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BASRI , lundi devant le juge
a
23 mai 2006 20:21
il y'a de çà quelques mois ..une figure connue de l'opposition (ahmed HARZNI) membre du bp de la GSU et egalement coordonnateur de l'Observatoire National de la Transition Démocratique,..a presenté une analyse plutot originale concernant la fortune du ROI ....
il dit se qui signifie ... que maintenant que la mondialisation prend de l'ampleur et que les capitaux se desengagent de+ en + de telle ou telle nationnalité ...et que les decideurs de ces fonds n'ont plus de genes à prendre leurs capitaux et d'aller chercher le gain là ou il est ...un ROI ne pourrait pas agir de la sorte ...donc en definitif c'est de l'argent qui est investit ici ,et qui contribue à l'economie nationale .
un capitaine est le dernier à quitter son navire.
t
23 mai 2006 20:40
boutefliqa est actionnaire dans la socièté émirati qui vient d'investir 12 milliards de dollards au Maroc.on va ps lui demander de devenir pauvre parce qu'il est chef d'état.
un peu de serieux SVP.

andi espoir : le maroc n'est pas une republique bananière pour que le chef de l'etat se serve dans les caisses librement. il ne faut pas laisser la haine t'aveugler et essaye d'être à la hauteur des discussions. le langages des rues (zna9i), on en a assez ...................
23 mai 2006 21:21
physiquement basri est devenu un '' squelette '' au sens propre du mot et au figuré ! regardez le , il a déjà un pied dans la tombe ! oust!
h
hmb
24 mai 2006 17:27
Salam à tous,

Dans une démocratie, le droit s’applique à tous.

Il me semble juste de centrer le débat sur les terreurs du régime gouverné par Basri Ministre de L’intérieur de 1979 à 1999 sous le règne de HASSAN 2, le Maroc est une monarchie dirigeante à pouvoir unique, donc convoquer Basri, c’est convoquer la mémoire des années de plomb.

Plusieurs opposants attendent un décret de loi pour amnistier les défenseurs de la démocratie au Maroc concéderaient par le régime basri comme des opposants ? ?

Nous constatons tous que la famille Benbarka à qui je témoigne toute ma solidarité pour le combat qui dure depuis 40 ans, (que le Maroc se décharge sur la France, en 1966 DE GAULLE avait dit de son vivant c’est une affaire Maroco Maorcaine), Ne pas oublier que la France a fait tombé plusieurs opposants politiques étrangers, algériens, tunisiens, africains, asiatique,

Pour répondre à tamsamani, Le colloque au sénat en date du 29/30 octobre2005 avait bien démontré la machine à abattre benbarka, comme le film « j’ai vu tuer BENBARKA. »

En ce qui concerne les origines des fortunes pas de secret pour personne le pillage et permanent dans le royaume avec la bénédiction du pouvoir.

HANNOU moussa
l
26 mai 2006 12:19
Citation
arti a écrit:
Citation
le citoyen a écrit:
"...Source: "Parole de caïd"
L'auteur de ce livre a aujourd'hui 40 ans, et toujours pas de justice...Il purge toujours la plus terrible des peines: l'oisiveté et le chômage!
quand on prend place dans un choral on ne doit pas s'amuser à creer ses propres airs .....des syncopes de temps en temps c'est agréable ...mais de là à chanter plus vite que la musique...excusez moi c'est impardonable....

les choses changent de mieux en mieux ...les partitions et les airs aussi ..et bien entendu les executants ...çà prendra le temps qu'il faudra.

Bien reçu. Espérons que les exécutants accélererons la cadence...Par ailleurs, Zine zahidi dit que pour s'installer dans le choral,justement, il était "obligé" de pérpetrer des malversations..Il dit aussi qu'autrement il aurait perdu son poste..(c'est dans Assahifa n°21) Est-ce une excuse valable..?...Il se proclame donc innocent et avance pour preuve qu'il n'avait pas chanté plus vite que la musique...A mon humble avis c'est impardonnable, il n'avait qu'à chanter plus vite que la musique et perdre son poste plutôt que de suivre le système Basri dans ses airs...
a
26 mai 2006 13:19
l'integrité à un prix...en plus s'il n'avait pas manifesté un don remarquable il n'aurait pas eu l'honneur d'ajouter sa touche à toute cette cacophonie ....
cette polution sonore finira par ceder la place à la serenité...pourvu que des journal hebdo ou telquel arretent de taper sur les casseroles....
l
26 mai 2006 13:35
un don..?
a
26 mai 2006 13:37
MALÉFIQUE....
l
26 mai 2006 13:40
J'ose une autre question, pourquoi zahidi n'a pas évoqué Basri..?
a
26 mai 2006 14:41
c'est un homme de dossiers ....je doute que qlqu'un comme ZAHIDI n'a pas quelques feuilles chez Basri... aujourd'hui sur les colonnes de al ahdat al maghribia un journaliste doute aussi de la version présentéau juge par Basri quant aux traces (dossier) de l'affaire BENBARKA...il nie avoir trouvé un qlconque archive concernant cette affaire....lui qui depuis 1965 disait qu'il etait au courant de tout , meme un fourmi n'echape pas à sa vigilance....un fourmi ... et que dirait on d'un elephant comme ZAHIDI qui s'amusait dans ce magazin de porcelaine.???...
w
26 mai 2006 14:42
Quelle logique d ironie!
Le denome harzni que t as qualifie d opposant n est plus qu un cameleon multicolore! et son anlyse c est pour les candides qui croient a tous ce qui vient de la chaine de samira sitael!
Rappelez vous de ce qu il a dit( pour se racheter) lors d une assise televisee de l IER! il demande fatha a hassan 2!
Cette association fantouche qu il a cree c est pour semer de la poussiere aux yeux de ces candides et se faire une place dans les rangs du nouveau makhzen! resultat: on l a bien "honore": un poste a la fac d ifrane! et attendez la suite.
Alors basta svp ne trompez pas les pauves marocains ils en ont marre!
w
26 mai 2006 14:45
DIEU est grand et l histoire n oublie pas!
Alors a qui le tour inchallah?
w
26 mai 2006 14:51
Les militants “entristes” ont-ils trahi ?



olitologue de renom, spécialiste du monde arabe et particulièrement du Maroc, Rémy Leveau a le sens de la formule. “Le système marocain s’inscrit dans la longue durée. Et pour cela il y a incontestablement un savoir-faire, d’autres régimes sont obligés de faire des élections qu’ils remportent à 99% !”. Le secret marocain porte un nom : le consensus. “Ce système”, ajoute ce fin connaisseur, “permet de récupérer ses adversaires. Ceci permet de neutraliser la critique et en contrepartie le pouvoir satisfait une partie de leur demande”. Dans ce domaine, le Makhzen de Mohammed VI s’inscrit dans la continuité. Le roi Hassan II a composé avec la gauche marocaine. Le filet s’étend aujourd’hui à l’extrême gauche. Et le gibier n’en a pas été plus sauvage. Après les Youssoufi, El Yazghi et autres, c’est au tour des Salah El Ouadie, Driss Benzekri, Driss Yazami, après avoir passé des années dans les geôles du pouvoir, d’intégrer les rangs. Ont-ils pour autant trahi une cause pour laquelle ils ont, dans le passé, si chèrement payé ? Les militants répondent oui. Les concernés, eux, semblent convaincus d’une chose : la seule manière d’influer sur le cours de l’Histoire est de changer les choses de l’intérieur, même au prix de compromis. Mais, après l’échec de l’Alternance, une question s’impose : pour démocratiser le système doit-on l’intégrer ou rester en dehors ? “La formulation de la question pose problème”, explique Mohammed Tozy, politologue, “car la réponse procède d’un choix militant. Il faut plutôt s’interroger aujourd’hui sur ce qui pousse le système à faire appel à ces nouvelles compétences. Est-ce que cela indique un changement, et pour cela il faut de nouveaux profils, ou bien sommes-nous devant un processus traditionnel de neutralisation de la dissidence ?” Un indicateur de taille permet de douter des réelles intentions du Pouvoir : la précipitation dans laquelle s’est faite la récente constitution de l’instance “Equité et Réconciliation”. En plus de l’opacité qui a entouré la cooptation des membres, ceux-là n’ont pas eu le temps de réfléchir à la question, et donc de poser des questions quand à la définition de leur mission. Mais en réussissant à recruter des figures morales de la société civile, le pouvoir réagit de manière détournée aux vives critiques dont il a été l’objet en novembre dernier sur la dégradation de la situation des droits de l’Homme. La nomination de Driss Yazami, vice –président de la FIDH, association qui doit rendre public dans les jours qui viennent un rapport sur les cas de torture au Maroc, n’arrive-t-elle pas à point nommé ? Ce n’est pas tant là un profil que l’on a recruté, mais un label. De plus, si l’intégration de nouveaux profils devait finir par changer la face du Makhzen, la sortie médiatique de Driss Benzekri dénonçant la mafia des ONG internationales des droits de l’Homme ne montre-t-elle pas la capacité du pouvoir à digérer les hommes ? Car pour que les nouvelles élites puissent finir par influencer la nature du régime, encore faut-il qu’elles en aient la force. Or, quel espace est réservé à la contestation une fois passée la porte du Palais ? Les modes de cooptation sont un indicateur. Lorsque le pouvoir recrute de nouveaux profils, les chasseurs de tête “dealent” directement avec les hommes et non avec les institutions qu’ils représentent. Isolée du groupe, la force de conviction perd automatiquement de sa puissance. “L’esprit critique est forcément diminué lorsque l’on passe d’une stratégie collective à une stratégie individuelle”, explique Mohcine Ayouche, un des fondateurs de la GSU. “Lorsque le Pouvoir commence à discuter, il ne fait jamais appel à l’institution en disant” on veut quelqu’un de chez vous. “Il s’adresse aux représentants de ces institutions de manière individuelle. Seul, on est plus vulnérable, c’est un peu David contre Goliath”. Lorsque Fouad Ali El Himma amorce les premiers contacts à la fin de l’année 2001 avec le Forum Vérité et Justice, il traite avec Salah El Ouadie et Driss Benzekri. Mais la passerelle jetée vers le Forum finira par prendre une tournure personnelle. Les militants du FVJ reprocheront à Benzekri et Ouadie de ne pas leur rendre de comptes. Et lorsque Benzekri sera nommé Secrétaire général du CCDH, beaucoup verront là les véritables objectifs de l’Intérieur dans ses négociations avec le Forum, A savoir crédibiliser la nouvelle forme du Conseil consultatif des droits de l’Homme en adoubant un membre du Forum, et isoler les ONG les plus contestataires sur la notion de réconciliation avec le passé. Comment expliquer que les sirènes du Pouvoir finissent toujours par faire de l’effet ? Pour Mohamed Tozy, “il est évident que le système adoube ceux qui l’intéressent”. Sous-entendu, le hasard n’est jamais de mise. On approche ceux qu’on sait pouvoir convaincre. Rémy Leveau y ajoute une dimension humaine : “Il ne faut pas sous-estimer d’une manière générale l’attrait que représente le Pouvoir. Il est humain d’avoir envie un jour d’être ministre. Et en plus, on peut avoir l’illusion de pouvoir être influent en devenant conseiller du Prince”. Mais la récupération a un coût. Que paie une partie plus qu’une autre. “D’un côté, celui qui est récupéré se doit de servir la soupe”, explique Remy Leveau, mais, en contrepartie, ceux qui récupèrent sont obligés de prendre des mesures qui vont dans le sens des recommandations de ces nouveaux venus, sinon toute la crédibilité du processus est perdue”. En intégrant la dissidence, le Pouvoir serait donc contraint au changement, par petites touches. Mais cette logique des petits pas a perdu aujourd’hui de sa crédibilité. En 1998, on pouvait y croire. C’est d’ailleurs cette logique qui a conduit l’USFP à accepter le compromis. En 2003, difficile de continuer à y accorder du crédit. Car l’expérience de l’Alternance a montré que dans la logique des “petits pas”, l’USFP y a perdu son âme. Alors que le Makhzen, lui, en prenant le risque de céder du lest, a juste gagné du temps. N’est-il pas, depuis, revenu en force sur la scène politique ? Et c’est cette force qui ne permet pas aujourd’hui d’expliquer pourquoi on s’évertue depuis peu à empiéter les sphères politiques, économique et de la société civile. Car a-t-on réellement mesuré les conséquences qu’entraînera la récupération d’une partie de la société civile marocaine ? La gauche un peu plus affaiblie, la seule note dissidente proviendra des islamistes. Certes, on a pu amadouer le PJD. Mais c’est à double tranchant, car désormais le Pouvoir n’a rien à gagner en diminuant, aux yeux de l’opinion publique, la crédibilité de l’islam officiel en tant que force de contestation. En affaiblissant tous les fronts, le danger à terme est que la frange islamiste radicale recueille une partie du mécontentement. Le 16 mai n’en est–il pas la preuve ? Il faut avoir à l’esprit que la force du Makhzen vient du fait qu’il s’est toujours projeté dans la durée. “Aujourd’hui, je me demande qui fait de la politique à long terme au Maroc, explique Rémy Leveau.Il y a encore une certaine technicité dans la manière de manier la carotte et le bâton. Il y a de bons techniciens, mais il n’y a pas de professionnalisme, comme du temps du tandem Basri-Hassan II. On semble manquer d’expertise politique”. Car côté Makhzen, le jeu du consensus a ses règles. Agir au gré des circonstances n’en fait pas partie. Il est évident que le Pouvoir était pressé de tourner la page des années de plomb. Et qu’il était important de cautionner la vision définie par le CCDH dans le mémorandum remis, il y a un peu plus d’un mois, au Roi, fermant la porte à la question de la Vérité chère aux familles des disparus. Mais, tout de même, on ne peut s’empêcher de lier la précipitation avec laquelle a été nommée l’instance Equité et réconciliation à la volonté de répondre de manière détournée aux publications des rapports sur les cas de torture et d’atteinte aux droits de l’Homme. Désormais, le système pourra se targuer d’avoir en son sein d’éminents défenseurs des droits de l’Homme. Mais le risque de “normaliser” une partie des forces vives de la société civile en vaut-il la chandelle ? Personne aujourd’hui n’a à y gagner. Le Pouvoir, en étendant son champ d’action, renforce les marges. Et la société civile perd de son poids. Or l’exemple de la réforme de la Moudawana est à méditer. Le mouvement des femmes, en s’enracinant dans la société civile, a pu peser de son poids sur l’histoire du Maroc. Ce n’est pas en devenant conseillères du Prince qu’elles ont pu faire entendre leur cause, mais en s’unissant dans un mouvement démocrate et laïc. La seule force de progrès, mais la grande force qui manque chaque jour un peu plus au Maroc.

Nadia Hachimi Alaoui(le monde hebdomadaire)
l
27 mai 2006 18:13
Ce n'est pas la même Nadia qui était souvent invitée au jt de 2M et qui disait tout le bien du régime..?
l
27 mai 2006 18:17
Citation
watini_wa_zaitouni a écrit:
Quelle logique d ironie!
Le denome harzni que t as qualifie d opposant n est plus qu un cameleon multicolore! et son anlyse c est pour les candides qui croient a tous ce qui vient de la chaine de samira sitael!
Rappelez vous de ce qu il a dit( pour se racheter) lors d une assise televisee de l IER! il demande fatha a hassan 2!
Cette association fantouche qu il a cree c est pour semer de la poussiere aux yeux de ces candides et se faire une place dans les rangs du nouveau makhzen! resultat: on l a bien "honore": un poste a la fac d ifrane! et attendez la suite.
Alors basta svp ne trompez pas les pauves marocains ils en ont marre!

"...Les Marocains sont ainsi, ils attendent leur heure pour profiter à leur tour du système. Un certain nombre d’entre ceux qui s’enorgueillissent aujourd’hui d’être des opposants indépendants changeraient leurs opinions de manière effrontée du jour au lendemain dès lors que des postes leurs seraient proposés... Et vice versa : L’on a l’habitude de voir que celui qui perd son poste par un hasard des jours n’a aucun scrupule à se mettre subitement dans la peau de l’opposant tout azimut qui se met à dénoncer de manière effrontée un système duquel il a profité un maximum…(les cas Abderazzak Afilal, Moulay Zine Zahidi, Driss Basri…etc.…. etc.…) Pareil pour ceux qui ont trop attendu un poste qui n’est jamais venu…Le cas Driss Benali est édifiant à cet égard. ..."

Source: "Maroc et Marocains"
a
27 mai 2006 18:21
Je suis d'accords avec toi le citoyen mais que proposes-tu ?
l
27 mai 2006 18:31
La sincérité!
a
27 mai 2006 18:33
Chez les hommes politiques ?
l
27 mai 2006 18:54
Et pourquoi pas, c'est de l'avenir du Maroc qu'il s'agit..Mais je dois dire que la sincérité est d'abord requise chez nos 'intellectuels'...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/05/06 18:55 par le citoyen.
a
27 mai 2006 19:00
Les intellectuels marocains et par ricochet les politiques.
A ce sujet, je pense que chaque homme politique doit faire le bilan de son mandat.
Si le mandat est négatif, cela doit-être porté à la connaissance des citoyens.
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