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chifres d'affaires de vente d'ALCOOL baisse trop au moi de RAMADAN
s
7 août 2008 17:45
Des études, recherches,et analyses économiques en europe on trouver que les taux de ventes des produits alcooliques, baissent trop et chaque année durant la période du moi de RAMADAN ,
surtout dans les pays ou s'instalent les grandes masses de communauté musulmans, come en france.

pourquoi?

qui consome trop d'alcool, c'est les musulmans ?

et pourquoi juste pendant le moi de RAMADAN, sa baisse trop cette consomation?

L'islam est il une religion saisoniére?

ou se trouve le MAROC de l'islam moderne parmis tout sa?
g
7 août 2008 18:27
En fait la consommation d'alcool en France n'est pas mal vu mais plutôt encouragé(je pense que cela doit être très très difficile pour des personnes venant de pays musulmans de résister aux propositions lorsque l'on est en compagnie:l'alcoolisme est un réel problème en France...alors le mois du ramadan consiste en un sorte de rempart et de désintoxication...)
M
7 août 2008 20:57
ce qui prouve 3bad rabbi ou khra f'at7ine

.
l
7 août 2008 22:06
Citation
gerem a écrit:
En fait la consommation d'alcool en France n'est pas mal vu mais plutôt encouragé(je pense que cela doit être très très difficile pour des personnes venant de pays musulmans de résister aux propositions lorsque l'on est en compagnie


Cela ne doit pas être si difficile que ça. Dans mon entourage, je connais pas mal d'hommes qui ne viennent pas de pays musulmans et qui refusent toute boisson alcoolisée même lorsqu'ils sont en compagnie de personnes qui consomment de l'alcool.
s
7 août 2008 22:16
vous avez raison louis,, c'est question de mentalité, pas question de religion.
7 août 2008 22:25
[www.yabiladi.com]

[www.yabiladi.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/08/08 22:34 par Moh Tsu.
7 août 2008 22:26
Schizophrénie devant Marjane : Arrêté pour achat d’alcool !

Ce n’est pas un secret, le rapport qu’entretient la loi avec l’alcool au Maroc relève de la schizophrénie. Libres dans les faits, la consommation et la vente peuvent, selon le bon vouloir de la police, faire l’objet des pires sanctions. C’est légal mais inique.
L’incident survenu mardi 13 avril à Rabat est symptomatique de cet état de fait. Un coursier parti acheter des spiritueux pour son patron, un homme connu dans l’arène culturelle, a été cueilli à la sortie du magasin par les policiers en poste. Le patron a été convoqué à l’arrondissement. Sérieusement malmenés, les deux hommes ont été finalement relaxés avec un PV en sept copies et la marchandise saisie. En plus du caractère inhabituel et aléatoire de cette interpellation, le lieu n’a rien d’anodin. En effet, il s’agit de Marjane, la célèbre enseigne d’hypermarché, propriété de Cofarma, laquelle est une filiale de l’ONA. En tout cas, du fait de sa proximité avec le Palais (actionnaire de référence de l’ONA), les rayons de la chaîne bénéficiaient d’un état de grâce. Quelle que soit la confession de ses clients - la loi interdit la vente d’alcool aux musulmans -, ils pouvaient se servir sans risque de représailles. Bévue de la part des officiers du 16e arrondissement de Rabat ou jurisprudence en cours ? Difficile de trancher. Un constat, cependant, s’impose : si cet acte est annonciateur d’une nouvelle tradition aux portes du supermarché, cela veut dire que les clients de l’ONA seront dorénavant logés à la même enseigne que les clients des guerrabas (vendeurs à la sauvette). Rappelons que la moyenne de consommation de bière au Maroc est de 3 litres par habitant (TelQuel n°60). Les consommateurs d’alcool, si nombreux, deviendront-ils donc, à cause du flou administratif, des suspects en liberté provisoire ? Et pourquoi ne pas légaliser la consommation d'alcool pour sortir de cette schizophrénie ? Surtout que certains policiers en profitent allègrement pour avoir leur dose.

[www.telquel-online.com]
7 août 2008 22:28
Ramadan : Et l’alcool coule à flots..

