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Al Hersini a écrit:
As salam alaykoum
Hmmm ça c'est l'avis des fataliste (en terme de courant de aqida j'entend), pas de sunna wa al jamaha et encore celui des salaf Je rappel que Malik et abou Hanifa se sont rebellé contre leur gouverneur. On pourrait aussi parler du cas de Mu'awiya, ou d'al Hussein (as)....
Bref autant en temps normal j'approuve tes rappels autant celui là, que j'ai déja croisé durant les printemps arabes me pose problème car il n'est pas conforme a la voie des salaf et esty largezment instrumentalisé par l'arabie saoufite.... parfois soutenu par du hadith munqar, da'if ou autre.
Donc
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srnit a écrit:
Aleykoum salam,
En revanche, je rejoins complétement cette partie
Lorsque vous parvient de la part du sultan des choses que vous réprouvez, considérez que c’est la conséquence de vos péchés et que c’est dû à vos fautes.
Les gouverneurs sont souvent à l'image des gouvernés.
Sans justifier la dicature.
Je le vois par exemple au Maroc.
Tout le monde se plaint de la corruption, parle de ces ministres et autres qui s'engraissent ... oubliant que dans leurs familles, leurs voisins et peut être eux-mêmes utilisent cette corruption pour s'enrichir.
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CeltoMuslima a écrit:
Donc quand le roi d'arabie saoudite a voulu crucifier sur la place publique un jeune homme jusqu'à pourriture de son corps fallait lui trouver quoi comme excuse ?
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Al Hersini a écrit:
Aucune
Cette histoire a été une abjection et une infamie..... et notre communauté n'a pas brillé pour reprouver ce genre d'acte blâmable.
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a écrit:
"Lorsque l’état et les décisions du sultan sont bons, louez abondamment Allah et soyez reconnaissants à Son égard.
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a écrit:
Lorsque vous parvient de la part du sultan des choses que vous réprouvez, considérez que c’est la conséquence de vos péchés et que c’est dû à vos fautes.
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inconnu pour inconnu a écrit:
CHERCHER DES EXCUSES À NOS GOUVERNEURS EST LA VOIE DE NOS PIEUX PRÉDÉCESSEURS
Toutes les louanges reviennent à Allah Seul. Qu’Allah couvre d’éloges et salue celui après qui il n’y a plus de prophète.
Ensuite :
En exposant un certain nombre de sagesses résidant dans la présence de sultans sur Terre, l’imam Abu Bakr Muḥammed ibn El Walid El-Ṭurṭuchi (d.520H) exposa de quelle manière les anciens de cette communauté considéraient le comportement à adopter avec les gouverneurs, aussi bien lorsqu’ils sont droits, que lorsque survient de leur part des choses blâmables.
Il dit à cet effet :
« Les ʿulémas disaient :
"Lorsque l’état et les décisions du sultan sont bons, louez abondamment Allah et soyez reconnaissants à Son égard.
Lorsque vous parvient de la part du sultan des choses que vous réprouvez, considérez que c’est la conséquence de vos péchés et que c’est dû à vos fautes.
Trouvez des excuses au sultan en prenant en compte les nombreuses affaires qu’il doit gérer et la multitude de difficultés qu’il rencontre dans la gestion de son royaume.
Rappelez-vous qu’il doit sans cesse chercher à calmer les ennemis tout en préservant l’agrément des alliés. Cela, malgré le faible nombre des conseillers loyaux et la propagation de la tromperie et de l’opportunisme. » (1)
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(1) Siraj el muluk (p.43).
Source : Muʿamalat el ḥukkem du cheikh ʿAbd El-Salem ibn Barjes Al ʿAbd El Karim dans le 1er volume de Majmuʿ el mu°allafat wa el-taḥqiqat.
Traduit par ʿAbd El-Raḥmen Colo
Le 27/El muḥarram/1439
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inconnu pour inconnu a écrit:
Rapporté par At-tirmidhi et authentifié par Al Albâni, d’après Ziyâd ibn Kusayb Al 3adawi qui a dit :
«J’étais avec Abu Bakrah devant le minbar de Ibn 3Âmir alors que celui-ci faisait son sermon ; il portait un vêtement léger.
Abou Bilal s’écria alors : Regardez notre gouvernant ! Il porte des vêtements de pervers !
Abou Bakrah lui répondit : Tais-toi ! J’ai entendu le Messager de d’Allâh صلى الله عليه وسلم dire : «Celui qui rabaisse le gouvernant qu’Allâh a placé sur terre, Allâh le rabaissera.»
Rapporté par Muslim, d’après Umm Salamah l'épouse du prophète صلى الله عليه وسلم, le prophète صلى الله عليه وسلم a dit :
«Viendront après moi des émirs dont vous agréerez certaines choses et en réprouverez d’autres. Celui donc qui déteste cela s’est innocenté, et celui qui les réprouve est préservé, mais [le péché] ne touche que celui qui les agrée et les suis.»
Les Compagnons dirent : «Ô Messager d’Allâh, Ne devons-nous pas les combattre ?»
Il répondit : «Non, tant qu’ils accomplissent la prière.» Cd celui qui déteste et réprouve par son coeur.
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