Le Maroc travaille très dur pour devenir vraiment doué dans l’utilisation de l’intelligence artificielle. Ils veulent l’utiliser pour rendre ntotre pays meilleur de différentes manières. Le gouvernement fait des choses pour aider l’IA à se développer et à s’améliorer, comme créer de nouvelles initiatives et obtenir plus d’argent pour la technologie. Cela fait une grande différence dans de nombreux secteurs différents, comme l’agriculture et la santé.
L'IA peut aider les agriculteurs à mieux utiliser les ressources et à améliorer les soins de santé pour les patients. Mais il reste certains problèmes à résoudre, comme s’assurer que tout le monde ait accès à la technologie et former suffisamment de personnes pour travailler avec l’IA. Cela signifie que nous avons besoin de règles pour garantir que cela aide les gens et ne pose aucun problème.
L’avenir de l’IA au Maroc s’annonce vraiment prometteur et il existe de nombreuses opportunités de proposer de nouvelles idées et d’améliorer les choses. Mais nous devons réfléchir à la manière dont l’IA affecte à la fois la technologie et la société pour nous assurer que tout se passe bien.
Que pensez-vous pensez de la manière dont l’IA affectera le Maroc à l’avenir ?
Un très vaste sujet qu'il faudrait développer pour mesurer l'impact dans toutes ses dimensions.
* Un big data ou de simples systèmes experts ? Si 90% des relations retenues (par deep learning) comme pertinentes dans un référentiel laïc, judéo-chrétien ou autre, on peut entrevoir d'ores et déjà la polarisation des "inférences" logiques et culturelles. Par exemple Chatgpt produira un texte en concordance avec le background référentiel dominant, tout en communiquant dans une langue particulière dominante ...
On peut tester en invitant Chatgpt a produire des textes sur les sujets controversés tel que le féminisme, l'Islam, Le Coran, les droits de l'homme etc ...
J'ai testé Chatgpt sur un sujet particulier de physique et c'est en lui arrachant les dents que progressivement il a pondu des textes plus intéressants (examen organoleptique/couleur/effet photoélectrique/etc) pour que finalement l'approche en terme d'interaction objet/capteurs sensitifs émerge donnant un autre sens aux termes forme, couleur, odeur, etc....
* A titre d'exemple, pour l'agriculture géolocalisée sur mesure (Images satellite-drones/ Climat-variabilité (puissance solaire rayonnée-transmission-réfraction-absorption-réflexion, cycle des tâches solaires /pluviométrie naturelle, ensemencement des nuages-irrigation-nappes, pompe/ effet de serre, hygrométrie, etc...,/ semences sélectionnées, / exposition, altitude, latitude, longitude, bassin versant, composition chimique des sols, géolocalisation des propriétés agricoles / engrais, pesticides, herbicides, etc...,/ Transports/marchés et demande, valeur ajoutée, rendement et rentabilité). Bref une liste non exhaustive des paramètres à considérer.
Le tout serait pour optimiser la production au meilleur coût et rapport, propriété par propriété.
Pour cela des infrastructures sont nécessaires (énergie, matières, équipements, informations) comme des lois (exploitation de drones, etc)
* Dont des sociétés étrangères qui capturent des eaux de surface comme souterraines et les distribuent, vendent les semences, collectent les données, vendent des S.I, maintiennent les plateformes, etc...
On se doute bien que l'on est encore loin des objectifs, que les groupes d'intérêts exerceront des pressions en prétendant optimiser la gestion des ressources naturelles renouvelables avec les conséquences telles que celles que l'on connaît déjà : culture intensive, épuisement des sols et des ressources hydriques, libre échange et exportations : les uns, contribuables, financent la construction des infrastructures (barrages, réseaux d’irrigation) et les singes tirant les marrons du feu, exploitant ces infrastructures payées par les premiers.
Avec la légalisation de la culture du cannabis, l'euphorie sera à son comble et planera dans les esprits des décideurs et des entrepreneurs.
Par contre c'est au niveau de la recherche fondamentale en I.A que les véritables enjeux cruciaux et vitaux se situent. Pour reprendre la citation de Mao, Ne pas donner à l'I.A des bases de big data, mais lui apprendre à les pécher et créer. L'intelligence ne réside pas dans la redondance de "relations" dont la pertinence serait statistiquement établie, car c'est l'intelligence de l'alter programmée, mais dans d'autres aptitudes d'un futur système induisant une liberté de "penser" ou d'"innover" (par adjonction, superposition, substitution, analogie et autres opérations logiques etc ...)
Les bases de données verbales et verbalisées existent celles des représentations (textes, discours numérisés, photos, schémas, cartes etc). Les systèmes d'observation experts existent (anti-missiles, reconnaissance de forme, etc...), ceux de l'observable physiquement parlant
L'I.A se développera autour d'un savoir mettant en relation les représentations et les observations tout comme l'homme s'est inspiré de la nature (mimétisme comportemental d'autres espèces) au fil des millénaires, (toile d'araignée/filet de pêche ?).
On peut considérer que la période que traverse l'I.A actuelle ressemble à celles qu'ont connu les diverses sciences à leur début : cataloguer, recenser, identifier, celles des recettes, des tableaux, des interactions (chimie, médecine, etc...) avant de voir naître de véritables modélisations et une intelligence artificielle digne de ce nom.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/02/24 13:23 par Blagueur*.
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