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La démocratie .........?????
1 février 2011 14:43
salam

aux personnes qui organisent et qui encouragent les gens a manifesté au Maroc au nom de la démocratie

aux intellectuels ( qui pensent ont plus de valeur que nous ) qui on fixé la date de ces manifestations au gens qui sont entrain de dicter la loi au autres


une petite question a tous ces gens elle es ou la démocratie ??

vous avez fais des sondages avant de fixé la date de votre manifestation un sondage pour connaître l'avis des marocains ?? la voila la démocratie et voila les droits........

vous faite compagne sur le net pour mobilisé les gens a manifesté,pourquoi ne pas faire la même chose pour connaitre les points de vue des autres c'est facile de lancé des sondage dans différents sites non ??

aussi quand quelqu'un et contre vos idées pourquoi ne pas respecté son choix vous essayez de le descendre ou l appeler par tout les noms.

vous valez pas mieux que les autres cher intellectuels, vous êtes pas a l'écoute de vos frères et sœurs tous comme ce al fehrii ou autre ..

donc parlez pas de la démocratie car tous se que vous saviez c´est d'agir comme eux
[b][color=#006600][center]"Grande honte à qui châtie autrui et soi-même à châtier oublie."[/center][/color][/b]
1 février 2011 16:09
Salam

Quelle démocratie???? chacun court pour avoir l´argent et le pouvoir, ces gens sont derrière un pc que des lâches encouragent les autres à se manifester et ils assistèrent même pas et la plupart sont même pas des marocains veulent détruire notre pays par tout les moyens.

Appel à tous les marocains qui aiment leurs pays n´ecoutez pas ces gens qui encouragent une révolution au Maroc le but c´est stopper le développement au Maroc sont des jaloux et haineux




Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/02/11 16:10 par sara**.
[center] [color=#000099] [b]...[/b] [/color][/center]
b
1 février 2011 16:57
La démocratie, c'est deux loups et un agneau votant ce qu'il y aura au dîner. La liberté, c'est un agneau bien armé qui conteste le scrutin.

il n'est point d'état auquel je refuse plus nettement le nom de chose publique qu'à celui qui est placé tout entier dans les mains de la multitude.
il n'existe point de peuple pour moi s'il n'est contenu dans le lien commun de la loi. Hors de là, cet assemblage d'homme est tyran aussi bien qu'un seul homme et même tyran d'autant plus odieux qu'il n'est rien de plus terrible que cette bête féroce qui prend la forme et le nom de peuple souverain. Les citoyens qui désignent des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; donc ils n'ont pas de volonté particulière à imposer. Toute influence, tout pouvoir leur appartient par la personne de leur mandataire, mais c'est tout.
S'ils dictaient des volontés ce ne serait plus un état représentatif, ce serait un état démocratique. La démocratie est un système collectiviste, qui justifie la mainmise de l’état et de ses représentants sur des pans entiers de la vie des individus (santé, éducation, relations de travail, culture, etc.) par le fait que les décisions qui sont prises découlent de la volonté d’une majorité. Mais qu’il s’agisse d’une majorité, d’une minorité ou d’un seul individu, ces décisions restent imposées par l’État et briment la liberté individuelle.
C’est tout le contraire de la liberté c’est de pouvoir décider pour soi-même, sans se faire rien imposer, tout en respectant la personne et la propriété des autres. C’est aussi de faire des choses ensemble, de collaborer avec tous, mais uniquement sur une base volontaire. La démocratie est volatile et chose difficile a appliquer, il n'est pas dans la nature des hommes de se plier à ses éxigences, elle ne peut éxister que là où rien n'éxiste, où aucune convoitise ne peut se manifester et aucun partage revendiqué. Il faudrait une démocratie sur mesure à chaque pays et alors nous ne pourrions plus l'appeler démocratie.
Il est un fait avéré et historique que la démocratie est incompatible avec certains individus de certains peuples !!! Cherchez lesquels !!!
E
1 février 2011 20:18
On parle entre nous les Yabiladiens , on s'exprime et donne nos opinions pas plus . Personne n'a appele les marocains ni autres a manifester , c'est plutot l'insupportable injustice , l'inegalite et la misere des diminus . On a droit de parler de la democratie comme des autres la Tyranie et ses dictateurs . Pas moins pas plus que le fait un prince cousin de Mohamed6 sur cet article , Chacun a droit a son opinion le fort et le faible , le riche et le diminu .


