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Nos diplomates qui nous font honte
L
9 janvier 2011 17:39
Jusqu'à quand, nos compatriotes qui ont "soit disant" la main longue au Maroc et les entrées au palais continueront à importer leur arrogance en France et à nous faire honte, comment un diplomate, haut fonctionnaire, se cache derrière l'immunité diplomatique pour échapper aux lois, et comment un diplomate peut encore exercer sans scrupules alors que 5 plaintes ont été déposées contre lui devant les tribunaux Français.
Esclavagisme, mal traitance, harcèlement...
Est ce que l'immunité diplomatique est faite pour protéger des criminels?
Comment nos services consulaires de Bordeaux n'ont rien signalé aux Ministère des affaires étrangères?
N'y a t'il donc aucune limite pour ces gens?
m
9 janvier 2011 21:58
Bonsoir chère compatriote,

Je crois savoir de qui vous parlez , ce haut fonctionnaire fassi du consulat de Bordeaux qui continue à exercer en toute impunité malgré les plaintes de son ancienne femme de menage pour maltraitance et harcelement...je connais l'histoire pour avoir rencontré un proche de cette pauvre jeune femme qui en a vu de toutes les couleurs avant de reussir à s'echapper
C'est scandaleux !
L
9 janvier 2011 22:49
oui c'est bien lui, il la payait 80€ par mois sans week-end ni vacances et l'a empêché de se marier, en plus elle a aussi porté plainte pour viol et maltraitance, mais que peut 'elle faire quand elle a de la famille pauvre au pays qu'il a menacé de mettre en prison.
b
12 janvier 2011 23:40
sous quel statut cette femme de ménage est rentrée en France ? Certainement pas sous celui de diplomate ? Alors si c'est en tant que touriste d'abord et clando séquestrée par la suite, les autorités préfectorales de Gironde et les services consulaires qui ont delivrés le visa sont complices de l'éxercice de traite et d'esclavagisme.
Il appartient aux affaires étrangères marocaines de sévir contre de telles attitudes si elles s'avèrent confirmées et si le royaume veut aux yeux du monde fournir l'image de l'irréprochable.
l
13 janvier 2011 10:48
Vu comment ils nous traitent j'imagine comment il traite cette pauvre fille ramené en France pour être esclave .....!!
c'est une honte et son statut de pourriture internationale avec !
L
13 janvier 2011 19:59
Elle est rentrée sur le territoire français en tant que personnel consulaire, avec un passeport de service, elle a passé 2années et demi à son service et n'a pu échapper que grâce à la complicité de son mari qu'elle a épousé en cachette et s'est enfuie avec lui, a porté plainte et après une année d'enquête quand l'enquête a enfin abouti, il l'a obligé à retirer sa plainte sous la menace.
Mais que voulez vous quand on est le mari de la fille du conseiller du Roi, on peut se permettre beaucoup de choses même en France.
a
13 janvier 2011 20:52
C EST A CAUSE DE TOUTES CES RAISON QUE NOUS NOUS DEVONS DE FAIRE QUELQUES CHOSE
MAROCAIN D OU QU ON SOIT.

PARLEZ D UNE SEULE VOIX POUR BIEN ETRE ENTTENDU

COMBIEN D AUTRE FEMME DANS CE CAS ET COMBIEN D ENFANT QUI SOUFFRE DE CETTE MINORITER DE CRIMINELS QUI SE CROIT TOUS PERMIS.
ET TOUTES CETTE CRIMINALITER BAS DE GAMME QUI FAIT QU AU MAROC IL Y A ENCORE DES BIDONVILLES
A COTE DE GRAND HOTEL DE LUXE

DES BIDONVILLES EN 2011 DANS NOTRE CHERES ET BEAU PAYS (PARDON MON DIEU)

JOURNEE DES MRE ETE 2011 A VOIR SUR LE FORUM
M
6 février 2011 23:19
Le consulat de Bordeaux fait parler de lui sur YABI et que de mauvaises choses.
Mais il faut avouer que c'est le bouquet, diplomate esclavagiste, mais pourquoi, ne sont 'ils pas assez bien rémunérés pour payer le personnel de maison dignement ??
Quelle honte !!!
Je trouve pas les mots, ils sont tout simplement habitués à l'esclavagisme au Maroc et ils peuvent pas s'en passer.
Que fait le consul de Bordeaux ??
7 février 2011 23:02
C'est honteux!!!!!!!!!!!

Quelle arrogance! ils se croient au dessus de tout le monde. Allez faire un tour dans les supermarchés, les marchés des quartiers huppés, et vous verrez comment ils traitent des petites filles un peu plus haute que trois pommes.
Des fois, j'ai envie de leur rentrer dedans mais bon, il faudra que la société civile continue sont travail qui est formidable et dénoncer tout les abus.
b
7 février 2011 23:49
faisons une révolution contre ces fasshhistes
M
26 février 2011 21:14
c'est à cause de ces gens là qu'on a envie que le vent de la colère atteigne le Maroc et que ces impunis et ces privilégiés soient bannis, BARAKA MEN LHOGRA. Pourquoi maltraiter ou sous payer quand on a tous les privilèges offerts par L'ETAT. Juste pour le plaisir je suppose ou pour perpétrer les traditions de leurs ancêtres esclavagistes, tous ces fassi ont eu leur DADA et croient que nourrir une femme de ménage est déjà un grande faveur, alors pourquoi la payer, pour qu'elle s'améliore??? mais alors en quoi ils seront meilleurs si leur femme de ménage était payée au Smic français, il manquerait plus que ça Tbarkellah !!
CE N EST QU UNE TAUPE COMME LE DIT SI BIEN KADDAFI....
C'est de cette manière qu'est traité le commun du peuple au Maroc, SI ON NAIT pauvre, on meurt pauvre et on vit MHEGOURINES. ILLA MAN RAHIMA RABI...
E
27 février 2011 17:12
Mariem, 14 ans, esclave en France
18 novembre 2006 Facebook Twitter Mariem, 14 ans, esclave en France

Séquestrée, frappée et contrainte à travailler jusqu’à 16 heures par jour, une “petite bonne” marocaine a vécu un calvaire en France. Ses tortionnaires ont été condamnés à de la prison ferme.

L’esclavage a la vie dure. La preuve. Un couple maroco-italien a été condamné, le 22 octobre 2006, à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Grasse, en France, pour avoir réduit en esclavage Mariem, une adolescente marocaine de 14 ans.

La femme, Sabrina Bombaker, 30 ans, mère de quatre enfants et qui comparaissait en état de liberté, a été arrêtée à l’audience, tandis que son compagnon, Tarek El Issy, 28 ans, incarcéré depuis février 2006, a été reconduit à la maison d’arrêt pour purger sa peine. L’affaire remonte à l’été 2005. Le couple, en séjour au Maroc, avait pensé à ramener une « petite Marocaine » dans leur pays d’accueil pour s’occuper des tâches ménagères ingrates et cuisiner des petits plats. Un luxe qu’ils ne peuvent pas se permettre en France avec leur salaire de smicards. Par l’intermédiaire d’un parent, Tarik et Sabrina font la connaissance de la mère de Mariem, habitant Dar Bouazza, une commune à une trentaine de kilomètres de Casablanca. Celle-ci, appâtée par le gain et désireuse d’offrir une promotion sociale à sa progéniture, n’hésite pas à leur confier sa fille moyennant une somme mensuelle de 2000 dirhams (190 euros). Une somme dérisoire, compte tenu des salaires élevés des femmes de ménage en France, pouvant avoisiner les 1.000 euros par mois. Le contrat conclu, le couple s’arrange pour faire entrer clandestinement l’adolescente sur le territoire français. Les polices des frontières n’y ont vu que du feu, les contrôles terrestres étant plus souples, surtout lorsqu’il s’agit de familles nombreuses.

Arrivée à Cagnes-sur-Mer, une bourgade à quelques kilomètres de Nice, au Sud de la France, où le couple réside, le clavaire de Mariem va commencer. Un calvaire de six mois. Elle sera séquestrée, menacée, frappée et contrainte à travailler jusqu’à 16 heures par jour. En février 2006, elle arrive à échapper à la vigilance de ses tortionnaires. Elle a été retrouvée en larmes en plein centre de Nice, les habits déchirés et les bras couverts de bleus. Mariem a été placée dans un foyer d’accueil et Tarek El Issy a été immédiatement arrêté. Il a tout nié en bloc, déclarant que Mariem était traitée comme sa propre fille. Mariem n’est pas un cas isolé. Le Comité contre l’esclavage moderne, association française créée en 1994, estime le nombre de cas d’esclavage domestique entre deux et cinq mille en France. Au Maroc, c’est juste l’appellation qui change. On ne parle pas d’esclavage domestique, mais de “phénomène de petites bonnes”.

66.000 jeunes filles, selon le rapport 2005 de Human Rights Watch, sont exploitées dans les tâches ménagères. Elles travaillent 100 heures par semaine sans temps de repos ni jour de congé, pour un salaire mensuel moyen de 200 dirhams. Elles sont victimes de violences physiques et verbales très fréquentes et de harcèlement sexuel de la part de leurs employeurs. Les parents de ces enfants maltraités préfèreraient plutôt taire l’affaire moyennant une somme d’argent qu’avoir recours à la justice. Il faut que ça cesse.

Loubna Bernichi - Maroc Hebdo International

Au Maroc , nous avons ete invite par une famille marocaine a Rabat . Le couple , les deux travaillent pour un salaire moyen employes de bureaux Le mari travaillait pour l'administration et la femme chez un prive . Ils employaient une femme , ( une bonne ) , elle travaillait 6 jours par semaines sans arret , pendant les repas , elle doit tout preparer le diner et souper servi sur table et ne seulement manger que quand ses maitres et leurs invites ont fini . Elle etait permise de manger que dans la cuisine toute seule pas dans la salle a manger avec Lem2alem ou Lm2alma .
 
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