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La force du Maroc
a
7 juin 2011 21:35
[www.facebook.com]
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
7 juin 2011 21:54
thumbs upVIVE.LE.MAROC
c
7 juin 2011 22:50
Tanger Med Port Authority contracte un crédit à long terme de 3,45 milliards de dhs

Tanger- Tanger Med Port Authority (TMPA), filiale du groupe TMSA chargé de la gestion et du développement du complexe portuaire Tanger Med, a contracté un crédit à long terme d'un montant de 3,45 milliards de dhs.
Selon un communiqué de TMPA, ce crédit a été contracté auprès d'un groupe de banques marocaines constitué d'Attijariwafa Bank (chef de file), BMCE Bank, BMCI, Banque Centrale Populaire, Société Générale Maroc, Crédit du Maroc et CDG Capital.

Cet emprunt, d'une maturité de 15 ans, est affecté au financement des actifs portuaires en place (le port Tanger Med 1 et le port Tanger Med Passagers) et au financement partiel des apports en fonds propres de Tanger Med 2 S.A, véhicule d'investissement de TMPA dédié au projet Tanger Med 2.

Cette levée de fonds, qui vient remplacer et compléter la part de la dette privée dans le schéma antérieur de financement, s'inscrit dans le prolongement de la filialisation des activités portuaires du groupe TMSA, dont l'un des objectifs est d'optimiser l'endettement du complexe portuaire.

Cette opération financière sera suivie, fin 2011, d'une émission obligataire non garantie par l'Etat d'un montant de 1,5 milliard de dhs et destinée à compléter les apports en fonds propres de Tanger Med 2 S.A, conformément au schéma de financement prévu au titre de l'extension du port Tanger Med, indique le communiqué.

A travers ce financement structuré important, le secteur bancaire marocain confirme sa capacité et sa volonté d'accompagner le développement du complexe portuaire Tanger Med et d'oeuvrer à l'optimisation de son endettement financier, affirme TMPA.

La structure financière de la société TMPA à fin 2011 sera composée de 3,4 milliards de dhs de fonds propres et quasi fonds propres (36 pc) et de 6,1 milliards de dhs d'endettement (64 pc).

Cette structure sert de contrepartie à un investissement cumulé en infrastructures de 9 milliards de dhs, ainsi qu'à 2 milliards d'apports en fonds propres dans la société de projet Tanger Med 2 S.A.

Les dettes non garanties par l'Etat s'élèveront à 5,1 milliards de dhs, soit 83 pc de l'endettement global de la société, ce qui dénote de la confiance des bailleurs de fonds privés dans le potentiel de Tanger Med, souligne le document.

MAP

Maroc
Tanger Automotive City livrée à partir de 2012, pleinement opérationnelle en 2019


260 ha dont 178 réservés à des activités en zone franche. Priorité aux industries métallurgiques, mécaniques, électriques et électroniques, mais presque tous les secteurs pourront s'y installer.

Tanger Automotive City (TAC), zone industrielle en cours d’aménagement dans la région de Tanger-Tétouan, sera totalement livrée en 2019, d’après le calendrier du ministère du commerce et de l’industrie (MICNET) tel que dévoilé et confirmé par le ministre Ahmed Chami lui-même, à l’occasion des Assises de l’industrie le 5 mai à Casablanca. Située à Melloussa, la future TAC sera mitoyenne à la future ville nouvelle de Chrafate, un projet d’Al Omrane de 1 300 ha devant abriter 150 000 habitants. Cette zone fait partie de la grande plateforme industrielle (GPI) de 5 000 ha programmée par TMSA afin de constituer une réserve foncière pour les futurs plans industriels dans la région du nord-ouest marocain. Elle s’étendra sur 260 ha, dont 178 ayant un statut de zone franche et 82 classés zone à statut classique. De cette superficie, il faut déduire environ 40% qui seront occupés par la voirie et les équipements publics. Le coût prévisionnel global d’acquisition du foncier et de l’aménagement est estimé à 800 MDH, d’après les documents officiels que nous avons pu consulter.

Une première tranche de 126 ha, dont 50 aménagés, sera livrée en décembre 2012. La deuxième tranche de 134 ha sera lancée, dès que 70% de la première auront été commercialisés, en 2015, d’après le calendrier établi.

Un emplacement stratégique

La priorité est donnée aux industries métallurgiques, mécaniques, électriques et électroniques. Suivent les industries chimiques et para-chimiques et les activités logistiques. En attendant l’ouverture de l’agropole de Larache prévue en 2014, la nouvelle zone de Melloussa accueillera également les industries agroalimentaires exportatrices qui souhaitent s’implanter à proximité du port de Tanger Med. TAC sera dotée d’un bâtiment administratif intelligent destiné à abriter l’administration des douanes, les pompiers, la protection civile et des services de sécurité et de premiers soins. Un espace de guichet unique et une antenne du Centre régional de l’investissement de Tanger-Tétouan y seront logés, de même qu’une antenne de l’ANAPEC.

Le second institut de formation aux métiers de l’automobile que doit compter la région après l’ouverture, en avril dernier, de celui de Renault y sera construit. Le grand avantage de la nouvelle TAC de Melloussa est d’être située à moins de 25 km du port de Tanger Med au bord de l’autoroute et d’être reliée au réseau ferroviaire. Pour les sous-traitants de Renault, TAC se trouve à moins de 3 km à vol d’oiseau, de l’axe autoroutier qui relie Tanger à Tanger Med.

Située entre le Gharb et le Loukkos et la plateforme exportatrice de Tanger Med, l’emplacement est aussi idéal tant pour l’agroalimentaire que pour le textile, sachant que ce secteur comme celui de la pièce automobile compte parmi ses avantages compétitifs sa capacité à livrer, en moins de 48 heures, un grand nombre de centres urbains européens.


Jamal Amiar. La Vie éco
www.lavieeco.com

Maroc-Corée: Signature à Casablanca d'une convention de partenariat dans le domaine de l'électronique .

Casablanca, 31/05/11- Le ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies et la société coréenne ''Jusung Engineering" ont signé, lundi à Casablanca, un accord de partenariat dans le domaine de l'électronique.

La convention a été signée par le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, Ahmed Réda Chami et le président de la Société coréenne, Hwang Chul-Joo, en présence de l'ambassadeur de la Corée du Sud à Rabat, Choï Jaï-Chul.

Cet accord préalable à la convention d'exécution détaillant les modalités techniques, économiques et financières du projet, porte sur le développement au Maroc d'une activité dans les domaines de l'électronique et des technologies innovantes.

Il ambitionne de faire du Maroc un ''hub régional'' pour les futures activités manufacturières et marketing de cette compagnie coréenne et vise à établir un programme de collaboration entre le ministère de l'Industrie et la compagnie spécialisée dans le domaine de l'OLED (Organic Light Emitting Diode).

L'OLED, dont la taille du marché est estimée à 130 milliards de dollars à court terme, est une technologie propre, innovante considérée comme extrêmement prometteuse puisqu'elle attirera d'autres industries pour développer des produits nouvelles générations destinés à l'éclairage et à l'affichage.

Cette technologie peut également être appliquée dans d'autres domaines à savoir la santé, l'aéronautique, l'automobile, la communication, la construction et l'énergie.

(MAP)


Secteur électronique au Maroc : 800millions d'euros à l'export en 2015

12 entreprises marocaines au CIEN de Paris. L'économie numérique sur l'agenda du G8. Objectif de 550 millions de C.A. et 14 000 supplémentaires en 2020.


Après avoir réalisé un chiffre d’affaires à l’export de 450 millions d’euros en 2010, le secteur de l’électronique marocain vise un objectif de C.A. de 800 millions en 2015, a indiqué le ministre de l’industrie, du commerce et des nouvelles technologies Ahmed Réda Chami lors de son passage au CIEN parisien, le Carrefour de l’industrie électronique et numérique qui se tient jusqu’au 26 mai. 12 entreprises marocaines participent au CIEN sur un espace de 180 m².

L’emploi devrait afficher un chiffre de 9000 postes de travail en 2015 contre 5500 actuellement et un objectif de 14 000 postes en 2020. Le secteur comprend la mécatronique, l’électronique embarquée et la fabrication des cartes à puces. Ce salon se tient au lendemain de l’ouverture du e-G8, le forum des activités Internet des acteurs américains, européens et japonais et alors que le Maroc est l’invité d‘honneur du forum de l’investissement international actuellement en cours dans la capitale française.

Le secteur de l’électronique fait partie des six MMM, les métiers mondiaux du Maroc, choisis par le gouvernement marocain pour attirer les investisseurs étrangers et doper l’activité export et les transferts de technologie. Des six MMM, Ahmed Réda Chami a reconnu à Paris que celui de l’électronique était celui qui avait le moins rempli ses objectifs depuis le lancement du plan Numéric en 2009. Les autres MMM sont l’automobile, l’aéronautique, l’offshoring, le textile-confection et l’agroalimentaire.

Dans le cadre d’une convention de partenariat entre l’Agence marocaine de développement des investissements AMDI et la FIECC française qui regroupe les industries électriques, électroniques et de la communication de l’Hexagone, une structure commerciale sera développée pour encourager les PME françaises à produire et à commander leurs intrants au Maroc. Ahmed Réda Chami a mis en avant les atouts marocains des infrastructures d’accueil dont les P2i et le guichet unique, des ressources humaines et des aides à la formation, ainsi que la croissance du marché marocain et les accords de libre-échange.




Jamal Amiar. La Vie éco

Le pays avance et j'ai encore d'autres article et vidéo!!
7 juin 2011 23:41
Salam

Merci pour le partage

Hamdoullah bladna zina

Vive le Maroc et les marocains.
[center] [color=#000099] [b]...[/b] [/color][/center]
c
7 juin 2011 23:51
Maroc - 10 milliards d'euros pour 4 villes nouvelles (Abdeslam Al Mesbahi)


Le Secrétaire d'Etat chargé du Développement territorial, Abdeslam Al Mesbahi, a annoncé la mobilisation de 10 milliards d’euros pour la réalisation de 4 villes nouvelles au Maroc.

Il s'agit de Tamansourt (région de Marrakech) Tamesna (près de Rabat), Cherafate (Tanger) et Lakhyayta (Casablanca) qui abriteront à terme plus d'un million d'habitants, a précisé le ministre.

Le chantier des villes nouvelles constitue un projet "phare" dans le cadre du programme national visant à résorber le déficit en matière de l'habitat social, qui constitue 60% de la demande effective, a précisé le ministre à l'ouverture de la 3e édition du Salon de "Simmeurope" de l'immobilier marocain en Europe qui se tient à Lyon.

Il a rappelé les mesures incitatives prises par le gouvernement sur les plans législatif, fiscal, financier et foncier pour promouvoir les investissements dans le secteur de l'immobilier, particulièrement dans le logement social.

Pour Abdeslam Al Mesbahi, le "Simmeurope" est une plate-forme de rencontres entre les opérateurs du secteur de l'immobilier et "un rendez-vous important" pour les futurs acquéreurs et investisseurs désirant s'informer de l'offre disponible au Maroc.

Des rencontres entre les représentants du monde économique auront lieu au cours de ce Salon, mais aussi une série de conférences qui portent sur les thèmes de l'investissement dans l'immobilier au Maroc, de la coopération décentralisée entre les villes nouvelles françaises et marocaines.

[www.maghrebemergent.com]

Rocade de Contournement de RABAT :
[www.youtube.com]

SM le Roi s'enquiert de l'état d'avancement de la réalisation de la première tranche de la technopole d'Oujda


Oujda- SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, s'est enquis, mardi à Oujda, de l'état d'avancement de la réalisation de la première tranche de la technopole d'Oujda, dont les travaux d'aménagement "in site" se sont achevés pour un investissement global de 255 millions de DH.



- Commercialisation de la 1ère tranche : 11 projets retenus d'un investissement de 106 millions de DH.



- Le Souverain procède à la pose de la première pierre d'Oujda Shore, d'un coût total de 180 millions de DH.


Cette première tranche, qui porte sur 107 ha, comprend un espace dédié aux équipementiers opérant dans les industries liées aux énergies renouvelables et à l'efficacité énergétique (Clean Tech), aux PME/PMI et au secteur de la logistique, un Retail Park, une zone Offshoring, ainsi que des espaces verts.

Les travaux "hors site", dont le taux de réalisation se situe entre 90 et 100 pc, concernent le drainage des eaux pluviales et le raccordement de la zone à la station d'épuration "STEP" et au réseau d'eau potable "AEP".

Onze projets, d'un investissement total de 106 millions de DH, ont été retenus suite au lancement de la commercialisation de cette première tranche. Ces projets, qui portent notamment sur les secteurs de l'industrie métallique, de l'agroalimentaire et des services, permettront de générer plus de 570 emplois directs.

A cette occasion, des explications ont été fournies au Souverain au sujet de la "Clean Tech", projet devant participer au positionnement de la région de l'Oriental en tant que cluster de compétitivité axé sur le développement durable.

Ce Cluster sera dédié aux filières liées aux énergies renouvelables et à l'efficacité énergétique, notamment l'Eolien, le Solaire, les lampes à basse consommation et les Chauffe-eau solaires.

