Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je comprends cette inquiétude, mais je crois qu'il ne faut pas exagérer dans ce qu'on appelle "sad adharî'a", c.à.d fermer la porte vis-à-vis de choses jugées licites, par peur qu'elles mènent à ce qui est illicite. Par cette façon, on peut interdire beaucoup de choses utiles, pouvant avoir aussi d'autres aspects négatifs. Fermer simplement la porte n'est pas toujours la bonne procédure, car quand on ferme la porte on ferme sur le tout, sur le mauvais comme sur le bien, alors qu'il serait plus profitable de fermer au maximum la porte sur le mauvais, et de laisser la porte ouverte sur le bien. Par exemple, les voitures sont utiles et en même temps présentent des aspects négatifs, la solution ne serait pas d'interdire leur utilisation, mais d'organiser cette utilisation et de sensibiliser les utilisateurs. Il y a toujours un certain équilibre à trouver. Par exemple, au lieu d'interdire aux gens de visiter les tombes des saints, ce qui est une chose allant contre, non seulement la culture, mais la conscience collective, on peut recourir, par la contribution des savants et des éducateurs, à une certaine supervision, direction, organisation, éducation et tout ce qui peut être positif dans ce sens. Au lieu d'interdire la visite, on peut organiser cette visite et sensibiliser le visiteur.
Dans notre monde matériel d'aujourd'hui, les gens sont plongés dans le rationnel et dans le temporel, et ces lieux de saints permettent une ouverture sur l'irrationnel et sur le spirituel, et il serait dommage de fermer une telle ouverture susceptible de contribuer en un certain équilibre entre ces deux aspects, devant caractériser la vie du musulman, le matériel et le spirituel.
Concernant le tabarruk, c'est quelque chose qui existait à l'époque des sahabas, et celui qui veut s'y informer qu'il regarde le livre "fiqh assira" de Sa'id Ramadan al-Bouti (savant syrien), où l'on se rend compte que les sahabas faisaient le tabarruk par des "restes" (âthâr) du Prophète (s.s.p), par exemple le reste d'eau de ses ablutions (ceci est bien connu), ses cheveux, sa sueur. C'est vrai que le rationnel a sa place et son importance essentielle, toutefois il ne faut pas tomber dans la rationalité, n'accepter que ce qu'on peut expliquer et comprendre, et refuser ce qu'on ne peut expliquer et comprendre.
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je comprends cette inquiétude, mais je crois qu'il ne faut pas exagérer dans ce qu'on appelle "sad adharî'a", c.à.d fermer la porte vis-à-vis de choses jugées licites, par peur qu'elles mènent à ce qui est illicite. Par cette façon, on peut interdire beaucoup de choses utiles, pouvant avoir aussi d'autres aspects négatifs. Fermer simplement la porte n'est pas toujours la bonne procédure, car quand on ferme la porte on ferme sur le tout, sur le mauvais comme sur le bien, alors qu'il serait plus profitable de fermer au maximum la porte sur le mauvais, et de laisser la porte ouverte sur le bien. Par exemple, les voitures sont utiles et en même temps présentent des aspects négatifs, la solution ne serait pas d'interdire leur utilisation, mais d'organiser cette utilisation et de sensibiliser les utilisateurs. Il y a toujours un certain équilibre à trouver. Par exemple, au lieu d'interdire aux gens de visiter les tombes des saints, ce qui est une chose allant contre, non seulement la culture, mais la conscience collective, on peut recourir, par la contribution des savants et des éducateurs, à une certaine supervision, direction, organisation, éducation et tout ce qui peut être positif dans ce sens. Au lieu d'interdire la visite, on peut organiser cette visite et sensibiliser le visiteur.
Dans notre monde matériel d'aujourd'hui, les gens sont plongés dans le rationnel et dans le temporel, et ces lieux de saints permettent une ouverture sur l'irrationnel et sur le spirituel, et il serait dommage de fermer une telle ouverture susceptible de contribuer en un certain équilibre entre ces deux aspects, devant caractériser la vie du musulman, le matériel et le spirituel.
