Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Environnement: le Maroc accueillera la 1ère réunion de l'ONUE
n
5 février 2007 14:10
Environnement: le Maroc accueillera la 1ère réunion de l'ONUE
Le : (4/2/2007)


Le Maroc va accueillir au printemps prochain la première réunion du groupe pionnier des "amis de l'Organisation des Nations Unies pour l'Environnement", a annoncé samedi à Paris le président français Jacques Chirac, lors de la clôture de la conférence internationale "citoyens de la terre".


"Nous nous réjouissons de la proposition du Maroc d'accueillir la première réunion du groupe pionnier des +amis de l'Organisation des Nations Unies pour l'Environnement+ qui rassemble plus de 40 pays", a déclaré M. Chirac devant plus de 200 participants issus de 60 pays, dont le Maroc représenté par le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'eau et de l'Environnement, M. Mohamed El Yazghi.

"A l'image de l'Organisation mondiale de la santé, cette Organisation des Nations Unies pour l'Environnement sera une voix forte et reconnue dans le monde", a-t-il lancé, ajoutant qu'elle doit être un "instrument pour évaluer les dommages écologiques et comprendre comment y remédier, un instrument efficace pour promouvoir les technologies et les comportements les plus respectueux des écosystèmes, un moyen pour soutenir la mise en oeuvre des décisions environnementales à travers la planète".

Quarante cinq pays ont fait part de leur intention de participer à ce groupe pionnier. Parmi eux figurent une vingtaine de pays européens, dont l'Allemagne, l'Italie, le Royaume-Uni, la Pologne, mais aussi le Cambodge, le Sénégal, la Tunisie ou encore l'Algérie.

Au cours de cette cérémonie de clôture, le président français a lu "l'appel de Paris" dans lequel il a appelé tous les citoyens de tous les continents, responsables politiques, représentants d'organisations internationales ou non gouvernementales, scientifiques, chefs d'entreprises, à une "vaste mobilisation internationale contre la crise écologique et pour une croissance respectueuse de l'environnement".

"Aujourd'hui, nous savons que l'humanité est en train de détruire, à une vitesse effrayante, les ressources et les équilibres qui ont permis son développement et qui déterminent son avenir", a-t-il averti. "Le temps est venu de la lucidité", a lancé Jacques Chirac.

"Nous ne pouvons plus nous permettre d'attendre, que chaque jour qui passe aggrave les risques et les dangers", a-t-il martelé. "Nous tous ici présents, Citoyens de la Terre, nous appuyons les efforts des nations qui se mobilisent, dans un esprit de souveraineté partagée, pour renforcer la gouvernance internationale de l'environnement", a souligné M. Chirac, avant de conclure: "Nous appelons à transformer le Programme des Nations Unies pour l'Environnement en une véritable Organisation internationale à composition universelle".
c
5 février 2007 17:38
Centrale Thermique Cap Ghir )
Les élus exigent d’abord une étude d’impact sur l’environnement

L’ONE projette donc de construire une centrale thermique à base de charbon, avec deux unités d’une puissance de 600 MW (soit quatre fois la plus grande unité actuelle qui est de 300 MW, celle du Jorf Lasfar, précisément) sans prendre la peine de faire une étude d’impact au préalable.

l'opinion

Un maroc plein de contradictions, au temps ou on parle de developpement durable, tourisme ecologique, bonne gouvernance, etc...on opte pour des solutions qui polluent. Une vrai enigme ces decideurs a 4 sous qui adorent macher des mots a la mode
n
5 février 2007 17:44
Vous n'avez pas autre chose à faire que de raler et d'empester l'amabiance?
Rien, mais alors rien ne vous parait positif et je crois que le problème n'est pas `achercher au pays.

Tous les pays qui parlent environnement actuellement sont entrain de continuer de polluer la planète. Le Maroc avec son micro projet là est tout simplement invisible.

Puis, les accords de kyotos accordent eux-mêmes une marge de souplesse aux pays en voie de developpement, chose dont profitent pleinnement l'Inde et la Chine.

Puis enfin, qui vous dit que le Maroc veut l'environnement? Il veut juste heberger cette conférence et faire quelques sous, c'est permis? Ou bien tberguig même contre son propre Etat?

Je crois que si les gouverenement pouvaient "yehragou" il `seseraient fuits à cause de cette mentalité negativiste et néfatse!



