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zyneb a écrit:
Salam alikoum
ben je pense pense que certaine fille vont me tuermais moi ce genre de lettre style les feux de l'amour sa ne me touche pas du tout seule les actes m'importe lol et je dirai même que sa me ferai limite peur je n'aimerai pas être ton oxygéne ni ton enfant et encore moins ta mère je souhaite juste être la femme de mon mari une être humain comme les autres
Essaye plutôt de rattraper tes erreurs si tu en as commis
Que ALLAH TE préserve t'accorde sa miséricorde et une vie heureuse AMIN
mais je ne peux m'empécher de te poser la question: Citation
simplicity a écrit:
Mon Amour,
Je n’ai pas bossé ce matin, je n’avais ni l’envie ni la force, je suis resté au lit, dans cette chambre de l’hôtel , impersonnelle et glaciale, comme l’est ton cœur à mon égard aujourd’hui, lisant et relisant ton dernier sms, seul face à ma tristesse, à ma solitude et au brouhaha des femmes de ménage dans le couloir, une boule me compressait mon intérieur, je n’ai pas pu me retenir, pleurer c’est le seul luxe qui reste aux blessés et aux faibles.
Et d’un coup une image m’est revenue à l’esprit, toi venant m’accueillir à la gare, nos retrouvailles qui ont pris un sens doux et chaleureux, ça respirait le bonheur de retrouver une partie de soi-même, et pour moi ces retrouvailles jamais elles n’étaient aussi poignantes et rassurantes, je me trouvais bête à cacher mon émotion, car à l’évidence, j’ai compris ce jour là que cette fille qui me sourit maladroitement, je l’aime vraiment.
Et je ne peux que faire le parallèle avec aujourd’hui, le matin de ce jeudi noir, je te vois m’accompagner jusqu’au quai de la même gare, tu m’abandonnes à ce train qui s’éloigne et s’enfonce dans la brume de l’inconnu, de la peur et de l’exil, l’exil de toi et de ton amour.
J’avais émis dernièrement l’illusion de te croire mon havre de paix, mon rempart contre ma guerre avec moi-même et avec mes doutes, un refuge pour venir panser mes plaies, je n’ai hélas pas pris la mesure de ta propre détresse et de tes propres faiblesses.
Néanmoins je t’en veux pour ton indélicatesse, me quitter maintenant en plein hiver. Même les squatteurs ont le droit à plus de considération et à la trêve hivernale, moi tu m’expulses sans me laisser mettre de l’ordre dans le chaos de mon intérieur. J’ai remarqué qu’à chacun de mes moments de faiblesses et de fatigue, et c’est une constante, tu étais toujours là, tel un matador, prête à bondir pour porter l’estocade et le coup fatal.
Maintenant connaissant ton esprit de famille et ta sensibilité, je ne te reconnais plus dans ton reproche, vu mon état, lorsque j’ai exprimé une faiblesse nostalgique, un besoin de chaleur maternelle au Maroc.
Je suis déjà en manque de toi, et je sais ce que tu me réponds dans de pareils circonstances, en tout cas comment puis-je envisager me séparer de toi ? Comment dois-je renoncer à toi, à ton amour, à ce que tu représentes pour moi, à ta fraicheur de l’esprit, à la générosité du cœur et pas seulement, allusion à tes rondeurs évidemment, renoncer à tes rires, à tes coups de gueule, à ton acidité et à ta douceur ? Couper ce cordon ombilical c’est finalement me demander de me séparer de mon enfant.
Tu es mon oxygène et mon rayon de soleil et je sais que mon amour pour toi ne tarira jamais, je resterai orphelin de toi aussi longtemps que mon cœur battra.
Je t'aime.
Citation
Sakinaaaa a écrit:Citation
simplicity a écrit:
Mon Amour,
Je n’ai pas bossé ce matin, je n’avais ni l’envie ni la force, je suis resté au lit, dans cette chambre de l’hôtel , impersonnelle et glaciale, comme l’est ton cœur à mon égard aujourd’hui, lisant et relisant ton dernier sms, seul face à ma tristesse, à ma solitude et au brouhaha des femmes de ménage dans le couloir, une boule me compressait mon intérieur, je n’ai pas pu me retenir, pleurer c’est le seul luxe qui reste aux blessés et aux faibles.
Et d’un coup une image m’est revenue à l’esprit, toi venant m’accueillir à la gare, nos retrouvailles qui ont pris un sens doux et chaleureux, ça respirait le bonheur de retrouver une partie de soi-même, et pour moi ces retrouvailles jamais elles n’étaient aussi poignantes et rassurantes, je me trouvais bête à cacher mon émotion, car à l’évidence, j’ai compris ce jour là que cette fille qui me sourit maladroitement, je l’aime vraiment.
Et je ne peux que faire le parallèle avec aujourd’hui, le matin de ce jeudi noir, je te vois m’accompagner jusqu’au quai de la même gare, tu m’abandonnes à ce train qui s’éloigne et s’enfonce dans la brume de l’inconnu, de la peur et de l’exil, l’exil de toi et de ton amour.