Concernant le tabarruk, c'est quelque chose qui existait à l'époque des sahabas, et celui qui veut s'y informer qu'il regarde le livre "fiqh assira" de Sa'id Ramadan al-Bouti (savant syrien), où l'on se rend compte que les sahabas faisaient le tabarruk par des "restes" (âthâr) du Prophète (s.s.p), par exemple le reste d'eau de ses ablutions (ceci est bien connu), ses cheveux, sa sueur. C'est vrai que le rationnel a sa place et son importance essentielle, toutefois il ne faut pas tomber dans la rationalité, n'accepter que ce qu'on peut expliquer et comprendre, et refuser ce qu'on ne peut expliquer et comprendre.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je comprends cette inquiétude, mais je crois qu'il ne faut pas exagérer dans ce qu'on appelle "sad adharî'a", c.à.d fermer la porte vis-à-vis de choses jugées licites, par peur qu'elles mènent à ce qui est illicite. Par cette façon, on peut interdire beaucoup de choses utiles, pouvant avoir aussi d'autres aspects négatifs. Fermer simplement la porte n'est pas toujours la bonne procédure, car quand on ferme la porte on ferme sur le tout, sur le mauvais comme sur le bien, alors qu'il serait plus profitable de fermer au maximum la porte sur le mauvais, et de laisser la porte ouverte sur le bien. Par exemple, les voitures sont utiles et en même temps présentent des aspects négatifs, la solution ne serait pas d'interdire leur utilisation, mais d'organiser cette utilisation et de sensibiliser les utilisateurs. Il y a toujours un certain équilibre à trouver. Par exemple, au lieu d'interdire aux gens de visiter les tombes des saints, ce qui est une chose allant contre, non seulement la culture, mais la conscience collective, on peut recourir, par la contribution des savants et des éducateurs, à une certaine supervision, direction, organisation, éducation et tout ce qui peut être positif dans ce sens. Au lieu d'interdire la visite, on peut organiser cette visite et sensibiliser le visiteur.
Dans notre monde matériel d'aujourd'hui, les gens sont plongés dans le rationnel et dans le temporel, et ces lieux de saints permettent une ouverture sur l'irrationnel et sur le spirituel, et il serait dommage de fermer une telle ouverture susceptible de contribuer en un certain équilibre entre ces deux aspects, devant caractériser la vie du musulman, le matériel et le spirituel.
Concernant le tabarruk, c'est quelque chose qui existait à l'époque des sahabas, et celui qui veut s'y informer qu'il regarde le livre "fiqh assira" de Sa'id Ramadan al-Bouti (savant syrien), où l'on se rend compte que les sahabas faisaient le tabarruk par des "restes" (âthâr) du Prophète (s.s.p), par exemple le reste d'eau de ses ablutions (ceci est bien connu), ses cheveux, sa sueur. C'est vrai que le rationnel a sa place et son importance essentielle, toutefois il ne faut pas tomber dans la rationalité, n'accepter que ce qu'on peut expliquer et comprendre, et refuser ce qu'on ne peut expliquer et comprendre.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Merci à sœur zz95 et frère srnit pour ce lien dans lequel on peut trouver beaucoup de détails sur la permission du tawassul et du tabarruk.
Je suis d'accord qu'il faut éviter les excès, et ce dans les deux sens ; ne pas laisser les choses permises sans contrôle, et ne pas interdire ce qui en principe est permis. Il faut une certaine organisation des choses, une certaine sensibilisation, et ceci on peut le voir dans des pays, comme l'Iran, alors que dans l'exemple du Maroc, on remarque un état de négligence, les savants en général ne parlent pas de ce genre de choses, c'est comme s'il y a une sorte de division entre une doctrine malékite qui permet le tawassul et la visite des tombes des saints, et entre une doctrine wahhabite qui l'interdit.
Par exemple pour l'offrande, et pour répondre à soeur zz95, en principe elle est permise, en tout endroit et en tout temps, alors comment peut-on dire qu'elle soit interdite dans le lieu où se trouve la tombe d'un saint, on ne peut rendre illicite ce qui est licite, ce qui serait grave, sous prétexte que ceci pourrait mener à ce qui est illicite. La solution ce n'est pas l'interdiction, mais la sensibilisation, mettre les chose au clair, montrer par exemple qu'une offrande ou un sacrifice est fait pour Dieu et non pour le saint, c'est une forme d'adoration qui doit être vouée totalement à Dieu.
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zz95 a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Merci à sœur zz95 et frère srnit pour ce lien dans lequel on peut trouver beaucoup de détails sur la permission du tawassul et du tabarruk.
Je suis d'accord qu'il faut éviter les excès, et ce dans les deux sens ; ne pas laisser les choses permises sans contrôle, et ne pas interdire ce qui en principe est permis. Il faut une certaine organisation des choses, une certaine sensibilisation, et ceci on peut le voir dans des pays, comme l'Iran, alors que dans l'exemple du Maroc, on remarque un état de négligence, les savants en général ne parlent pas de ce genre de choses, c'est comme s'il y a une sorte de division entre une doctrine malékite qui permet le tawassul et la visite des tombes des saints, et entre une doctrine wahhabite qui l'interdit.
Par exemple pour l'offrande, et pour répondre à soeur zz95, en principe elle est permise, en tout endroit et en tout temps, alors comment peut-on dire qu'elle soit interdite dans le lieu où se trouve la tombe d'un saint, on ne peut rendre illicite ce qui est licite, ce qui serait grave, sous prétexte que ceci pourrait mener à ce qui est illicite. La solution ce n'est pas l'interdiction, mais la sensibilisation, mettre les chose au clair, montrer par exemple qu'une offrande ou un sacrifice est fait pour Dieu et non pour le saint, c'est une forme d'adoration qui doit être vouée totalement à Dieu.
Salam,
Je sais pas si l'Iran est le bonne exemple a prendre quand on voit que certains se rendent sur la tombe de celui qui tué Omar Ibn Khattab pour le félicité de son acte et ce jour là est considéré comme jour de fête.
Surement du a ce que tu dis les savants au Maroc ne s'attèle pas à dire ce qui est permis et ce qui est interdit ce qui a laissé la porte ouverte a des pratiques plus que doutes.
Que l'offrande soit permis j'ai peut être pas assez de connaissance pour répondre , mais en attendant est ce que revenir chaque année sur le tombeau d'une personne pour pouvoir y procéder au sacrifice d'un mouton en guise de remerciement y revenir a la date de la guérison ou la date de la naissance d'un enfant tel un pèlerinage est il permis ?
Quand on regarde le lien on voit que les personnes ayant eu recours à une invocation sur une tombe ne parle pas d'offrande, ni de sacrifice , ni de bougie.... le tombeau n'est pas devenu une sorte de sanctuaire dont chacun est spécialisé en quelque chose.
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faqir a écrit:Citation
zz95 a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Merci à sœur zz95 et frère srnit pour ce lien dans lequel on peut trouver beaucoup de détails sur la permission du tawassul et du tabarruk.
Je suis d'accord qu'il faut éviter les excès, et ce dans les deux sens ; ne pas laisser les choses permises sans contrôle, et ne pas interdire ce qui en principe est permis. Il faut une certaine organisation des choses, une certaine sensibilisation, et ceci on peut le voir dans des pays, comme l'Iran, alors que dans l'exemple du Maroc, on remarque un état de négligence, les savants en général ne parlent pas de ce genre de choses, c'est comme s'il y a une sorte de division entre une doctrine malékite qui permet le tawassul et la visite des tombes des saints, et entre une doctrine wahhabite qui l'interdit.
Par exemple pour l'offrande, et pour répondre à soeur zz95, en principe elle est permise, en tout endroit et en tout temps, alors comment peut-on dire qu'elle soit interdite dans le lieu où se trouve la tombe d'un saint, on ne peut rendre illicite ce qui est licite, ce qui serait grave, sous prétexte que ceci pourrait mener à ce qui est illicite. La solution ce n'est pas l'interdiction, mais la sensibilisation, mettre les chose au clair, montrer par exemple qu'une offrande ou un sacrifice est fait pour Dieu et non pour le saint, c'est une forme d'adoration qui doit être vouée totalement à Dieu.
