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Elections USA 2008 !!!!!!!!!!
L
13 janvier 2008 17:36
Citation
El Insan a écrit:
Obama ne sera jamais président des Etats-Units et je suis pret à le parier.

tu pari koi evil
Merci d'enrichir le débat , sans dévier du débat . [b] [center]*****[color=#FF0000] Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. Anciennement ( Le marocain_2007 ) [/color] *****[/center] [/b]
a
13 janvier 2008 19:23
salam alaykoum



Je pense qu'il va permettre à de nombreux électeurs démocrates de tourner leur veste et de voter républicains pour deux raisons principales: Il est noir et Musulman

rectif: Obama est chrétien protestant et non musulman
s
13 janvier 2008 21:50
Citation
El Chitane a écrit:
Il est évident que Sarko singe les américains mais souhaitons que leur philosophie politique reste sur leur continent!

De quelle philosophie politique s'agit-il ? Pouvez-vous nous en parler un peu ?


On voit qu'il suffit de quelques pleurs pour faire changer les votes, les tarés sont légions dans la 1ère puissance économique.[/quote]

Pourquoi les traitez-vous de "tarés" ? Est-ce que vous pensez que l'affectivité n'a pas sa place en politique ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/01/08 21:51 par sophos.
E
13 janvier 2008 23:56
Là on sent le parti pris??

Quelle affectivité, une déception provoquait par le score de son concurrent mais mis en exergue par les médias pour relancer la compétition.
Il suffit de se pencher sur l'histoire des premiers colons américains, d'analyser le comportement de l'américain moyen pour faire une rapide synthèse.
On sait tous que les politiciens sans l'appui des diasporas ne sont pas éligibles, alors que ce soit l'un ou l'autre la politique actuelle ne verra pas de grands changements.
Les faucons du Pentagone continueront à faire leur petite guéguerre à travers la planètes et les différentes diasporas appuieront des initiatives en direction de leurs pays respectifs!!
Vous croyez que ces politiques ont des problèmes affectifs à notre encontre lorsqu'ils nous gouvernent????
t
14 janvier 2008 10:23
OBAMA est sponsorisé par les républicains pour faire barrage à Clinton, étant donné qu'il est noir et avec des origines musulmanes ils savent que même avec tout l'argent du monde il sera jamais président ce qui n'est pas le cas de Clinton.
L
15 janvier 2008 15:28
Le Michigan, dernière chance pour le mormon Mitt Romney :

Après l'Iowa, le Wyoming -où seuls les républicains ont pour l'instant voté- et le New Hampshire -, voici donc le Michigan. Le grand Etat du Nord du pays, bastion de l'industrie automobile, rongé par le chômage, est ce mardi le 4e Etat à organiser ses primaires pour désigner les candidats des deux grands partis américains à la présidentielle de novembre.

Et, nouvelle illustration de la complexité du système de désignation, seul le scrutin républicain sera significatif. Afin de peser davantage sur le choix des candidats, les instances locales des deux formations ont en effet avancé les primaires. La direction centrale du parti républicain a laissé faire, celle du parti démocrate a mis son veto. En représailles, elle a supprimé tous les délégués alloués au Michigan à la convention. Résultat : Hillary Clinton, Barack Obama et Cie n'ont pas fait campagne. Et même si les électeurs du parti de l'âne sont appelés aux urnes ce mardi, leur vote comptera de fait pour du beurre.

L'enfant du pays

L'attention est donc concentrée sur le parti de l'éléphant. Et c'est peu dire que la situation est pour le moins confuse. Ils sont en effet trois à pouvoir viser la victoire. Tout d'abord, celui qui a le vent en poupe : John McCain. Vainqueur dans le New Hampshire la semaine dernière, le sénateur de l'Arizona a depuis pris la tête des sondages au niveau national. Ensuite, Mike Huckabee. Le pasteur baptiste, qui a gagné en Iowa le 3 janvier, devrait cependant avoir du mal à confirmer dans un Etat où les évangéliques, sur lesquels il base sa campagne, sont peu présents.

Enfin, Mitt Romney pour qui il s'agit de la dernière chance. Le milliardaire mormon avait misé beaucoup sur l'Iowa et le New Hampshire pour créer une dynamique en sa faveur. Or il s'est incliné les deux fois, face à Mike Huckabee puis John McCain. Il a dû se contenter d'un succès mineur dans le caucus du Wyoming. Un nouvel échec ce mardi dans son Etat natal, où son père fut gouverneur, sonnerait de fait le glas de ses espérances. Il est en effet loin d'être favori dans les Etats suivants, le Nevada et surtout la Caroline du Sud, où la forte communauté évangélique est très réticente à voter pour un mormon.

