et nous n'avons encore rien vu !Citation
abde12 a écrit:
Salam,
Les dégâts de l'arabisation au Maroc
La ruine, oui !
tu rêves, les maghrébins ont été arabisé par l'islam.Citation
abde12 a écrit:
Salam,
En espérant que l'Iran fasse de même : abandonner l'alphabet arabe. Pas une perte. Les Arabes n'aiment pas cette culture...
Citation
El Gitano a écrit:
Seule solution qui reste a l'Afrique du Nord pour mettre fin aux problemes de Langue , c'est la division du pays en deux . Une moitie pour les Arabes et l'autre pour les Amazighs , comme il a ete fait au Soudan . Je pense que c'est la meilleur solution . Les Arabes enseignent l'Arabe au Arabes et les Amazighs enseignent Tamazight ou la langue qui leurs convient le mieux aux Amazighs et c'est la fin de toutes les querelles . L'autre solution c'est comme il a ete annonce par le Roi Mohamed6 officialiser la langue Amazigh au meme niveau que l'Arabe , Le francais ou l'anglais ,il faut que cela soit une option aux etudiants , puis tout le monde sera content . Sinon l'Afrique du Nord va finir comme le soudan .
Au Sud-Soudan, les esclaves noirs se libèrent des Arabes
L'esclavage pratiqué par les Arabes, et leur racisme envers les Noirs, sont des phénomènes largement occultés, même par l'ONU, et pour lesquels les Arabes n'ont jamais exprimé de repentir. Seuls les Blancs sont censés être racistes, esclavagistes, colonialistes et impérialistes.
Les Sud Soudanais sont en majorité chrétiens et animistes.
"Nous avons été les esclaves des Arabes. Nous votons aujourd'hui pour notre liberté", souffle Duku John, jeune Sudiste aux traits carrés, le pouce imbibé d'encre pourpre après avoir voté dans un faubourg poussiéreux lors du référendum d'indépendance du Sud-Soudan.
Dans une région qui a subi l'esclavagisme, attendu 55 ans de pouvoir exercer son droit à l'autodétermination et mené 38 ans de guerre au total avec le gouvernement central de Khartoum, la population ne mâche pas ses mots lorsqu'il est question du référendum.
"Nous, les noirs, avons été les esclaves des Arabes, nous voulons maintenant bâtir notre propre pays", lance le jeune Sudiste, lunettes de soleil et sac en bandoulière, en regardant la longue file d'attente qui s'étend devant le centre de vote de Gudele, ville située dans la banlieue de la capitale sudiste Juba. "Ce vote est la dernière bataille, nous lançons la dernière bombe sur le Nord", ironise de son côté Charles Sambos, qui a passé 25 ans dans les plantations de sucre du Nord-Soudan, avant de rentrer l'an dernier chez lui au Sud.
"C'est la fin de l'arabisation, la fin de l'islamisation", plaide-t-il, en patientant devant le bureau de vote de Gudele, ville où s'entremêlent huttes de paille, maisonnettes de ciment et habitations en terre, et où des voitures coiffées du drapeau étoilé sudiste retournent la poussière des routes en terre battue. Comme à Gudele, de longues files d'attente ont été constatées dimanche à travers tout le Sud-Soudan au premier jour du référendum, lors duquel les habitants doivent se prononcer pour la sécession du Sud ou le maintien de l'unité avec le reste du Soudan.
Ce scrutin est le point d'orgue de l'accord de paix global ayant mis fin en 2005 à la seconde guerre civile entre le Nord, musulman et en grande partie arabe, et le Sud, afro-chrétien. Ce conflit a fait deux millions de morts. Plus de 120.000 Sudistes habitant le Nord sont rentrés au cours des dernières semaines pour participer au vote. Les analystes pronostiquent une victoire de l'option sécessionniste, et les responsables politiques à Khartoum semblent avoir déjà fait leur deuil du Sud-Soudan.
