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Comment peut on encore mentir en disant que je suis chiites !
a
30 janvier 2005 17:15
Au nom d’Allah le Clement le Misericordieux
METMATI Maamar :

Salam a mes sœurs et freres.

Tout homme public s’expose a des critiques. Il est donc de mon devoir de musulman de vous avertir des agissement pour le moins hypocrites de certaines personnes.

Comme nous le savons il appartient a l’accusation d’apporter la preuve de son accusation, a défaut de fournir cette preuve ils nous appartient a nous autres musulmans craignant la colère de dieu de rejeter tout témoignage car on se sait pas qui est qui est ce ne sont pas toujours ceux qui parlent les premiers qui on raison. Ainsi on m’accuse d’être chiite et vous pourrez constater que les accusateurs n’avance aucune preuves mais seulement l’interprétation de certains de mes paroles tout en cachant nombres de mes propos ils convient donc d’être très vigilants contres ces gens et de ne point être manipulé en véhiculant la calomnie. Je me permet de vous fournir les textes ci dessous lesquels sont des extrait de mon livre intituler. « lettre ouverte a nos frères chiites ».

«Le fait d’attenter par la parole à l’honneur d’un homme ou d’une femme en proférant des propos prétendument vrais ou fausse qui n’ont cependant pas de raison d’être en raison de leur fin, est un acte condamné par l’Islam. Car ces paroles ne sont suscitées que par méchanceté, jalousie ou haine des défauts que le Musulman n’a pas.

A contrario, lorsqu’il s’agit de paroles exactes dont la divulgation de l’information auprès des autorités compétentes ou du public sont motivées seulement et uniquement en vue de faire cesser un crime ou un délit d’ordre profane ou spirituel, cet acte doit alors impérativement se limiter dans le temps et dans l’espace à ce qui semble être juste et conforme à la morale de Mohamed (paix et prière sur lui) le moraliste par excellence.

Tout acte émergeant de ce cadre n’a d’autre fin que d’alimenter la rancœur entre frères et sœurs d’une seule et même religion, par conséquent, fouiner comme le fait le chien à renifler le sol pour y trouver des éléments tendent à la conjecture, n’est que crime odieux à l’encontre de Dieu, son Prophète, la vérité, l’Islam et les Musulmans d’une manière générale.

Par conséquent, il sera puni d’un terrible châtiment en cette vie et dans l’au delà».

Et ce ne sera que justice


23 "Traité de réconciliation entre Murawiya et Hassan"

Nous savons qu’après la mort du prophète, Ali fut victime d’un certaines nombres de menace qui l’on conduit a agir contre les insurger, lesquels non seulement le menacer personnellement, mais plus grave encore, ils menacer la stabilité de l’Etat instaurer quelque décennie auparavant par le prophète. Il du donc entre autre, affronter l’armée de Murawiya au lieu dit de Sifine[1] où il fut contraint par une partie de son armée, d’accepter l’arbitrage proposer par certains soldats de l’armée Mourawiya. En réalité, l’armée de Mourawiya était a deux doigt de perdre la bataille, ces alors qu’un compagnon de Mourawiya trouva un stratagème qui constituer a mettre sur le bout de leurs lances des feuillet du Coran. L’armée d’Ali refusa de continuer a batailler de crainte de souiller le Coran avec le sang des guerriers, et a donc contraint Ali a accepter l’arbitrage. Ce dernier n’étant pas dupe, leurs dit que cela n’était là qu’un stratagème afin d’éviter une débâcle certaine et qu’il fallait continuer la lutte. Mais rien a faire ! il du accepter a contre cœur un « cesse le feu ». On connaît la suite.

Epuisé et déçu, lui qui fut le plus grand guerrier de l’Islam, le bouclier du Prophète, l’homme le plus marquant de l’histoire de l’Islam, devait rendre son dernier souffle un beau matin alors qu’il se rendait où était en prière. Il fut comme on le sait lâchement assassiner.

Son fils aîné Hassan prit donc les rênes du pouvoir ou du moins se qu’il en restait, il faisait donc à son tour face au roi Mourawiya. Ce dernier monter en puissance suite a la mort d’Ali, proposa a Hassan un traiter de paix. Ce dernier en situation de faiblesse et ne voulant pas faire davantage couler le sang des musulman, accepta. Il signa donc le traiter ce dans l’intérêt, en tout cas ainsi le conçut-il, des Musulmans. Un traité de paix plus connu sous le titre «Traité de réconciliation entre Hassan et Mourawiya[2]».

Qui dit traité dit clause, Hassan imposa donc à Mourawiya en échange du pouvoir, un certain nombre de conditions. Celle qui nous intéresse en particulier, fut relatée dans un certain nombre d’ouvrages Chiites, il s’agit de la condition numéro une qui stipule je cite :

Article premier : «Al-Hassan remet le pouvoir à Mu’âwiyeh à condition que ce dernier applique le Coran et la Sunna du Prophète et suive la voie des Califes pieux[3]».