Citation
crocotype a écrit:
Centrale Thermique Cap Ghir )
Les élus exigent d’abord une étude d’impact sur l’environnement

L’ONE projette donc de construire une centrale thermique à base de charbon, avec deux unités d’une puissance de 600 MW (soit quatre fois la plus grande unité actuelle qui est de 300 MW, celle du Jorf Lasfar, précisément) sans prendre la peine de faire une étude d’impact au préalable.

l'opinion

Un maroc plein de contradictions, au temps ou on parle de developpement durable, tourisme ecologique, bonne gouvernance, etc...on opte pour des solutions qui polluent. Une vrai enigme ces decideurs a 4 sous qui adorent macher des mots a la mode
c
5 février 2007 18:03
Citation
nomad a écrit:
Vous n'avez pas autre chose à faire que de raler et d'empester l'amabiance?

désolé d'avoir gaché l'ambiance, du mensange et l'hypocresie
(tm)
n
5 février 2007 18:08
Qu'est-ce que vous croyez que vous êtes? A part faire le clown devant le mirroire vous ne pourrez rien gacher, strictement rien. Si tout va bien cette conférence trouvera lieu et ceux qui en profiteront sauront en profiter, dans les sens que vous voulez du terme. Les autres peuvent faire le crapeau.




Citation
crocotype a écrit:
désolé d'avoir gaché l'ambiance, du mensange et l'hypocresie
(tm)
c
14 avril 2007 06:05
Centrale thermique à base charbon : C’est FINI
L’ONE a abandonné le site du Cap Ghir prévu pour la réalisation d’une centrale thermique à base de charbon. Quel soulagement! La satisfaction est générale. Le projet avait accueilli, à l’unanimité, une désapprobation totale et exceptionnelle de la part des élus, des représentants de la société civile, des ONG locales qui oeuvrent pour la préservation de l’Environnement et une partie de la presse locale et nationale engagée dans la lutte contre la pollution et le respect des écosystèmes locaux, régionaux et nationaux.
L’ONE a été contraint d’abandonner le site suite à une intervention magistrale des Hautes Instances du pays qui rejoignant de ce fait la position de désapprobation générale des populations locales et des élus communaux, locaux, au sein du Conseil Préfectoral, au sein du Conseil Régional et au sein du regroupement des parlementaires du Souss, au sujet de cette centrale à base de charbon, qui devient la préoccupation majeure et première des populations locales. A L’OPINION, nous avons suivi de très près cette mésaventure de l’ONE, à travers pas moins de quatorze articles à ce sujet reflétant l’évolution de cette affaire dès le lancement dès l’appel d’offre lancé par l’ONE pour la réalisation d’une centrale thermique à base de charbon au Cap Ghir.
Il est à rappeler que c’était le site qui posait d’abord problème vu la spécificité de la zone où il se trouve. Zone dédiée au développement touristique balnéaire, doublée d’une grande importance écologique avec une biodiversité, en matière de faune et de flore, très particulière, voire endémique. C’est également la composante centrale thermique à charbon, qui a révolté plus d’un citoyen. Au moment où le monde entier se mobilise contre la pollution et les émanations des gaz nocifs, l’ONE se permet de prévoir la réalisation d’une centrale à charbon, ignorant volontairement de faire appel à d’autres techniques de production de l’électricité.

Jusqu’à la dernière minute, le DG de l’ONE, en personne, en déplacement à Agadir n’a pas cessé de défendre son projet devant les Autorités et le président du Conseil Préfectoral. Cet entêtement avait rendu furieux tous les citoyens qui suivaient de près ce dossier, notamment au sein des élus et des représentants des ONG, qui se consultèrent en dernière phase pour passer à une grande action de protestation. Le hasard aura voulu, que le soir même de la visite « historique » d’Agadir, les directives de l’abandon du site tombèrent à point nommé marquant la victoire de la raison, de la responsabilité citoyenne et le triomphe de la démocratie locale et la confirmation d’un nationalisme sans faille.

L’on se rappelle, à ce sujet, la session du Conseil Préfectoral tenue à Taghazout, où le Wali d’Agadir s’est expliqué devant les élus et les cadres de l’ONE en disant qu’aucun organisme aussi étatique soit-il, n’était au dessus de la loi. Les membres du Conseil prirent la décision responsable d’étudier et d’avaliser les termes de références de l’Etude d’Impact sur l’Environnement et de demander une journée d’information pour avoir le maximum de données sur le projet. Cela ne les a pas empêché dans leur conviction profonde à militer au quotidien pour l’abandon définitif du site. Désormais, c’est chose faite. Tant mieux : tout est bien qui finit bien. A Tout Seigneur, Tout Honneur.

