Si comme moi vous avez l'impression d'être mis sur la touche sur le marché de l'emploi, j'aimerais avoir vos réactions et connaitre vos expériences. Vers quels secteurs se diriger! Nos origines sont aujourd'hui un frein net à l'emploi, c flagrant. On ne vous accepte vraiment que pour des remplacements. Il faut vraiment q cela change, parceq c une situation trop lourde. Malgrès nos diplômes, nos expériences, notre savoir faire et savoir être, nous sommes a chaque fois évincé du marché de l'emploi. C une situation trop difficile, qui entraine un grave déséquilibre dans notre vie sociale...Il fo q cela change , mais comment?
que la france soit moins hypocrite tout simplement
les etudes statistiques montrent que le tx de chomage français et de 10%....et celui des français maghrebins de 30%....soit 3 fois plus touché par le chômage
mais la france dit un français et un français, c'est beau, on est egaux....mais la réalité est toute autre et 1 français de souche = 3 arabes, c'est aussi simple que ça
faut que la france bouge et voit la réalité comme le voit l'angleterre par exemple qui a 2 commissions rattachées directement au ministère de l'emploi et qu travaillent specialement pour l'integration des minorités, et qui sont composées de personnes issues de ces minorités........le nombre de procès gagnés en angleterre pour cause de discrimination au travail est exponentiellement plus elevé que ceux gagnés en france et qui se comptent sur les doights de la main, il n'y a pas de volonté politique tout simplement............mais c'est normal, quand le gouvernmeent lui même n'integre pas ces minorités, pourquoi les entreprises du privé le ferait???....
sinon bon courage, faut cravacher 3 fois plus tout simplement.........et franchement soyez communautariste, ça ne marche que comme ça...alors faisons de même sinon on sera bouffé et tous les jeunes resteront avec leur RMI minable qu'on leur donne pour se donner bonne conscience
comme diraient sûrement les anglais sur la france qui se targue d'être sociale:
pourquoi être sociale si vous avez 10% de chomage??? diminuez le chomage et vous aurez pas besoin d'être trop sociale
un jeune qui touche le rmi, qu'est ce qu'il s'en fou du RMI, du social, du moment qu'il a un salaire
la discrimination a l'embauche est plus persceptible en province qu'en ile de france il faut tenter sa chance a paris et puis il faut faire plus d'effort qu'un francais de souche (c malheureux mais c comme ca ) sinon se tourner vers la fonction publique (passer des concours) la il y a pas de discrimination
Il vraix q dans les organismes d'états, la discrimination est très marquée. Aussi, dans les organismes de sécu, il é rare de voire des personnes d'origines magrébines. Dans les collectivités,on peut en rencontrer mais souvent dans des postes d'éducateurs...ect. Dans les 2 cas la carrière é souvent bloqué.
Et non maleureusement...peut être pas dans l'Education nationale...mais dans la fonction territoriale , elle existe maleureusement. Et puis pour ce qui é de l'éducation national encore fo t il avoir le concours et vouloir y entrer.
C sure que j'essaye de dépasser cela, tout simplement parceque l'on nous donne pas le choix. Cela etant , le fait d'être constamment dans l'instabilité professionnel, c usant...
rifton75 a écrit: ------------------------------------------------------- > la discrimination a l'embauche est plus > persceptible en province qu'en ile de france il > faut tenter sa chance a paris et puis il faut > faire plus d'effort qu'un francais de souche (c > malheureux mais c comme ca ) sinon se tourner vers > la fonction publique (passer des concours) la il y > a pas de discrimination
c vrai qu'à paris, c pas le cas, j'ai fais bcp de boite et j'ai vu bcp d'arabe mais pas à des postes de balayeurs, ils ont des postes importants, g travaillé au siège d'une banque à la défense, et le grand patron était algérien, je vois bcp d'arabe qui occupent de bons postes un peu partout, mais dans la fonction publique c vrai qu'on en voit encore plus. après faut voir aussi le niveau d'étude
Les faits sont là, quand vous envoyez votre candidature, 70% de chance pour qu'elle va à la corbeille directement, cela je l'ai vu dans une emission de 2M hier, où il presentaient quelques femmes qui ont bien réussi dans l'administration française.
La discrimination (le racisme), on le subit tous, à un moment ou un autre, parce que dans la mentalité populaire, on est bon qu'à se faire insulter et exploiter, et nous comme des moutons, nous nous laissons faire, alors que tous les jeunes ont un potentiel qu'ils ne connaissent pas, celui de l'union, union syndicale, union à but lucratif, union de pression electorale, et d'autres, on est tellement cloîtré par notre individualisme que forcement, rien ne marche, nous pouvons faire inverser des tendances, par exemple avec notre pertinence à ne manger que Halal, on réussit à faire tourner des têtes de dirigeants agro-alimentaires, pourquoi pas dans notre vote, il est vrai que dans nos quartiers, il n'y a personne qui vienne pour nous dire : "Eh vous savez vous qui travailliez comme tout le monde et qui ne posaient pas la question, pourquoi les beaux quartiers sont mieux entretenus que les nôtres? pourquoi ne sommes nous pas égal à ce point? Pourtant on paie des impôts?"
Et que tenteront ils de faire? nous diviser, nous dire que notre message est entendu, mais à causes de la mauvaise volonté d'autres, que l'on peut rien faire.
J'ai eu du mal à trouver du travail au début, comme l'a dit hakim75, il faut cravacher et ne pas abandonner, c vrai que les gros diplômes (bac+5 et au dessus) apportent un argument qui peut faire jouer la discrimination devant un tribunal, sinon quand on est jeune, ce qui compte, c'est les expériences, si à 23 ans on veut se caser dans une planque en forme de "bureau et machine à café" jusqu'à la retraite, c'est un choix, pour ma part, je n'ai pas attendu qu'un gars me disent "soyez patient on vous rappelera", mon premier travail je l'ai trouvé dans un pays etranger, tellement je galerais au chômage, je n'avais rien à perdre, je l'ai fait, devinez quoi, la stupidité voulait qu'à mon retour de l'etranger que je ne suis plus au chômage, à cause d'un nom de société etrangère à la pointe de la technologie, ce que j'ai omis dans mon C.V, c'est que tout le temps j'étais "Hareg", un ami docteur dans un spécialité de la physique appliqué, a pipoté dans son c.v. une expérience bidon de 3 ans, avec le diplôme, 3 ans de érémi et un peu de culot, il s'est trouvé un bon travail avec un super salaire...
Voilà, faut essayer toutes les issues, sinon il n'y a pas mieux que Tijjara, être son propre patron évite beaucoup de problèmes...
[hr][b]L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.[/b] (Sun Tzu)
Enfin de toute façon, il n' y a pas grand chose a faire...cela existe. on peut tjrs tenter les Prud'hommes, et je pense q g suffisemment d'éléments pour avoir gain de cause. Je vous conseil alors, de bien conserver les écrits si vous devez rentrer dans ce genre de procédure.
PARIS (Reuters) - Jacques Chirac a plaidé jeudi pour la diversité sociale et culturelle dans les grandes écoles et l'entreprise, au nom de l'égalité des chances, tout en réaffirmant son opposition au concept de "discrimination positive" défendu notamment par Nicolas Sarkozy. [2005-06-23 13:36]
Le chef de l'Etat a installé la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), qui, sous la présidence de Louis Schweitzer, a pour mission de combattre toutes les formes de discrimination - racisme, sexisme, intolérance religieuse, homophobie.
Toute personne qui s'estime victime de discrimination peut faire appel à la Halde, qui est habilitée à saisir le parquet.
"Les discriminations sont un poison pour notre démocratie et notre cohésion nationale", a souligné Jacques Chirac en présence notamment du Premier ministre, Dominique de Villepin, et du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy.
"La couleur de la peau, la consonance d'un nom ou d'un prénom, l'accent, voire une simple adresse, tous ces signes ne veulent rien dire en République", a-t-il affirmé.
"Pour que la France reste elle-même, nous devons désamorcer les tensions qui traversent aujourd'hui notre société et qui risquent de déchirer notre pacte républicain", a estimé Jacques Chirac.
De là à promouvoir le concept de "discrimination positive", un "tabou" que le président de l'UMP se prévaut d'avoir levé, le chef de l'Etat a jugé qu'"il y a une limite que nous ne devons pas franchir", au risque de tomber dans le "communautarisme".
"Elle toucherait à ce qui fait à mes yeux notre identité même. Elle consisterait à choisir une conception dans laquelle certains Français devraient se définir par rapport à leur origine pour faire valoir leurs droits", a-t-il expliqué.
Pour Jacques Chirac, c'est "une "conception qui conduirait à consacrer juridiquement les inégalités et qui ouvrirait la voie au communautarisme".
CHIRAC PRÔNE LA MÉRITOCRATIE
Comme antidote au "poison", le chef de l'Etat a souhaité que tout soit mis en oeuvre "pour lever les obstacles qui empêchent tant de nos concitoyens de réussir par leur mérite et leur talent ou tout simplement d'avoir toute leur place dans notre société".
Il a suggéré des pistes à cet égard, "dans deux domaines où beaucoup reste à faire" : l'enseignement et l'entreprise.
"La promotion sociale par l'éducation ne saurait s'arrêter aux portes de l'enseignement supérieur", a estimé Jacques Chirac. "On le sait, lorsqu'il s'agit d'accéder à des classes ou établissements d'enseignement supérieur pratiquant une sélection juste après le baccalauréat, les discriminations sociales et territoriales sont réelles".
Aussi le président de la République a-t-il demandé au ministre de l'Education, Gilles de Robien, de "faire rapidement des propositions sur le dispositif à mettre en oeuvre" pour élargir l'accès aux grandes écoles, et "sur l'accompagnement social et les aides spécifiques qu'ils suppose".
Il a également invité grandes écoles et universités à passer "avant la rentrée 2006" des conventions de parrainage avec les lycées les plus défavorisés.
Cinquante-sept écoles de management ou d'ingénieurs se sont d'ores et déjà engagées à ouvrir à la rentrée prochaine leur recrutement en direction des lycéens des quartiers sensibles (ZEP). L'Essec a mis en oeuvre il y a trois ans un dispositif de tutorat des élèves de seconde, tandis que Sciences Po a lancé une filière spécifique de recrutement en partenariat avec des lycées de ZEP.
Environ 60% des élèves intégrant les grandes écoles sont des enfants de cadres.
Jacques Chirac veut par ailleurs que "les entreprises prennent conscience des avantages de la diversité", pour que "chaque client ou usager puisse se reconnaître".
Le chef de l'Etat a notamment cité le secteur de l'audiovisuel. "Il faut que nos écrans soient le reflet de la diversité nationale".
"Les partenaires sociaux sont les mieux à même d'avancer dans ce domaine. Je leur demande de s'engager, dès que possible, dans une négociation interprofessionnelle sur la diversité", a indiqué Jacques Chirac.
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