Salam,
Je sais pas si l'Iran est le bonne exemple a prendre quand on voit que certains se rendent sur la tombe de celui qui tué Omar Ibn Khattab pour le félicité de son acte et ce jour là est considéré comme jour de fête.
Surement du a ce que tu dis les savants au Maroc ne s'attèle pas à dire ce qui est permis et ce qui est interdit ce qui a laissé la porte ouverte a des pratiques plus que doutes.
Que l'offrande soit permis j'ai peut être pas assez de connaissance pour répondre , mais en attendant est ce que revenir chaque année sur le tombeau d'une personne pour pouvoir y procéder au sacrifice d'un mouton en guise de remerciement y revenir a la date de la guérison ou la date de la naissance d'un enfant tel un pèlerinage est il permis ?
Quand on regarde le lien on voit que les personnes ayant eu recours à une invocation sur une tombe ne parle pas d'offrande, ni de sacrifice , ni de bougie.... le tombeau n'est pas devenu une sorte de sanctuaire dont chacun est spécialisé en quelque chose.
Assalam alaikoum
Soeur zz95, quand j'ai parlé du cas d'Iran, c'est parce que là bas ils, ont si on peut dire, toute une culture de la visite des saints, les gens sont bien informés, et ce que je sais c'est que leurs visites sont spécifiées principalement pour les Imams des Ahl al-Bayt (les fils de Saydatouna Fatima Zahra et Saydouna Ali que Dieu les agrée).
En ce qui concerne l'offrande, dans l'absolu elle est permise, et rien ne dit qu'elle soit interdite dans un lieu, d'un saint ou autre, ou dans un temps, et le fait de la faire spécialement dans un lieu, que ça soit d'un saint ou autre, et dans une date, comme geste de gratitude envers Dieu pour Son bienfait, ne modifierait pas le fait qu'elle soit quelque chose de louable, sauf avis contraire. Wallahou a'lam.
Je voudrais ajouter aussi que cet excès dans l'application du principe de précaution (sad adharî'a) mène quelques fois à interdire ce qui est permis et à rendre illicite ce qui est licite, excès que l'on trouve chez l'école salafiste que représente Ibn Taymiya et ses élèves. Par exemple, j'ai entendu des choses qui peuvent paraitre bizarres et même choquantes (au moins pour moi), que mentionne Ibn Taymiya dans ses fatawas (il faudrait s'en assurer), telle la non permission de faire la visite spécifiquement pour la tombe du Prophète (s.s.p), et la karâha pour les habitants de Médine qui passent dans sa mosquée, de le saluer (de faire le salam sur lui).
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zz95 a écrit:Citation
faqir a écrit:Citation
zz95 a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Merci à sœur zz95 et frère srnit pour ce lien dans lequel on peut trouver beaucoup de détails sur la permission du tawassul et du tabarruk.
Je suis d'accord qu'il faut éviter les excès, et ce dans les deux sens ; ne pas laisser les choses permises sans contrôle, et ne pas interdire ce qui en principe est permis. Il faut une certaine organisation des choses, une certaine sensibilisation, et ceci on peut le voir dans des pays, comme l'Iran, alors que dans l'exemple du Maroc, on remarque un état de négligence, les savants en général ne parlent pas de ce genre de choses, c'est comme s'il y a une sorte de division entre une doctrine malékite qui permet le tawassul et la visite des tombes des saints, et entre une doctrine wahhabite qui l'interdit.
Par exemple pour l'offrande, et pour répondre à soeur zz95, en principe elle est permise, en tout endroit et en tout temps, alors comment peut-on dire qu'elle soit interdite dans le lieu où se trouve la tombe d'un saint, on ne peut rendre illicite ce qui est licite, ce qui serait grave, sous prétexte que ceci pourrait mener à ce qui est illicite. La solution ce n'est pas l'interdiction, mais la sensibilisation, mettre les chose au clair, montrer par exemple qu'une offrande ou un sacrifice est fait pour Dieu et non pour le saint, c'est une forme d'adoration qui doit être vouée totalement à Dieu.
Salam,
Je sais pas si l'Iran est le bonne exemple a prendre quand on voit que certains se rendent sur la tombe de celui qui tué Omar Ibn Khattab pour le félicité de son acte et ce jour là est considéré comme jour de fête.
Surement du a ce que tu dis les savants au Maroc ne s'attèle pas à dire ce qui est permis et ce qui est interdit ce qui a laissé la porte ouverte a des pratiques plus que doutes.
Que l'offrande soit permis j'ai peut être pas assez de connaissance pour répondre , mais en attendant est ce que revenir chaque année sur le tombeau d'une personne pour pouvoir y procéder au sacrifice d'un mouton en guise de remerciement y revenir a la date de la guérison ou la date de la naissance d'un enfant tel un pèlerinage est il permis ?
Quand on regarde le lien on voit que les personnes ayant eu recours à une invocation sur une tombe ne parle pas d'offrande, ni de sacrifice , ni de bougie.... le tombeau n'est pas devenu une sorte de sanctuaire dont chacun est spécialisé en quelque chose.
Assalam alaikoum
Soeur zz95, quand j'ai parlé du cas d'Iran, c'est parce que là bas ils, ont si on peut dire, toute une culture de la visite des saints, les gens sont bien informés, et ce que je sais c'est que leurs visites sont spécifiées principalement pour les Imams des Ahl al-Bayt (les fils de Saydatouna Fatima Zahra et Saydouna Ali que Dieu les agrée).
En ce qui concerne l'offrande, dans l'absolu elle est permise, et rien ne dit qu'elle soit interdite dans un lieu, d'un saint ou autre, ou dans un temps, et le fait de la faire spécialement dans un lieu, que ça soit d'un saint ou autre, et dans une date, comme geste de gratitude envers Dieu pour Son bienfait, ne modifierait pas le fait qu'elle soit quelque chose de louable, sauf avis contraire. Wallahou a'lam.
Je voudrais ajouter aussi que cet excès dans l'application du principe de précaution (sad adharî'a) mène quelques fois à interdire ce qui est permis et à rendre illicite ce qui est licite, excès que l'on trouve chez l'école salafiste que représente Ibn Taymiya et ses élèves. Par exemple, j'ai entendu des choses qui peuvent paraitre bizarres et même choquantes (au moins pour moi), que mentionne Ibn Taymiya dans ses fatawas (il faudrait s'en assurer), telle la non permission de faire la visite spécifiquement pour la tombe du Prophète (s.s.p), et la karâha pour les habitants de Médine qui passent dans sa mosquée, de le saluer (de faire le salam sur lui).
Salam,
Tu sais ma science n'arrive même pas a la semelle de Ibn Taymiya et d'autre savants bien sur , mais de ce que j'ai lu et surtout compris c'est pas qu'il interdit la visite de la tombe du prophète sws mais c'est qu'il interdit d'entreprendre un voyage uniquement dans le but de se rendre sur la tombe du prophète sws et il n'est pas le seul de cet avis , sur ce point il y a divergence de point de vue chacun se respecte puisqu'ils ont chacun de leur coté des arguments solide après c'est a chacun de voir l'avis qu'il lui parait le plus plausible.
[www.muslimfr.com]
Pour ce qui est de l'aumône ce n'est pas de savoir si elle est louable que je souhaite savoir , c'est dans le fait de répéter cet aumône à la même date et pourquoi diriger toujours cette aumône vers le tombeau d'un saint quand s'en est un d'ailleurs ?
Et c'est là qui a mon sens deviens en quel sorte dangereux , pourquoi ne pas remercier Allah swt en destinant cet aumônes vers d'autre personnes ou autre chose , quand on prend l'exemple du Maroc il y a des personnes dans les hôpitaux qui n'ont pas de quoi s'acheter des médicaments , on voit des gens dormir dehors qui n'ont pas mangé grand chose depuis plusieurs jours pourquoi ne pas se tourner vers ses personnes ?
De plus l'islam nous encourage de faire l'aumône en secret que dire de venir avec ton mouton dans un saint aux yeux de tout le monde ?
Citation
Zyneb-69 a écrit:
Les salafistes sont égarés.