Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Dépression post-partum : comment éviter l'escalade ?
s
30 octobre 2017 17:32
Dépression post-partum : comment éviter l'escalade ?

Entre 10 % et 15 % des femmes souffrent d'anxiété anxiété ou de troubles dépressifs après l'accouchement, surtout les femmes qui auraient eu leur bébé en été ou à l'automne du fait du manque de temps passé à l'extérieur selon une récente étude américaine menée par des chercheurs du Brigham & Women's Hospital de Boston.

Des symptômes multiples et des prédispositions

Parmi les symptômes, tristesse, perte d'intérêt, irritabilité et/ou agitation, et baisse de la concentration se déclencheraient chez des personnes prédisposées, en partie génétiquement, à la dépression et/ou dans un contexte de vie particulier (chômage, troubles psychologiques, dévalorisation, etc.) ou après un accouchement avec complication, sans oublier les pères qui peuvent, eux aussi, rencontrer un épisode dépressif.

Accepter d’en parler

Encore faut-il reconnaître ces différents signes, accepter d'en parler, et leur consacrer une attention toute particulière, surtout s'ils perdurent plusieurs mois après le baby blues qui suit l'accouchement.

Au-delà du risque pour l'équilibre familial, ces troubles peuvent endommager le développement cognitif, émotionnel, social du bébé et la relation mère-enfant. Avec une prise en charge efficace, on peut tout à fait guérir et ainsi éviter les risques de rechute qui sont de 50 % à deux ans et de 80 % tout au long de la vie.

Ne pas hésiter à consulter

Ainsi, les spécialistes conseillent aux jeunes mères de consulter sans culpabilité leur médecin traitant qui peut constituer le premier recours pour vérifier s'il s'agit bien d'une dépression post-partum, une fois les dérèglements hormonaux écartés. Pour les patients qui présentent entre 5 et 7 symptômes, la dépression est considérée comme légère à modérée. Au-delà de 8, elle est dite sévère, selon l'Inserm.

Le rôle de l’entourage pour une prise en charge précoce

L'alerte peut aussi être donnée par l'entourage, qui doit rester vigilant quant à l'état physique et psychologique de la mère, malgré la place privilégiée du bébé. Plus la prise en charge sera précoce, plus la guérison est rapide.

Différentes options thérapeutiques

Comme pour toute dépression, une fois le diagnostic posé, le traitement repose sur des médicaments antidépresseurs et/ou la psychothérapie. "Ils permettent d'obtenir une guérison dans 67 % des cas, parfois après plusieurs séquences de traitement", explique l'Inserm.

Pour agir sur les symptômes de manière autonome, l'hygiène de vie est essentielle avec une activité physique modérée et un régime alimentaire équilibré. Autre outil thérapeutique puissant, parler et être soutenu par des femmes, des amis ou des associations de parents qui ont vécu les mêmes épreuves après une naissance permet de casser le tabou du bonheur maternel.

Ne pas confondre avec le stress post-traumatique

À noter que la dépression post-partum peut être confondue avec un stress post-traumatique suivant la naissance, défini par la récurrence d'images envahissantes type flashback et des cauchemars. L'EMDR (désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires), une technique basée sur des mouvements oculaires pour déprogrammer les informations, s'avère efficace dans ce cas précis.

Source : [www.doctissimo.fr]
L
31 octobre 2017 07:21
Le souci principal c'est que suite à l'accouchement les femmes se pense capable de tout gérer tout seul alors que il y a des difficultés par exemple autres enfants en base âge et vie professionnelle compliqué donc ce qu'il faudrait qu'elle fasse c'est les délégués du travail à leurs conjoints à leur famille et accepté de dire à leurs proches qu'elles ont du mal quelque part pour qu'on les aide

J'ai connu au sein de ma famille une femme qui a vécu le même problème mais malgré les pleurs l'aider la dépression elle ne voulait vraiment que personne ne l'aide elle voulait se débrouiller tout seul mesdames sachez que ce n'est pas une honte de demander de l'aide
31 octobre 2017 14:07
Ce n'est pas toujours un sentiment de honte.
Pour ma part je n'ai pas demandé d'aide à la hum "famille" pour la simple raison que je n'avais pas envie de voir leur face. Et nulle envie qu'ils tripotent mes mômes avec leurs pattes.
De plus cela aurait supposé qu'ils campent chez moi vu que nous vivions à l'étranger, chose que je ne pourrais absolument pas supporter même sous la torture.

En revanche j'ai eu effectivement recours à une aide extérieure. Ça soulage sur l'instant. Mais ca ne représente pas un traitement de fond. Ce n'est pas (qu) une question de surmenage.
s
31 octobre 2017 14:10
Tu as mis combien de temps à t'en remettre ?
Citation
Jennett a écrit:
Ce n'est pas toujours un sentiment de honte.
Pour ma part je n'ai pas demandé d'aide à la hum "famille" pour la simple raison que je n'avais pas envie de voir leur face. Et nulle envie qu'ils tripotent mes mômes avec leurs pattes.
De plus cela aurait supposé qu'ils campent chez moi vu que nous vivions à l'étranger, chose que je ne pourrais absolument pas supporter même sous la torture.

