Malheureusement, au lieu de faire de cet atout, à savoir la demande mondiale croissante d'huile d'argan, un levier pour la sauvegarde de l'arganeraie et la reconstitution des forêts dégradées, il n'en est rien. Nous continuons à assister, impuissants, à la régression des aires de l'arganier. A quand une action significative pour protéger ce patrimoine unique ? Et il en est de même pour le cèdre de l'Atlas, entre autres essences !