Le chômage de retour dans les débats

Pour espérer l'emporter dans un Etat sinistré par la crise, Mitt Romney, homme d'affaires ayant réussi dans le conseil en stratégie puis le capital risque, met en avant son expérience. "Je ne vais pas laisser un seul emploi quitter le Michigan ou n'importe lequel de nos autres Etats en gardant le sourire", a-t-il lancé. De son côté, Mike Huckabee a estimé qu'il était possible de faire revenir des emplois dans le Michigan, à condition de créer des conditions favorables. Dans son dernier clip de campagne, il met aussi en avant le fait que les Américains veulent comme président un "type qui pourrait être leur collègue, pas celui qui les licencie", allusion à peine voilée au passé de chef d'entreprise de Mitt Romney. A l'opposé, John McCain a défendu un langage de "vérité". "J'aurais honte et je serais gêné de dire que certains de ces emplois vont revenir", a-t-il avoué, promettant d'aider les chômeurs à se former à d'autres emplois.

Pour l'instant, les sondages donnent l'avantage à l'enfant du pays : Mitt Romney était donné en tête dans la dernière enquête publiée dimanche, avec 30% contre 22% à McCain et 17% à Huckabee.

Giuliani en fantôme

Derrière ce trio, Rudolph Giuliani continue de planer comme un ombre, ou plutôt comme un fantôme désormais. La stratégie de l'ex-maire de New York, qui a fait l'impasse sur toutes les premières primaires pour tout miser sur la Floride le 29 janvier puis le "Super-Mardi" du 5 février, commence en effet à avoir du plomb dans l'aile. En tête depuis plus d'un an dans tous les sondages nationaux, il a lourdement chuté dans les enquêtes publiées ce week-end.
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L
15 janvier 2008 15:30

Sondages : McCain s'envole, Giuliani s'écroule


John McCain, relancé par sa victoire mardi dernier dans lors de la primaire du New Hampshire, fait désormais la course en tête pour l'investiture républicaine. Les derniers sondages nationaux lui sont en effet extrêmement favorables. Selon une enquête New York Times/CBS News, il est soutenu par 33% des électeurs enregistrés comme républicains. En décembre, dans le dernier sondage, il ne recueillait que... 7%, soit une hausse de 26 points ! Pour CNN/Opinion Research, la progression est presque aussi spectaculaire : 34% contre 13%. Enfin, pour ABC News/WashingtonPost, le sénateur de l'Arizona passe de 12% à 28%. Dans les trois enquêtes, Mike Huckabee, stable, occupe la deuxième place, avec environ 20% des intentions de vote.

Derrière, Rudolph Giuliani a de quoi s'inquiéter. Depuis un an, l'ancien maire de New York avait presque toujours occupé la première place des sondages nationaux, avec un score oscillant entre 25 et 30%. Cette fois, il chute lourdement, n'obtenant que 18% au mieux pour CNN, soit une baisse de six points. Il semble payer son curieux pari. "Rudy" a en effet fait l'impasse sur les premiers scrutins pour concentrer sa campagne sur la Floride, qui votera le 29 janvier, et surtout le "Super-Mardi" du 5 février, où se prononceront une vingtaine d'Etats, dont la Californie, New York et l'Illinois, les gros pourvoyeurs de délégués à la convention. Cette stratégie l'a relégué au second plan depuis le début du mois et a en revanche focalisé l'attention sur ses adversaires.

Clinton toujours devant Obama

A noter cependant que côté républicain, le mormon Mitt Romney est donné vainqueur pour la primaire du Michigan, qui se déroule ce mercredi. Après ses défaites en Iowa et au New Hampshire -il avait terminé deuxième malgré ses débauches de moyens- l'ex-gouverneur du Massachusetts doit absolument l'emporter pour rester dans la course.

Chez les démocrates, les positions demeurent inchangées, avec Hillary Clinton devant Barack Obama. L'ex Première dame domine toujours son adversaire d'une dizaine de points, sauf pour ABC/Washington Post, où l'écart n'est que de cinq points (42 à 37). John Edwards est toujours loin derrière, avec au mieux 12%.
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E
15 janvier 2008 16:09
Encore une fois, il n'est pas noir!!! Son père est africain et sa mère d'origine européenne.
D'ailleurs qu'il soit élu ou pas, vu l'engagement de Petit Corps Agité pour la guerre contre l'Iran, on a l'impression que les dés sont lancés.
Vos pulsions religieuses vous poussent à étiqueter un individu en fonction de vos désirs et non de la réalité!!!
t
16 janvier 2008 13:04
Pour un blanc américain, café au lait ou noir ou protestant avec des grands parents musulmans c'est kif kif bourricot.

Si pour toi il est pas noir et pas musulman ça n'engage que toi et pas ceux qui devront voter pour ou contre lui.

A+
j
16 janvier 2008 20:27
Barack Obama est né le 4 août 1961 à Honolulu, Hawaï. Ses parents sont alors de jeunes étudiants. Son père, économiste et athée (bien que d'éducation musulmane), est un Kenyan, de l'ethnie luo, alors que sa mère – chrétienne – est une descendante de Jefferson Davis, le président des États Confédérés d'Amérique. Elle est également d'ascendance cherokee. Selon les affirmations de Lynne Cheney à la télévision le 17 octobre 2007, Barack Obama aurait une ancêtre commune, une Française, (à la 8e génération) avec le vice-président Dick Cheney. « Barack » signifie « béni » en hébreu, en arabe et swahili.

Barack Obama a également une ascendance irlandaise, un de ses grand-pères a émigré du comté irlandais d'Offaly.
L
17 janvier 2008 20:30

Etat-clé : Caroline du Sud , et le nevada :


Caroline du Sud, Etat de la communauté noire :

Capitale : Columbia
La Caroline du Sud est l'un des Etats les plus conservateurs du pays. Elle revendique avec force son identité sudiste -c'est là que débuta la guerre de Sécession en 1861. Ancien bastion des "Démocrates du sud", elle est désormais acquise aux républicains. La partie côtière est assez riche, alors que l'intérieur de l'Etat, rural, avec de nombreuses plantations de coton, est très pauvre. Avec 29% (contre 14% au niveau national), la communauté noire est l'une des plus importantes des Etats-Unis.


Quand vote-elle ?
- Parti républicain : le samedi 19 janvier.
- Parti démocrate : le samedi 26 janvier.


Quel est son mode de scrutin ?
Il s'agit d'une primaire dite "ouverte". Les électeurs peuvent choisir de voter dans la primaire du parti de leur choix, qu'ils soient enregistrés comme républicains, démocrates ou même indépendants. Côté démocrate, la répartition des délégués pour chaque candidat s'effectue à la proportionnelle. Côté républicain, le vainqueur remporte tous les délégués.


Combien de délégués envoie-t-elle aux conventions ?
- Parti démocrate : 53 (sur 4 049)
- Parti républicain : 24 (sur 2 380)


Pourquoi est-elle un "key state" ?
C'est à la fois l'un des premiers Etats à se prononcer et le premier Etat du Sud. Sa place est même stratégique : intervenant après l'Iowa, le New Hampshire et le Michigan, elle oblige un candidat battu ou mis en difficulté auparavant à l'emporter, sous peine d'être définitivement exclu de la course à l'investiture. Cette année, les victoires ayant été partagées, les vainqueurs prendront une petite longueur d'avane.


Qui sont les favoris ?
- Parti républicain : boosté par sa victoire dans l'Iowa et par la forte présence des évangéliques, Mike Huckabee est au coude-à-coude avec John McCain, devenu favori au niveau national. Longtemps en tête, Fred Thompson, d'origine sudiste, s'est écroulé, tout comme Rudolph Giuliani, qui fait l'impasse sur cet Etat. Une statistique d'importance : depuis 1980, tous les vainqueurs républicains en Caroline du Sud ont ensuite obtenu l'investiture.

- Parti démocrate : déjà vainqueur de la primaire en 2004, John Edwards mise beaucoup sur cet Etat : il y est né et a été sénateur de la Caroline du Nord voisine. Ce sera sûrement pour lui la dernière chance de rebondir. Barack Obama et Hillary Clinton se disputent quant à eux le vote de la communauté noire. La compétition s'annonce donc serrée, même si les sondages les plus récents sont plutôt favorables au sénateur noir de l'Illinois.

Nevada, les Hispaniques à l'honneur :

Capitale : Carson city
Symbolisé par Las Vegas, le Nevada est surtout connu pour être l'Etat du jeu. Les Hispaniques y sont surreprésentés (23% contre 14% pour l'ensemble des Etats-Unis). Sa population active, essentiellement ouvrière, permet aux syndicats d'avoir une influence importante. Le Nevada devant accueillir une usine de déchets nucléaires, ses habitants se sentent également très concernés par les problèmes d'environnement.


Quand vote-il ?
Le samedi 19 janvier.


Quel est son mode de scrutin ?
Il s'agit d'un "caucus". Seuls les militants de chaque parti peuvent participer au vote de l'élection des délégués à envoyer à la convention nationale. Ils doivent être physiquement présents dans les bureaux de vote. Le nombre de participants est donc limité. Leur choix peut s'effectuer à main levée.


Combien de délégués envoie-t-il aux conventions ?
Parti démocrate : 33 (sur 4 049)
Parti républicain : 37 (sur 2 380)


Pourquoi est-il un "key state" ?
Il est l'un des premiers à se prononcer. Sa place est même stratégique : intervenant après l'Iowa, le New Hampshire et le Michigan, il oblige un candidat battu ou mis en difficulté auparavant à l'emporter, sous peine d'être définitivement exclu de la course à l'investiture. Cette année, les victoires ayant été partagées dans les deux camps, il permettra au vainqueur de prendre une petite longueur d'avance. Le Nevada est aussi le premier Etat comportant une importante communauté hispanique à voter. Les candidats doivent donc adapter en partie leur discours pour l'attirer.

Un bémol néanmoins : le caucus républicain a eu lieu en même temps que la primaire républicaine de Caroline du Sud. Or les prétendants du parti de l'éléphant ont préféré ciblé cet Etat du Sud.


Qui sont les favoris ?
Parti républicain : Les derniers sondages reflètent généralement la tendance nationale, avec John McCain et Mitt Romney en tête . Parti démocrate : longtemps donné favoris dans cet état H.Clinton est menacé depuis quelque semaines par le sénateur de l'Illinois B.Obama
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L
18 janvier 2008 20:22
Quand Huckabee compare l'avortement à l'esclavage :

Les propos de Mike Huckabee vont probablement une nouvelle fois secouer une campagne riche en débat idéologiques. Dans un entretien accordé au site religieux beliefnet.com, le pasteur baptiste, candidat à l'investiture républicaine pour la présidentielle aux Etats-Unis estime que ce n'est pas "extrémiste que de vouloir définir le mariage" comme étant l'union d'un homme et d'une femme. "Etre extrémiste ce serait de changer la définition du mariage qui pourrait être l'union de deux hommes, de deux femmes, d'un homme et trois femmes, d'un homme et un enfant, d'un homme et un animal", a-t-il déclaré lors de cette interview. "Tout au long de l'histoire humaine, le mariage a signifié une relation d'un homme et d'une femme pour la vie. Si nous changeons cette définition, jusqu'où irons-nous?", a dit l'ancien gouverneur de l'Arkansas.

Sur le site internet de CNN, le porte parole de Human Rights (une organisation qui défend les droits de l'homme à travers le monde) s'est indigné des propos tenus par le candidat."Je pense que Mike Huckabee compare le mariage de deux personnes du même sexe à une forme de bestialité. Mais ce point de vue est en totale opposition avec pensée dominante qui existe aux Etats-Unis".

"Une logique de guerre civile"

Le candidat propose également d'amender la Constitution pour définir le début de la vie dès la conception et interdire l'avortement. "La Bible n'a pas été écrite pour être amendée, la Constitution des Etats-Unis si", affirme-t-il. "Même si la loi qui autorise l'avortement est abrogée, nous n'aurons pas gagné la bataille", fait-il remarquer car "en raison du système fédéral des Etats-Unis, l'avortement pourrait encore être permis dans certains Etats".

"C'est une logique de guerre civile. Ce serait comme si dire que l'esclavage est autorisé en Géorgie mais pas dans le Massachusetts. Cela n'a pas de sens. L'esclavage est mauvais, point. Ca ne peut pas être bien quelque part et mauvais autre part. Pour l'avortement, c'est pareil", a-t-il dit. Vainqueur des caucus de l'Iowa, Mike Huckabee est un des favoris républicains des primaires de Caroline du Sud prévues samedi.
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L
20 janvier 2008 15:40
Précieuse victoire de Clinton dans le Nevada :

Après sa victoire sur le fil au New Hampshire le 8 janvier, Hillary Clinton a empoché samedi le Nevada. Une deuxième victoire sur trois consultations. Elle est créditée de 51% des suffrages, contre 45% pour son grand rival Barack Obama , Cette victoire pourrait renforcer ses chances pour la primaire démocrate de Caroline du Sud samedi prochain, pour laquelle Barack Obama est actuellement crédité d'une avance de 7 points par le site internet RealClearPolitics.

Après les résultats, Barack Obama a revendiqué plus de sièges de délégués que Hillary Clinton (13 contre 12) grâce à de bons résultats en zones rurales, alors que le processus de primaires sert à empocher des délégués dans la perspective de la convention du parti qui désignera officiellement le candidat fin août à Denver (Colorado, ouest). John Edwards, dont la candidature est éclipsée par ce duel de stars, aurait recueilli moins de 4% des suffrages.

Quelques heures plus tôt l'ex-gouverneur du Massachusetts Mitt Romney avait remporté les caucus républicains du Nevada, pour lesquels ses adversaires lui avaient pratiquement laissé le champ libre. Il était crédité de 52% des suffrages, contre 13% pour John McCain et 13% pour le libertaire Ron Paul.

Victoire de McCain

En Caroline du Sud, le républicain John McCain a remporté samedi une primaire cruciale dans la course à l'investiture pour la présidentielle américaine de novembre. Le sénateur de l'Arizona John McCain, héros de la guerre du Vietnam, était crédité de 33% des voix après dépouillement de 88% des suffrages, devançant l'ex-pasteur baptiste de l'Arkansas Mike Huckabee, crédité de 30% des voix. C'est sa deuxième victoire après celle du New Hampshire le 8 janvier.

Cette victoire pourrait s'avérer décisive dans la course à l'investiture républicaine, car la Caroline du Sud, premier Etat du Sud à voter, joue traditionnellement un rôle de faiseur de rois dans le parti présidentiel. Il y a huit ans, McCain y avait échoué face à George W. Bush.
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L
20 janvier 2008 15:46
Pour gagner l'investiture les candidats républicains et démocrates doivent réunir un nombre précis de délégué pour les républicains c'est 1191 pour obtenir l'investiture de son partis pour les démocrates c'est 2025 délégué .

Voici le nombre acquis actuellement de délégué pour les principaux candidats :

Démocrates :

Barack Obama : 25
Hillary Clinton : 24
john Edwards : 18


Républicain :

Mike Huckabee : 19
Mitt Romney : 46
John McCain : 15
Fred Thompson : 6
Ron Paul : 2
Rudy Giuliani : 0
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L
23 janvier 2008 18:30
Obama-Clinton, le débat vire au clash :

La journée avait pourtant débuté le consensus. Hillary Clinton et Barack Obama, ainsi que John Edwards, s'étaient ainsi retrouvés à Columbia, la capitale de la Caroline du Sud, pour une grande marche de l""unité" autour du souvenir de Martin Luther King. Après la polémique de la semaine dernière sur l'héritage du pasteur noir, ils avaient fait preuve d'amabilité lors de leurs discours respectifs pour ce jour férié en l'honneur de "MLK".

Comme on pouvait s'y attendre, cette trêve fut de courte durée. La politique et la campagne ont vite repris leurs droits pour le débat télévisé sur CNN qui a opposé les rivaux du parti de l'âne. Il s'agissait là du dernier affrontement de ce type avant samedi prochain, jour de la primaire démocrate de Caroline du Sud. Ce scrutin s'annonce crucial : pour l'instant, Hillary Clinton mène par deux victoires à une face à Barack Obama (New Hampshire et Nevada contre Iowa).

Or la Caroline du Sud, premier Etat du Sud à voter, est aussi la dernière primaire démocrate avant le "Super-Mardi" du 5 février. Son vainqueur bénéficiera d'une dynamique positive. Surtout, elle est composée d'une forte communauté noire, qui représente plus de la moitié de l'électorat démocrate. Chacun des deux prétendants cherchent à s'attirer ses votes. Hillary Clinton mise sur la popularité de son mari auprès des Noirs -Bill Clinton fut surnommé le "Premier président noir"- tandis que Barack Obama, sans pour autant le revendiquer, espère bénéficier d'un vote communautaire.

Quel rôle pour Bill Clinton ?

Les observateurs s'attendaient donc à un débat acerbe entre Barack Obama et Hillary Clinton, Ils ne furent pas déçus. Dès la première question, portant sur l'économie, les deux candidats ont affiché leurs différences sur un ton de plus en plus violent et jamais vu jusqu'à présent dans la campagne. En l'espace de quelques minutes Hillary Clinton a accusé son rival d'avoir accepté de l'argent pour financer sa campagne d'un homme d'affaires soupçonné de fraudes avant de se faire qualifier d'"avocate d'affaires siégeant au conseil d'administration de Wal-Mart".

Deuxième angle de la soirée : le rôle de Bill Clinton. La passe d'armes a débuté avec les récentes remarques de Barack Obama sur le bilan de l'ancien président républicain Ronald Reagan. Le sénateur de l'Illinois a affirmé que l'ancienne Première Dame déformait systématiquement ses propos, en suggérant qu'il qualifiait ce bilan de positif. "Je n'ai jamais rien dit à ce propos", a alors répliqué Hillary Clinton. "Votre mari, si", a répondu agacé et visiblement en colère Barack Obama. "C'est moi qui suis devant vous, pas lui", a répondu sur le même ton Hillary Clinton. "Quelquefois, je ne sais pas vraiment qui sont mes rivaux dans cette campagne", a conclu Barack Obama (cliquez ici pour voir la vidéo).

