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Vos états d'âme - En poésie
R
26 décembre 2010 17:24
Allumé par ma naissance
Brillé par ta présence
Je m’éteins par ton absence

Je ne dors pas ce soir,
Veux ni manger, ni boire
Et quand vient le matin
Je retrouverai le chagrin

Que dois-je faire ?
Quand je m’en sors à peine ?
Me sauver quand tout se déchaine ?
Ou attendre que la paix revienne ?

Quand une lourde tristesse
M’envahit le cœur
Me rajoute larmes et faiblesse
Comment retrouver bonheur ?

Suis-je faible à ce point ?
Pour s’enfermer dans mon coin ?
Regarder les autres avancer
Mes rêves s’éclipser ?

Comme un arbre au tronc plié
Qui tend à s'ébouler
Comme un ruisseau
Qui s’arrête de s’écouler

Avec un cœur usé par les ans
Je me bas pour survivre
Ton image circule dans mon sang
Ce n’est pas le moment pour partir !

Que dois-je faire si je te déçois ?
Fuir vers un monde ailleurs ?
Je retrouve plus la bonne foie.
Je confonds bien et malheur

Ôtes l’angoisse de ton chemin
Oublies le il te laisse
Changes ton destin
On me le répète sans cesse

Mais Tout au fond de mon âme
Il reste un petit espoir
La graine de ta flamme
Qui manque de pouvoir
Elle a besoin de tes prières
Comme Outougamitz a besoin de sa cyprière

Attends moi je viendrais
Cette vie ne m'intéresse pas
Là haut je te rejoindrais
Où la joie ne s’éteindra pas

C’est au paradis que tu m’attendras
Je le sais, tu t'en souviendras

Je ferme mes yeux Je voudrais dormir,
Remonte aux cieux et ne veux rien sentir
Un sommeil éternel où tu seras rêve
En compagnie du prophète Adam et Ève.

Toi qu’es proche de Dieu,
Demandes lui de m’éteindre
Une lampe qui n’éclaire pas les lieux
Il Faut mieux l’astreindre



Rif Man




Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/12/10 03:16 par Rif Man.
l
27 décembre 2010 13:05
Selem,

Ton poême est très triste, mais on sent quand même une petite lueur d'espoir, c'est à ça qu'il faut s'accrocher.
Parfois, on a l'impression de vivre dans le noir mais je t'assure qu'on peut éclairer la vie et le coeur de quelqu'un qui se trouve à des centaines de kilomètres sans le savoir.





Certes la vie d’ici-bas est éphémère
Souvent épuisante et amère
Ne suscite que déception et colère
Certes, nous finirons tous sous terre.

Les moments de joie semble rare et fuyant
Quand les obstacles sont insurmontables et constant.
Quand nous perdons amis et proches parents
Nous souhaiterions les suivre en courant.

Ce n’est pas à nous d’en décider
Notre heure, bien avant notre naissance, a été décrétée
Si je vous écris ces lignes, c’est qu’elle n’est pas encore arrivée
Et que mon œuvre ici-bas n’est pas achevé.

Malgré les coups, les chutes et les plaies ouvertes
Notre foi doit rester en alerte
Le désespoir, la peur nous rendent inerte
Alors que c’est elles qui nous mènent à notre perte.

Pendant la tempête, le roseau plie mais ne rompt pas
Il perd des feuilles durant le combat
Mais malgré les douleurs qu’il éprouvera,
S’en sortira plus fort et plus droit.

Et cette solitude qui n’est qu’un leurre,
Car il y a toujours une épaule prête à accueillir les pleurs
Qui met de côté sa propre douleur
Et ne demande qu’à apaiser les cœurs.

Il n’y a de secoureur que Le Tout-Puissant
Certes il est avec les patients
Il donne de la force aux endurants
Et apaise les âmes des croyants.

Puis il y a toujours, cette âme-sœur ou l’ange-gardien
Appelez-la comme vous voulez, mais ça existe bien
Il n’y a rien de plus fort que ce lien
Elle comprend tout sans que tu ne dises rien

Elle peut être discrète et silencieuse
Mais pour toi, multiplie les actions pieuses,
Rêve toujours de cette union merveilleuse
L’instant où elle redeviendra souriante et radieuse.

