Il faut vivre pour comprendre. Disait Germaine Tillion (19007-2008).
Je pense beaucoup aux périples fermés des étudiants Marocains aux revenus modestes qui viennent en France surtout à Paris pour poursuivre des études supérieures. Parmi les obstacles majeurs face auxquels ils sont exposés aux hostilités à tous les niveaux, il y a le problème du logement. Cela n'est pas le seul problème permanent en France, il y a aussi des démarches complexes auprès des services étrangers des préfectures pour régulariser leur situation de séjour. Les cortèges des étudiants Marocains livrés à ces hostilités se rendent compte des effets négatifs dévastateurs sur leu devenir et leur projet d'étude ou de recherche. Ils sont victimes des maladies et des pathologies qui deviennent chroniques, surtout des états extrêmes de dépression et de chute psychologique. Et c'est là qu'il y a un danger et l'irréparable. Ils seront orientés vers des consultations psychiatriques ou des hospitalisations psychiatriques qui se terminent par la création volontaire de dépendance aux saloperies des anxiolytiques, neuroleptiques et toutes les capsules conçues pour désorganiser le système nerveux au nom de soins. Je suis triste de ne pas voir un minimum de solidarité des anciens étudiants qui ont pu avoir un logement stable et de ne pas porter de l'aide aux autres. Malheureusement, cette valeur de solidarité est pratiquement détruire à cause de l’infection de l'idéologie française et du mode vie tourné vers l'indifférence totale et l’individualisme. extrême. En résumé : Il n'y aura pas de solutions pour le logement en France tant que ce secteur fait partie des spéculations et de discrimination. Bonne chance à ces étudiants ! C'est un problème politique pour décourager et briser les aspirations des étudiants.
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