Cette polémique sur le rôle de Bill n'est pas anodine : depuis plusieurs jours, certains adversaires de Hillary Clinton, tous camps confondus, la raille en la surnommant "Billary". Il est vrai que l'ancien locataire de la Maison-Blanche fait activement campagne en faveur de son épouse, notamment en Caroline du Sud.

"Chamailleries"

Après une nouvelle salve sur l'Irak, John Edwards, le troisième candidat, est intervenu pour calmer les esprits. Malgré ses mauvais scores et certaines rumeurs d'abandons, il a également annoncé qu'il restait dans la course et que les échanges entre Clinton et Obama ne l'incitaient pas à se retirer. "Pouvez-vous me dire combien d'enfants pourront avoir accès à une couverture médicale avec ce genre de chamailleries ?" a-t-il lancé.
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L
25 janvier 2008 13:44
"Obama n'a pas intérêt à racialiser la campagne" :

François Durpaire est chercheur au Centre de recherches d'histoire nord-américaine à l'Université de Paris I. Il est notamment spécialiste des questions des minorités raciales. Il est co-auteur de L'Amérique de Barack Obama (Editions Demopolis).


LCI.fr : Le vote noir est-il indispensable pour gagner la primaire démocrate en Caroline du Sud, qui a lieu ce samedi ?
François Durpaire : Oui et non. Oui car la communauté noire représente environ 50%de l'électorat démocrate. Non car un candidat qui ferait le plein des voix chez les Blancs pourrait théoriquement l'emporter, à condition que celles des Noirs se divisent entre plusieurs candidats. Mais il est vrai que globalement, on ne peut pas se passer du vote noir pour gagner dans cet Etat.

LCI.fr : Comment se présente cette primaire ?
F.D. : La donne y est bouleversée par le profil des candidats. Obama est noir, Hillary Clinton bénéficie de la forte popularité de Bill dans la communauté noire et John Edwards, qu'il ne faut pas oublier, est l'enfant du pays. On a donc une sorte de triangulaire avec deux Blancs et un Noir, ce qui racialise de fait le scrutin.

D'ailleurs, la primaire ne se jouera pas uniquement sur le score d'Obama chez les Noirs ou de Clinton chez les Blancs. Ils devraient en effet chacun l'emporter dans leur communauté "raciale" respective. La clef se situe sur la capacité d'Obama de réaliser un meilleur score chez les Blancs que Clinton chez les Noirs. D'après les sondages, il obtiendrait ainsi 20% d'intentions de vote chez les Blancs, ce qui était encore inimaginable il y a vingt ans. Il y devance même Edwards. Pour résumer, Obama, en 2e position, chez les Blancs, fera-t-il mieux que Clinton, en 2e position, chez les Noirs ?

LCI.fr : Les Noirs sont-ils tiraillés entre Obama et Hillary Clinton, puisque que Bill Clinton est très populaire dans la communauté ?
F.D. : C'est vrai que la phrase "Bill Clinton is the first black president" ("Bill Clinton est le premier président noir"winking smiley tourne en boucle dans tous les médias. Les Clinton ont surtout des réseaux très forts parmi la communauté noire. Or celle-ci est très structurée autour de ses leaders, dont l'influence est primordiale.

Néanmoins, il semble que la dynamique nationale soit désormais favorable à Obama. Le mois dernier, il obtenait 39% d'intentions de vote chez les Noirs contre 52% à Clinton. Aujourd'hui, à la veille du scrutin, Obama est à 60% et Clinton à 32%.


LCI.fr : Comment expliquer cette inversion de tendance ?
F.D. : Tout d'abord, le mois dernier, Clinton était la candidate la plus crédible. Les Noirs ne voulaient pas gâcher leur vote en choisissant Obama. L'important, pour eux, était de ne pas prendre le risque d'une victoire d'un républicain en novembre. Mais grâce à sa victoire en Iowa, un Etat blanc, la candidature d'Obama est devenue crédible à son tour. Elle lui a permis d'asseoir sa stature de présidentiable.

Ensuite, c'est le résultat de la stratégie de campagne d'Obama. Dans la première phrase de son discours de victoire en Iowa, il s'est adressé à la communauté noire en lançant "They said this day would never come" ("Ils disaient que ce jour ne viendrait jamais"winking smiley. Il faisait ainsi écho à Martin Luther King .

Enfin, plus globalement, dans leur inconscient collectif, les Noirs continuaient de penser que l'Amérique n'était pas prête à élire un président noir, au contraire des Blancs. La victoire d'Obama dans l'Iowa et son bon score au Nevada a été un détonateur. L'idée est désormais ancrée dans la communauté. "Ils attendaient un signe", souligne d'ailleurs le camp Obama. Et ce signe est venu des Blancs de l'Iowa !


LCI.fr : Même s'il ne base pas sa campagne sur le vote communautaire, Obama tente donc néanmoins de récupérer le vote noir en jouant sur ses origines. Ne fait-il pas là un grand écart ?
F.D. : C'est en effet son grand dilemme : comment être noir et gagner le vote noir dans le Sud tout en conservant sa stratégie globale de dépassement du clivage communautaire. Pour y remédier, il a mis en place des méthodes périphériques.

Il a tout d'abord beaucoup utilisé sa femme Michelle, un peu à la manière de Hillary Clinton avec Bill. Obama, qui n'est pas Afro-Américain, n'est pas nécessairement le "frère idéal" pour les Noirs du Sud. Or Michelle, Afro-Américaine, est justement la "sœur idéale". Elle a sillonné la Caroline du Sud alors qu'il faisait campagne dans le Nevada.

source : LCI



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/01/08 13:45 par Le marocain_2007.
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L
27 janvier 2008 16:39
Précieuse victoire pour Obama en Caroline du Sud :

Le suspense va durer jusqu'au "Super Tuesday". Barack Obama s'est relancé dans la course à l'investiture démocrate pour la présidentielle américaine en remportant largement samedi la primaire de Caroline du Sud. Le sénateur de l'Illinois devait absolument gagner pour conserver toutes ses chances dans la course à l'investiture face à sa rivale, Hillary Clinton.

"Nous formons la coalition d'Américains la plus diversifiée que nous ayons vue depuis longtemps", a déclaré Barack Obama, ovationné par plus d'un millier de partisans dans le centre de convention à Columbia, la capitale de l'Etat. "Il y a des jeunes et des anciens, des riches et des pauvres. Il y a des Noirs et des Blancs, des Latinos, des Asiatiques et des Indiens", a noté Barack Obama qui cherche à se démarquer de l'image du candidat soutenu d'abord par les Noirs.

Un Super Tuesday décisif

Sur 99% des bureaux de vote, le sénateur s'est imposé avec 55% des suffrages, devant Hillary Clinton (27%) et le troisième prétendant John Edwards natif de Caroline du Sud (18%), un résultat qui dépasse largement toutes les prévisions. Selon les sondages de sortie des urnes, le sénateur noir a raflé 81% des votes noirs, devant l'ex-Première Dame des Etats-Unis Hillary Clinton, qui aurait remporté 17% des suffrages noirs. C'est l'ex-sénateur de Caroline du Nord John Edwards qui arrive premier parmi les électeurs blancs, avec 39% des votes, devant Hillary Clinton (36%) et Barack Obama (24%), selon les mêmes sondages. Autre fait marquant : la participation record des électeurs de Caroline du Sud à ces primaires démocrates : selon des chiffres provisoires, quelque 532.000 électeurs ont voté, contre moins de 300.000 en 2004.

L'ex-Première Dame, favorite au niveau national, a reconnu la victoire de son rival. "J'ai appelé le sénateur Obama pour le féliciter", a-t-elle déclaré. "Nous tournons désormais notre attention vers les millions d'Américains qui vont faire entendre leurs voix dans les 22 Etats qui voteront le 5 février", a déclaré l'ex Première Dame, faisant référence au "Super Tuesday", où voteront d'importants Etats comme la Californie, le New Jersey et New York. Il est probable, mais pas certain, que le nom du prochain candidat démocrate émergera à l'occasion du "Super Tuesday". De son côté, John Edwards n'a pas l'intention de jeter l'éponge. "Maintenant, tous trois nous nous dirigeons vers le 5 février, quand des millions d'Américains se prononceront et façonneront l'avenir de ce parti, l'avenir de l'Amérique", a-t-il dit à l'issue du vote

Du côté républicain, le sénateur de l'Arizona John McCain s'est imposé samedi dernier en Caroline du Sud, dans l'attente des primaires de Floride, mardi, où l'ex-maire de New York Rudy Giuliani joue son va-tout.
Merci d'enrichir le débat , sans dévier du débat . [b] [center]*****[color=#FF0000] Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. Anciennement ( Le marocain_2007 ) [/color] *****[/center] [/b]
L
27 janvier 2008 16:41

Pour gagner l'investiture les candidats républicains et démocrates doivent réunir un nombre précis de délégué pour les républicains c'est 1191 pour obtenir l'investiture de son partis pour les démocrates c'est 2025 délégué .