Lorsque survient ramadan, ce mois sacré marqué par l’abstinence et la dévotion, les propriétaires d’endroits de la nuit (boîtes, bars, cabarets) se retrouvent au chômage conjoncturel. Leur métier de base étant la commercialisation d’alcool, leur chiffre d’affaires périclite -c’est une lapalissade de le dire-.

Certains, parmi ces gérants des temples nocturnes casablancais, ont trouvé la parade. Leurs tripots sont pris d’assaut, même lors du ramadan, par les consommateurs. Assurément, l’alcool n’est pas de la partie, mais les esprits s’échauffent tout de même souvent dans pareils endroits. Soirée raï, danse orientale, chicha et haschich.

Le bar en face duquel je me trouve présentement (il est 21 heures 30 en ce lundi 11 novembre 2002) est un des endroits de perdition réputés de la capitale économique du Royaume, un bistrot de la pire espèce rempli, lorsque l’alcool y coule à flots, de soûlards agressifs, de prostituées défraîchies et en djellabas, de barmen et de serveurs pas très scrupuleux…

Au moins une centaine de personnes doit s’agglutiner dans ce bar poisseux et trop petit pour autant de monde. Je me dirige illico vers le zinc, commande un Coca que je m’envoie dans la gueule en moins de deux. Le barman qui m’a servi paraît sympathique. On parle un peu de tout et de rien et, soudain, sans que j’essaie de mener la discussion vers le sujet qui m’intéresse, il se met à parler (de son propre chef, donc) de son boulot, du bar et de son patron. “ Par rapport à la clientèle classique de ce bar, explique Nabil (le barman), celle qui vient durant le ramadan est plus jeune, moins argentée. Les clients viennent là pour écouter de la musique, faire la fête entre potes et draguer des ####s, à l’occasion ”.

Toute la soirée seront alternés des disques raï et des spectacles musicaux. Hormis un groupe de musique “ chaâbi ” très peu adroit, “ le clou du spectacle ” de cette soirée ramadanesque est, sans conteste, le numéro de la danseuse Hayat, une petite grosse de 80 kilos (à vue d’œil), assez moche de surcroît, dont le seul mérite est de savoir faire onduler sa gigantesque bedaine.

Cliché égyptien

Il y a une foule de filles de joie dans ce bar sordide ; de toutes les sortes. Et dire que ramadan est prétendument un mois où la communauté musulmane essaie de se réhabiliter vis-à-vis de la religion, de se faire absoudre ses pêchés par Allah. Non loin du comptoir où je me trouve toujours en compagnie du barman éloquent, attablés autour de deux limonades, un client et la fille qu’il a sélectionnée sont en train de faire un brin de conversation. Ils discutent “ niveau de rémunération ”, apparemment, et semblent être tombés d’accord sur un chiffre. Quelques instants passent et le client commande une “ chicha ”. Un des serveurs lui amène bientôt un narguilé qu’il remplit de tabac et auquel il adjoint deux bouts circulaires de charbons.

Dans les tables alentour, beaucoup de gens tirent inlassablement sur les tuyaux des narguilés. La “ chicha ” est en passe de devenir, au jour d’aujourd’hui, au Maroc, ce qu’elle a toujours été en Égypte, un produit de consommation “ phare ”. Selon Nabil, c’est d’abord grâce à la “ chicha ” que les gérants des bars s’en mettent plein les poches, durant le ramadan également. “ Ici, elle est commercialisée à 50 Dhs la dose et il nous arrive, régulièrement depuis le début du mois sacré, d’en vendre une centaine par nuit. C’est certes moins que ce que l’on fait en vendant de l’alcool, mais ce n’est pas rien, surtout que le prix de revient est très bas ”, indique-t-il.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/08/08 22:28 par Moh Tsu.
7 août 2008 22:28
Du cannabis pour oublier l’alcool

Dans ce bar du centre-ville, les ivrognes en manque d’alcool prennent leur mal en patience et se tournent vers d’autres substances enivrantes. Il est maintenant 23 heures 30 et le bar commence à se vider. Beaucoup de mâles empressés sont sortis en compagnie de filles légères pour finir la soirée dans des lieux autrement moins fréquentés et plus intimes.