Le prince Moulay Hichem n’exclut pas la contagion
«Le Maroc n’est pas à l’abri»
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le 01.02.11 | 03h00 13 réactions
Le prince Moulay Hicham Ben Abdallah
zoom | © D. R.

Le prince Moulay Hicham Ben Abdallah

Le prince Moulay Hicham Ben Abdallah
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Le prince Moulay Hicham a déclaré hier à El Pais «que le Maroc n’est pas encore atteint mais que tous les systèmes autoritaires
seront affectés par la vague de protestation».

Le Maroc est-il une monarchie stable et sereine où le roi pourrait dormir sur ses deux oreilles, à l’abri des bombes à fragmentations sociales en provenance d’Egypte, de Tunisie et même d’Algérie ? Pas tout a fait sûr. Et c’est un membre de la famille qui évoque de possibles lézardes au palais de son cousin. Le prince Moulay Hicham, certes en rupture de ban avec la monarchie de M6, a déclaré hier dans une interview au journal espagnol El Pais, que le Maroc ne fera «probablement pas exception». «Il n’est pas encore atteint, mais il ne faut pas se tromper : presque tous les systèmes autoritaires seront affectés par la vague de protestation». Le prince Hicham, si habitué à jeter des peaux de banane à son cousin de roi, s’interroge cependant si «la contestation sera sociale ou bien aussi politique et si les formations politiques, influencées par les récents évènements bougeront». Mais les ingrédients semblent réunis, d’après lui, pour une contamination du royaume. Pour cause, Moulay Hicham estime que «la dynamique de libéralisation politique entamée à la fin des années 1990 a pratiquement pris fin».

Le prince enfonce le clou en soutenant que si la «majorité» des acteurs politiques reconnaissent la monarchie, «il n’en demeure pas moins vrai qu’ils sont mécontents de la vaste concentration du pouvoir dans l’Exécutif». Et d’asséner que «les nouveaux mouvements sociaux en Tunisie, au Yémen, en Jordanie, en Algérie et en Egypte ont mis en évidence la dignité du citoyen comme étant au centre du politique». Moulay Hichem qui dirige un centre de recherche à l’université américaine de Princeton pense que l’étendue du pouvoir monarchique depuis l’indépendance est «incompatible de fait avec cette nouvelle dimension».

Le tir «ami» du Prince

Et au prince de tirer un enseignement :« C’est peut-être pour la première fois depuis l’ère coloniale que le monde arabe s’autodétermine, fait ses propres choix et se donne les moyens de sa démocratisation par des manifestations de rue qui n’ont pas été soutenues par l’Occident.» Aboubakr Jamai, fondateur du journal critique aujourd’hui disparu, le Journal hebdomadaire, met carrément les pieds dans le plat. Dans une interview au Nouvel Observateur, le journaliste estime que «si le Maroc s’embrase, la disparité des richesses y est telle que la révolution y sera beaucoup plus sanglante qu’en Tunisie». Voilà le genre de déclaration de nature à déclencher une alerte maximale au royaume de «tout va bien».