Je ne sais si le lecteur a repéré l’incohérence… ? Nous lisons en effet dans ce traiter, que l’article premier écrit de la main de l’imam Hassan, sinon dicté par lui, stipule «A condition de suivre la voie des Califes pieux». Or, je ne connais en ce qui me concerne pas d’autres Califes en dehors d’Ali, d’Abou Bakr, d’Omar et d’Otman, puisque la phrase est bien au pluriel, il s’agit donc, sinon des trois, d’au moins de l’un d’entre eux en plus d’Ali, en tout cas si l’on veut donner un sens à cette phrase. Pourquoi donc Hassan a imposer à Murawiya de suivre la voie des Califes pieux si ces derniers ont agi comme l’affirme les Chiites en usurpateurs ? De plus, le lecteur pourra constater que Hassan a bien dit « La voie des Califes pieux » il a bien utilisé le mot « pieux » il me semble qu’il y a bien là aussi quelque chose pour le moins d’assez bizarre.

Comment pouvons-nous en effet, accuser les Califes d’usurpation au nom d’Ali et de ses enfants, quand Hassan le deuxième imam infaillible pour les Chiites, a en personne imposer à Mourawiya, tout en en faisant une condition sine qua non, de suivre la voie des Califes pieux ! Je serais très reconnaissant à toute personne susceptible de m’apporter une explication sur ce fait historique, de ne pas hésiter à m’en faire part.

Autre indice qui me semble précieux, je vous laisse d’abord prendre connaissance de ce texte :

«L’Imam al-Hassan se leva et dit à l’adresse des soldats : «O gens ! Vous vous êtes trop disputés à propos de ces deux hommes ! Or, alors qu’ils avaient été choisis initialement pour juger, à la lumière du Livre (duquel côté se trouvait) le bon droit, ils se sont évertués à juger le Livre selon leur fantaisie. Celui qui agit ainsi, n’est pas un juge mais un condamné. En fait Abdullah Ibn Qays a commis une triple faute lorsqu’il désigna Abdullah Ibn (fils de) Omar (pour le Califat à la place de l’Imam Ali). Premièrement, parce que le jugement qu’il a émis est en contradiction avec l’avis de père de ce dernier (c’est-à-dire l’avis du deuxième Calife Omar Ibn al-Khattab), lequel, le (le Califat) lui (à son fils Abdullah) refusa, ne l’ayant pas mis au nombre des gens de Choura. Deuxièmement, parce qu’il n’a pas demandé à l’intéressé (Abdullah Ibn Omar) son avis (sur sa désignation) troisièmement parce qu’il, Abdullah fils d’Omar réunit les suffrages des Murajirines et des Ancars du consensus unanime duquel découle le désignation d’un Calife[4]».

Il subsiste là aussi une autre incohérence pour le moins surprenante. En effet, Hassan explique sagement l’erreur que Abdallah fils de Qays a commis quand il voulut désigner le fils d’Omar au poste de Calife. Il en énuméra les arguments qui sont au nombre de trois, à savoir :

- Premièrement: parce que le jugement qu’il a émis est en contradiction avec l’avis de père de ce dernier (c’est-à-dire l’avis du deuxième Calife Omar Ibn al-Khattab), lequel, le (le Califat) lui (à son fils Abdullah) refusa, ne l’ayant pas mis au nombre des gens de Chourâ.

Deuxièmement: parce qu’il n’a pas demandé à l’intéressé (Abdullah Ibn Omar) son avis (sur sa désignation).

Troisièmement: parce qu’il, Abdullah fils d’Omar réunit les suffrages des Murajirines[5] et des Ançars[6] du consensus unanime duquel découle la désignation d’un Calife.

Ce qui me chiffonne, est que Hassan ne soulève à aucun moment l’argument qui devrait être décisif, à savoir que c’est Ali et personne d’autre qui devait succéder au Prophète, en appuyant cette revendication par des arguments divers, dont ceux qui sont sans cesse avancés par nos frères Chiites. Hassan n’a en effet, à aucun moment fait allusion de tout cela, pourquoi ? N’était-ce pas là des arguments «vrais» et «décisifs», conforme a la «volonté du Prophète» ! Alors pourquoi ne les évoquent-il pas ? Je suis pour le moins désorienté face à ces nombreuses contradictions qui n’ont jamais été soulevées par personne, surtout pas par les « spécialistes » de la question. Lesquels ne semblent n’étudier que dans un seul et unique sens, le leurs. Ce qui est bien regrettable et combien injuste !

Comment peut on encore mentir en disant que je suis chiites !



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[1] ville sur la rive droite du haut Euphrate, lieu de la bataille en l’an 657, le 26 juillet, qui se soldat par un nombre extrêmement élevé de mort.

[2] «Traité de réconciliation entre l’imam Hassan et Mourawiya» pages 44 & 45 édition l’association Ahl-Elbeit.

[3] «Traité de réconciliation entre l’imam Hassan et Mourawiya» pages 44 & 45 édition l’association Ahl-Elbeit.

[4] «Traité de réconciliation entre l’imam Hassan et Mourawiya» pages 44 & 45 édition l’association Ahl-Elbeit.

[5] Les Mourajirounes sont ceux qui ont émigré de la Mecque vers Médine.

[6] Ançar sont les habitants de Médine.
 
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