J’avais émis dernièrement l’illusion de te croire mon havre de paix, mon rempart contre ma guerre avec moi-même et avec mes doutes, un refuge pour venir panser mes plaies, je n’ai hélas pas pris la mesure de ta propre détresse et de tes propres faiblesses.
Néanmoins je t’en veux pour ton indélicatesse, me quitter maintenant en plein hiver. Même les squatteurs ont le droit à plus de considération et à la trêve hivernale, moi tu m’expulses sans me laisser mettre de l’ordre dans le chaos de mon intérieur. J’ai remarqué qu’à chacun de mes moments de faiblesses et de fatigue, et c’est une constante, tu étais toujours là, tel un matador, prête à bondir pour porter l’estocade et le coup fatal.
Maintenant connaissant ton esprit de famille et ta sensibilité, je ne te reconnais plus dans ton reproche, vu mon état, lorsque j’ai exprimé une faiblesse nostalgique, un besoin de chaleur maternelle au Maroc.
Je suis déjà en manque de toi, et je sais ce que tu me réponds dans de pareils circonstances, en tout cas comment puis-je envisager me séparer de toi ? Comment dois-je renoncer à toi, à ton amour, à ce que tu représentes pour moi, à ta fraicheur de l’esprit, à la générosité du cœur et pas seulement, allusion à tes rondeurs évidemment, renoncer à tes rires, à tes coups de gueule, à ton acidité et à ta douceur ? Couper ce cordon ombilical c’est finalement me demander de me séparer de mon enfant.
Tu es mon oxygène et mon rayon de soleil et je sais que mon amour pour toi ne tarira jamais, je resterai orphelin de toi aussi longtemps que mon cœur battra.
Je t'aime.
Tu devrai arrêter la drogue et surtout arrêter le harcèlement.
J'ai l'impression que tu ne penses qu'à toi-même. Apprends à accepter les choix des autres sans juger.
Pour info : "une de perdu, 10 de retrouvées"...
Moi je dirais plutôt un(e) de perdu... un(e) de perdu!!!!
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simplicity a écrit:
Mon Amour,
Je n’ai pas bossé ce matin, je n’avais ni l’envie ni la force, je suis resté au lit, dans cette chambre de l’hôtel , impersonnelle et glaciale, comme l’est ton cœur à mon égard aujourd’hui, lisant et relisant ton dernier sms, seul face à ma tristesse, à ma solitude et au brouhaha des femmes de ménage dans le couloir, une boule me compressait mon intérieur, je n’ai pas pu me retenir, pleurer c’est le seul luxe qui reste aux blessés et aux faibles.
Et d’un coup une image m’est revenue à l’esprit, toi venant m’accueillir à la gare, nos retrouvailles qui ont pris un sens doux et chaleureux, ça respirait le bonheur de retrouver une partie de soi-même, et pour moi ces retrouvailles jamais elles n’étaient aussi poignantes et rassurantes, je me trouvais bête à cacher mon émotion, car à l’évidence, j’ai compris ce jour là que cette fille qui me sourit maladroitement, je l’aime vraiment.
Et je ne peux que faire le parallèle avec aujourd’hui, le matin de ce jeudi noir, je te vois m’accompagner jusqu’au quai de la même gare, tu m’abandonnes à ce train qui s’éloigne et s’enfonce dans la brume de l’inconnu, de la peur et de l’exil, l’exil de toi et de ton amour.
J’avais émis dernièrement l’illusion de te croire mon havre de paix, mon rempart contre ma guerre avec moi-même et avec mes doutes, un refuge pour venir panser mes plaies, je n’ai hélas pas pris la mesure de ta propre détresse et de tes propres faiblesses.
Néanmoins je t’en veux pour ton indélicatesse, me quitter maintenant en plein hiver. Même les squatteurs ont le droit à plus de considération et à la trêve hivernale, moi tu m’expulses sans me laisser mettre de l’ordre dans le chaos de mon intérieur. J’ai remarqué qu’à chacun de mes moments de faiblesses et de fatigue, et c’est une constante, tu étais toujours là, tel un matador, prête à bondir pour porter l’estocade et le coup fatal.
Maintenant connaissant ton esprit de famille et ta sensibilité, je ne te reconnais plus dans ton reproche, vu mon état, lorsque j’ai exprimé une faiblesse nostalgique, un besoin de chaleur maternelle au Maroc.
Je suis déjà en manque de toi, et je sais ce que tu me réponds dans de pareils circonstances, en tout cas comment puis-je envisager me séparer de toi ? Comment dois-je renoncer à toi, à ton amour, à ce que tu représentes pour moi, à ta fraicheur de l’esprit, à la générosité du cœur et pas seulement, allusion à tes rondeurs évidemment, renoncer à tes rires, à tes coups de gueule, à ton acidité et à ta douceur ? Couper ce cordon ombilical c’est finalement me demander de me séparer de mon enfant.
Tu es mon oxygène et mon rayon de soleil[/[/color]b] et je sais que mon amour pour toi ne tarira jamais, je resterai orphelin de toi aussi longtemps que mon cœur battra.
Je t'aime.