Bénéficiant du statut de zone franche, les entreprises établies au sein de la Clean Tech seront exonérées de la TVA et des droits de douane, de la patente pendant les 15 premières années, de l'IS sur les cinq premiers exercices (puis taux fixe de 8,75 pc sur 20 ans).

Les projets industriels installés à la Clean Tech pourront également bénéficier de mesures d'appui à l'investissement et du libre rapatriement des bénéfices et des capitaux.

Par la suite, le Souverain a remis des certificats d'attribution aux premiers investisseurs dans la technopole (zone PME/PMI).

SM le Roi, que Dieu L'assiste, a, par la même occasion, procédé à la pose de la première pierre pour la construction d'un Centre d'offshoring "Oujda Shore", d'un coût global de 180 millions de DH.

S'étendant sur une superficie globale de 22.500 m2, ce projet prévoit la construction de plateaux bureaux, d'un Centre d'Affaires, d'un guichet unique, d'un centre de formation professionnelle, d'une aire de restauration d'une capacité de 400 places, d'une crèche, d'un cabinet médical, d'infrastructures sportives, de commerces et d'agences bancaires.

La première tranche de ce projet sera réalisée sur une superficie de 7.500 m2, pour un investissement de 60 MDH, et une durée prévisionnelle d'exécution de 18 mois. A terme, 2.000 emplois directs seront créés sur cette première tranche.

Ce projet, qui sera mis en oeuvre par la société MEDZ, filiale du groupe Caisse de Dépôt et de Gestion, fera entrer la Région de l'Oriental dans l'ère de l'Offshoring en offrant des infrastructures worldclass ainsi que des services de gestion et d'animation.

La Technopole d'Oujda, qui sera érigée sur 500 ha, fait partie, avec le parc industriel de Selouane et l'Agropole de Berkane, du pôle MED-EST, déclinaison régionale de la stratégie Emergence.

Le projet ambitionne de doter la région d'un parc industriel tourné vers les énergies propres en parfaite harmonie avec les Instructions Royales, projet dont la perspective de développement s'en trouve considérablement concrétisée par les stratégies engagées par le Maroc, notamment dans le domaine énergétique et particulièrement dans l'énergie solaire (2.000 mégawatts) et éolienne (2.000 mégawatts).

Situé à proximité de l'aéroport Oujda-Angad, à 12 km de la ville d'Oujda, ce projet structurant qui s'insère dans le cadre de la stratégie régionale pour le développement de l'Oriental, profitera des énormes potentialités dont regorge la région qui s'étend sur 82.820 km, soit 11,6 p du territoire national.

Disposant de 200 km de façade sur la Méditerranée et bénéficiant d'une position stratégique en tant que carrefour entre l'Europe, le Grand Maghreb et le monde méditerranéen, l'Oriental connaît des développements socio-économiques importants à travers le lancement de plusieurs projets structurants notamment la ligne ferroviaire Taourirt-Nador, l'axe autoroutier Fès-Oujda et le port de Nador.

MAP

SM le Roi préside la cérémonie de signature de la convention relative au financement du projet de la voie express Oujda-Nador d'un coût global de 1,25 milliard de DH

Oujda- SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a présidé, mercredi à Oujda, la cérémonie de signature de la convention relative au financement du projet de la voie express Oujda-Nador, d'un coût global de 1,25 milliard de dirhams.

- Le Souverain s'enquiert du projet de dédoublement de la voie de contournement Ouest de la ville d'Oujda pour un montant total de 67 millions de DH.

- Ces projets sont destinés à l'amélioration de la fluidité de la circulation entre les villes et agglomérations de l'Oriental.


Cette convention, signée par MM. Taieb Cherqaoui, ministre de l'Intérieur, Salaheddine Mezouar, ministre de l'Economie et des finances, et Karim Ghellab, ministre de l'Equipement et du transport, porte sur le dédoublement de la route nationale N2 reliant Ahfir et Selouane sur 83 kilomètres, la construction de la voie de contournement de la ville de Berkane sur 14 km et de la quatrième voie d'El Guerbouz sur 4 km, ainsi que la réalisation de six ouvrages d'art sur la RN 2 et de deux ouvrages sur la voie de contournement de Berkane.

Ce projet, dont la réalisation devrait s'étaler sur la période 2012-2015, vise l'accompagnement des grands chantiers structurants de la région (technopole d'Oujda, Agropole de Berkane et parc industriel de Selouane), ainsi que l'amélioration de la fluidité de la circulation entre les villes et agglomérations de l'Oriental.

Il facilitera également l'accès aux aéroports d'Oujda-Angad et de Nador-El Aroui, outre la réduction des frais et du temps de transport des produits agricoles et l'amélioration de l'attractivité économique de la région.

Ce projet à forte valeur économique sera financé à hauteur de 600 millions de DH par le ministère de l'Intérieur, de 350 millions de DH par le Budget général de l'Etat, et de 300 millions de DH par le ministère de l'Equipement et du transport.

Le programme national des voies-express porte sur 1.055 kilomètres de routes d'un montant global de 9,58 milliards de DH, financés par le ministère de l'Equipement et du transport (4,76 milliards de DH) et les partenaires (4,82 milliards de DH).

Sur les 1.055 km de routes prévus par le programme, 650 km ont déjà été réalisés, 46 km sont en cours de réalisation et 359 km sont en phase de programmation.

SM le Roi, que Dieu L'assiste, s'est par la même occasion informé du projet de dédoublement de la voie de contournement Ouest de la ville d'Oujda sur 6,3 kilomètres.

D'un coût global de 67 millions de DH, ce projet devra favoriser le décongestionnement de la circulation à l'intérieur d'Oujda et faciliter l'accès à l'autoroute des usagers en provenance de Saidia, Ahfir et Berkane.

Les travaux, étalés sur la période 2011-2013, porteront sur le renforcement de la voie existante de la rocade, la construction d'une nouvelle voie de 7 mètres de largeur et de deux ouvrages d'art sur oued Isly et sur la voie ferrée, ainsi que l'aménagement de deux carrefours.

Le financement de ce projet sera assuré par le ministère de l'Equipement et du transport (23 millions DH), le ministère de l'Habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement de l'espace (22 millions DH), le ministère de l'Intérieur (17 millions DH) et le conseil municipal (5 millions DH).

La région de l'Oriental dispose d'un important réseau routier qui totalise 4.934 kilomètres, dont 3.735 km revêtus.

Un effort important a été déployé au cours de la période 2005-2010 pour la modernisation et l'amélioration du niveau de service du réseau routier de la région, et ce par un investissement d'environ 3.302 millions de DH consistant en la construction, l'aménagement, la maintenance et l'adaptation de 1.906 km et de 46 ouvrages d'art.

