COMME L A EXPLIQUE LE TITRE EN CE MOMENT JE RESSENTS UNE BAISSE DE FOI
JE LIS MOINS DE LIVRES RELIGIEUX ,TRES PEU LE CORAN ,JE TARDE UN PEU POUR LES PRIERES .....
J AIME PAS JE ME SENTS PAS BIEN A CAUSE DE CELA
QUE DOIS JE FAIRE ?????
EN ME LEVANT CE MATIN POUR SALAT FAJR SOBH J AI COMBATTU AVEC MOI MEME POUR LIRE AU MOINS UNE SOURATE
MAIS SA NE ME VA PAS CONTRAIREMENT AUX JOURS PASSES OU JE LISAIS SOUVENT !!!!!!
que faites vous lorsque sa vous arrive? je n ai personne pour me motiver mais j essai de ne pas tomber encore plus bas (ce qui me fait peur d ailleurs)
La baisse de foi est connue par tout musulman. Des solutions pour y remédier et augmenter sa foi tout au long de l'année dans ce dars d'1h23. [dourous.net]
Je rejoins les Yabis qui t'ont répondu et je peux te confirmer que cela arrive à tout le monde sans exceptions.
On entend par ci qulqu'un dire ''je ne fais pas ma prier correctement'', ou l'autre dire ''Mon Dieu ces derniers jours j'ai remplacé le Coran par la musique'', ou encore même l'autre qui raqconte ''Récemment, quand il m'arrive d'ecouter du coran, j'ai les pensée ailleures''....
La baisse de foi est une chose qui arrive à tout les musulmans. C'est un sentiment naturel périodique dont la périodicité dépend de chaque individu et de chaque situation. La foi elle augmente ou bien elle diminue selon notre humeur ou selon ce que nous vivons dans notre quotidien, mais le fait que tu t'en soucies est une très bonne chose Zayneb21.
Maintenant comment y remédier !
Certes qu'il est bien de lire le Coran, mais je conseille vivement de le lire avec les yeux du coeur et non pas les yeux de la tête.
Il ne suffit pa de dire j'invoque Allah Swt, je lis le Coran, je fais mes prières..... encore faut-il chercher la finalité de l'action d'invoquer, lire et prier...
Par exemples tout musulman lit le coran, mais Ô combien le lit sans en saisir le sens des mots
En plus de chercher le Tafssir (l'explications) des mots et par conséquent de la Aya il serait louable de chercher aussi le contexte de la sourat lorsqu'elle fut révélée et encore mieux si on cherche les raisons de l'utilisations des mots eux mêmes.
À la fin lorsqu'on relis la sourat on a cet impression que nous la lisons différement avec plus de conviction et surtout (chose que la majorité qui ont passé par l'explication et la recherche du sens des mots) ce petit quelque chose au coeur qui nous fait rappeller la différence entre la lectrue avant de cette sourat et la lecture après de la même sourat.
Ainsi elle ne sors jamais du coeur
Je vais donner un exemple dans le deuxièeme volet de mon message pour mieux expliquer.
Au nom de Dieu, Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux
1. Dis: " Je cherche protection auprès [d'Allah] le Seigneur des hommes, 2. Souverain des hommes, 3. Dieu des hommes. 4. Contre le mal du mauvais conseiller furtif, 5. qui souffle le mal dans les poitrines (les coeurs) des hommes, 6. qu'il (le conseiller) soit un djinn ou un être humain ".
Bismillahi Rahmani Rahime
1- Qoul A'oudou birabi nnass 2- Maliki nnass 3- Illahi nnass 4- Min charril waswassil khannass 5- Alladi youwaswisso fi soudouri nnass 6- Minal jinnati wa nnass.
2- le contexte:
Elle est identique pour la descente de « Al-Falaq ». Pour mémoire et brièvement, « An-Nâs » fut révélé pour que l’archange Gibrîl (Gabriel ; psl) exorcisât le Prophète Mouhammad de la sorcellerie de Labîd Ibnou Al-A’sam. ( ce dernier eût ensorcelé le Prophète (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) à l'aide d'une corde d'un arc qui renfermait onze nœuds. Dieu lui fit connaître ainsi le lieu où se trouve la corde. On la lui apporta et le Prophète (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) fut ordonné de réciter les deux sourates talismiques. Après la récitation de chaque verset, un nœud se détacha et à la fin il recouvrit ses sens et fut libéré de ses liens).
3 - explication:
1. « Dis : "Je cherche protection auprès du Seigneur (Rabb) des hommes ».
C’est à dire : auprès d’Allah [gloire et pureté à Lui], car c’est Lui le Seigneur des hommes, mais également des anges, des djinns, des cieux et de la terre, du soleil et de la lune. Bien qu’Il soit le Seigneur de toute chose, il désigne ici les humains en particulier en guise d'honneur pour les protéger contre le mauvais qui chuchote dans leurs poitrines.
2. « Le Souverain (Malik) des hommes ».
