Citation
aberosabil a écrit:
En effet, peu importe nos origines, notre argent, derrière notre clavier nous sommes tous égaux et seule la culture, l’intelligence peut nous départager. Nous pouvons ainsi nous associer et échapper à tout contrôles (médias, partis politiques...).
La clé de la révolte à venir est là, il faut laisser de côtés nos divergences, nous associer et créer « un monde meilleur ».Nous pouvons le faire !
La catastrophe économique en cours est un véritable tsunami qui va tout emporter. Les guerres ont commencé et le massacre à Gaza n’est que l’acte I de catastrophes à venir.
Notre liberté et l’ensemble de l’espèce humaine sont en danger. Nous devons laisser de côté tout ce qui nous divise et nous unir afin de changer le cours de l’histoire.
Le capitalisme et le communisme ont échoué. Nous sommes face au vide.
appel donc à la création des Etats Généraux de l’économie et de la finance. Une réflexion mondiale doit être organisée afin de doter l’humanité d’une « constitution pour l’économie » qui doit avoir comme postulat central que la monnaie est un bien commun au même titre que l’air, et l’eau.
Nous sommes à la croisée des chemins et il n’existe malheureusement que 2 solutions : « un système plus égalitaire et redistributif » ou bien « un système plus violent que le capitalisme »: analyse d’Immanuel Wallerstein chercheur au département de sociologie de l’université de Yale.
Albert Einstein résume ainsi notre situation : « Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ».
Pour 2009, la conjonction des crises nous promet une série de malaises sociaux sans commune mesure avec le passé. Il est probable que le danger vienne de la récupération de la colère des jeunes, victimes d’une éducation et d’une socialisation déficitaire. Nous avons le dos au mur, et nous n’avons pas d’autres solutions que de chercher un « autre chemin ».
Les crises : économique, sociale, écologique, énergétique, des matières premières, alimentaires, sont inter reliées et l’on ne peut considérer l’une sans se préoccuper des autres.
Albert Einstein résume ainsi notre situation : « Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ».
extrait de :2009, la croisée des chemins...
par Gilles Bonafi