Même si l’espoir est mince, il est là quand même
L’important est de savoir qu’on nous aime
Certes le combat est dur et nous n’en sortirons pas indemnes
Mais la victoire n’en sera que plus suprême.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/12/10 14:36 par lallaM.
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
f
27 décembre 2010 13:13
Un homme poète ne sera jamais seul car sa muse l'inspirera toujours:heureuse absente pour laquelle tu soupires!
R
27 décembre 2010 18:18
Citation
lallaM a écrit:
Selem,

Ton poême est très triste, mais on sent quand même une petite lueur d'espoir, c'est à ça qu'il faut s'accrocher.
Parfois, on a l'impression de vivre dans le noir mais je t'assure qu'on peut éclairer la vie et le coeur de quelqu'un qui se trouve à des centaines de kilomètres sans le savoir.





Certes la vie d’ici-bas est éphémère
Souvent épuisante et amère
Ne suscite que déception et colère
Certes, nous finirons tous sous terre.

Les moments de joie semble rare et fuyant
Quand les obstacles sont insurmontables et constant.
Quand nous perdons amis et proches parents
Nous souhaiterions les suivre en courant.

Ce n’est pas à nous d’en décider
Notre heure, bien avant notre naissance, a été décrétée
Si je vous écris ces lignes, c’est qu’elle n’est pas encore arrivée
Et que mon œuvre ici-bas n’est pas achevé.

Malgré les coups, les chutes et les plaies ouvertes
Notre foi doit rester en alerte
Le désespoir, la peur nous rendent inerte
Alors que c’est elles qui nous mènent à notre perte.

Pendant la tempête, le roseau plie mais ne rompt pas
Il perd des feuilles durant le combat
Mais malgré les douleurs qu’il éprouvera,
S’en sortira plus fort et plus droit.

Et cette solitude qui n’est qu’un leurre,
Car il y a toujours une épaule prête à accueillir les pleurs
Qui met de côté sa propre douleur
Et ne demande qu’à apaiser les cœurs.

Il n’y a de secoureur que Le Tout-Puissant
Certes il est avec les patients
Il donne de la force aux endurants
Et apaise les âmes des croyants.

Puis il y a toujours, cette âme-sœur ou l’ange-gardien
Appelez-la comme vous voulez, mais ça existe bien
Il n’y a rien de plus fort que ce lien
Elle comprend tout sans que tu ne dises rien

Elle peut être discrète et silencieuse
Mais pour toi, multiplie les actions pieuses,
Rêve toujours de cette union merveilleuse
L’instant où elle redeviendra souriante et radieuse.

Même si l’espoir est mince, il est là quand même
L’important est de savoir qu’on nous aime
Certes le combat est dur et nous n’en sortirons pas indemnes
Mais la victoire n’en sera que plus suprême.


Je remercie ta participation, ton poème est vraiment remarquable , Belle plume en tt cas
R
27 décembre 2010 18:19
J'ai oublié de le mentionner mais comme son titre l'indique, ce poste a pour but de décrire l'état d'âme des participants et en poésie si c'est possible. Donc voila .
l
27 décembre 2010 18:25
Citation
Rif Man a écrit:
Citation
lallaM a écrit:
Selem,

Ton poême est très triste, mais on sent quand même une petite lueur d'espoir, c'est à ça qu'il faut s'accrocher.
Parfois, on a l'impression de vivre dans le noir mais je t'assure qu'on peut éclairer la vie et le coeur de quelqu'un qui se trouve à des centaines de kilomètres sans le savoir.





Certes la vie d’ici-bas est éphémère
Souvent épuisante et amère
Ne suscite que déception et colère
Certes, nous finirons tous sous terre.

Les moments de joie semble rare et fuyant
Quand les obstacles sont insurmontables et constant.
Quand nous perdons amis et proches parents
Nous souhaiterions les suivre en courant.

Ce n’est pas à nous d’en décider
Notre heure, bien avant notre naissance, a été décrétée
Si je vous écris ces lignes, c’est qu’elle n’est pas encore arrivée
Et que mon œuvre ici-bas n’est pas achevé.

Malgré les coups, les chutes et les plaies ouvertes
Notre foi doit rester en alerte
Le désespoir, la peur nous rendent inerte
Alors que c’est elles qui nous mènent à notre perte.

Pendant la tempête, le roseau plie mais ne rompt pas
Il perd des feuilles durant le combat
Mais malgré les douleurs qu’il éprouvera,
S’en sortira plus fort et plus droit.

Et cette solitude qui n’est qu’un leurre,
Car il y a toujours une épaule prête à accueillir les pleurs
Qui met de côté sa propre douleur
Et ne demande qu’à apaiser les cœurs.