Par ailleurs, des travaux de construction, d'aménagement et de maintenance sont en cours sur 297 km de routes, ainsi que sur 6 ouvrages d'art pour un montant global de 290 millions de DH.

MAP

Casanearshor

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SM le Roi lance à Marrakech quatre projets d'habitat social d'un coût global de plus de 194 MDH.

Marrakech- SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a lancé, samedi au quartier Mhamid à Marrakech, quatre projets d'habitat social (250.000 DH) d'un investissement global de plus de 194 millions de dirhams (MDH), s'inscrivant dans le cadre du programme 2011 du groupe "Al Omrane".
Ces projets portent sur la construction de quatre ensembles immobiliers totalisant 682 appartements.



- Ces projets traduisent la haute sollicitude royale envers les catégories sociales défavorisées pour leur permettre d'accéder à la propriété à des conditions avantageuses.
A cette occasion, des explications ont été fournies au Souverain sur ce programme qui traduit la Haute sollicitude royale à l'égard des catégories sociales défavorisées pour leur permettre d'accéder à la propriété à des conditions avantageuses.

Ce programme, destiné à accélérer la cadence de production de l'habitat social en réponse à la demande locale croissante, prévoit la construction, dans un délai de 30 mois, de quatre ensembles immobiliers (Imam Malek, Imam Chafii, Imam Mouslim et Imam Naouawi) totalisant 682 unités, 109 commerces, 13 conciergeries et quatre bureaux de syndics.

Le projet "Imam Malek" concerne la construction de 146 unités de logement et 33 commerces pour une enveloppe budgétaire de 40 MDH, et celui baptisé "Imam Chafii" (65 MDH) porte sur 216 unités de logement et 34 commerces.

Quant à l'ensemble "Imam Moslim", il abritera à son achèvement 180 logements et 25 locaux de commerce (53 MDH) alors que celui "Imam Naouawi" (36 MDH) accueillera 140 unités d'habitat social et 17 commerces. Parallèlement aux projets d'habitat social mis en oeuvre par le groupe "Al Omrane" au quartier Mhamid, un programme d'aménagement urbain a été mis au point en vue d'accompagner ces projets en matière de circulation (aménagement de la voie de contournement de Marrakech-ouest et de l'avenue de l'aéroport) et de gestion des risques (réalisation d'un canal de protection de la zone contre les inondations).
Ce programme d'accompagnement prévoit aussi des mesures dans les domaines de la planification urbaine (restructuration des douars Haha, Mâasra et Assoltane sur 38 ha, ouverture de nouvelles zones d'urbanisation et mobilisation d'une assiette foncière pour l'habitat social) et du renforcement des services publics à travers la réalisation d'un marché de gros, d'une piscine municipale, d'une salle couverte omnisports, d'un hôpital local et de mosquées.
[www.map.ma]
26/02/2011 20:25

le projet maroc innovation [www.marocinnovation.ma]


Parc dactivités tertiaires dédié aux sociétés spécialisées dans le développement de logiciels, la gestion dinfrastructures, le back office bancaire et de lassurance, la gestion de la relation client

Premier pôle nearshore du Maroc, le plus grand dAfrique du Nord
Plus de 300 000 m² de bureaux et services
Vivier de ressources humaines considérable
Cadre incitatif spécial et coût dopération compétitif
Cadre de travail et qualité de vie exceptionnels

CASANEARSHORE S.A est une filiale de la holding CDG DEVELOPPEMENT du groupe CDG.
La Caisse de Dépôt et de Gestion, institution financière, créée sous forme détablissement public par le Dahir du 10 février 1959 est un grand groupe constitué de nombreuses filiales, dont lactivité sétend à différents secteurs. Il intervient activement dans léconomie Nationale et se positionne comme le principal investisseur institutionnel.

Indicateurs clés de la CDG
Près de 5000 collaborateurs
100 milliards de dirhams d'actifs sous gestion 35 filiales spécialisées
44 participations
4 400 lits dhôtels
45 000 logements construits
Près d'un million de clients servis au quotidien
[www.youtube.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/06/11 23:53 par cheb94.
c
7 juin 2011 23:56
Theolia: parc éolien au Maroc

Theolia a annoncé mercredi avoir signé un protocole d'accord avec l'Office national de l'électricité marocain (ONE) en vue de développer et réaliser ensemble un parc de 300 mégawatts (MW) à Tétouan, près de Tanger.

Le spécialiste français de l'éolien a précisé dans un communiqué qu'il serait l'investisseur majoritaire de la structure détenant le futur parc et que l'ONE en possèderait 20%.

Ce projet représente une capacité brute additionnelle de 250 MW pour Theolia.
Le démarrage de la réalisation de la première phase est prévu pour juin 2012.

[www.lefigaro.fr]

Theolia remonte en Bourse après l'annonce d'un gros projet éolien au Maroc

Theolia a gagné 6% à 1,39 euro mercredi en Bourse de Paris, alors que le groupe a annoncé avoir signé un protocole d'accord avec l'Office National de l'Electricité marocain (ONE) pour le développement et la réalisation en commun d'un parc de 300 MW à Tétouan, près de Tanger.

L'entreprise est déjà présente dans le pays via la Compagnie Eolienne du Détroit, qui exploite le parc de Koudia al Baïda, situé à Tétouan, dans le cadre d'une concession avec l'ONE. Ce parc, d'une capacité actuelle de 50 MW, a été mis en service en 2000.

Sur le nouveau projet, Theolia sera actionnaire majoritaire avec 80% de la structure dédiée, le solde étant aux mains de l'ONE. Il sera développé en deux phases, la première portant sur la réalisation de 100 MW sur le site existant de Koudia al Baïda, dans le cadre d'une opération de remplacement des turbines existantes par des turbines d'une puissance supérieure, et la seconde par la réalisation de 200 MW additionnels sur les sites adjacents à ce parc. Le démarrage de la réalisation de la première phase est prévu pour juin 2012.

Ce projet s'inscrit dans le cadre du Programme intégré de développement de 1.000 MW éolien poursuivi par l'ONE. Pour Theolia, ce projet représente une capacité brute additionnelle de 250 MW.

[www.boursier.com]

Energie solaire : Le 1er projet pilote de Desertec se fera au Maroc

Un 1er projet pilote de Desertec, projet géant de centrales solaires en Afrique et au Moyen-Orient, va démarrer sa production au Maroc en 2015/2016, a annoncé hier la société DII qui chapeaute l'initiative. Ce projet pilote, visant à produire 500 MW d'énergie solaire dont la majeure partie est destinée à être exportée vers l'Europe, recevra un investissement de 2,1 à 2,3 milliards d'euros. Pour rappel, Desertec vise à créer d'ici 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, censées fournir à terme jusqu'à 15% de la consommation d'électricité de l'Europe. L'investissement nécessaire est estimé à quelque 400 milliards d'euros.

