Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
FINIE LA COMEDIE : 3. L'Algérie trop faible pour refuser Israël
k
21 juin 2008 09:25
Où finit la démagogie et où commence la vérité ? L'Algérie réclame à l'OTAN de résoudre le conflit israélo-arabe, au même moment où il lui est demandé de signer un échange de lettres pour participer concrètement à l'opération Active Endeavor de lutte contre le terrorisme en mer, dans laquelle Israël est partie prenante.

Abdelkrim Harchaoui, député RND, a abordé hier au Conseil de la Nation, le rôle des institutions parlementaires dans le renforcement du Dialogue méditerranéen (DM). Si du côté de l'Occident, les priorités sont clairement fixées, n'est-il pas primordial pour l'Algérie de fixer les siennes avant de signer un programme individuel de coopération ou un échange de lettres pour l'opération Active Endeavor où Israël est présent ? lui avons-nous demandé. « La réflexion sur un programme individuel de coopération est en cours, Israël n'a rien à voir là-dedans, c'est un programme propre à l'Algérie (...) ». L'orateur fera ainsi l'impasse sur l'échange de lettres. Fuite en avant ? Langue de bois ? Manque d'inattention ? Il est évident que ce n'est pas Harchaoui du RND d'Ouyahia qui sera cette exception qui confirmerait la règle de clarifier les choses - dans le discours politique ambiant. La précision à propos de la question viendra du sénateur Antonio Cabras, vice-président du groupe spécialisé de la Méditerranée (GSM). « Nous ne devons pas faire des disparités un point fort pour nous empêcher d'avoir des points d'intérêts communs, sinon la discussion n'aurait aucun sens », a-t-il dit. Et comme il reconnaît que « les intérêts communs qui nous unissent sont plus forts que les disparités », il demande « comment atteindre la création de deux Etats, israélien et palestinien, libres et indépendants, d'une manière pacifique ? ». Pour lui, « la discussion doit bien partir de quelque part pour aboutir ». Il inclut alors « la contribution de chacun des pays dans la lutte antiterroriste ». Contribution qui devra, selon lui, atténuer les écarts et les disparités existants. Pour lui, « la lutte antiterroriste doit se faire sur la base de ces problèmes sans donner de prédominance à l'un ou à l'autre ».

Le Matin.DZ
I
IKE
21 juin 2008 09:46
Salut ;

Quoiqu'on puisse dire sur le régime qui dirige l'Algérie , il a au moins conditionné sa participation à la cause palestinienne . J'aime son intransigeance quand il s'agit de la palestine .
s
21 juin 2008 14:08
les colons ont créés cette expression: "les béni oui oui"
c
21 juin 2008 20:01
Citation
a écrit:
IKE
Salut ;

Quoiqu'on puisse dire sur le régime qui dirige l'Algérie , il a au moins conditionné sa participation à la cause palestinienne . J'aime son intransigeance quand il s'agit de la palestine .

La condition posée est purement démagogique et tactique et vu ta réaction ça a l'air de marcher. La question palestinienne est le cadet des soucis des dirigeants algériens, c'est une excuse pour bloquer un processus dans lequel ils n'ont pas le rôle de leader du Maghreb qu'il caresse depuis un moment et le flux grandissant des pétro-euros ne risque pas de diminuer leur ambition hégémonique.
C'est dommage que des Marocains tombent dans un panneau aussi évident.
m
22 juin 2008 03:25
Bonjour Chelhman,

Tu as tout dit! mmmmmeeeeerrrrrcccccciiiiii!

La condition posée est purement démagogique et tactique et vu ta réaction ça a l'air de marcher. La question palestinienne est le cadet des soucis des dirigeants algériens, c'est une excuse pour bloquer un processus dans lequel ils n'ont pas le rôle de leader du Maghreb qu'il caresse depuis un moment et le flux grandissant des pétro-euros ne risque pas de diminuer leur ambition hégémonique.
C'est dommage que des Marocains tombent dans un panneau aussi évident.


mag3
 
Facebook