Voici le nombre acquis actuellement de délégué pour les principaux candidats :

Démocrates :

Barack Obama : 38
Hillary Clinton : 36
john Edwards : 18


Républicain :

Mike Huckabee : 26
Mitt Romney : 66
John McCain : 38
Ron Paul : 6
Rudy Giuliani : 1


comptage fait après les primaires de la caroline du sud .
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L
29 janvier 2008 18:13
Giuliani entre en course en Floride :

Que vaut exactement Rudolph Giuliani dans la course à l'investiture républicaine ? Si l'on excepte la lecture de sondages, forcément dangereuse, bien malin qui peut vraiment le dire. L'ancien maire de New York a en effet mené une stratégie peu banale. Il a tout d'abord estimé que les premiers scrutins, dans des petits Etats envoyant peu de délégués à la convention, ne l'avantageaient pas en raison de la structure de l'électorat républicain, peu favorable à ses thèses libérales. Il n'y a donc pas fait campagne, préférant se concentrer sur la Floride, 4e Etat du pays qui vote aujourd'hui avec 57 délégués en jeu -tous acquis par le vainqueur-, et le "Super-Mardi" du 5 février, où plus de vingt Etats se prononceront, dont la Californie, New York et l'Illinois.

Conséquence : alors qu'il n'a obtenu logiquement que de faibles scores en Iowa ou dans le Michigan , John McCain et Mitt Romney et à un degré moindre Mike Huckabee, ont quant à eux pris les devants. Les deux premiers, avec environ 30% d'intentions de vote en Floride, bénéficient désormais d'une réelle dynamique positive et se retrouvent au coude-à-coude dans les derniers sondages pour la primaire de ce mardi. Rudolph Giuliani, longtemps leader, s'est quant à lui écroulé en janvier et se retrouve désormais loin derrière, avec à peine 15%.

Laborieux sur l'économie

La punition pour "Rudy" est la même au niveau national. Après avoir fait la course en tête toute l'année 2007 avec grosse modo 30% selon les instituts, il s'est également effondré en quelques semaines et stagne désormais également aux alentours de 15% (cliquez ici pour voir notre infographie). Mardi prochain, il est même donné battu dans l'Etat de New York face à John McCain, un comble pour celui qui a bâti sa popularité sur sa gestion -controversée il est vrai- du 11-Septembre.

Pour ne rien arranger, alors qu'il avait axé son programme sur la sécurité contre le terrorisme, l'économie s'est invitée dans les débats avec les craintes de récession. Et c'est peu dire si Rudolph Giuliani ne s'est pas montré très pertinent dans ce domaine. La population de Floride, morcelée en communautés sociales et raciales (20% d'Hispaniques, 16% de Noirs), rend également difficile l'adhésion d'une majorité pour faire pencher la balance. Bref, alors que le "Sunshine state" ("L'Etat ensoleillé"winking smiley devait le mettre en orbite pour l'investiture du parti de l'éléphant, elle pourrait n'être que la première étape de l'enterrement de ses ambitions.

McCain joue l'Irak, Romney l'économie

Rudolph Giuliani trouve donc désormais sur sa route le duo McCain-Romney. Le premier a gagné au New Hampshire et en Caroline du Sud, le second s'est imposé dans la grosse primaire du Michigan, et dans les petits caucus du Wyoming et du Nevada. Mike Huckabee, gagnant du premier scrutin en Iowa, semble lui hors course en Floride et plus globalement pour l'investiture. Mais l'ancien pasteur mise toujours sur sa popularité chez les évangéliques pour décrocher le poste de colistier, quel que soit le candidat.

Ancien héros du Vietnam, John McCain espère tirer profit de la forte concentration d'anciens combattants en Floride pour s'imposer. Ce n'est ainsi pas un hasard s'il a attaqué Mitt Romney sur l'Irak ces derniers jours, accusant son adversaire d'être un partisan d'un calendrier de retrait des troupes. Comme dans le Michigan, Mitt Romney met quant à lui en avant son profil de businessman pour convaincre qu'il saura trouver les solutions à la crise économique. Le caucus de dimanche dans le Maine ayant peu d'importance, le vainqueur du duel prendra de fait une belle option sur l'investiture avant le "Super-Mardi".
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L
4 février 2008 20:32

Pour gagner l'investiture les candidats républicains et démocrates doivent réunir un nombre précis de délégué pour les républicains c'est 1191 pour obtenir l'investiture de son partis pour les démocrates c'est 2025 délégué .


Voici le nombre acquis actuellement de délégué pour les principaux candidats :


Démocrates :

Barack Obama : 158
Hillary Clinton : 232


Républicain :

Mike Huckabee : 29
Mitt Romney : 92
John McCain : 97


comptage fait après les primaires de la Floride et la caroline du sud .
Merci d'enrichir le débat , sans dévier du débat . [b] [center]*****[color=#FF0000] Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. Anciennement ( Le marocain_2007 ) [/color] *****[/center] [/b]
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