FRANCE / MAROC. Selon Eric Besson, le Maroc va exporter de l'électricité solaire en France à partir de l'automne 2011.

Le ministre français de l'Industrie, de l'énergie et de l'économie numérique,a effectué cette annonce à Monaco lors d'une intervention au 2e forum euro-méditerranéen de l’efficacité énergétique mercredi 11 mai 2011.

Il s'agira de la "première expérimentation d'électricité solaire du sud vers le nord de la Méditerranée" selon Eric Besson.

Le ministre français prône la mise en place d'un "pacte énergétique euro-méditerranéen" se basant sur l'estimation d'une hausse de plus de 6% par an d'ici à 2025 de la demande d'électricité au sud et à l'est de la Méditerranée.

Ce pacte énergétique s'inscrirait dans le cadre d'une relance de l'Union pour la Méditerranée (UpM) dont le Plan solaire méditerranéen reste très loin de ses objectifs. C'est d'ailleurs au siège de l'UpM à Barcelone qu'Eric Besson présentera officiellement son projet le 20 mai 2011.

La France envisage également la création en 2011 d'un centre financier international des énergies renouvelables animé par les institutions publiques et les opérateurs privés pour identifier, analyser et proposer aux banques et aux fonds d'investissement les projets dans ce domaine.


Source: [www.econostrum.info]
c
9 juin 2011 14:09
MEDZ lance les phases de présentation et de commercialisation du projet Oued Fès

Fès, 26/05/11- MEDZ, filiale du holding CDG Développement, vient de lancer les phases de présentation et de commercialisation du projet Oued Fès (158 ha) qui s'inscrit dans le cadre du Plan de développement régional touristique (PDRT).



Le site Oued Fès, premier chantier du PDRT à voir le jour, est à même de faire de la région l'une des destinations touristiques de référence en matière de développement durable, a souligné le président du directoire de MEDZ, Abdellatif Hadj Hamou, lors d'un point de presse tenu mercredi à Fès.

D'un coût global d'environ 800 millions de dirhams, le projet devrait drainer un investissement estimé à près de 2,6 milliards de dirhams, a-t-il assuré, mettant l'accent sur les opportunités favorable qui se présenteront aux opérateurs économiques grâce à une panoplie de produits touristiques cohérents.

Le projet Oued Fès est aussi un nouvel espace de développement territorial pour la ville et les investisseurs, a relevé M. Hamou, précisant, dans ce cadre, que le programme comprend un ensemble diversifié de lots aménagés, dont la commercialisation sera lancée dès l'été 2011.

Ces lots offrent une capacité de 1500 lits hôteliers (5 étoiles Luxe, 4 étoiles Business, 3 étoiles Premium, résidences immobilières pour la promotion touristique et villas bandées), en plus de 5.000 lits résidentiels (56 lots de villas en bande, 156 lots de villas jumelées, 40 lots de villas isolées, 43 lots de logement).

L'offre du programme est actuellement renforcée d'un golf de 18 trous, économe en eau, conçu en respect à l'environnement naturel du projet et qui s'étend sur près de 70 hectares, a-t-il poursuivi, précisant que le tourisme reste la vocation première du projet Oued Fès.

MEDZ a été créée en 2002 par le groupe CDG sous le nom de Maroc Hôtels et Villages (MHV) pour accompagner la «Vision 2010» du secteur touristique. La première mission de MedZ consiste alors à concevoir et aménager de nouvelles générations de zones touristiques intégrées.

A la clef des grandes orientations de sa nouvelle stratégie, une ouverture sur les nouveaux métiers du Maroc à fort potentiel. Sa mission est la conception, l'incubation, l'aménagement, le développement et la gestion de zones touristiques, industrielles, technologiques et offshoring.

MAP

Deux fabricants espagnols de composants automobiles comptent s'installer à Tanger

Madrid, 7/06/11- Deux sociétés espagnoles comptent s'installer prochainement dans la zone franche de Tanger à travers la mise en place de deux unités de fabrication de composants automobiles, dans le cadre d'une joint-venture.
L'équipementier "CIE Automovile" et du groupe "Hispamoldes", spécialisé dans l'injection plastique, viennent de signer un accord pour la création d'une entreprise commune dans le domaine de la fabrication de composants automobiles, dont deux à Tanger.

Selon un communiqué de "CIE Automovile", la première unité, dont l'ouverture est prévue lors de l'année en cours, sera spécialisée dans la réalisation de pièces plastiques par procédé d'injection, ajoute la même source, précisant que ce projet, dont le montant d'investissement s'élève à 1,1 millions d'euros, est conçu pour être respectueux de l'environnement et participer au développement durable.

La deuxième unité, qui sera dédiée à la fabrication et à l'entretien de moules d'injection, sera mise en place avant la fin de l'année en cours dans la zone franche de Tanger qui constitue un "pole industriel reconnu" au plan international, souligne la société espagnole.

Créée en 2002, "CIE Automovile" est une société spécialisée dans le développement, la fabrication et la vente de composants automobiles et la fabrication de biocombustibles.

De son côté, "Hispamoldes", créée en 1984, est une référence internationale dans la conception, le développement, l'innovation et la fabrication de moules d'injections et de pièces plastiques, principalement, pour le secteur de l'automobile.

MAP

INDUSTRIE AUTOMOBILE
LES ÉQUIPEMENTIERS DANS LES STARTING-BLOCKS
PLUS DE 200 ENTREPRISES ATTENDUES
ELLES FOURNIRONT 28 SITES D’ASSEMBLAGE DE L’EUROPE DU SUD
TANGER ET ATLANTIC FREE ZONE, TAC, USINE RENAULT-NISSAN… LES SITES DE PRODUCTION



L’Etat a mis en place des plateformes intégrées (P2I), dédiées à l’automobile, dans les principales régions du pays. Il s’agit de l’extension de la zone franche de Tanger sur 100 hectares, la réalisation d’Atlantic free zone à Kénitra (345 ha) et Tanger automotive city (TAC) sur 260 ha (Ph. Archives)


Câblage, emboutissage, châssis… l’offre et la cartographie industrielle Maroc se développe par la consolidation et la densification des équipementiers. «Nous avons suivi une analyse basée sur 4 groupes fonctionnels: châssis, moteur, intérieur et extérieur du véhicule, comportant 22 modules. A terme, nous comptons disposer d’une carte industrielle automobile avec plus d’une dizaine de modules et une quinzaine de spécialités», annonce Ahmed Réda Chami, ministre du Commerce, de l’industrie et des nouvelles technologies.

L’enjeu est de taille! Des opérateurs majeurs de l’industrie automobile se disputent la destination Maroc pour initier de nouveaux flux d’affaires. Lear, Sumitomo, Denso, Faurecia.

. Plus de 200 entreprises comptent délocaliser leur savoir-faire et transférer leur technologie au Maroc. Dans ce contexte, l’Etat devrait, non seulement, attirer de nouveaux investisseurs mais également les retenir et les fidéliser. D’où la mise en place de plateformes intégrées (P2I), dédiées à l’automobile, dans les principales régions du pays. Aujourd’hui, elles sont au nombre de trois. Il s’agit de l’extension de la zone franche de Tanger sur 100 hectares, la réalisation d’Atlantic free zone à Kénitra (345 ha) et Tanger automotive city (TAC) sur 260 ha.

La zone franche de Tanger abrite déjà plus de 500 entreprises de différents secteurs, notamment celles spécialisées dans l’automobile. Une partie de cette zone (60 ha) est réservée aux équipementiers et à Renault-Nissan en particulier. Quant à Atlantic free zone (AFZ) et Tanger automotive city (TAC), leurs livraisons sont prévues en 2015 et 2019.

Au lendemain des 2e Assises de l’industrie (5 mai 2011), le département de l’Industrie a procédé au lancement de la première tranche (47 ha) de la plateforme intégrée TAC. A terme, le projet verra la création de 15.000 emplois et plus de 8 milliards de DH d’investissements. Le chiffre d’affaires prévisionnel annuel est de 15 milliards de DH.

Dans sa globalité, le projet s’étale sur une superficie de 260 ha. Il sera aménagé en deux phases. La première porte sur une superficie brute totale d’environ 130 ha, pour 2014, dont la première tranche de 47 ha déjà lancée. Cette dernière sera achevée vers fin 2012. La deuxième phase, d’une superficie brute de 130 ha, sera lancée courant 2015. Une superficie de 178 ha en zone franche est dédiée à l’automobile et une partie en zone libre. Elle sera dédiée aux activités industrielles, logistiques et de services liés à l’industrie (10 ha). Cette plateforme a une capacité d’accueil de 200 équipementiers et 100 entreprises spécialisées dans l’industrie automobile.

Le lancement de Tanger automotive city vient à point nommé. La plateforme accompagnera le développement du projet Renault à Tanger. Elle favorisera le regroupement d’équipementiers de rangs 1, 2 et 3, sous-traitants et services. L’idée est donc de s’appuyer sur les synergies et complémentarités avec les autres filiales de TMSA. Autre enjeu majeur: attirer des équipementiers fournisseurs des 28 sites d’assemblage de l’Europe du Sud.
Pour sa part, la zone franche de Kénitra a été lancée en avril 2010. La première tranche de 192 ha sera achevée vers fin 2011. Une 2e phase de 152 ha bruts sera livrée au cours du 1er trimestre 2015. A peine lancée, la partie zone franche de la plateforme industrielle intégrée de Kénitra attire déjà des investisseurs.

Deux équipementiers ont récemment annoncé leur implantation. Il s’agit du japonais Fujikura (câblage électrique) et du français Saint-Gobain (spécialiste de pare-brise).

Par ailleurs, la finalisation de l’usine Renault à Tanger-Melloussa constitue un tournant dans l’industrie automobile nationale, en érigeant le Maroc en tant que pays constructeur et hub régional. En tout cas, les équipementiers sont dans les starting-blocks. A ce jour, 18 équipementiers de rang 1 et une trentaine de rang 2 sont déjà installés au Maroc. D’autres viendront renforcer le tissu industriel et permettront d’accroître l’intégration locale. «Le nombre dépendra de la compétitivité technico-économique des nouveaux fournisseurs», précise Michel Faivre-Duboz, DG du groupe Renault Maroc. Quant au rythme de production de la plateforme, il se veut progressif. A terme, l’unité de Tanger-Melloussa produira 340.000 unités. Les produits qui sortiront de l’usine seront de la gamme entry badgés sous les marques Dacia ou Renault, selon les marchés où ils seront exportés.

Formation

Outre le renforcement des structures et plateformes, le volet formation et qualification des ressources humaines fait également partie des priorités du ministère du Commerce et de l’Industrie. La stratégie mise en place par la tutelle prévoit la construction de 4 instituts de formation aux métiers de l’automobile, soit 2 à Tanger, 1 à Casablanca et 1 à Kénitra. Cette initiative est accompagnée par des partenaires internationaux de formation. Les entreprises bénéficieront d’avantages fiscaux et aides financières directes durant les 3 premières années. C’est dans cette optique que Renault a inauguré en avril dernier son institut de formation, issu d’un partenariat public-privé. L’institut devrait assurer la formation des opérateurs, techniciens et cadres de l’usine de Renault à Melloussa ainsi que ceux des fournisseurs du constructeur. Il devrait accueillir 250 stagiaires.

RENAULT: DES SYNERGIES DÉPLOYÉES ENTRE TANGER ET SOMACA
ENTRETIEN AVEC MICHEL FAIVRE-DUBOZ, DG DE RENAULT MAROC
170.000 UNITÉS À PRODUIRE EN 2013
LE CHOIX DES FOURNISSEURS REPOSE SUR DES STANDARDS DE RENAULT-NISSAN PURCHASING ORGANIZATION


«Des opportunités de synergie s’offrent à Renault et Somaca pour travailler ensemble, il faut les saisir!», insiste Michel Faivre-Duboz, DG du groupe Renault Maroc
(Ph. Renault Maroc)

- L'Economiste: Quel sera le volume à l'export durant la 1re année pleine de Renault Tanger?
- Michel Faivre-Duboz: Pour la première année pleine (2013), nous aurons la capacité de produire jusqu’à 170.000 véhicules dont près de 90% seront exportés. A terme, nous produirons jusqu’à 340.000 véhicules par an selon la demande commerciale. Le taux d'exportation dépendra de l'attractivité des produits fabriqués sur le marché marocain sans toutefois être inférieur à 85%. Nous comptons commercialiser une partie de la production de l’usine de Tanger sur le marché marocain. Il y aura, de façon logique, toujours un flux de commercialisation vers le Maroc.

- Une production de Nissan est-elle envisagée à terme?
- L’usine de Tanger est un investissement de l’alliance Renault-Nissan. La crise a éloigné temporairement Nissan, qui s’est concentrée sur l’usine de Chennai en Inde, ainsi que sur d’autres projets en Chine. A terme, comme l’a confirmé Nissan, elle reviendra sur Tanger, en fonction des conditions économiques.