Il n’y a de secoureur que Le Tout-Puissant
Certes il est avec les patients
Il donne de la force aux endurants
Et apaise les âmes des croyants.

Puis il y a toujours, cette âme-sœur ou l’ange-gardien
Appelez-la comme vous voulez, mais ça existe bien
Il n’y a rien de plus fort que ce lien
Elle comprend tout sans que tu ne dises rien

Elle peut être discrète et silencieuse
Mais pour toi, multiplie les actions pieuses,
Rêve toujours de cette union merveilleuse
L’instant où elle redeviendra souriante et radieuse.

Même si l’espoir est mince, il est là quand même
L’important est de savoir qu’on nous aime
Certes le combat est dur et nous n’en sortirons pas indemnes
Mais la victoire n’en sera que plus suprême.


Je remercie ta participation, ton poème est vraiment remarquable , Belle plume en tt cas

Welcome

La plume est belle que quand elle traduit le coeur.
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
r
27 décembre 2010 19:25
Bravo à Rif Man et lallaM.
Rif Man ne te laisse pas envahir par la tristesse.
M
27 décembre 2010 23:22
Salam,

Vos poèmes sont beaux

Lallam le tien m'a vraiment touchée, je viens de perdre quelqu'un de ma famille et je ressent beaucoup de tristesse
ça m'a fait du bien de le lire..
** ............................... **
c
28 décembre 2010 00:57
[www.youtube.com]
Avec le temps...

Avec le temps, va, tout s'en va

On oublie le visage et l'on oublie la voix

Le coeur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller

Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien

Avec le temps...

Avec le temps, va, tout s'en va

L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie

L'autre qu'on devinait au détour d'un regard

Entre les mots, entre les lignes et sous le fard

D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit

Avec le temps tout s'évanouit

Avec le temps...

Avec le temps, va, tout s'en va

Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules

A la Galerie je farfouille dans les rayons de la mort

Le samedi soir quand la tendresse s'en va tout seule

Avec le temps...

Avec le temps, va, tout s'en va

L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien

L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux

Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous

Devant quoi l'on se traînait comme traînent les chiens

Avec le temps, va, tout va bien

Avec le temps...

Avec le temps, va, tout s'en va

On oublie les passions et l'on oublie les voix

Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens

Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid

Avec le temps...

Avec le temps, va, tout s'en va

Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu

Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard

Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard

Et l'on se sent floué par les années perdues

Alors vraiment

Avec le temps on n'aime plus
M
28 décembre 2010 08:14
Le jour se fait sentir sur mes paupières
Vivement ce soir que se termine cet enfer
Laissez-moi fermer mes yeux épuisés
Laissez-moi sombrer dans un sommeil sans pensées

Je sens que la vie s'anime autour de moi
Tout le monde s'active à une certaine routine
Toujours ces rituels qui nous assassinent
Laissez-moi dormir, j'en peux plus, laissez-moi …

Oubliez mon nom rien qu'une journée
Je veux que toutes ces habitudes disparaissent
Rien qu'une journée d'intense paresse
Ais-je le droit de me reposer ?

Pourquoi tous les jours se lever avec le même objectif ?
Faire et refaire ces gestes qui nous incombent continuellement
Comme une maladie, on ne peut sans défaire sans souffrir
Le changement nous paraît tellement effrayant

Nos vies sont alimentées par des doutes et des questions
Celles là même qui fatiguent nos esprits en perdition
Peut-être que l'homme n'est pas fait pour la liberté
Avec elle, l'avenir est flou et la peur est exprimée

Le jour se fait toujours sentir sur mes paupières
Vivement ce soir que se termine cet enfer
Laissez-moi quitter cette liberté opprimante
Laissez-moi respirer sans la peur au ventre

c pas à moi ce poème mais e trouve très...exwhistling smileypressif
bonne journée à tous
l
28 décembre 2010 15:24
Il était une fois une jeune princesse
Pleine d’amour et de tendresse.
Dominée par orgueil et fierté
Qui se cachait souvent pour pleurer.