Quand les clients épisodiques du bar le quittent, les “ habitués ” (ceux qui y font partie des meubles) prennent enfin leurs aises. Il n’y a guère plus qu’une vingtaine de personnes dans le bar, qui se transforme, inopinément, en “ coffee-shop ”. Les clients du bar roulent des joints pour oublier leur dépendance de l’alcool. A en croire Si Mohammed, un sexagénaire qui a passé le clair de son existence dans des bars du type de celui-ci, beaucoup d’alcooliques consomment du cannabis durant le ramadan.

“ Nous sommes habitués à ce que notre cerveau soit grisé. Alors, quand il nous faut quitter l’alcool pendant un long mois, nous nous tournons vers un produit de substitution. Vous savez, je connais plusieurs amis qui sont tellement accros à l’alcool qu’ils ne respectent même pas le ramadan et picolent comme des Polonais pendant ce mois-là. Je préfère encore taper des petits joints plutôt que de faire comme eux ”, précise-t-il.

Si quelques endroits de la nuit ferment durant le mois sacré et en profitent pour initier des travaux de rénovation ou pour changer de décoration, par exemple, la plupart des tripots se transforment, l’espace d’un mois, en bars sans alcool (mais avec des prostituées, de la drogue et tout le bataclan). En fait, Je ne veux pas servir de discours moralisateur (je ne suis pas du tout en position de jeter la première pierre!), mais sert-il vraiment à quelque chose de jeûner, de s’abstenir et de se priver toute la journée pour laisser libre cours, lorsque advient la nuit, à sa nature pécheresse ? N’est-ce pas un peu hypocrite ?

La Nouvelle Tribune

Source : [www.bladi.net]
7 août 2008 22:29
[www.yabiladi.com]

[pagesperso-orange.fr]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/08/08 22:33 par Moh Tsu.
s
7 août 2008 22:49
trés bonne et forte analyse mr Moh tsu


P.N.B
B
7 août 2008 23:16
Citation
louise a écrit:

Cela ne doit pas être si difficile que ça. Dans mon entourage, je connais pas mal d'hommes qui ne viennent pas de pays musulmans et qui refusent toute boisson alcoolisée même lorsqu'ils sont en compagnie de personnes qui consomment de l'alcool.

c'est du bon sens
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
B
7 août 2008 23:19
Salam aalikoum

je ne sais pas si cela à un lien


mais je discutais avec un collegue de travail qui me disait que La française des jeux, chaque année avait du mal à faire leur chiffre habituel pendant une période bien précise dans l'année

Donc je lui reponds naivement le mois d'Aout car, ya pas un chat...


il me dit "non", c'est pendant le mois du Ramadane

j'ignore si c'est vrai, j'ai jamais pu le vérifier


la howla wa la qowata illa billah

smiling smiley


oua Allahoua3lem
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
a
7 août 2008 23:22
faut faire attention on n a pas les chiffres en main

j y crois pas a leur truc
s
8 août 2008 09:50
Citation
salatine a écrit:
Des études, recherches,et analyses économiques en europe on trouver que les taux de ventes des produits alcooliques, baissent trop et chaque année durant la période du moi de RAMADAN ,
surtout dans les pays ou s'instalent les grandes masses de communauté musulmans, come en france.

pourquoi?

qui consome trop d'alcool, c'est les musulmans ?

et pourquoi juste pendant le moi de RAMADAN, sa baisse trop cette consomation?

L'islam est il une religion saisoniére?

ou se trouve le MAROC de l'islam moderne parmis tout sa?


c est triste mais c est telement plausible...
s
8 août 2008 22:49
mais au MAROC, comment sa passe? car selon que je conait,,, y a toujour les bars, les pubs les discoteques ,ect ou on trouve plus de maroccains que des touristes.
et les marché de vente d'acool sont toujours ouverte meme si il reste que quelque jours a RAMADAN.


est ce que la situation économique l'oblige? ou c'est les maroccains qui comence a s'éloigner de leurs religion?
 
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