- Comment se fait la sélection de vos fournisseurs?
- Le choix des équipementiers fournisseurs ne se fait pas à l'aveuglette. Ils sont sélectionnés suivant des règles et standards établis par Renault-Nissan Purchasing Organization (RNPO), en fonction de critères précis dits QCD (Qualité, Coût, Délai). La sélection recouvre l’examen des compétences techniques, de conception, de fabrication et de logistique. D’autres critères comme la solidité financière, la capacité d’investissement et le potentiel d’innovation sont également pris en compte. Ces standards sont exigés au Maroc comme partout ailleurs où les usines Renault-Nissan sont présentes.

- Quelles sont les synergies qui vont être développées entre Somaca et l'usine de Tanger?
- Le projet de Tanger a été mis en place pour avoir un site «pieds dans l’eau», obtenu grâce à la réalisation du port de TangerMed et à son implantation sur une zone franche. Le site de Casablanca répond aux besoins du marché local et étranger. Somaca continuera son activité après le démarrage du projet de Tanger. Il est d'ailleurs inscrit, depuis plus de 2 années, dans un projet d’excellence Qualité qui connaît une évolution positive. Les deux sites travaillent déjà ensemble sur plusieurs projets. A titre d’exemple, plusieurs nouvelles recrues de Tanger passent leurs stages d’immersion à Somaca. Des collaborateurs expérimentés dans différents métiers de la fabrication à Somaca se déplacent régulièrement à Tanger pour apporter leur savoir-faire aux équipes. Dans les deux cas, les sites de Tanger et Somaca reçoivent des renforts de la part des directions centrales de Renault afin de converger vers les meilleurs standards communs en performance QCD. Des opportunités de synergie s’offrent aux deux sites pour travailler ensemble, il faut donc les saisir!
Propos recueillis par
Mohamed AZMANI

[www.leconomiste.com]
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c
9 juin 2011 14:11
Signature d'un accord de prêt de 100 millions d'euros pour le développement du secteur des déplacements urbains

Rabat - Le Maroc et la Banque Mondiale (BM) ont signé, mercredi à Rabat, un accord relatif au premier prêt de politique de développement pour le secteur des déplacements urbains, d'un montant de 100 millions d'euros (environ 1,12 milliard de dirhams).
Signé par le ministre de l'Economie et des finances, M. Salaheddine Mezouar et le Directeur du département Maghreb au bureau régional Moyen-Orient et Afrique du Nord de la BM, M. Simon Gray, ce prêt, approuvé le 15 mars dernier par cette institution financière internationale, a pour objectif d'appuyer la mise à niveau du transport urbain dans les grandes agglomérations du Royaume.

Le Programme de réforme pour le développement du secteur des déplacements urbains comporte des actions concrètes à court et moyen termes visant à renforcer les capacités en matière des transports urbains des municipalités et à fournir un cadre réglementaire, ainsi que les outils adéquats pour réussir la décentralisation.

Ce programme s'articule autour de trois grands principes à savoir: l'amélioration de la gouvernance du secteur des déplacements urbains, de l'efficacité des services des transports urbains et des infrastructures ainsi que de la viabilité socio-environnementale du secteur des déplacements urbains.

Sur le plan de la gouvernance, les réformes soutenues par ce programme incluent la mise à niveau des institutions urbaines de transport central et local et la création d'une Commission Nationale du Transport Urbain (CNTU) en vue d'assurer la coordination et l'harmonisation des politiques et stratégies du transport public.

En ce qui concerne les services et l'infrastructure, le programme prévoit la restructuration des services de transport par bus de Rabat-Salé-Témara et de Casablanca, et l'application de nouvelles réglementations en matière d'attribution de contrats de transport public.

La dimension durabilité a également été prise en compte, en développant l'accessibilité au transport urbain et en améliorant l'environnement, à travers la réduction substantielle des émissions des gaz à effet de serre et la mise à niveau des centres d'inspection technique des véhicules.

S'exprimant lors de cette cérémonie, M. Mezouar a souligné que la BM a toujours accompagné le Maroc dans les réformes structurelles, mettant l'accent sur l'importance que revêt la coopération avec cette institution financière internationale notamment dans une logique de "partenariat privilégié".

Il a également relevé que le Royaume a démontré sa capacité à mener des réformes structurelles, ce qui lui a permis de jouir du soutien de la BM.

Pour sa part, M. Gray s'est félicité de la "relation mature" et de "la fructueuse coopération" existant entre le Maroc et la BM, soulignant que la signature de cet accord illustre la volonté de cette institution de continuer à soutenir les projets de développement au Maroc.

Il a par ailleurs indiqué que la politique de développement pour le secteur des déplacements urbains s'inscrit dans une approche multisectorielle puisque elle porte sur la gouvernance, ainsi que sur l'amélioration de la qualité des services et de l'air.

De son côté, le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, M. Mohamed Saad Hassar a indiqué que l'octroi de ce prêt s'inscrit dans le cadre des réformes structurelles initiées depuis plusieurs années au Maroc, citant à cet égard les réformes et l'adoption de lois relatives à la gestion des collectivités locales, ainsi que l'entrée dans une nouvelle phase de décentralisation.

M. Hassar s'est également félicité de la coopération étroite entre le Maroc et la BM, relevant que les deux parties travaillent sur des axes touchant directement les citoyens.

MAP
c
9 juin 2011 14:13
Signature à Rabat d'un protocole d'accord entre Alstom et Nexans pour la création d'une société commune au Maroc

Rabat, 08/06/11- Un protocole d'accord a été signé, mercredi à Rabat, entre les sociétés Alstom et Nexans portant création d'une société commune ayant pour objet de produire au Maroc, des faisceaux de câbles ferroviaires et des armoires électriques basse tension.


Cet accord, qui permettra également l'équipement du tramway de Casablanca et du futur TGV, a été signé par le Senior Vice Président Sourcing & Components d'Alstom Transport, Jean-Michel Geffriaud et le président-directeur général du Groupe Nexans, Frédéric Vincent, en présence de MM. Ahmed Reda Chami, ministre de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies et Karim Ghellab, ministre de l'équipement et des transports.

La future coentreprise sera détenue à parts égales par Alstom (50 pc) qui apportera la charge de travail initiale et assurera la conception des sous-ensembles, et par Nexans (50 pc) qui pilotera leur industrialisation et leur production.

Cette nouvelle société développera, dans un premier temps, des faisceaux de câbles et des armoires électriques (sous-ensembles intégrés dans le système nerveux des trains) qui équiperont certains des matériels roulants Alstom destinés aux marchés marocain (futurs tramways et Duplex ONCF) et mondiaux.