En apparence possède tout ce que l’on souhaite,
Les biens de ce monde et une jolie silhouette.
Il y a pourtant une chose qui vient à lui manquer
A cause de cela, elle se cache pour pleurer

Elle vit dans un beau château entourée de gens qui l’aiment
Mais elle se fatigue de parler du même thème
Elle aimerait parfois l’oublier
Quand elle n’y arrive pas, elle se cache pour pleurer

Elle se lasse de voir les autres exaucer son rêve
Elle ne veut pas grand-chose, juste qu’on lui accorde une trêve
Ils ne savent pas mais ils remuent le couteau dans la plaie
Donc parfois, elle se cache pour pleurer

Le Roi et la Reine qui l’aimaient beaucoup
S’empressaient de lui offrir absolument tout
Malgré leurs efforts, rien y fait
La princesse se cache pour pleurer

Princesse, pourquoi as-tu les yeux cernés ?
Je suis tout simplement fatiguée.
Que faire quand ils ne croiront plus ces mots mensongers ?
Leur avouer que toutes les nuits, elle se cache pour pleurer ?

Elle aimerait parler de ses méandres
Mais personne ne peut la comprendre.
Alors quand elle se sent vide et esseulée
La princesse se cache pour pleurer.

Ses larmes connaissent le chemin par cœur
Elles l’empreintent à toute heure
La princesse voudrait qu’on vienne les lui sécher
En attendant, elle se cache pour pleurer

Depuis toujours on lui parle d’un prince au cheval blanc
Qui viendrait la libérer de son carcan
Ils chevaucheraient sur son fidèle destrier
Et elle ne se cacherait plus pour pleurer

La princesse voudrait un simple baiser pour la réveiller
Ou qu’on lui enfile un joli soulier
Elle n’aurait alors plus à se cacher
Car ce serait de joie qu’elle pleurerait

Enfin délivrée de sa cage dorée
Qu’elle s’est elle-même forgée.
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
R
28 décembre 2010 17:47
Citation
lallaM a écrit:
Il était une fois une jeune princesse
Pleine d’amour et de tendresse.
Dominée par orgueil et fierté
Qui se cachait souvent pour pleurer.

En apparence possède tout ce que l’on souhaite,
Les biens de ce monde et une jolie silhouette.
Il y a pourtant une chose qui vient à lui manquer
A cause de cela, elle se cache pour pleurer

Elle vit dans un beau château entourée de gens qui l’aiment
Mais elle se fatigue de parler du même thème
Elle aimerait parfois l’oublier
Quand elle n’y arrive pas, elle se cache pour pleurer

Elle se lasse de voir les autres exaucer son rêve
Elle ne veut pas grand-chose, juste qu’on lui accorde une trêve
Ils ne savent pas mais ils remuent le couteau dans la plaie
Donc parfois, elle se cache pour pleurer

Le Roi et la Reine qui l’aimaient beaucoup
S’empressaient de lui offrir absolument tout
Malgré leurs efforts, rien y fait
La princesse se cache pour pleurer

Princesse, pourquoi as-tu les yeux cernés ?
Je suis tout simplement fatiguée.
Que faire quand ils ne croiront plus ces mots mensongers ?
Leur avouer que toutes les nuits, elle se cache pour pleurer ?

Elle aimerait parler de ses méandres
Mais personne ne peut la comprendre.
Alors quand elle se sent vide et esseulée
La princesse se cache pour pleurer.

Ses larmes connaissent le chemin par cœur
Elles l’empreintent à toute heure
La princesse voudrait qu’on vienne les lui sécher
En attendant, elle se cache pour pleurer

Depuis toujours on lui parle d’un prince au cheval blanc
Qui viendrait la libérer de son carcan
Ils chevaucheraient sur son fidèle destrier
Et elle ne se cacherait plus pour pleurer

La princesse voudrait un simple baiser pour la réveiller
Ou qu’on lui enfile un joli soulier
Elle n’aurait alors plus à se cacher
Car ce serait de joie qu’elle pleurerait

Enfin délivrée de sa cage dorée
Qu’elle s’est elle-même forgée.

J'espère que cette princesse retrouvera ce qu'elle cherche et attend, sinon je pense que le temps fera son travail, l'oubli est une aumône de Dieu. En tt cas je te félicite pour ton poème, il est super bien écrit.

J'aurai aimé écrire un autre, mais apparemment j'ai perdu ma plume, en attendant de la retrouver je me contenterai de vous lire.

Au plaisir de te lire
b
28 décembre 2010 18:25
Demain dès l'aube

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
m
28 décembre 2010 22:38
du premier au dernier, vos poemes sont tous tres beau!!!
j'ai eu beaucoup de plaisir à les lire même si la plupart étaient tristes
28 décembre 2010 23:16
Superbe .................. Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à vous

esperance
l
29 décembre 2010 14:24
Selem,

Merci Rif Man et les autres, je me sens inspirée en ce moment. Ma muse est en congès aujourd'hui je crois bien mais elle devrait revenir bientôt, elle n'est jamais bien loin.

smiling smiley
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
l
10 janvier 2011 15:05
Allez ! Prends-moi la main
On oublie le lendemain
On s’en ira loin de tout
Et on ne pensera qu’à nous

Après tout, un peu d’égoïsme ne fait pas de mal.
Pour éviter les scandales,
Partons au bout du monde.
En fermant les yeux, ça ne prend qu’une seconde

Et si on partait sans regarder en arrière
Oublions les responsabilités et ses misères.
Retombons pour quelques temps en enfance
Se perdre dans les méandres de l’insouciance

J’aimerai voir le monde comme à 5 ans
A cette époque, rien n’était important.
A part le menu du goûter,
Les dessins animés et ma jolie poupée.

Certes la peur de l’avenir
Nous fait tous frémir.
Malgré les angoisses et les tremblements
Essayons tout de même d’aller de l’avant.

Ce que je préfère, c’est baisser la tête et foncer
Comme un taureau qui se rue pour charger.
Aller droit dans le mur est parfois risquer
Mais il n’y a pas mieux pour le traverser.


La vie ne sera jamais facile, je me suis faite une raison
Mais la parcourir ensemble, c’est mieux non ?
Ne refuse pas la main tendue
Je t’assure que tu ne seras pas déçu

A deux, c’est toujours plus facile que seul
On le sera bien assez une fois enveloppé dans notre linceul.
Tends la main et tu trouveras la mienne,
De l’amour et une joie soudaine.
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
m
11 janvier 2011 20:53
Salam les amis, magnifique vos écrits lallam et Rif-man
Je n'ai pas tout lu parce que je sais que j'aurais verser des larmes et franchement ce soir j'en ai pas envie..

Je me lance, voici mon poème

Si tu savais comment je doute
Si tu savais les choses que je ne dis pas
J'ai peur de souffrir une énième fois
Reste cette épaule, que j'y allège mon cœur
Qu'il vienne m'emmener vers un monde meilleur
Où on ferra le tour
Avec un excès d'amour


Il ne me garantit pas son avenir
J'en rêve même si je sais qu'il ne peut prévenir
Si tu savais les larmes que je ne laisse pas
Noyées mon corps dans cet homme-là


Si tu savais comment je doute
Je rêverais d'être dans ses bras
Ici il fait trop froid !
C'est bien pire que l'Alaska
Il n'est pourtant pas comme ces autres
Mais c'est lui que je crains
Parce que l'amour est incertain


Si tu savais ce que j'ai à lui offrir
Un oasis au cœur d'un désert
Un terrain à bâtir
Une île au beau milieu de la mer
On irait loin... loin de cette aire glacière
Prés de la joie et du bonheur
Au paysage de mes rêves à la hauteur
De notre échelle, mon cœur


Je lui dirais..
Donne moi l'amour que mon père a pour moi
Et moi pour toi
Qu'il me montre que même après la tempête
On peut reconstruire quelque chose d'encore plus nette
Que même après de longues années
Notre histoire sera encore plus belle que les contes de fées
Qu'il viendra régner sur cet empire
Qui brillera de milles feux par son sourire
[center][b][color=#339933]Kech m'a donné à jamais le goût de la liberté Avec Allah comme allié, je f'rais de mon rêve une réalité[/color] [color=#C944B9]Bien que ma vie loin de toi soit comme un thé sans sucre[/color][/b][/center]
l
22 janvier 2011 20:59
If you're not the one then why does my soul feel glad today
If you're not the one then why does my hand fit yours this way
If you are not mine then why does your heart return my call
If you are not mine would I have the strength to stand at all

I never know what the future brings
But I know you are here with me now
We'll make it through
And I hope you are the one I share my life with

I don't want to run away but I can't take it
I don't understand
If I'm not made for you then why does my heart tell me that I am
Is there any way that I can stay in your arms

If I don't need you then why am I crying on my bed
If I don't need you then why does your name resound in my head
If you're not for me then why does this distance maim my life
If you're not for me then why do I dream of you as my wife

I don't know why you're so far away
But I know that this much is true
We'll make it through
And I hope you are the one I share my life with
And I wish that you could be the one I die with
And I pray in you're the one I build my home with
I hope I love you all my life

'Cause I miss you
Body and soul so strong that it takes my breath away
And I breathe you into my heart and pray for the strength to stand today
Cause I love you
Whether it's wrong or right
And though I can't be with you tonight
And now my heart is by your side

Ce n'est pas de moi, mais j'aime beaucoup.
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
 
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