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qayss a écrit:
Salam
Je te déconseillerai de l'envoyer
Sérieux comme l'a dit un yabi tu vas passer pour un Donald lol
Garde tes lettres d'amour pour celle qui aura accepter de t'épouser par exemple...par contre essayer de récupérer quelqu'un par une lettre d'amour je doute que ca aboutisse...
Mettre dans ta lettre "tu es mon oxygène....je suis orphelin..." w zid w zid ..c'est trop là wa dayr fiha bhal Gonzalo m3a Rosalinda lol ..sérieux tu vas passer plus pour un faible qu'autre chose...trejel chi chwiya aw !
J'espère pour toi que tu l'as pas encore posté lol
Citation
simplicity a écrit:
Bonjour,
Merci à tous ceux et celles qui ont réagi à mon post aussi bien de manière positive que réfractaire, les uns ont montré une forme de sensibilité qui m'a beaucoup touché, les autres ont considéré que ma lettre est une forme de faiblesse qu'il faut taire, d'autres m'ont beaucoup fait rire tantôt avec dérision et ironie tantôt avec agressivité considérant que mes lamentations portent atteinte à l'honneur et à la virilité masculine. D'autres avis respiraient l'indifférence et la retenue.
Vos avis divergents et contradictoires sont à l'image de mon état d'esprit au moment où je me suis posé la question d'envoyer ou non ma lettre à sa destinataire, c'est une démarche que je ne regrette absolument pas malgré son caractère intime et privé, car au fond il n'y a rien de mal à exprimer son chagrin et son mal être avec des mots et réclamer de l'aide.
Finalement j'ai pris la décision de poster ce mail puisque son écriture et sa destination n'était pas destinée aux archives.
La réaction de ma chérie était très positive et au-delà de mes attentes, elle a était très touchée par mon mail aussi bien sur le fond que sur la forme, ce qui nous a permis de s'écouter davantage, de laisser de côté nos divergences et l'accessoire et de mettre en avant ce qui nous rassemble et c'est là l'essentiel.
Un nouvel élan, des belles perspectives vont nous permettre d'envisager l'avenir différemment.
Que vive l'amour, il permet de passer du N&B à la couleur.
$Citation
simplicity a écrit:
Bonjour,
Merci à tous ceux et celles qui ont réagi à mon post aussi bien de manière positive que réfractaire, les uns ont montré une forme de sensibilité qui m'a beaucoup touché, les autres ont considéré que ma lettre est une forme de faiblesse qu'il faut taire, d'autres m'ont beaucoup fait rire tantôt avec dérision et ironie tantôt avec agressivité considérant que mes lamentations portent atteinte à l'honneur et à la virilité masculine. D'autres avis respiraient l'indifférence et la retenue.
Vos avis divergents et contradictoires sont à l'image de mon état d'esprit au moment où je me suis posé la question d'envoyer ou non ma lettre à sa destinataire, c'est une démarche que je ne regrette absolument pas malgré son caractère intime et privé, car au fond il n'y a rien de mal à exprimer son chagrin et son mal être avec des mots et réclamer de l'aide.
Finalement j'ai pris la décision de poster ce mail puisque son écriture et sa destination n'était pas destinée aux archives.
La réaction de ma chérie était très positive et au-delà de mes attentes, elle a était très touchée par mon mail aussi bien sur le fond que sur la forme, ce qui nous a permis de s'écouter davantage, de laisser de côté nos divergences et l'accessoire et de mettre en avant ce qui nous rassemble et c'est là l'essentiel.
Un nouvel élan, des belles perspectives vont nous permettre d'envisager l'avenir différemment.
Que vive l'amour, il permet de passer du N&B à la couleur.
Citation
simplicity a écrit:
Bonjour,
Merci à tous ceux et celles qui ont réagi à mon post aussi bien de manière positive que réfractaire, les uns ont montré une forme de sensibilité qui m'a beaucoup touché, les autres ont considéré que ma lettre est une forme de faiblesse qu'il faut taire, d'autres m'ont beaucoup fait rire tantôt avec dérision et ironie tantôt avec agressivité considérant que mes lamentations portent atteinte à l'honneur et à la virilité masculine. D'autres avis respiraient l'indifférence et la retenue.
Vos avis divergents et contradictoires sont à l'image de mon état d'esprit au moment où je me suis posé la question d'envoyer ou non ma lettre à sa destinataire, c'est une démarche que je ne regrette absolument pas malgré son caractère intime et privé, car au fond il n'y a rien de mal à exprimer son chagrin et son mal être avec des mots et réclamer de l'aide.
Finalement j'ai pris la décision de poster ce mail puisque son écriture et sa destination n'était pas destinée aux archives.
La réaction de ma chérie était très positive et au-delà de mes attentes, elle a était très touchée par mon mail aussi bien sur le fond que sur la forme, ce qui nous a permis de s'écouter davantage, de laisser de côté nos divergences et l'accessoire et de mettre en avant ce qui nous rassemble et c'est là l'essentiel.
Un nouvel élan, des belles perspectives vont nous permettre d'envisager l'avenir différemment.
Que vive l'amour, il permet de passer du N&B à la couleur.
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