"J'ai passé ma vie au Sud-Soudan. Parmi les gens que je connais, je peux vous dire que 99% d'entre eux vont voter pour la sécession", affirme Oboy Ofilang Itorong, vêtu d'une tunique blanche qui laisse entrevoir une balafre sur le torse. "Mais bon, un vote demeure secret et on ne sait pas ce qui peut arriver", ajoute-t-il. "Les Arabes disent que nous formons un pays, que nous sommes ensemble, mais je ne crois pas à ça", argue pour sa part Justin Mogga, un partisan du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM), ex-rébellion sudiste au pouvoir à Juba.
"Nous avons beaucoup de problèmes au Soudan. Tout le développement est concentré à Khartoum", peste-t-il, en reprenant un argument largement développé par les autorités sudistes. "Nous voulons nous séparer du Nord pour voir qui est la cause du problème: les Arabes ou les Noirs", dit-il.
Source : AFP, 9 janvier 2011
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itrane2000 a écrit:tu rêves, les maghrébins ont été arabisé par l'islam.Citation
abde12 a écrit:
Salam,
En espérant que l'Iran fasse de même : abandonner l'alphabet arabe. Pas une perte. Les Arabes n'aiment pas cette culture...
sans l'islam, le maroc ne parlerait pas arabe.
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abde12 a écrit:
Salam,
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itrane2000 a écrit:tu rêves, les maghrébins ont été arabisé par l'islam.Citation
abde12 a écrit:
Salam,
En espérant que l'Iran fasse de même : abandonner l'alphabet arabe. Pas une perte. Les Arabes n'aiment pas cette culture...
sans l'islam, le maroc ne parlerait pas arabe.
Je vois aucun rapport avec mon commentaire. Voir les propos de Suggestion. - - un peuple qui devient faible n'a que ce qu'il mérite. Et restons honnêtes ; les Omeyyades n'ont jamais été les champions du prosélytisme...
Les soudanais qui parlent arabe sont-ils arabe ?
Le verbe "être" existe dans la langue arabe ?
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wakrim a écrit:les dégats de l'arabisation au Marocles dégats de la francophonies sur les langues régionales endogènes de Wallonie.
tient ce poste ne serait pas une copie de ce qui se dit ailleurs.
Ce n'est pas un problème national à proprement dire, pas un problème marocain.
C'est de l'importation.
Les langues régionales endogènes de Wallonie sont menacées de disparition au même titre que plus de trois mille langues sur les quelque six mille que compte la planète. C'est le constat que fait l'UNESCO en publiant son Atlas des Langues ...
Pour rappel, la langue wallonne est une langue romane qui s'est nettement individualisée dès le 11e siècle, sur les frontières politico-religieuses de l'évêché de Liège.
...
Les raisons historiques de la progressive disparition du wallon sont connues dans ses grandes lignes. Une politique d'éradication du wallon à l'école ... s'est conjuguée avec une rupture de la transmission intrafamiliale de la langue maternelle (surtout entre 1920 et 1950), rupture qui s'explique largement par un désir puissant d'ascension sociale. Le français, jusque là langue de la bourgeoisie, de l'administration et de l'église, apparaissait comme la seule langue permettant la réussite socio-économique alors que le wallon était présenté comme une langue vulgaire, grossière, la langue des ouvriers et des baraquîs, une langue qui était censée menacer un bon apprentissage du français (la chasse aux belgicismes ...)
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a écrit:
Celui qui voulait devenir marchand de laine (par exemple) devait être capable de se déplacer d'une région à l'autre, alors que celui qui la produisait la vendait dans le marché le plus proche.
Un marchand de laine n'allait pas apprendre 50 langues régionale, alors qu'il pouvait apprendre une seule langue véhiculaire.
C'était valable pour le producteur de laine: Il pouvait aussi aller vendre sa laine sur un marché éloigné, pour autant qu'il parle la langue du lieu.
S'il voulait devenir marchand, il pouvait continuer à apprendre des langues locales ou le français.
Pour l'écriture, c'est encore plus évident: Un contrat écrit doit être compris par les deux parties.
Un contrat écrit ne peut donc être écrit que dans une langue commune.