Son confrère Ali Lemrabet, qui n’est pas lui non plus en odeur de sainteté auprès de Sa Majesté, a fait sortir le gouvernement marocain de sa torpeur en révélant dans sa page facebook que «des troupes auraient été rappelées du Sahara occidental pour être prêtes à intervenir en cas de troubles». Une information qui a été largement reprise par les médias espagnols du fait qu’elle expliquer la peur du royaume d’être contaminé sous peu par la révolution tunisienne. Il n’en fallait pas plus pour faire sortir le gouvernement de son silence et brandir «la main de l’étranger». Le ministre des Affaires étrangères, Taïeb Fassi Fihri, a convoqué hier l’ambassadeur d’Espagne et a eu un entretien avec le chef de la diplomatie espagnole pour leur exprimer l’ «indignation» du Maroc face à ces «agissements irresponsables» des médias ibériques. Son gouvernement a par ailleurs démenti «avec fermeté» avoir rappelé des troupes déployées dans le Sahara occidental pour parer à d’éventuelles manifestations. Les médias publics marocains se sont mis en ordre de bataille pour tirer sans retenue sur leurs confrères marocains et espagnols.

Feu sur Lemrabet et Jemai

Dans la pure langue de bois, l’hebdomadaire Le Temps a dénoncé ce qu’il appelle la «fabrication d’un mythe de la contagion». Il accuse le journaliste Jamaï de «méconnaissance inattendue de la situation politico-sociale du Maroc». L’hebdomadaire francophone la Vie éco, fait lui aussi une intrusion dans la politique pour jouer le gardien du palais. Tel un coup de sommation, il tire sur la foule des médias politiquement incorrects, en leur reprochant un «plaisir jubilatoire à faire le parallèle entre ce qui s’est passé en Tunisie et la situation au Maroc». En somme, toute la rhétorique faussement rassurante est développée depuis quelques jours chez nous en Algérie par certains ministres et quelques médias aux ordres. Eh oui, dans le telles circonstances, les deux régimes enterrent la hache de guerre pour faire cause commune ; l’instinct de survie oblige.
Hassan Moali
b
1 février 2011 23:46
Lorsque le roi actuel est venu occuper le trône cherifien par héritage, il a inscrit dans ses priorités l'application progressive d'une démocratie similaire à celle des royaume d'Europe par le système de monarchie constitutionelle, hors il s'est avéré que les classes bourgeoises et dominantes du Maroc, trompeuses de la confiance populaire et qui allaient être appelées par le suffrage à assister le Malik dans ses taches de modernisation du pays par des éxercices d'apprentissage de la démocratie par l'attitude de chacun, ces assistants se sont révélés désinterressés par les avancées du royaume et des marocains mais très soucieux de servir leurs propres intérêts et ceux de leurs proches par les subterfuges et détournements des biens publics.
Si en tunisie, en Egypte, en lybie et en Algérie les corruptions sont orchestrées par les dirigeants du plus haut au plus bas, au Maroc l'élément le plus haut est comme son peuple victime des corrompus qui prennent ses ordres et leurs subordonés à qui ils les transmettent, une corruption qui suit la pente hyérarchique et qui fait grand tort à l'ensemble.
Le problème du Maroc est complêxe car ardu à expliquer aux accrocs de révolte sans raison ni analysequi s'obstinent à imputer au roi les grièfs des laissé pour compte alors qu'il est comme eux trompé et seul contre une délinquance gouvernementale.
n
6 février 2011 23:23
La démocratie, c'est deux loups et un agneau votant ce qu'il y aura au dîner. La liberté, c'est un agneau bien armé qui conteste le scrutin.



tres bon proverbe il est plein de bon sens et de realitee....c 'est l exacte definition

y a pas mieux pour resumer cela....

reste plus qu aux mouton a apprendre a se servir de ses oreille ou de sa queue pour se servir des armes......
a
6 février 2011 23:41
salam

ca m'agace aussi de voir ces appels a manifester quand le maroc a depuis qq annees deja amorcer un changement.

le probleme n,est pas le roi, c'est plutot certains fleaux qu'il faut eradiquer
Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ; ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ; parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement. [Confucius]
 
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