A reste à préciser que l’ONE s’en est sorti ridiculisé du fait qu’il maintenait à défendre à un dossier et un site indéfendables à tout de point de vue. La menace que faisait circulait l’ONE au sujet des coupures électriques prévues en 2008, était très mal appréciée par les opérateurs économiques et touristiques. Agadir, Taghazout, Tama Ounanza, Tamraght sont au cœur d’un développement touristique présent et avenir, prévu dans le cadre du Plan de développement Régional Touristique, avec une enveloppe de 38 milliards de DH, et l’ONE veut faire semer le doute d’assurer une distribution éléctrique minimale et nécessaire
Au lieu de prendre ses responsabilités et d’assumer sa fonction en tant qu’organisme étatique, il brandit la menace des coupures, comme quoi le projet de la centrale thermique à base de charbon était vraiment incontournable dans la zone et au Cap Ghir précisément que toute la solution viendrait de là. C’était raté. Grâce la Clairvoyance dont ont toujours fait preuve les Hautes Instances du pays, en répondant positivement aux doléances des populations locales et de leurs élus le site est abandonné et la satisfaction est générale.
goagadir.info
c
14 avril 2007 06:06
Maroc : objectif de 15 % d'énergie éolienne pour 2020

Par Elisabeth Studer le 14 avril 2007

MaroceolienLe Maroc se fixe pour objectif d'atteindre un taux de pénétration de l'énergie éolienne de 15 % en 2020, indique le ministre de l'Energie et des Mines, M. Mohamed Boutaleb.

Dans le cadre de la diversification de ses sources d'approvisionnement énergétique, Rabat encourage également l'utilisation du solaire, de l'hydraulique, du thermique ainsi que de la biomasse.

"L'éolien a un taux de pénétration élevé qui atteindra 10 % à l'horizon 2012 et notre objectif est d'atteindre 15 % en 2020, un taux qui reste élevé même par rapport à des pays de l'Union Européenne "", déclare le ministre dans un entretien à l'hebdomadaire ""Maroc Hebdo"".

Un plan stratégique de développement des énergies renouvelables, relève M. Boutaleb, a été mis en oeuvre en vue de l'augmentation de leur contribution dans le bilan énergétique national, et ce à travers la réalisation de nouveaux parcs éoliens, le développement des applications solaires photovoltaïques et la réalisation de micro-centrales solaires. Les foyers ruraux difficilement accessibles au réseau électrique national seront également électrifiés en kits solaires, fait-il savoir.

Pour le ministre, la préoccupation majeure est d'assurer l'approvisionnement en produits énergétiques au meilleur coût. A cet égard, il souligne d'emblée la nécessité de diversifier les sources d'énergie, notamment par l'accélération de la production de l'électricité à partir des énergies renouvelables et l'utilisation d'autres sources.

Le Maroc est actuellement en train de finaliser un programme pour la production du biodiesel sur son territoire, précise également le ministre.

M. Boutaleb indique, d'autre part, qu' ""afin de promouvoir l'utilisation et la consommation de l'énergie solaire, une récente mesure incitative a été mise en place faisant baisser la TVA de 20 à 14 % sur les chauffe-eau solaires "".
""C'est une première étape qui encouragera sans doute les investissements et multipliera la création de petites entreprises dans ce domaine "", assure-t-il.

Le ministre souligne également que la consommation d'énergie est un excellent indicateur économique et social. ""Plus on consomme d'énergie, plus on assure un meilleur développement économique "", explique-t-il. Vaste sujet ... une telle phrase pourra tout de même surprendre, surtout si on prend en compte la facture énergétique du Maroc qui est lourdement grevée par ses importations d'hydrocarbures.

M. Boutaleb rappelle, par ailleurs, que le terminal gazier que le Maroc projette de construire répond à un objectif précis, à savoir la diversification des sources des énergies au Maroc et la multiplication des points de réception garantissant, notamment la sécurité d'approvisionnement.

Pour un plus grand développement de l'utilisation du gaz naturel, notamment dans le secteur industriel, une étude est entreprise actuellement en partenariat avec le groupe AKWA, l'ONE, la SAMIR et le ministère de l'Energie et des Mines dans le cadre de la convention signée en décembre 2005, précise le ministre.

Parallèlement à ces propos, Mohammed VI a inauguré, vendredi à Cap Sim (20 km de la ville d'Essaouira), le parc éolien "Amogdoul" d'une capacité de 60 mégawatts (MW), qui s'inscrit dans le cadre du Mécanisme de développement propre (MDP), en conformité avec la politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

D'un coût global d'environ 800 millions de dirhams, le parc éolien "Amogdoul", qui a bénéficié d'un financement de la banque allemande KFW, est situé sur un site réputé pour un gisement de vent important et régulier.

Les 71 aérogénérateurs du parc permettront d'atteindre une production moyenne annuelle de 200 GWH, ce qui est de nature à renforcer les moyens de production électrique d'origine éolienne et du réseau d'interconnexion de la région d'Essaouira.

Sur le plan environnemental, le parc, réalisé par la société espagnole Gamesa, permettra une économie de fioul de 48.000 tonnes par an, ce qui devra contribuer à une réduction d'émission de gaz à effet de serre de 156.000 tonnes de CO2 par an.

Source : MAP
R
14 avril 2007 13:31
C'est beau de rêver ...
Bref, probagande
w
14 avril 2007 17:43
en parlent d'environnement,à quand l'interdiction de "al mika alkahla?"
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook