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le feuilleton de la grippe H1N1
a
15 août 2009 22:05
salam alaykoum:
Les fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 viennent d’obtenir l’immunité juridique
par F. William Engdahl

La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire. De plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de pandémie ?

Tout d’abord, ni l’OMS ni le CDC ni aucune instance scientifique n’a produit de preuve quant à l’existence de ce nouveau virus H1N1, virus qui devrait être isolé, caractérisé et photographié par un microscope électronique en vertu des procédures scientifiques habituelles lorsqu’il existe un danger de pandémie.

L’actuelle panique provoquée par campagne officielle sur les dangers supposés de la grippe porcine prend des allures de roman de science-fiction Orwellien. Le décret signé par Sebelius accorde l’immunité à ceux qui fabriquent le vaccin contre la grippe porcine conformément aux dispositions de la loi 2006 sur les urgences de santé publique.

Un SAGE peu sage
Sur recommandation du « Comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale » à l’Organisation Mondiale de la Santé ( OMS ) à Genève, l’OMS a déclaré que le H1N1 était en phase 6 , stade de la pandémie, activant ainsi un programme d’urgence qui pourrait être mis en place même dans des pays comme l’Allemagne où les cas « supposés » de contamination au H1N1 se comptent sur les doigts d’une seule main.

Depuis 2005, le directeur (1) du SAGE ( Comité consultatif mondial sur la sécurité vaccinale à l’OMS ) est le Docteur David Salisbury, responsable du groupe de vaccination et des maladies infectieuses au Ministère de la santé du gouvernement britannique. Dans les années 80, le Dr Salisbury a été sévèrement critiqué pour avoir mené une campagne massive de vaccination des enfants avec le vaccin ROR ( rougeole-oréillon-rubéole ) fabriqué par le prédécesseur de GlaxoSmithKline. Ce vaccin fut retiré du marché japonais après que des effets secondaires aient été constatés chez de nombreux enfants vaccinés. Le gouvernement japonais a été obligé de payer d’importantes indemnités aux victimes. En Suède, le vaccin ROR de GlaxoSmithKline fut retiré de la circulation après que des scientifiques aient établi le liens entre le vaccin et la maladie de Crohn. Apparemment ces éléments n’ont guère perturbé le directeur du groupe SAGE de l’OMS, le Dr Salisbury

Selon un chercheur britannique indépendant, Alan Golding qui a obtenu les documents sur ce cas, en 1986, Trivirix, un vaccin combiné ROR contenant une souche vaccinale d’oreillons Urabe AM-9 fut introduit au Canada en remplacement du MMR I. Les inquiétudes concernant l’introduction de ce vaccin en Grande-Bretagne ont été consignées le 26 juin, dans le compte rendu du Groupe de liaison pour le « Groupe de travail de l’Association des pédiatres britanniques » et le « Comité sur la vaccination et l’immunisation ». Inquiétudes fondées car les rapports ont mis en évidence une augmentation de méningites aseptique chez les individus vaccinés. Tous les vaccins ROR contenant la souche Urabe ont été retiré du marché canadien en 1988, c’est à dire bien avant que les vaccins contenant cette souche soient homologués par le Ministère de la santé britannique et utilisé au Royaume-Uni.

Les rapports ajoutent que Smith-Kline & French, devenue Smith-Kline-Beecham et qui à l’époque étaient impliqués dans la production anglaise, étaient préoccupés par les questions de sécurité et hésitaient à demander une licence britannique pour leur vaccins contenant la souche Urabe. Leurs préoccupations concernant les possibles préjudices d’un de leurs produits sur les enfants, les conduisit à demander au gouvernement britannique de les garantir contre toute action en justice résultant d’un dommage lié au vaccin. Sur les conseils du Dr Salisbury et des représentants du ministère de la santé, le gouvernement britannique, enthousiaste à l’idée d’obtenir des vaccins bon marché, donna son accord.

Aujourd’hui, le même Dr Salisbury promeut l’usage du vaccin, non testé, H1N1 également produit par la même entreprise qui s’appelle maintenant, GlaxoSmithKline.

La dernière intox sur la grippe porcine:
C’est en 1976, que le gouvernement des USA fut confronté pour la dernière fois à un nouveau virus de grippe porcine. Il y eut une campagne nationale de vaccination à la suite de laquelle des milliers de personnes ont demandé des dommages et intérêts alléguant qu’elles avaient subi des effets secondaire dus à la vaccination.

à suivre
a
15 août 2009 22:07
Cette fois-ci le gouvernement a pris des mesures pour empêcher tout procès intenté par les milliers de citoyens américains qui souffriront des sévères complications dues aux vaccins non testés.

