Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
classemet des plages
s
6 mars 2005 19:27
Danger. Le nord bouffe ses plages

Les dunes et les plages du littoral entre Tanger et Larache sont les principales sources d’approvisionnement en sable pour le secteur de la construction. Or, Tanger consommedu ciment à tout va depuis quelques années. Aujourd’hui, la ville du détroit arrive même en deuxième position après Casablanca. Cette situation entraîne une pression sur le littoral sans précédent. Ainsi, les besoins journaliers en sable sont passés de 5000 m3 à 6500 m3 en moins de 2 ans, selon la Fédération du Bâtiment de Tanger. Qui paye les pots cassés ? L’écosystème marin dont les plages disparaissent à vue d’œil. Pourtant, des solutions de substitution existent, mais se heurtent aux contraintes du marché local. Le ministère de l’Equipement soutient le sable de dragage, mais les professionnels du secteur n’en veulent pas car il est trop chargé en sel et en éléments organiques. D’ailleurs, 30 tonnes de sable de dragage végètent depuis 3 ans dans le port de Larache n’ayant pas trouvé preneur. Autre option possible : le sable concassé. C’est la solution défendue par la fédération du bâtiment de Tanger. Mais là aussi, cette option se heurte à la loi du marché. Pourquoi payer un sable concassé à 90 dh le m3 alors que le sable marin se négocie à 85 dirhams ? Ou bien, quand on peut carrément le voler sur la plage. C’est un exercice de style dans la région.
s
6 mars 2005 19:33
le respect de critères stricts et, à terme, de placer le Royaume au niveau balnéaire européen, favorisant ainsi le développement du tourisme national.

Les plages concernées par cette premières sélection sont au nombre de six pour le pavillon bleu. Il s'agit de Saïdia, Tanger, Aïn Diab, Haouzia, Essaouira et Agadir. Les postulants doivent se conformer à des critères stricts en matière de la qualité de l'eau, de l'aménagement et de la gestion, de la sécurité, de l'information et de l'éducation.
Déjà, au niveau de la plage de Aïn Diab, à Casablanca, des brigades vertes donnent l'exemple en veillant quotidiennement à la propreté et à l'entretien de la plage. Les autres plages redoublent d'efforts pour réussir ce premier examen de passage.
s
6 mars 2005 19:35
Casablanca : Sauver la côte Est



Alors que la campagne « Plages propres » va son bon train pour des plages privilégiées, une importante partie de la côte casablancaise est délaissée. De Aïn Sebaâ à Mohammédia, la côte est très souffrante.

Depuis l’ère du protectorat et durant les années 1960 et 1970, les plages partant d’Ain Sebaâ jusqu’aux portes de la ville de Mohammedia étaient très prisées par la population casablancaise et les visiteurs de la capitale économique.
Les noms de ces plages sont encore dans les mémoires des moins jeunes. Plage Raha, Plage Essaâda, Plage Nahla, Petite Zenata, Grande Zenata, Paloma et Ouled Hmimmou.
De nos jours, et depuis bien des années déjà, la direction unique des Casablancais, c’est la côte d’Aïn Diab qui est bien prise en considération par les services concernés.
Avec l’implication directe de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, Ain Diab répond aux critères internationaux de propreté, de sécurité et d’animation sportive et culturelle. Résultat : un afflux massif d’estivants au milieu de l’encombrement, l’entassement et le désordre. Les habitants affluent de toutes les préfectures.
Or à l’autre bout, les plages sont presque vides comparativement aux années précédentes. Les détritus, les sacs de plastiques et autres saletés dominent en couvrant le sable. Une image autant désolante que repoussante. Pourtant, la côte est parsemée de chalets et de cabanons sur une longueur de plusieurs kilomètres, avec du sable de bonne qualité et des plages paisibles et sans risques pour les enfants.
Certes on a longtemps avancé l’argument de la pollution puisque la région est infestée de grandes unités industrielles. Ce qui a poussé les gens à y renoncer.
Il n’en demeure pas moins que l’aménagement de cette partie côtière aurait un impact très positif à tous les niveaux.
L’installation de lieux de divertissements et de loisirs avec un entretien permanent est capable de produire des activités qui seraient bénéfiques sur toute la ligne. Il ne s’agit pas d’un endroit isolé.
Le tronçon Casablanca-Mohamedia de la route côtière connaît un grand trafic tout au long de l’année. Taxis, bus et particuliers, font la navette au quotidien.
Cette année, près de 3 millions de dhs ont été alloués pour la réalisation de projets visant la valorisation de l'image de la plage de Bouznika, dans le cadre de la campagne nationale «Plages propres » 2004, placée sous le Haut patronnage de SAR la Princesse Lalla Hasna, présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement.
De ce fait, cette plage est bien partie pour décrocher le label « Pavillon bleu », une qualification européenne des sites balnéaires qui répondent aux exigences des « plages propres » en matière de qualité des eaux de baignade, de sécurité, d'infrastructures et d'information. Ce label bénéficie du soutien du Programme des Nations unies pour l'environnement.
Si les autorités locales de Aïn Sebaâ et de Sidi Bernoussi unissent leurs efforts à ceux d’autres intervenants, la côte est de Casablanca renaîtrait certainement de ses cendres promettant même de rendre l’ascenseur à ses bienfaiteurs.
Les atouts de cette partie de la côte casablancaise ont tout pour briguer une candidature au fameux « Pavillon bleu » mais surtout la capacité de soulager la côte Aïn Diab des marrées humaines qui la submergent chaque jour provoquant des entassements à tel point qu’une simple balade se transforme en souffrance.


k
6 mars 2005 21:43
Nabil9000 a écrit:
-------------------------------------------------------
> biggie.à ain diab je me suis fait volé mon
> portable. à la plage mohamadia une yabiladienne
> parlait l'autre fois qu'elle s'est fait volé son
> sac. à tamaris un s'est fait volé son auto radio
> dans sa voiture.... tu comprends maintenant le
> sens de sécurité?
> si tu dis que toutes les plages sont sécurisées
> pourquoi on ne voit jamais des affaires des
> baigneurs sans que personne ne reste à côté? vas à
> la plage et laisse seul ton portable et ta montre
> sur un linge et dis moi ce que tu vas trouver au
> retour.
>


hmm alors j'ai était inconscient pendant 2 mois a essaouira je lissais mes affaires sans surveillance pour aller nager ou jouer au foot. mais bon je sais que les pic poket et les tirs sur les plages ne manque pas mais sa reste l'ouvre de petit voyou et tu ne vas pas me dire que ce phenomene est noveau et qu'il ne touche que les plages de ain diab ou a mohamadia . je penser que tu me parlais de cas tres graves. en tout cas la presence de la police sur la plage était forte ces 3 derniers années sur les plages de mogador.
H
6 mars 2005 22:28
Sidi Bouzid est de loin La meilleure plage au Maroc à mon avis. Même si je ne l'ai pas toutes vues
l
6 mars 2005 22:31
qabila ou marinasmir
f
6 mars 2005 22:37
je suis d accord avec hichamo sidi bouzid c vraiment une très belle plage
m
7 mars 2005 09:52

Essaouira a eu son pavillon bleu.
" Le commencement de toutes les sciences, c'est l'étonnement de ce que les choses sont ce qu'elles sont "
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook