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AbdelDidi a écrit:
Avant de prendre n'import décision il faut voir les conséquences dans tous les aspects, et la première impact qui doit le prioriser est l'impact sur le citoyen ou humane , Cette décision est favorable à l'égard de faciliter la circulation, mais est-ce que le conseil a pris la charge la responsabilité de propriétaires de ces charrettes ? et c'est quoi l'alternative financier pour eux ? il semble que ils sont laissé à son destine.
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AbdelDidi a écrit:
Avant de prendre n'import décision il faut voir les conséquences dans tous les aspects, et la première impact qui doit le prioriser est l'impact sur le citoyen ou humane , Cette décision est favorable à l'égard de faciliter la circulation, mais est-ce que le conseil a pris la charge la responsabilité de propriétaires de ces charrettes ? et c'est quoi l'alternative financier pour eux ? il semble que ils sont laissé à son destine.
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Testarudo a écrit:
Salut,
Bien sûr, un moyen de transport moyenâgeux défigure certainement le paysage et ralentit la circulation des véhicules flambant neufs des élus, achetés au frais de la princesse et des charretiers.
Préparez mesdames, jupes-short et habits occidentaux, car le port de la djellaba moyenâgeuse risque d'être à son tour banni.
Bref, c'est une grande question culturelle, celle du clash des civilisations avec les chaussées hi-tech au revêtement renouvelable après chaque pluie.
Les vélos, les motos, les triporteurs devraient aussi être interdits de circulation car ils roulent à basse vitesse, encombrent la chaussée et polluent moins que les voitures de service.
Aucune mesure pour tenter de maintenir le cheval dans la ville : pas de visite technique, de normes techniques de construction, quant à l'encombrement des charrettes, de signalisation (nocturne catadioptres et autres) et autres mesures permettant d'adapter ce mode de transport au temps moderne.
Je réglemente, interdit, exclue et après moi le déluge ?
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wek up a écrit:
Pas de problème! Tu peux allez vivre dans un village au Toubkal
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Testarudo a écrit:
Je vais au Toubkal, pour chasser et voir comment vivent mes compatriotes, ceux du Maroc profond, qui ont une identité millénaire.
Tu es mal placé pour faire de telles remarques, ton niveau le démontre, car je suis loin d' être un péquenot, paysan et campagnard, nouvellement citadin et "civilisé" à ton image.
Le développement durable remettra au goût du jour les modes de transports traditionnels en terme d'énergie mécanique ou de mobilité libre hors des chemins balisés : voies ferrées, routes goudronnées, pour de petites charges utiles.
Par ailleurs, je suis un cavalier respectueux du cheval, de l'art équestre, de l'élevage.
Bannir les charrettes aura un impact sur la diversité biologique, les agriculteurs et éleveurs comme d'autres métiers artisanaux.
Un triporteur qui roule à 1,5 m du trottoir ou en plein milieu de la voie, à petite vitesse, ce n'est pas cela qui manque, comme des groupes de cyclistes qui roulent de front parfois la nuit sans lumière.
Bref, analyser le problème dans toutes ses dimensions, de plus le CODE DE LA ROUTE, texte législatif, n'interdit pas l'usage de charrettes. Une réglementation urbaine ou communale peut-elle interdire ce que la loi n'interdit pas ?
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wek up a écrit:
<Bref, analyser le problème dans toutes ses dimensions, de plus le CODE DE LA ROUTE, texte législatif, n'interdit pas l'usage de charrettes. Une réglementation urbaine ou communale peut-elle interdire ce que la loi n'interdit pas ?>
OK! Si la charrette effleure une voiture et lui cause des dégâts, alors quoi faire face à un animal non assuré et en plus son chauffeur sans moyens; Que conseillerais tu au propriétaire de la voiture, tout en espérant que ce n'est pas une voiture haut de gamme, sans compter si jamais il y a des blessés.
Ta vision des choses est irréaliste; Les villes du Maroc ne peuvent faire marche arrière et vivre comme au 19ème siècle; Je répète qu'il y a encore une partie au Maroc qui fonctionne comme avant et même dans celle-ci la voiture, le GSM et la TV sont présents. Dans notre cas on parle de Casablanca, la capitale économique.