L’histoire s’assombrit maintenant que l’Administration Obama a signé le document conférant l’immunité en cas de poursuites judiciaires. La FDA ( Food and Drug Administration ) américaine et les autorités sanitaires au Royaume-Uni ont décidé de laisser l’industrie pharmaceutique introduire sur le marché les vaccins sans que leurs possibles effets secondaires ne soient évalués. Les premières doses de vaccins seront délivrées au public avant que leur innocuité et leur efficacité ne soit avérées. Les vaccins non testé sont délivrés en deux doses. Une des marques de vaccin contiendrait un additif chimique - adjuvant - afin de renforcer l’effet, augmentant dramatiquement le potentiel d’effets secondaires.

Les enfants seront en première ligne et pourraient être vaccinés un mois avant que les résultats des essais ne soient connus. En Grande-Bretagne, les services de santé du gouvernement se sont préparés pour un scénario qui prévoit, durant l’hivers, 65 000 décès dont plusieurs milliers d’enfants. Le gouvernement britannique a commandé 132 millions de doses de vaccins aux fabricants Baxter et GlaxoSmithKline qui ,dans la perspective d’une pandémie, ont obtenu par avance une licence pour trois « bases » de vaccins, alors même que l’OMS et les épidémiologistes nous disent que nous ne pouvons pas nous préparer à l’avance du fait d’une possible et inquiétante mutation de l’actuel et si peu dangereux H1N1.

Curieusement, un an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, la plus grande firme pharmaceutique Baxter, a déposé un brevet pour un vaccin contre le H1N1 : Brevet US 2009/0060950 A1 qui stipule « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ... comme la grippe A et B en particulier prélevé sur un ou plus des types humains de H1N1, H2N2, H3N2, H5N1, H7N7, H1N2, H9N2, H7N2, H7N3, H10N7, de grippe porcine H1N1, H1N2, H3N1 and H3N2 sous-type, de la grippe du chien ou du cheval H7N7, H3N8 sous-type ou de la grippe aviaire H5N1, H7N2, H1N7, H7N3, H13N6, H5N9, H11N6, H3N8, H9N2, H5N2, H4N8, H10N7, H2N2, H8N4, H14N5, H6N5, H12N5 sous-type."

La demande de brevet précise : « des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile. Bien sûr la sélection de l’adjuvant dépend de l’utilisation. Par exemple la toxicité dépend de l’organisme auquel le produit est destiné et peut varier d’une toxicité nulle à une toxicité élevée. »

En l’absence de toute responsabilité juridique se pourrait-il que Baxter se prépare à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium ? Il serait peut-être temps de demander à tous les responsables de l’OMS, du SAGE, du CDC et des membres de l’Administration Obama, d’être les premiers à se faire inoculer la dose entière de vaccin H1N1 qui sera distribuée au public. Nous devrions ajouter à la liste des premiers vaccinés, tous les membres du Congrès qui ont voté l’allocation d’urgence de 7 milliards de dollars et qui ont entériné l’immunité accordée aux firmes pharmaceutiques dans l’éventualités de procès. La population n’a pas à servir de cobaye pour les essais d’un nouveau vaccin. Nous pourrons observer les résultats. Le même principe doit s’appliquer à tous les gouvernements et organismes de santé qui demandent à leurs citoyens d’expérimenter les vaccins H1N1 de GlaxoSmithKline ou de Baxter, afin de vérifier leur innocuité.


à suivre
a
15 août 2009 22:11
suite et fin

Et l’OMS cessa de surveiller le H1N1
Un autre élément indique, qu’avec ce scénario alarmiste de l’OMS, on nous prend pour des imbéciles. L’OMS elle même, l’organisation mondiale chargée de surveiller les foyers de ce que l’on nomme pandémies, voire même « pandémies mondiale » ( sic ) vient juste de décider d’arrêter le suivi de l’évolution de la grippe porcine ( ou de virus H1N1 comme on préfère l’appeler maintenant afin de ne pas froisser les producteur de porcs)

Dans une note d’information, déroutante, postée sur son site web, l’Organisation Mondiale de la Santé indique qu’il n’est plus nécessaire de recenser les cas de H1N1. La dernière mise à jour de l’OMS, en date du 6 juillet, indique 94 512 cas confirmés dans 122 pays, dont 429 décès. Apparemment l’OMS affirme que le nombre de cas confirmés en laboratoire est insignifiant. La note précise que les pays continueront à notifier les premiers cas confirmés. il est également indiqué que les pays doivent suivre les groupes de cas graves ou mortels qui peuvent indiquer une mutation du virus vers une forme létale. Il est dit qu’il faut « être vigilant » en cas d’augmentation d’absentéisme scolaire ou d’augmentation du nombre de consultation dans les services d’urgences.

Le « Centre de contrôle et de prévention des maladies »( CDC ) d’Atlanta est d’accord avec l’OMS pour arrêter le décompte. Le Docteur Michael T. Osterholm, directeur du « Centre de recherche sur les maladie infectieuses de l’Université du Minnesota », admet que les tests existants pour confirmer le H1N1 sont empiriques et peu sûrs et affirme : « de mauvaises mesures sont pires que pas de mesures du tout ». Ainsi l’OMS a décidé de supprimer les tests qui de toutes façons ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas. Et ainsi ils ont décidé de supprimer le décompte des résultats des tests, mais aussi des cas de grippe H1N1, avec pour tout commentaire : « nous présumons que presque tous les cas sont des cas de grippe porcine H1N1 ». Et c’est sur des bases aussi scientifiques que celles-là que nous devons faire vacciner nos jeunes ? Stop là ... pas avec nos enfants.

1 - Composition du Comité SAGE pour la grippe H1N1
[www.who.int]

Article original en anglais, Now legal immunity for swine flu vaccine makers, publié le 19 juillet 2009.

F. William Engdahl est l'auteur de Pétrole, une guerre d’un siècle : L’ordre mondial anglo-américain
[www.amazon.fr]


, et de Seeds of Destruction: The Hidden Agenda of Genetic Manipulation.
[globalresearch.ca]
s
15 août 2009 23:55
Intéressant, merci !
s
16 août 2009 13:54
Chère grippe H1N1


La France est sur le pied de guerre pour faire face à une éventuelle épidémie de grippe H1N1. Une guerre coûteuse notamment menée sur les fronts pharmaceutique et médiatique.


« On n'en fait jamais trop quand il s'agit de la santé des citoyens ». C'est le ministre français de l'Intérieur, Brice Hortefeux, qui le dit. Car en France, pays pilote avec les Etats-Unis de la prévention contre la pandémie de grippe A, la polémique commence à enfler.

Les pouvoirs publics n'ont-ils pas été trop alarmistes pour dénoncer les conséquences d'une maladie ( grippe « H1N1 » ou « porcine » ou «mexicaine » selon le calendrier médiatique) qui pour l'instant n'a fait « que » 1.100 morts dans le monde (contre 2,5 millions par an pour le paludisme dont on attend toujours le vaccin) ?

Le ministère de la Santé tient un double discours qui peut se résumer ainsi: 1) Il faut s'attendre au pire à partir d'octobre. 2) Pas de panique car le gouvernement, le système sanitaire, les collectivités locales sont sur le pied de guerre.

Pas une journée ne s'écoule sans que les Français ne soient invités à la radio ou par voie d'affichage à « se laver les mains », à « ne pas éternuer en direction de leurs voisins » et à « se moucher dans des mouchoirs en papier ».

Cette communication, sortie d'un livre d'astuces de grand-mère a bien sûr un coût assumé partiellement par le Service d’information du Gouvernement (SIG), dirigé par l'ancien publicitaire Thierry Saussez (ancien « communicant » du président ivoirien Henri Konan-Bédié et auteur du livre « Nous sommes ici par la volonté des médias », éd. Robert Laffont).

Dépendant directement de Matignon, le SIG dispose en 2009 d'un budget de 23 millions d'euros (+ 300% d'augmentation par rapport à 2008). Aiguillonées par l'alarmisme de l'OMS, qui joue sa crédibilité dans le déclenchement d'une alerte sanitaire mondiale, les autorités françaises assurent également que la course au vaccin est bien lancée et ont commandé 94 millions de doses de vaccins pour 879 millions d'euros.

Une poignée de laboratoires, qui ont obtenu une immunité juridique en cas d'accidents vaccinatoires, devraient se partager le marché mondial évalué à 22 milliards d'euros : Sanofi-Aventis, Novartis AG et GlaxoSmithKline.

La position dominante du groupe français Sanofi, qui revendique 40% du marché mondial des vaccins anti-grippaux, explique peut-être le zèle des autorités sanitaires françaises.

Mais, en attendant la livraison des précieux vaccins, les fabricants des produits de prévention et les pharmaciens se frottent déjà les mains. Masques de protection, solutions hydroalcooliques (dont l'efficacité n'est pas supérieure à celle du savon classique), poignées de porte anticontamination, lingettes antiseptiques: c'est une véritable panoplie de Michael Jackson que les malades potentiels sont invités à acheter dans les officines.

Les mesures prophylactiques envisagées à l'automne en France (fermeture des écoles et de certains services publics) devraient également coûter à la collectivité plusieurs centaines de millions d'euros.

Au niveau mondial, la facture directe de la lutte contre la grippe mutante est déjà évaluée à près de 200 milliards de dollars. Un pactole qui ne devrait pas coûter à tout le monde.

En attendant la livraison des vaccins, la molécule Tamiflu, seul moyen curatif connu a été conçue en 1996 par les laboratoires Gilead Science, dont l'ancien PDG (1997-2001) n'est autre que Donald Rumsfeld, l'ancien faucon de George W. Bush. Toujours actionnaire de ce laboratoire, l'ex-secrétaire à la Défense artisan de l'invasion irakienne, peut ainsi, pour une fois, se targuer de toucher les dividendes d'une arme de protection massive.


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