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c'est quoi la médisance ?
P
23 février 2006 15:51
Salam smiling smiley

voila je voudrais connaitre la vraie definition de la medisance dans l'islam ?

Je crois que des fois on est medisant et qu'on se rend meme pas compte ... il serait bon d'avoir une bonne definition
********************************************************* Seigneur, Tu entends nos prières, Tu connais nos secrets, et ce que cachent nos coeurs ne peut T'être dissimulé. Nous T'adressons la supplique de ceux qui sont dans le besoin et affaiblis; nous n’avons d'autre Dieu que Toi auquel nous nous adressons, ni d'autre Miséricordieux duquel nous espérons Sa MiséricordeSeigneur, embellis-nous par la beauté de la foi, et fais de nous des guides bien guidés. Seigneur, Ouvre nos coeurs à l’Islam et à la foi. Seigneur, fais dans nos oeuvres une facilité, fais qu’après la diffculté vienne la facilité et facilite nous toutes nos affaires. [ Allahouma Amine ]
ok
23 février 2006 16:02
Je ne sais pas. Je savais mm pas qu'il existait differentes sorte de médisances: une pour l'islam,l'autre pour les chrétiens,une autre pour les animistes,une autre pour....
Moi par exemple, je suis un médisant selon la définition animiste. je critique trop les mauvais esprits!
alors coment je fais pour pas médire en témoin de géova?
P
23 février 2006 16:09
Oui c'est clair je crois qu'on a besoin de clarifier cette definition je cherche sur google sad smiley y a rien ..
********************************************************* Seigneur, Tu entends nos prières, Tu connais nos secrets, et ce que cachent nos coeurs ne peut T'être dissimulé. Nous T'adressons la supplique de ceux qui sont dans le besoin et affaiblis; nous n’avons d'autre Dieu que Toi auquel nous nous adressons, ni d'autre Miséricordieux duquel nous espérons Sa MiséricordeSeigneur, embellis-nous par la beauté de la foi, et fais de nous des guides bien guidés. Seigneur, Ouvre nos coeurs à l’Islam et à la foi. Seigneur, fais dans nos oeuvres une facilité, fais qu’après la diffculté vienne la facilité et facilite nous toutes nos affaires. [ Allahouma Amine ]
s
23 février 2006 16:17
Salam,

La calomnie c'est dire une chose de mauvais sur quelqu'un alors que ce n'est pas vrai.
La médisance c'est dire une chose de mauvais sur quelqu'un qui est vrai.

Par exemple, tu vas chez quelqu'un qui sent mauvais des pieds et quand tu retournes chez toi, tu le racontes à tout le monde de telle sorte que le gars il est pris, il sera associé au pied qui pue.
Pareil pour le caractère, tu vas voir quelqu'un et tu lui dit, tu sais un tel c'est un de ces rapaces, il donne pas un sou au pauvre, ou bien de dire un tel je l'ai vu il fait mal sa prière ou bien un tel il passe trop temps à jouer.

Tout ça, le musulman ne doit pas le faire qu'il s'agisse de son frère musulman ou de son frère en humanité qu'il soit chrétien, juif, athé peu importe.

Un point est à souligner, il y a des cas exceptionnels :
par exemple, une fille veut se marrier et un homme se présente. Si la fille t'interroge sur cet homme, il faut lui dire la vérité même s'il s'agit d'un défaut, c'est un cas particulier.

Et personnelement, je pense que ce n'est pas de la médisance de dire qu'un tel est un véritable arnaqueur ou un courreur de jupon ou un menteur de première s'il vole, drague, arnaque et s'en vante en public (çad qu'il fait des choses graves sans en avoir honte et sans les cacher) car là on prévient les gens d'un mal que quelqu'un peut causer.

La médisance est grave mais malheureusement on la considére comme quelque chose de petit, on est jugé pour ce qu'on fait avec nos mains mais également ce qu'on sort de notre bouche.

wa Allah o hlem
P
23 février 2006 16:19
5. La médisance et la calomnie

L'Imam al-Redhâ (P) a dit: «Si une personne parlant d'une autre personne en son absence, formule à son encontre une accusation qui est vraie et dont les gens ont connaissance, cela ne constitue pas une médisance. Toutefois, si l'accusation est vraie, mais ignorée des gens, elle équivaut à une médisance. Mais si elle est fausse, cela devient une calomnie».

La médisance est un péché et un acte déloyal, car d'une part, elle diffame et humilie une personne et, d'autre part, en faisant la publicité des mauvaises actions et des actes répréhensibles, elle permet de les populariser et d'atténuer progressivement leur indécence aux yeux des gens.

L'Imam al-Çâdiq (P) a dit:

«Quiconque parle le premier d'une mauvaise action d'un Musulman, qu'il en soit le témoin oculaire ou qu'il en ait entendu parler - sera au nombre de ceux dont Allah a dit: «Ceux qui répandent les scandales parmi mes croyants subiront un châtiment douloureux en ce monde et dans la vie future». (Sourate al-Nour, 24: 19)

Si on ne divulgue pas sans nécessité les péchés et les fautes de ceux qui en commettent, on permet à ces derniers d'avoir l'honneur sauf et on empêche les mauvaises actions de se répandre parmi le grand public. L'Islam a tellement dénoncé la médisance que le Coran la compare à l'action de manger la chair de son propre frère mort.

«Ne cites pas de mal les uns des autres. L'un d'entre vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? Non, vous en auriez horreur!» (Sourate al-Hujurât, 49: 12)

L'Islam insiste sur les profondes relations d'amitié et de fraternité entre les gens. Il veut qu'aucun sentiment maladif ne se développe parmi eux. Il ne veut pas que l'on puisse jouer avec l'honneur d'autrui. C'est pour cela qu'il dénonce si sévèrement la médisance.

La première chose qu'il convient de faire pour combattre la médisance, c'est de ne pas prêter l'oreille à ce que dit le médisant. Ce faisant, non seulement nous le décourageons, mais nous interceptons pratiquement son commérage. Un parleur est naturellement découragé si son interlocuteur montre de l'aversion pour ce qu'il dit. D'autre part les auditeurs crédules encouragent les médisants à raconter leurs récits dans un style plus pompeux, et même à aller plus loin pour fabriquer des histoires fausses et malicieuses. C'est pourquoi, l'Islam considère celui qui prête une oreille attentive à la médisance comme un complice du médisant.

Bien qu'en règle générale la médisance soit incompatible avec les principes moraux de l'Islam, il arrive parfois que pour des considérations sociales une mauvaise action soit divulguée.

Nous rapportons ci-après un peu plus d'explication donné à ce sujet par Cheik Bahâï.

Les savants Musulmans (les Uléma) considèrent la divulgation des fautes et des péchés d'autrui comme légale seulement dans les circonstances suivantes: a - Le témoignage

Lorsqu'un tribunal islamique appelle un témoin dans une affaire criminelle, celui-ci doit relater devant celui-ci exactement ce qu'il sait à propos du crime. Il ne fait pas de doute que le témoin divulgue ici le péché ou la faute de l'accusé, contre son désir, mais la justice exige qu'il fasse une déclaration franche, selon sa conscience, et sans perdre de vue qu'Allah connaît tout ce qu'il dit.

b - S'abstenir du mal

Comme nous le savons, il est du devoir d'un Musulman d'empêcher les autres de commettre des crimes et des péchés. Cette action préventive est de plusieurs degrés, dont quelques uns sont plus sévères que d'autres. Si un délinquant s'apprête à commettre secrètement un crime, et qu'il refuse de renoncer à son projet à moins qu'il ne se sente en danger d'être dénoncé, il est nécessaire de divulguer sa mauvaise intention afin de l'empêcher d'exécuter son action nuisible.

c - La plainte

Si on subit un préjudice, on a le droit de se défendre et de porter plainte contre l'offenseur.

d - La guidance et la consultation

Si une personne désire se marier avec une autre, ou qu'elle veut s'associer avec elle dans une affaire, ou conclure toute autre sorte de contrat avec elle, elle doit naturellement faire une enquête sur l'autre. Dans de tels cas tous ceux qui sont consultés à ce propos doivent dire la vérité telle qu'ils la connaissent exactement. Mais ils doivent prendre soin d'éviter de dire du mal de quelqu'un sans nécessité, ou de parler de lui malicieusement, et donc de porter atteinte aux intérêts des parties concernées.

e - La dénonciation du faux témoignage

C'est la dénonciation du mensonge de quelqu'un qui a fait un faux témoignage, échafaudé un faux rapport ou exprimé une opinion ou un avis faux.

f - Le classement

Le classement des savants et des gens de profession libérale en vue d'informer le grand public et afin de permettre à chacun de trouver le médecin, l'artisan ou le savant convenable.

Source:[www.albouraq.org]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/02/06 16:19 par kni_nza.
********************************************************* Seigneur, Tu entends nos prières, Tu connais nos secrets, et ce que cachent nos coeurs ne peut T'être dissimulé. Nous T'adressons la supplique de ceux qui sont dans le besoin et affaiblis; nous n’avons d'autre Dieu que Toi auquel nous nous adressons, ni d'autre Miséricordieux duquel nous espérons Sa MiséricordeSeigneur, embellis-nous par la beauté de la foi, et fais de nous des guides bien guidés. Seigneur, Ouvre nos coeurs à l’Islam et à la foi. Seigneur, fais dans nos oeuvres une facilité, fais qu’après la diffculté vienne la facilité et facilite nous toutes nos affaires. [ Allahouma Amine ]
s
23 février 2006 16:20
[www.madressa-online.com]

Sache que la médisance est permise dans un but sûr et légal qu'on ne peut atteindre que par elle. Cela se présente dans les six cas suivants :

1. Pour dénoncer quelqu'un auprès du prince, du juge ou autre personnage ayant le pouvoir de lui donner justice de celui qui l'opprime, donc pour le dénoncer en disant: "Untel m'a fait subir telle injustice".

2. Quand cette médisance peut aider à faire cesser une action réprouvée ou à remettre sur le droit chemin quelqu'un qui désobéit à Dieu. On dit alors à celui qu'on présume capable de faire cesser cette action réprouvée : "Untel fait telle chose. Fais-lui cesser ce comportement !" ou autre chose de ce genre. Il faut que son but réel en cela soit de mettre fin à une action réprouvée. Quand ce n'est pas cela son but réel, la médisance redevient interdite.

3. Quand on demande un avis de jurisprudence, on dit alors au jurisconsulte (Mufti) : "Mon père a été injuste avec moi, ou mon frère, ou mon épouse (ou mon époux) ou untel. A-t-il le droit de le faire ? Et par quel moyen puis-je avoir justice de lui afin de récupérer mon droit et de faire cesser son injustice ?" ou quelque chose de semblable. Cela est alors permis pour les besoins de la cause. Mais il est plus sage et plus apprécié de dire : "Que dis-tu d'un homme, ou d'un individu, ou d'un mari qui a fait telle chose ?" Ainsi on atteint le même but sans désigner une personne en particulier. Cependant il est permis de désigner cette personne (…)

4. Quand il s'agit de prévenir les Musulmans d'un mal et de leur donner le bon conseil. Cela peut avoir plusieurs aspects :

a) Le fait de dénoncer le peu de fiabilité de ceux qui rapportent de faux Hadiths. Où le fait de dénoncer de faux témoins. Cela est permis par l'unanimité des Musulmans. C'est même un devoir par nécessité.

b) Le fait de prendre l'avis de quelqu'un sur un futur gendre, ou un futur associé, ou quelqu'un à qui on doit confier un dépôt ou avec qui on va négocier des affaires etc... ou quelqu'un qu'on va avoir comme voisin. Celui à qui on demande son avis ne doit rien taire des défauts de la personne en question, mais il doit les dévoiler dans le seul but de donner le bon conseil.

c) Le fait de mettre en garde un étudiant qui va régulièrement chez un innovateur ou un dévoyé pour s'instruire auprès de lui, à cause du risque qu'il court auprès de lui. Mais il faut que le but visé soit uniquement le désir sincère de donner le bon conseil. Or il arrive souvent qu'on se trompe dans ce domaine et que c'est soit en réalité la jalousie qui pousse à dire du mal de tel enseignant. Le Diable aussi met de la confusion dans l'estimation des choses. Ainsi on croit donner le bon conseil alors qu'il n'en est rien, Aussi doit-on faire bien attention à ces choses.

d) Le fait d'attirer l'attention du chef d'Etat sur quelqu'un qu'il a chargé de l'administration d'une province sans qu'il en soit digne ou bien par incapacité, ou pour mauvaise conduite, ou par manque de perspicacité ou autre chose pareille. On doit attirer son attention pour qu'il le destituée ! Le remplace par quelqu'un de plus compétent ou pour qu'il sache ses défauts, le traite en conséquence et ne se laisse pas tromper par lui. Afin aussi qu'il le rappelle à l'ordre ou le remplace par quelqu'un d'autre.

5. Il est permis de médire de quelqu'un qui fait au grand jour des choses interdites, tels la consommation du vin, ou la spoliation des biens des autres, ou le prélèvement de taxes et l'institution d'impôts injustes (autres que la Zakât) ou enfin les divers abus de pouvoir. Il est, dans ce cas, permis de dénoncer ce qu'il a commis au grand jour sans pourtant parler des défauts qu'il cache, à moins qu'une autre raison ne permette d'en parler.

6. Quand quelqu'un a pour surnom un terme désignant un handicap tel que le trachomateux, ou le boiteux, le sourd, l'aveugle etc... Il est permis dans ce cas de nommer cet homme par ce mot qui lui sert de surnom. Mais si on peut l'identifier par autre chose, c'est préférable. Voilà donc six cas où il est permis de médire de quelqu'un selon ce que disent les savants et sur la plupart desquels ils sont unanimes.
p
23 février 2006 22:14
salam

merci pr ces explications

barak ALLAH fikoum


et k'allah ns préserve de ce péché surtt ns les femmes .


Allah, Gloire à Lui, a dit : « ô vous les croyants ! Evitez de conjecturer sur autrui : certaines des conjectures sont des péchés. N’espionnez pas ! Ne dites pas de mal les uns des autres. L’un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort ? Non, vous en auriez horreur » 49.12

La médisance :
le prophète Muhammad(s) a défini la médisance comme étant le fait de dire de l’autre ce qu’il n’aimerait pas entendre : « Et si ce que qu’on dit est vrai ? » Le Prophète ajoute : « Si c’est vrai ce que tu dis de lui, c’est bien cela la médisance, sinon c’est la calomnie ». Une femme a rendu visite au Prophète et lorsqu’elle s’est levée pour sortir, Aicha a fait un geste au Prophète pour dire qu’elle est petite de taille. le Prophète répond à Aicha qu’elle a commis le péché de la médisance.

La médisance est un péché grave. Allah compare le péché de la médisance à celui qui mange la chair de son frère mort. Dans son discours d’adieu, le Prophète a dit : « Vos sangs, vos biens, vos honneurs sont inviolables, aussi inviolables que ce jour-ci dans ce mois-ci dans ce lieu-ci ». « Ô vous qui avez cru avec la langue et non pas avec le cœur, ne médisez pas des musulmans et ne recherchez pas leurs défauts car celui qui recherche leurs défauts, Dieu recherchera son défaut et le dévoilera dans son foyer même ».

« Lors de mon ascension au ciel, j’ai vu des gens ayant des griffes en bronze avec lesquels ils se lacéraient leurs visages et leurs poitrines. J’ai interrogé Gabriel : « qui sont ces gens ? » Il m’a dit : ce sont ceux qui mangent la chair des gens et qui offensent leurs honneurs ». « Des femmes faisaient le jeûne, mais elles passaient tout leur temps à médire des gens ! Quelqu’un en a parlé au Prophète qui les convoqua. Il leur demanda de vomir. Elles vomirent du pus, de la chair et du sang. Le Prophète a dit : « Ces deux femmes font le jeûne pour ce qui est licite et elles se sont permises ce qui est illicite. Elles ont mangé la chair des gens avec leur médisance ».

D’après le Prophète : « La médisance est plus grave que l’adultère pour la simple raison que Dieu accepte le repentir de celui qui commet l’adultère alors que celui du médisant n’est pas accepté avant que la victime lui pardonne. »

Un jour le Prophète a vu en passant le cadavre d’une bête. Il dit à ses compagnons : « Mangez-en ! » Ils dirent : « Comment peut-on manger un cadavre infecte, puant ? » Il dit : « Ce que vous avez mangé comme chair de votre frère est plus infecte que cela ».

« L’usure comporte soixante-dix variantes, la plus simple se compare à l’inceste de quelqu’un avec sa mère. La pire des usures est d’attenter à l’honneur d’un musulman » Aicha a critiqué une femme devant le Prophète. Celui ci lui dit : « vomis ! » Aicha raconte qu’elle a vomi un morceau de chair.

« L’homme recevra son livre publié, il dira : « Mon Seigneur : où sont mes bonnes actions, j’ai fait telle ou telle chose et elles n’y figurent pas. » Dieu lui dira : « Elles ont été effacées à cause de la médisance ».

Ce que le médisant récolte : Il commet un péché pire que l’usure et l’inceste ; il mange la chair de son frère, ou celle d’un cadavre infecte, ce qui peut entraîner comme conséquences la nullité de son jeûne, sa faillite en matière de culte, c’est-à-dire toutes ses bonnes actions vont profiter à ses victimes en réparation des torts qu’il leur a commis, sans compter le châtiment de la tombe qu’il subit avant le châtiment final de l’Enfer.

A) Allah a dit « N’accuse pas sans connaissance de cause. Certes, de l’ouïe, de la vue et du cœur, de tout cela, il vous faudra rendre compte. « Il ne prononce pas un mot sans qu’il n’y ait auprès de lui un observateur averti » 50.18

L’homme responsable doit s’abstenir de toute parole vaine, de tout verbiage. Hadith. « Que celui qui croit en Dieu et au jour dernier dise du Bien ou bien qu’il se taise ». Abu Moussa rapporte : « Je demandai : Ô Envoyé de Dieu, quel est le meilleur des musulmans ? » Il me répondit « Celui dont les musulmans n’ont à redouter ni la langue, ni la main » « Celui qui me garantit ce qu’il a entre les mâchoires (la langue) et ce qu’il a entre les jambes, je lui garantis le Paradis »

Abu Huraira a entendu ces propos du Prophète : « Certes le serviteur peut prononcer un mot sans y prendre garde, mot qui lui vaudra la satisfaction divine et grâce auquel Dieu l’élèvera de plusieurs degrés, mais le serviteur peut aussi laisser échapper une parole sans y prendre garde, parole qui suscitera la colère de Dieu et lui vaudra d’être précipité en Enfer » « La droiture d’un homme est subordonnée à la droiture de son cœur et celle de son cœur est subordonnée à la droiture de sa langue. » C’est-à-dire l’homme ne se redresse que jusqu’à ce que son cœur se redresse. » « Tout musulman est sacré pour un musulman, son sang, son honneur et son bien »
(S-2:V-286 ) Seigneur ! Ne nous impose pas ce que nous ne pouvons supporter, efface nos fautes, pardonne-nous et fais nous miséricorde.
P
23 février 2006 22:43
Citation
patience a écrit:
salam

merci pr ces explications

barak ALLAH fikoum


et k'allah ns préserve de ce péché surtt ns les femmes .

merci a toi smiling smiley

lahi barak fik

oui nous les femmes sous "couvert" de "tberguigue" sommes bcp concerne par ce peche rabbi yaster ...
********************************************************* Seigneur, Tu entends nos prières, Tu connais nos secrets, et ce que cachent nos coeurs ne peut T'être dissimulé. Nous T'adressons la supplique de ceux qui sont dans le besoin et affaiblis; nous n’avons d'autre Dieu que Toi auquel nous nous adressons, ni d'autre Miséricordieux duquel nous espérons Sa MiséricordeSeigneur, embellis-nous par la beauté de la foi, et fais de nous des guides bien guidés. Seigneur, Ouvre nos coeurs à l’Islam et à la foi. Seigneur, fais dans nos oeuvres une facilité, fais qu’après la diffculté vienne la facilité et facilite nous toutes nos affaires. [ Allahouma Amine ]
b
20 novembre 2012 23:46
c'est une tres belle priere
 
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