C’est-à-dire : Le Souverain qui dispose de l’autorité suprême et du pouvoir absolu sur les hommes.
Aboû Houraîra (radhi ullah ranhu) raconte qu'il a entendu le Messager (Salallahu alayhi wa salam) dire: " [Le jour de la Resurrection] Allah fera de la planète terre entière une poignée et pliera les cieux dans Sa main Droite et dira: " Je suis le Roi ! Où sont les rois de la terre " [Cahihoul-boukhary, hadis no 7382]
3. « Le Dieu (Ilâh) des hommes ».
C’est-à-dire : Celui à qui ils doivent adresser leur adoration, car celui qui est dignement adoré, celui que les cœurs adorent, aiment, et vénèrent, c’est Allah gloire et pureté à Lui.
4. « Contre le mal du mauvais conseiller, furtif, qui souffle le mal dans les poitrines des hommes. »
« Al Waswasa » désigne toutes les mauvaises idées, illusions et autres imaginations qui traversent les esprits. Quant au terme « Al Khannâs », il renvoie à ce celui qui se retire, recule, et disparaît lorsque l’on invoque Allah, autrement dit : au «Shaytân détaché à chaque humain. Car tout Fils d'Adam a un partenaire (un satan) qui lui embellit les turpitudes. C’est ce qui explique que lors de l’appel à la prière (Al Adhân), ce dernier se sauve en émettant des pets afin de ne pas l’entendre et qu’il revient une fois l’appel achevé. De même, le second appel (Al Iqâma) provoque de sa part la même réaction, après quoi il revient à la charge pour perturber l’individu dans sa prière en lui remémorant des choses auxquelles il ne pensait même pas, au point de lui faire oublier combien de rak‘âtes il a accomplies. On rapporte par ailleurs dans le « Musnad » de l’Imâm Ahmad que « lorsque les ogres se manifestent, empressez-vous de faire l’Adhân », les « ogres » désignant des shayâtîn qu’un voyageur (ou qu’une personne) en solitude imagine comme des choses effrayantes, un ennemi ou autre chose semblable, et qui se dissipe dés lors que l’individu se met à faire l’Adhân.
L'Envoyé d'Allah (salla allahou alleyhi wa salam) a dit : Le diable peut atteindre en l'homme ce que le sang peut atteindre, et c'est pour cela que j'ai eu peur qu'il ne lance quelque chose dans vos coeurs.
Ibn Abbâs a dit : "Le diable est juché sur le coeur du fils d'Adam. Quand celui-ci se distrait, est inattentif, l'autre lui chuchote (dans la poitrine). Et quand il fait le Rappel de Dieu, l'autre fait le dos rond".
5. « Qu’il (le conseiller) soit un djinn ou un être humain ».
Les mauvaises suggestions peuvent émaner aussi bien des djinns, en ce que ces derniers circulent en l’être humain comme le sang dans les veines, que des hommes ; et Dieu sait combien sont ceux qui inspirent le mal et l’embellissent à l’individu au point de le convaincre d’admettre le mal et de l’appliquer.
{Ainsi, à chaque prophète avons-Nous assigné un ennemi : des diables d'entre les hommes et les djinns, qui s'inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées.} (6/112)
Abu Dhar : Je suis allé à l'Envoyé pendant qu'il était dans la mosquée. Je me suis assis, il m'a dit : "Ô Abou Dhar, as tu fait la prière ?"J'ai dis : "Non."Il a dit : "Lève toi et prie." Je me suis levé pour la prière ensuite. Puis je me suis assis. Alors il m'a dit : "Demande refuge auprès de Dieu contre le ravage des diables d'entre les humains et les djinns."J'ai donc dis "Ô Envoyé de Dieu, est-ce-qu'il y en a parmi les humains et les djinns ?"Il m'a dit "Oui."
Source: Sources : Cheikh Ibn ’Uthaymîne
4- les lettres choisis
reamquons que toutes les fins de phrases de chaque versets finissent avec la lettre '' S '' (on en ajoute sssss pour y mettre le point sur ce qui suit).
C'est le genre de lettres qui est continue (un peu comme les lettres '' N '' : aminnnnnnnnee !, la lettre '' L '', etc....) de même qu'elle est une lettre qui donne une connotation de souffle, de sifflement, une lettre discrèete si on ose dire...
Ceci s'apparente au sifflement du diable, lorsque'il vient souffler discrètement des actes malsaints à l'humain, en lu enjolivant son action ( le tout pour l'égarer) ...telle stipulait dans les verset 4 et 5 : '' Contre le mal du mauvais conseiller furtif'', ''5. qui souffle le mal dans les poitrines (les coeurs) des hommes,
Pour résumer, disons que revoir la façon de lire le Coran, ainsi que tout les actes lier à la religion permet de sortir de cette monotonie qui peut s'intaller... du coup cela permet de se redresser et redonner de l'ampleur à sa foi.
Bonne chance ma soeur.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/10/11 17:50 par Kabi101.
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