En revanche j'ai eu effectivement recours à une aide extérieure. Ça soulage sur l'instant. Mais ca ne représente pas un traitement de fond. Ce n'est pas (qu) une question de surmenage.
31 octobre 2017 15:57
Je l'ignore . Honnêtement je ne m'en souviens plus.
L
31 octobre 2017 17:24
Je vais peut-être te vexer mais ton cas on va dire que c'est rare car en moyenne les personnes ont une famille autour d'eux c'est vrai que c'est plus compliqué si sa famille est rangée et s'il y a des conflits au sein même du cercle familial mais quand je parlais des c'était aussi aller voir au niveau de je pense en France au niveau de la sécurité sociale une femme qui a du mal avec ses enfants peux demander avoir une aide à domicile pour qu'il monte les bonnes pratiques ainsi que l'aider à la mise en place de Toulon la gestion de l'enfant à domicile

Après j'en veux aussi aux hommes car beaucoup sont vraiment des missionnaires sur la situation encore plus quand la femme allaite alors là c'est jackpot il se réveille la nuit pour s'occuper du bébé et la journée il est au travail donc il a pas le temps il y a beaucoup d'hommes qui sont très démissionnaire et prennent leurs enfants de l'ordre je commence à remplir et rapidement

Com culturellement moi on m'a appris que à un homme ne devez jamais changer un bébé de sexe féminin s'il y avait pas une femme dans la pièces j'ai toujours trouver cette règle aberrante7
Citation
Jennett a écrit:
Ce n'est pas toujours un sentiment de honte.
Pour ma part je n'ai pas demandé d'aide à la hum "famille" pour la simple raison que je n'avais pas envie de voir leur face. Et nulle envie qu'ils tripotent mes mômes avec leurs pattes.
De plus cela aurait supposé qu'ils campent chez moi vu que nous vivions à l'étranger, chose que je ne pourrais absolument pas supporter même sous la torture.

En revanche j'ai eu effectivement recours à une aide extérieure. Ça soulage sur l'instant. Mais ca ne représente pas un traitement de fond. Ce n'est pas (qu) une question de surmenage.
P
31 octobre 2017 19:30
S'occuper d'un nouveau né et continuer à faire tourner la maison, alors que tu te remets d'une grossesse et d'un accouchement, ce n'est pas facile.

Tu crois que beaucoup d'hommes seraient prêts à prendre en charge la gestion du foyer et des tâches ménagères, ou de passer la journée à s'occuper d'un bébé ?

Déjà si le père prends son bébé le temps que la femme mange et se douche, se serait bien beau.
Citation
Lille-mouss a écrit:
Le souci principal c'est que suite à l'accouchement les femmes se pense capable de tout gérer tout seul alors que il y a des difficultés par exemple autres enfants en base âge et vie professionnelle compliqué donc ce qu'il faudrait qu'elle fasse c'est les délégués du travail à leurs conjoints à leur famille et accepté de dire à leurs proches qu'elles ont du mal quelque part pour qu'on les aide

J'ai connu au sein de ma famille une femme qui a vécu le même problème mais malgré les pleurs l'aider la dépression elle ne voulait vraiment que personne ne l'aide elle voulait se débrouiller tout seul mesdames sachez que ce n'est pas une honte de demander de l'aide
31 octobre 2017 20:34
Pourquoi me vexerais-tu?
.

Magnéto Serge!
.


.



.


.



.
Citation
Lille-mouss a écrit:
Je vais peut-être te vexer mais ton cas on va dire que c'est rare car en moyenne les personnes ont une famille autour d'eux c'est vrai que c'est plus compliqué si sa famille est rangée et s'il y a des conflits au sein même du cercle familial mais quand je parlais des c'était aussi aller voir au niveau de je pense en France au niveau de la sécurité sociale une femme qui a du mal avec ses enfants peux demander avoir une aide à domicile pour qu'il monte les bonnes pratiques ainsi que l'aider à la mise en place de Toulon la gestion de l'enfant à domicile

Après j'en veux aussi aux hommes car beaucoup sont vraiment des missionnaires sur la situation encore plus quand la femme allaite alors là c'est jackpot il se réveille la nuit pour s'occuper du bébé et la journée il est au travail donc il a pas le temps il y a beaucoup d'hommes qui sont très démissionnaire et prennent leurs enfants de l'ordre je commence à remplir et rapidement

Com culturellement moi on m'a appris que à un homme ne devez jamais changer un bébé de sexe féminin s'il y avait pas une femme dans la pièces j'ai toujours trouver cette règle aberrante7



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/11/17 10:28 par Jennett.
L
1 novembre 2017 07:38
Je suis daccors avec toi
Maintenant ce qui se fait beaucoup c'est de prévenir la naissance mais de dire au personne qu'il pourrons passe le voir une fois à la maison et il y a que les parent qui passe à la maternité et le dernier jour pour que au loin madame se pose .

Ma soeur a fait ça et franchement elle a dit que elle a pu se reposer à la maternité car personne ne la dérangé la journée.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook