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BASSRI EST PARTI
L
1 février 2005 12:38
Notre grand ami a quitte le territoir francais vers L espagne la ou son fils Hicham est proprietaire d un appartement ( VILLA)

alors passez le message a tous les marocains resident en Espagne pour suivre ce #### comme les marocain de la france on fait



BRAVO les Marocain de France





Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/02/05 15:04 par webmaster.
r
1 février 2005 14:33

Reste à voir s'il aura en Espagne le même sort qu'un autre Hicham...une bale dans la tête dans un autre parking.
k
1 février 2005 14:42
Lweld a écrit:
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> Notre grand ami a quitte le territoir francais
> vers L espagne la ou son fils Hicham est
> proprietaire d un appartement ( VILLA)
>
> alors passez le message a tous les marocains
> resident en Espagne pour suivre ce kalb comme les
> marocain de la france on fait
>
>
>
> BRAVO les Marocain de France
>
>


À ma connaissance les Marocains de France n’étaient pour rien dans le départ de Basri vers l’Espagne.
b
1 février 2005 14:42
le maroc a un grand journaliste "d'investigation" en espagne, repute "professionel" et "militant" contre l'injustice et la repression.

normalement ca doit etre une occasion d'or pour lui de tracker l'ex boss des tortionaires.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/02/05 14:43 par bikhir.
k
1 février 2005 14:49
bikhir
Tu t'acharnes sur les minables qui n'ont aucun pouvoir pour nuire à qui que ce soit. Par contre tu n'as que les félicitations pour le monde qu’a eu le pouvoir mais qui l'a utilisé au profit des voleurs et des tortionnaires. Sincèrement ta logique ne tient pas le bout.
M
1 février 2005 15:54
kardach a écrit:
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> Lweld a écrit:
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> > Notre grand ami a quitte le territoir
> francais
> > vers L espagne la ou son fils Hicham est
> > proprietaire d un appartement ( VILLA)
> >
> > alors passez le message a tous les marocains
> > resident en Espagne pour suivre ce kalb comme
> les
> > marocain de la france on fait
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> > BRAVO les Marocain de France
> >
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> À ma connaissance les Marocains de France
> n’étaient pour rien dans le départ de Basri vers
> l’Espagne.


Selon le journal marocain assabah, edition d'aujourdhui voir page 1 et 2, que c'est sous pression d'une compagne, lancée par des organisations marocaines de defense de droits de l'homme, contre la presence non reglementaire de notre ami Basri sur le territoire français que ce dernier a quitter Paris.

[www.assabah.press.ma]

NB Les consulats marocains a l'etranger ont recu l'ordre de ne pas renouveler le pasport de Basri, il aura pour toujours un probleme de papiers



Modifié 2 fois. Dernière modification le 01/02/05 17:12 par Moulay.
Pas de developpement sans respect de droits de l'homme.
m
1 février 2005 16:20
cpmment on laisse ce médiocre se promener en europe et traverssé les frantiéres d'un pays à un autre sans qu'il soit arreté , et ben il y a des lois mais il y en a d'autres ; en tout cas bravo à nous les marocains de france on a montré l'exemple , et c'etait au bon moment ,on doit se réjouire de ça on doit sortir dans les rues de paris pour exprimer notre <victoire>; aach al malik et vive la république ; youyouyouyouyouyou yayayayayaya
k
1 février 2005 17:50
moufti a écrit:
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> cpmment on laisse ce médiocre se promener en
> europe et traverssé les frantiéres d'un pays à un
> autre sans qu'il soit arreté , et ben il y a des
> lois mais il y en a d'autres ; en tout cas bravo à
> nous les marocains de france on a montré l'exemple
> , et c'etait au bon moment ,on doit se réjouire
> de ça on doit sortir dans les rues de paris pour
> exprimer notre ; aach al malik et vive la
> république ; youyouyouyouyouyou yayayayayaya
>

aach almalik? Mon Oeil!
Encore je dois faire une mise au point :
Si Sa majesté avait demandé à n’importe quel pays européen d’extrader Basri je suis certain à 100% qu’il aurait eu une réponse favorable. Alors s’il vous plait arrêtez de nous faire croire que sa majesté n’est pour rien dans la fuite de l’auguste serviteur de son papa. Si ce n’est pas ainsi, expliquez moi pourquoi la douane marocaine l’a laissé partir?
L
1 février 2005 18:29
le Kalb ( comme je l appele moi) a eu un visa medical pour quitter le territoire Marocain pour ce faire soigner en France
Moi J'ai un medicament est c est le laisser sans nationnalite sans papier comme il l y maintenant...

une balle dans la tete est moins douleureux, en plus une ball d'un 38 ca coute 20 DH...TROP chere... pour un RKHISS comme ce kalb
k
1 février 2005 19:55
Mais, si Sa majesté avait demandé à n’importe quel pays européen d’extrader Basri, je suis certain à 100% qu’il aurait eu une réponse favorable. Pourquoi ne l'a t-il pas fait? C'est ça la question. On nous dit que l'ambassade du Maroc a refusé de lui renouveler son passeport alors que Basri peut circuler sans problème même en n’étant pas titulaire de passeport.
N
1 février 2005 20:06
On a jamais vu les marocains de france manifesté contre la présence en france du tortionnaire bassri.
r
2 février 2005 14:50

On n a besoin ni de Bsari ni de Bissara.

Par contre faire geler et rapatrier au Maroc tous les avoirs de ce voleur, c'est encore mieux.

Je pari qu'avec les avoirs de Bissara, il y a myen de raser tous les bidonvilles du Maroc.

La question est pourquoi "ils" touchent pas à ce trésor???
M
2 février 2005 15:21
Special dossier sur Basri sur le quotidien Aujourdhui le maroc:

Basri se "mandarise"
L’étau se resserre autour de Driss Basri en France. L’ex-ministre d’État à l’Intérieur est déclaré indésirable dans ce pays où il s’est fait là aussi une foule d’ennemis.
L’étau se resserre autour de Driss Basri en France. L’ex-ministre d’État à l’Intérieur est déclaré indésirable dans ce pays où il s’est fait là aussi une foule d’ennemis. Dans une lettre ouverte à Driss Basri, “un collectif d’associations de Marocains résidants en France“ accuse le destinataire de “ternir cette amitié (NDLR, liant le Maroc à la France) et de mettre mal à l’aise les amis qui vous ont aidé“.
Tout au long du texte, M. Basri en prend pour son grade, invité à quitter rapidement l’Hexagone “ en douceur et sans bruit“ sous peine de le faire sous la pression d’une marche “tricolore dans les quatre coins de France“.
Voilà, Driss Basri, qui fut omnipotent pendant plus d’un quart de siècle, faisant et défaisant les carrières avec un penchant pour les gens qui lui ressemblent, concentrant dans ses seules mains tous les leviers du pouvoir, devient aujourd’hui de plus en plus encombrant. Triste fin. Le mal-aimé de Paris n’en a pas moins une haute idée de lui-même et un certain souci de son paraître. Et tient à le faire savoir . N’a-t-il pas, à l’occasion du Nouvel an, gratifié la presse d’un joli cadeau : un jeu de photos de sa personne signé AFP, prises sous toutes les coutures dans différents endroits parisiens le montrant souriant tantôt dans sa belle voiture, tantôt scrutant une bouteille de vin dans un supermarché… Sacré Driss ! Les photos publiées jusqu’ici par les journaux nationaux, il faut le reconnaître, n’étaient pas tout à fait à son avantage et il en a certainement conçu un certain mécontentement.
Ainsi fonctionne celui qui a raté sa sortie. Il veut soigner son image du moins vestimentaire car le fond de ses tribulations est une autre histoire. Il a beau fréquenter les restaurants chics de la place parisienne, posséder une voiture luxueuse, disposer de comptes bancaires bien garnis, Driss Basri est malheureux au point de susciter la pitié pour s’être enfermé lui-même dans une logique intenable alors qu’il avait la possibilité de mener grand train en se faisant un peu oublier. Ce n’est pas l’approche qu’il a choisie. Bien au contraire. Et il est en train de le payer cher ne serait-ce qu’en prenant le risque de développer le sentiment de persécution.
Décrié au Maroc où sa son fils Hicham est dans le collimateur de la justice, pourchassé en France où il indispose plus d’un , Driss Basri, assiégé, cherche à présent à élire domicile en Espagne, précisément à Costa Del Sol et projette de lancer à Madrid une entreprise de médias. M. Basri connaît le pouvoir de la presse pour avoir longtemps, du temps de sa toute-puissance, côtoyé les journalistes qu’il ne dédaignait pas de manipuler. Après avoir perdu le commandement politique, l’homme de Settat veut rebondir sous les traits d’un magnat des médias.
Magnifique Driss ! Coïncidence ou pas, celui-ci est en passe de se “mandariser“ puisque, ce faisant, il suit le même chemin que celui de Hicham Mandari retrouvé assassiné en Espagne en août dernier après avoir quitté la France en direction de Madrid avec le projet de créer une chaîne de télévision.


