail. J’avais l’idée dans le cas d’un vote positif de proposer comme figure métaphorique d’avancer nos montres d’une heure pour arriver à des journées de travail de 25 heures. Pour signifier l’urgence de gagner du temps. Dans ce nouveau cas de figure, il faut avancer nos montres de deux heures. Il y a un vrai retard à rattraper.
Une construction intellectuelle absurde ; une coupe du monde arrive plutôt dans un pays comme une cerise sur le gâteau souvent au terme d’un processus : à la suite d’un boom économique : Italie, Mexique, Argentine, Corée du sud… ou d’une transition politique réussie : Espagne...et aujourd’hui de l’Afrique du Sud. Ce pays fête cette année les dix ans de la victoire sur l’apartheid ; il a réussi sa transition démocratique sur la base d’une réconciliation nationale construite à partir d’une formule inédite qui a forgé l’admiration du monde. Le hasard veut que le Maroc entame à peine ce processus ; notre pays vientde se doter de sa commission Equité et Réconciliation. Nous sommes loin du sport, mais ce sont les symboles qui forgent l’imaginaire.
non, mais serieusement, il y a des personnes sur ce site, qui pensaient qu'on aller organiser la coupe du monde ??
non, non, serieusement pour une fois, y à t il vraiment une personne qui pensait qu'on aller recevoir l'organisation de COUPE DU MONDE ??
ça alors, les bras m'en tombent
peut etre que celui qui croyait vraiment que le maroc allait organiser la coupe du monde, vit dans le fin fond d'un "gbel" ( montagne ) par ce que sinon, je ne vois pas comment il peut penser "serieusement" à ça
En conclusion, je dirai que les marocains n’ont pas échoué dans cette tentative d’organiser un tel événement. Les marocains ne sont pas touchés de loin ou de près par ce 4 eme échec.. Les marocains sont capables d’honorer l’organisation d’un tel événement.
Si échec il y a il doit être ressenti par cette classe qui se lance dans des calculs des équations sans connaître toutes les variables inconnues .
Si l'echec de ceux qui ont calculé la rentabilité et estimé les bénéfices qu'ils peuvent tirer de l'opération
Cette classe qui calcule, planifie et organise des compagnes de marketing démagogique pour un produit qui n’existe pas.
C’est l’échec de ce système qui continue hélas à construire des châteaux de sable faute de construire l’espoir sur des valeurs sûres.
Ce système dualiste qui pratique la fuite en avant face à la fracture sociale,
Ce système qui croit pouvoir faire du nouveau avec du vieux
Ce système qui, pour résoudre ses contradictions internes, ses blocages, son immobilisme mobile, continue à user de l’illusion, des projets grandioses magiques et qui s’évaporent comme la dissipation du brouillard face au soleil.
Les marocains sont fatigués de ces pratiques, ils aspirent à vivre dans la dignité, dans le respect des droits économiques, politiques et sociaux.
Et il ne faut pas blâmer la FIFA, elle n’est pas responsable de la situation économique et social du pays, et elle n’a pas la clef magique pour résoudre nos problèmes…
La solution se trouve au Maroc et viendra des marocains et des marocaines, elle viendra , les vieux généraux ou féodaux ne sont pas éternels.
Alximo, rejoint totalement ce que j'essaie d'expliquer. Notre pays ne pourra décoler que grace aux investissements étrangers est il est normale qu'il prennent leur part du gateau, ceci ne me dérange pas du moment qu'ils améliorent les infrastructures et offrent des emplois.PK ces groupes ne viennent pas en masse au Maroc ?Par manque de confiance avant tout car les chantiers il y en a. Cette organisation aurait permit de donner confiance, pire les grands groupes ce battent lors de tels événements.Et la des appels d'offre je pense sont lancés pour tout grand chantiers. Il est claire que la majorité des sociètés marocaines n'auraient pas eu le niveau. C'est les affaires c'est donnant donnant,personne ne travaille bénévolement. Maintenant cette organisation était UNE chance parmis d'autre elle est passé tournons la page et aidons notre pays à ce construire.Le constat tout le monde la faite le Maroc a beaucoup de retard la faute à celui la, celui ci,OK. Mais il faut pas s'endormir, et critiquer Amicalement
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