Elle diversifiera, dans un second temps, ses activités pour satisfaire d'autres clients ferroviaires et des clients d'autres secteurs.

En termes de cet accord, la société sera créée d'ici septembre 2011. L'objectif est de démarrer son activité fin 2011 en vue d'effectuer les premières livraisons début 2012.

Le chiffre d'affaires de la société commune devrait atteindre 314,5 millions de Dirhams en 2015 et 685 millions de Dirhams vers 2018. Son effectif, qui sera recruté et formé au Maroc, devrait évoluer de 400 personnes en 2015 à 650 en 2018. La société concentrera ses fonctions (industrialisation, production, essais, logistique, financeŒ) sur un site marocain actuellement à l'étude.

Cet investissement, humain et financier, s'inscrit dans le cadre de la convention de partenariat industriel stratégique signée par Alstom, le ministère de l'industrie et le ministère des transports en janvier 2011.

Ce projet d'investissement illustre également la participation directe d'Alstom et de Nexans, qui emploient respectivement 130 et 850 personnes au Maroc.

Intervenant à cette occasion, M. Chami a souligné que le Maroc aura non seulement un TGV mais aussi "une belle filière industrielle ferroviaire". Une collaboration similaire permettra de faire émerger une industrie des énergies renouvelables solaire et éolienne. "L'idée est bien sûr de rendre cette démarche de contreparties industrielles systématique pour tous les grands investissements publics", a-t-il dit.

Cet investissement est le premier objectif défini dans la convention de partenariat industriel stratégique entre Alstom et le Maroc, signé en janvier 2011 devant SM le Roi Mohammed VI à Agadir et qui prévoit l'engagement actif d'Alstom au côté du Maroc pour développer la filière ferroviaire du Royaume.

Pour sa part, M. Ghellab a souligné que l'esprit du partenariat entre Alstom et le Maroc est "beaucoup plus important que les chiffres qu'ils génèrent", ajoutant que le projet de TGV, constitue "une rupture positive du système de transport répondant ainsi à un besoin réel de déplacement".
t
9 juin 2011 16:38
nini ya moumou,nini ya moumou...
c
9 juin 2011 17:08
ONHYM: plus de 81 MDH d'investissements dans le domaine pétrolier en 2010


Rabat, 09/03/11- Les investissements de l'Office nationale des hydrocarbures et des mines (ONHYM) en matière d'exploration pétrolière au cours de l'année 2010 ont atteint 81,5 millions de dirhams (MDH), alors que ceux de ses partenaires ont dépassé 745 MDH, a indiqué mercredi un communiqué de l'Office.




Ces données ont été annoncées au cours de la septième session du Conseil d'administration de l'ONHYM tenue, mercredi à Rabat, sous la présidence du ministre de l'économie et des finances, M. Salaheddine Mezouar.
Lors de cette réunion, Mme Amina Benkhadra, Directrice générale de l'ONHYM, a présenté aux membres du Conseil un exposé sur les faits saillants ayant marqué l'activité de l'Office au cours de l'année 2010, précise le communiqué.
L'activité de l'ONHYM, en matière d'exploration pétrolière en Onshore, a porté notamment sur l'acquisition et le traitement de 300 km de sismiques 2D dans le bassin de Boujdour et l'interprétation de 185 km2 de sismiques 3D sur Meskala afin d'évaluer les objectifs paléozoïques et augmenter les réserves en gaz de ce gisement.
Concernant l'exploration en offshore, l'activité de l'ONHYM a porté sur le retraitement de 1000 km de sismiques 2D sur le tronçon de Dakhla et l'interprétation, sur les segments Rabat-Boujdour, de plus de 6000 km2 de sismique 3D et près de 57000 km de sismique 2D, ajoute la même source.
Ces travaux ont pour but la définition de nouveaux objectifs prometteurs dans le Mézo-Cénozoïque et la promotion des zones libres et des rendus auprès de l'industrie pétrolière internationale.
Quant aux activités des partenaires de l'ONHYM, elles ont concerné la réalisation de 6 nouveaux puits d'exploration (3 dans le Prérif et 3 dans le Gharb), auxquels il faut ajouter l'achèvement du puits HKE-1 et la réentrée du puits FES-1 dans le Prérif, l'acquisition de 1336,38 km2 de sismique 3D et 568 km de levés électromagnétiques sur les permis Tanger-Larache Offshore, 495 km de sismique 2D sur la zone de reconnaissance Gharb Offshore, 18 572 km de gradiométrie aéroportée avec respectivement 14 266 km sur le permis Fès et 4306 sur la zone de reconnaissance Taounate en plus de 1003 stations de gravimétrie terrestre sur les permis Fès.
Les travaux de forages des partenaires de l'ONHYM ont permis la réalisation de trois découvertes modestes de gaz dans le bassin du Gharb ainsi qu'une découverte d'accumulation de pétrole dans les rides prérifaines, dont les tests d'évaluation sont en cours.
Concernant l'exploration minière, trois mémorandums d'entente, un protocole d'accord, une convention d'amodiation et quatre avenants ont été conclus au cours de cette année, poursuit le communiqué.
Les laboratoires mines ont réussi avec succès la transition selon les exigences de la nouvelle norme ISO 9001 et sont certifiés conformément aux dispositions du nouveau référentiel ISO 9001 version 2008.
Quant aux livraisons d'hydrocarbures, le communiqué indique qu'elles ont connu une augmentation de plus de 14 pc par rapport à 2009 pour le gaz naturel et plus de 28 pc pour le condensat, des augmentations dues principalement à l'amélioration du soutirage de l'Office Chérifien des phosphate (OCP).
La vente des hydrocarbures a, selon le communiqué, réalisé un chiffre d'affaires de plus de 100 MDH contre 73,28 MDH en 2009, soit une hausse de 37 pc.
L'activité de forages pétroliers, quant à elle, a été caractérisée par la réalisation de 3 forages d'exploration pour le compte de CIRCLE OIL, et ce dans le cadre du contrat de 2 ans liant l'ONHYM à cette société.
Concernant les schistes bitumineux, le communiqué indique que 2010 a été marquée par l'élaboration d'un projet de cadre réglementaire pour l'extraction d'hydrocarbures à partir des roches bitumineuses, la signature d'un mémorandum d'entente avec la société ENEFIT sur les zones de Tanger, Ouarzazate, Errachidia, Agadir et Aghbala, ainsi que la préparation d'un projet de MOU avec l'Office national d'électricité (ONE) sur Tarfaya pour la construction d'une centrale électrique.


MAP
12 juin 2011 21:12
Salam,

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