Driss Basri cherche à investir l’Espagne

Pressé de quitter la France, Driss Basri a pris le chemin de l’Espagne. L’ex-ministre de l’Intérieur a entrepris les démarches officielles pour la création d’une entreprise de médias à Madrid et cherche à acquérir une villa à Marbella.
L’ex-ministre d’Etat à l’Intérieur, Driss Basri, est, depuis quelques jours, en Espagne, où il envisage de s’installer définitivement. Résidant provisoirement à Madrid, M. Basri a entrepris des démarches officielles pour créer une entreprise de médias dans la capitale espagnole. Pour ce faire, il a déposé les fonds nécessaires dans une banque madrilène et a chargé une "Gestoria" (agence spécialisée dans l’accomplissement des formalités administratives) de procéder à la création de ladite société et du dépôt d’une demande de séjour officiel dans la capitale espagnole. La demande de séjour a été formulée par l’ex-ministre de l’Intérieur en tant qu’investisseur et ce conformément à la loi espagnole sur l’immigration qui accorde automatiquement la carte de résidant à toute personne qui désire investir en terre ibérique. La seule condition posée par la législation espagnole en vigueur est que la personne concernée puisse justifier que le montant de l’investissement a été déposé dans une banque locale et qu’il a été légalement introduit en Espagne. Ce qui signifie que l’ex-ministre dispose de l’argent nécessaire pour justifier sa demande d’une carte de résidence officielle en Espagne. Ce qui revient aussi à dire que l’intéressé n’est pas désargenté comme il a prétendu. Loin de là.
Mais, si M. Basri a choisi de créer son entreprise de presse à Madrid, cela ne signifie pas qu’il envisage de s’installer dans la capitale espagnole. Pour sa résidence, l’ex-ministre d’Etat a opté pour la Costa Del Sol. Il y a quelques jours, l’un de ses proches collaborateurs s’était déplacé à Marbella où il a entrepris des contacts avec des agences immobilières de la ville pour trouver une villa à son patron. La seule condition posée par l’agent de M. Basri est que la future résidence de l’ex-ministre de l’Intérieur soit à proximité de la plage et qu’elle soit au milieu du quartier luxueux de "Milla de Oro". Un quartier où résident généralement le gotha des affaires venus du monde entier. C’est dire que l’ex-ministre d’Etat choisit bien ses voisins et son entourage. Ainsi, après avoir déclaré dans une interview qu’il avait accordée, il y a quelques semaines, à la chaîne de télévision américaine "Al Hurra", qu’il n’était pas satisfait de son appartement parisien sis au XVIe arrondissement et que, vu son passé "au service du Maroc", l’Etat marocain aurait dû mettre à sa disposition une résidence à "Saint Cloud, Saint Germain ou Versailles", l’ex-ministre de l’Intérieur a, semble-t-il, décidé de s’offrir lui-même, la maison qu’il "mérite". C’est ce qui pourrait expliquer sa décision soudaine de quitter Paris et de s’installer en Espagne.
Mais, la vérité est que M. Basri a été poussé à quitter la France après avoir fait l’objet de pressions de la part de la société civile franco-marocaine qui vient de démarrer une campagne médiatique contre le séjour de l’ex-ministre dans la capitale française. "La France n’a pas besoin de femme de ménage", lit-on dans une lettre ouverte adressée à l’ex-ministre par le président de l’association "Victimes de Driss Basri", Mehdi Rachidi, au nom du collectif des associations marocaines de France Ouest.
Ce collectif composé de dix-huit associations a décidé de poursuivre Driss Basri en justice, estimant avoir "subi les affres de sa gestion qui n’a profité qu’à sa petite personne et aux siens du temps où il était ministre de l’Intérieur".
Dans l’interview accordée à ALM (voir page 5), le président de cette association affirme que le collectif dont il fait partie a déjà "entamé des contacts avec Maître Henri Leclerc", l’un des plus célèbres avocats du Barreau de Paris et président de la Ligue des droits de l’Homme, "afin d’étudier les moyens de porter l’affaire devant la justice". En fait, il ne s’agit pas de l’unique voix qui s’élève contre le séjour de l’ex-ministre de l’Intérieur en France. Depuis qu’il avait choisi de s’installer dans la capitale française, plusieurs associations militant pour les droits de l’Homme ont appelé à ce que les autorités françaises ne lui accordent pas de carte de séjour et ont appelé à ce qu’il soit poursuivi pour tous les abus qu’il aurait commis pendant les trois décennies qu’il a passées à la tête du ministère de l’Intérieur. C’est ce qui explique d’ailleurs que les autorités françaises ne lui ont jamais accordé de carte de résidant et que son séjour à Paris était juste "toléré" par les pouvoirs publics qui se sont juste contentés de fermer les yeux quant à son séjour illégal à Paris. Une tolérance qui serait arrivée aux limites du tolérable lorsque M. Basri a commencé sa campagne médiatique contre les pouvoirs publics marocains poussant ainsi l’Etat français à lui faire comprendre que sa présence en France n’était plus la bienvenue et qu’il devait choisir une nouvelle destination. Il opta alors pour l’Espagne.
Un pays où il ne pourra pas non plus échapper aux militants des droits de l’Homme qui poursuivront leur campagne contre lui, même en Espagne. "Nous irons jusqu’au bout, dans l’organisation de manifestations" et "même s’il est parti en Espagne, nous le suivrons là-bas et le poursuivrons", affirme le président de l’association "Victimes de Driss Basri".

Mehdi Rachidi : «Basri est pitoyable»

Militant associatif installé depuis 17 ans en France, Mehdi Rachidi est le président de l’association «Victimes de Driss Basri ». S’exprimant au nom du collectif des associations marocaines qui représentent tout l’Ouest de la France, il annonce que son association poursuivra en justice l’ancien ministre de l’Intérieur, même en Espagne.

ALM : Quel est l’objectif de la lettre ouverte que vous venez d’adresser à l’ancien ministre de l’Intérieur, Driss Basri ?
Mehdi Rachidi : Le collectif est constitué de dix-huit associations marocaines de France. Elles représentent tout l’ouest de la France. Parmi elles, figurent des personnes physiques comme morales qui, au Maroc, ont eu affaire à Driss Basri, du temps où il était ministre de l’Intérieur, et ont subi les affres de sa gestion qui n’a profité qu’à sa petite personne et aux siens. Notre lettre ouverte à l’ancien homme fort de l’Intérieur est l’expression de notre ras-le-bol quant à son attitude, aussi vaine que provocatrice, à l’égard de tous les Marocains.
Votre réaction intervient un peu tardivement. Pourquoi avoir attendu tout ce temps, Driss Basri étant installé en France depuis des années, avant de demander qu’il parte ?
Le fait qu’il s’installe en France nous a été insupportable, depuis le premier jour. D’autant qu’il a longtemps hésité avant d’élire définitivement domicile à Paris. Un séjour que nous avons mise sur le compte des relations exemplaires entre le Maroc et la France et l’amour que les Français, portent à notre pays. Mais nous avons d’emblée demandé au président de la République, au Premier ministre français et à l’Assemblée nationale que Driss Basri devait rester à l’écart et se contenter de savourer sa retraite dorée. Mais ce dernier n’a pu s’empêcher de s’agiter dans tous les sens, pour faire savoir qu’il existe toujours. A ses sorties médiatiques pitoyables sont venues s’ajouter des déclarations suspectes sur plus d’un sujet de la plus haute importance pour le Maroc.
Certains vont plus loin en demandant que Driss Basri rende des comptes. Qu’en pensez-vous?
Le collectif est divisé en deux groupes. Le premier milite pour que Driss Basri soit chassé de France. Le deuxième veut aller plus loin en cherchant à le poursuivre en Justice et lui demander de rendre des comptes quant à la gestion contestable dont le pays, des décennies durant, a fait les frais à cause de lui et des ses complices. Personnellement, je fais partie de cette deuxième catégorie. On ne peut pas laisser ceux qui ont spolié le Maroc, obligeant beaucoup de personnes à tout quitter pour échapper à leur joug, continuer librement et dans une scandaleuse impunité à porter atteinte au pays et à ses citoyens. Nous avons dans ce sens entamé nos contacts avec Maître Henri Leclerc, le célèbre avocat et président de la Ligue des droits de l’Homme, afin de trouver les moyens de porter l’affaire devant la justice.
Concrètement, que reprochez-vous à l’ancien ministre ?
Pendant ses plus de 40 ans de pouvoir absolu, cet homme a eu à prendre en charge plusieurs dossiers stratégiques. Qu’est-ce qu’il en a tiré ? Rien, si ce n’est son profit personnel. Lui qui dit à qui veut l’entendre qu’il est fauché, n’a-t-il pas déclaré à un de ses proches que sa fortune s’élevait à plus de 500 millions de dollars? Sinon, grâce à quoi mène-t-il sa vie de vizir désoeuvré ?
Et qu’en est-il du dossier du Sahara marocain, qu’il qualifie maintenant d’occidental? N’était-ce pas lui qui en était le gestionnaire, et avec quel résultat si ce n’est la persistance d’un conflit qu’il n’a fait que compliquer davantage? Et qu’en est-il de ces milliers de victimes qu’il a entraînées dans le long sillage des infractions de tout genre qu’il a commises, lui qui persiste à nier que les années de plomb n’ont jamais existé? N’était-ce pas lui le tortionnaire en chef ? N’est-ce pas lui qui a cassé tout projet économique qui risquait de compromettre son monopole dans bien des secteurs? Qui, à part lui, a privé plusieurs personnes de valeur de leur liberté, allant même jusqu’à leur confisquer leur passeport ? Souvenons-nous du très grand écrivain Mohamed Kheïr-Eddine, que Basri a attiré au Maroc pour ensuite le laisser sans passeport, vivant comme un clochard jusqu’à sa mort. Maintenant que cherche-t-il derrière ses agissements profitant en cela de l’amitié entre deux pays et abusant, encore une fois, de la confiance qui a été placée en lui, si ce n’est défendre son patrimoine et son de fils milliardaire avec l’argent du peuple maricain ? Basri se débat, comme se débat une marionnette sans marionnettiste.
M. Basri aurait actuellement quitté la France et élu domicile en Espagne. Que comptez-vous faire ? Et quelles sources vous soutiendront dans vos démarches ?
C’est aussi ce que nous avons entendu. Mais nous ne baisserons pas les bras. Nous irons jusqu’au bout, de l’organisation de manifestations jusqu’au recours à la Justice. Et même s’il est parti en Espagne, nous le suivrons là-bas et le poursuivrons en justice. Notre action est aussi libre que responsable, nous ne sommes téléguidés par aucune partie. L’Etat marocain n’a rien à voir avec notre action.
Pensez-vous que Driss Basri représente une menace sérieuse, quant à la stabilité du pays ?
Driss Basri n’a jamais rien été et ne sera jamais rien. Ce qu’il a fait auparavant relevait du despotisme. Ce qu’il fait actuellement relève de la trahison. Sinon, pourquoi flirte-t-il à ce point avec l’Algérie ? Autrement, personne ne peut avoir peur de Basri. Ce qu’il menace de dévoiler comme secrets se retournerait contre lui puisque cela révélera son immense responsabilité dans les problèmes actuels du Maroc.


«La France n’a pas besoin de femme de ménage»

Voici le texte de la lettre ouverte adressée à l’ex-ministre marocain d’Etat à l’Intérieur par le collectif de l’association des marocaons résidants en France.

Monsieur le ministre,
Nous sommes un collectif d’associations de marocains résidants en France, et Français d’origine marocaine. Nous avons aussi des adhérents de la société civile marocaines. L’objet de notre lettre est de vous faire part de notre vif mécontentement, quant à votre comportement durant votre séjour en France.
Nous croyons savoir que vous n’avez ni passeport ni visa, et par conséquent vous devez votre autorisation de séjour à l’indulgence et au bon vouloir des autorités françaises. Nous pensons que Monsieur le président, Jacques Chirac et son gouvernement vous ont permis de rester en France, pas pour vos beaux yeux, mais par égard au Maroc et à son Roi Mohammed VI (à propos SM Hassan II est mort si vous ne le saviez pas!!) et aussi par affection pour le peuple marocain qu’ils aiment. Les Marocains sont fiers des liens d’amitié qui les unissent au peuple français et à son président, Jacques Chirac. Et voilà que vous débarquez pour tenir cette amitié et mettre mal à l’aise les amis qui vous ont aidé. Nous trouvons votre comportement scandaleux.
En plus vous utilisez tous les médias pour menacer de divulguer des secrets d’Eat alors que vous êtes tenu par le secret professionnel et surtout par le droit de réserve que vous impose votre situation actuelle.
M. le ministre, vous criez sur les toits que vous êtes fauché, permettez nous d’en douter et d’en rire en même temps, car il n’y a pas si longtemps vous avez déclaré à un de vos ex-walis que vous disposiez de 5 milliards à l’étranger! (on peut citer son nom : Motiaa) Dites-nous d’abord qui paye vos factures astronomiques de téléphone? Qui paye vos notes de restaurants (la Rotonde, le Fouquet’s et les autres) où vous avez table ouverte? Dites nous à qui appartient ce somptueux appartement du 16ème arrondissement? et avec secrétaire s.v.p.!
A croire vos mensonges filtrés sur les chaînes satellitaires, vous êtes un assidu des restos du cœur et du secours catholique! Dites-nous avec quel argent vous soudoyez des journalistes au Maroc pour qu’ils vous laissent en paix? A notre connaissance, l’un d’eux s’est acheté une voiture de luxe, et chaque fois qu’il démarre, il dit à son véhicule «roule Basri!» En fin de compte tout ceci ne nous intéresse pas. Ce que nous vous demandons, c’est de quitter les lieux, et vite, car jusqu’à présent la communauté marocaine n’a pas réagi par respect pour la République et par affection pour son Roi. Tous les Marocains installés en France tiennent beaucoup à cette amitié, et ne permettront jamais à quiconque de la mettre en péril. Notre objectif immédiat est de vous faire partir de France en douceur et sans bruit, car si vous ne le faites pas, nous organiserons une Massira tricolore des 4 coins de France. Alors s’il vous plaît partez. La France n’a pas besoin de femme de ménage.
Pas de developpement sans respect de droits de l'homme.
k
2 février 2005 15:46
> Ce que nous vous demandons, c’est de quitter les lieux, et vite,
> car jusqu’à présent la communauté marocaine n’a
> pas réagi par respect pour la République et par
> affection pour son Roi.

Mon Dieu! Les Marocains ne sont jamais capables d'entreprendre une action même celle de défendre les droits de l'homme sans faire de lèchage à SIDNA.



Modifié 3 fois. Dernière modification le 02/02/05 15:48 par kardach.
r
2 février 2005 17:35

Espérant que le juge Espagnol Baltazar lancera une enquete sur l'origine des fonds de Basri et bloquera tout!

Car acheter une villa au paradis de la Costa del Sol n'est à la portée que de grands millionnaires et milliardaires.
En plus ouvrir une société de Média, et se présenter comme investisseur, il faut avoir un compte bancaire gros gros comme celui de Bill Gate.

Alors d'où viennent les fonds pour mener un tel train de vie?

Il faut geler et rapatrier tout ce magot pour les financer des centres de logements pour tout ceux que Basri a transformé en sans abri....
L
2 février 2005 19:32
bill gates??? mais moi je peut pas comparer qlq un qui a fait un travaille inamaginable pour l'humanite sur notre univers a UN VOYEAU comme ce 3robi de stat....qui a fait tellement de mal a un pays une nation complete............mais je comprend ou tu veux aller...

moi je comprend pas comment il peut se depalcer sans papier ( ni titre de diplomate ) entre deux pays..

mais allah est GRAND sobhanaho laa sharika lah...la cote espagnol est plein de mafiosi et de ex KGB et traficant de drogues pas que les stars comme vous dites

Donc le rest utilisez votre imagination
On plus c est 3robi et il restera 3robi, donc une fois il aura son permis de residence et son villa il commencera a frequenter le clubs de Marbilla et Malaga est c est la quíl va rencontre un Gebril ( en latin cést Gabriel) Russ...qui lui foncera une balle dans la tete
est la je payera une boisson a tous les biladiens et biladiennes ( que du HALAL biensur)


2
2 février 2005 21:58
Pressé de quitter la France, Driss Basri a pris le chemin de l’Espagne. L’ex-ministre de l’Intérieur a entrepris les démarches officielles pour la création d’une entreprise de médias à Madrid et cherche à acquérir une villa à Marbella.

L’ex-ministre d’Etat à l’Intérieur, Driss Basri, est, depuis quelques jours, en Espagne, où il envisage de s’installer définitivement. Résidant provisoirement à Madrid, M. Basri a entrepris des démarches officielles pour créer une entreprise de médias dans la capitale espagnole. Pour ce faire, il a déposé les fonds nécessaires dans une banque madrilène et a chargé une "Gestoria" (agence spécialisée dans l’accomplissement des formalités administratives) de procéder à la création de ladite société et du dépôt d’une demande de séjour officiel dans la capitale espagnole. La demande de séjour a été formulée par l’ex-ministre de l’Intérieur en tant qu’investisseur et ce conformément à la loi espagnole sur l’immigration qui accorde automatiquement la carte de résidant à toute personne qui désire investir en terre ibérique. La seule condition posée par la législation espagnole en vigueur est que la personne concernée puisse justifier que le montant de l’investissement a été déposé dans une banque locale et qu’il a été légalement introduit en Espagne. Ce qui signifie que l’ex-ministre dispose de l’argent nécessaire pour justifier sa demande d’une carte de résidence officielle en Espagne. Ce qui revient aussi à dire que l’intéressé n’est pas désargenté comme il a prétendu. Loin de là.
Mais, si M. Basri a choisi de créer son entreprise de presse à Madrid, cela ne signifie pas qu’il envisage de s’installer dans la capitale espagnole. Pour sa résidence, l’ex-ministre d’Etat a opté pour la Costa Del Sol. Il y a quelques jours, l’un de ses proches collaborateurs s’était déplacé à Marbella où il a entrepris des contacts avec des agences immobilières de la ville pour trouver une villa à son patron. La seule condition posée par l’agent de M. Basri est que la future résidence de l’ex-ministre de l’Intérieur soit à proximité de la plage et qu’elle soit au milieu du quartier luxueux de "Milla de Oro". Un quartier où résident généralement le gotha des affaires venus du monde entier. C’est dire que l’ex-ministre d’Etat choisit bien ses voisins et son entourage. Ainsi, après avoir déclaré dans une interview qu’il avait accordée, il y a quelques semaines, à la chaîne de télévision américaine "Al Hurra", qu’il n’était pas satisfait de son appartement parisien sis au XVIe arrondissement et que, vu son passé "au service du Maroc", l’Etat marocain aurait dû mettre à sa disposition une résidence à "Saint Cloud, Saint Germain ou Versailles", l’ex-ministre de l’Intérieur a, semble-t-il, décidé de s’offrir lui-même, la maison qu’il "mérite". C’est ce qui pourrait expliquer sa décision soudaine de quitter Paris et de s’installer en Espagne.
Mais, la vérité est que M. Basri a été poussé à quitter la France après avoir fait l’objet de pressions de la part de la société civile franco-marocaine qui vient de démarrer une campagne médiatique contre le séjour de l’ex-ministre dans la capitale française. "La France n’a pas besoin de femme de ménage", lit-on dans une lettre ouverte adressée à l’ex-ministre par le président de l’association "Victimes de Driss Basri", Mehdi Rachidi, au nom du collectif des associations marocaines de France Ouest.
Ce collectif composé de dix-huit associations a décidé de poursuivre Driss Basri en justice, estimant avoir "subi les affres de sa gestion qui n’a profité qu’à sa petite personne et aux siens du temps où il était ministre de l’Intérieur".
Dans l’interview accordée à ALM (voir page 5), le président de cette association affirme que le collectif dont il fait partie a déjà "entamé des contacts avec Maître Henri Leclerc", l’un des plus célèbres avocats du Barreau de Paris et président de la Ligue des droits de l’Homme, "afin d’étudier les moyens de porter l’affaire devant la justice". En fait, il ne s’agit pas de l’unique voix qui s’élève contre le séjour de l’ex-ministre de l’Intérieur en France. Depuis qu’il avait choisi de s’installer dans la capitale française, plusieurs associations militant pour les droits de l’Homme ont appelé à ce que les autorités françaises ne lui accordent pas de carte de séjour et ont appelé à ce qu’il soit poursuivi pour tous les abus qu’il aurait commis pendant les trois décennies qu’il a passées à la tête du ministère de l’Intérieur. C’est ce qui explique d’ailleurs que les autorités françaises ne lui ont jamais accordé de carte de résidant et que son séjour à Paris était juste "toléré" par les pouvoirs publics qui se sont juste contentés de fermer les yeux quant à son séjour illégal à Paris. Une tolérance qui serait arrivée aux limites du tolérable lorsque M. Basri a commencé sa campagne médiatique contre les pouvoirs publics marocains poussant ainsi l’Etat français à lui faire comprendre que sa présence en France n’était plus la bienvenue et qu’il devait choisir une nouvelle destination. Il opta alors pour l’Espagne.
Un pays où il ne pourra pas non plus échapper aux militants des droits de l’Homme qui poursuivront leur campagne contre lui, même en Espagne. "Nous irons jusqu’au bout, dans l’organisation de manifestations" et "même s’il est parti en Espagne, nous le suivrons là-bas et le poursuivrons", affirme le président de l’association "Victimes de Driss Basri".

Par : Omar DAHBI
2
2 février 2005 22:01
.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/02/05 22:06 par 2loubna.
N
2 février 2005 22:19
C'est ce qu'on appelle le début de la fin de bassri.
 
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