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Arabes au maroc ?.
f
7 juin 2006 13:08
Le début de la division pour toi


Il n'ya aucune envie de nous diviser voila un autre amalgame et yen a tout un stock si tu veux sawsen !
s
7 juin 2006 13:11
Citation
fatima35 a écrit:
Le début de la division pour toi


Il n'ya aucune envie de nous diviser voila un autre amalgame et yen a tout un stock si tu veux sawsen !


non toi meme tu as dit que meme si le gouvernement reconnait la langue tamazgha ca ne suffirait pas!!!!!
f
7 juin 2006 13:14
Oui c est un premier pas


Je ne sais pas si tu es au courant de ce que les berbères subissent comme injustices au Maroc mais si tu en informée tu me surprends bcp par ton manque de compréhension !
s
7 juin 2006 13:15
Citation
fatima35 a écrit:
Oui c est un premier pas


Je ne sais pas si tu es au courant de ce que les berbères subissent comme injustices au Maroc mais si tu en informée tu me surprends bcp par ton manque de compréhension !

non dis moi ce qu'ils subissent.
A
7 juin 2006 13:34
On les traite de chleuhs, et ça c'est scandaleux!!grinning smiley
f
7 juin 2006 13:37
smiling smiley


Moi ba3da c est un compliment pour moi

smiling smiley
f
7 juin 2006 13:37
Citation
sawsen9 a écrit:
Citation
fatima35 a écrit:
Oui c est un premier pas


Je ne sais pas si tu es au courant de ce que les berbères subissent comme injustices au Maroc mais si tu en informée tu me surprends bcp par ton manque de compréhension !

non dis moi ce qu'ils subissent.

Lis sa c est une conférence qui date de 2003



La situation actuelle du Berbère au Maroc

Conférence de Abdellah Bounfour.

Organisée par Tamazgha, le 28 juin 2003.

Mesdames et Messieurs,

La meilleure façon d’aborder ce sujet me semble être de relater les événements dans leur chronologie et, éventuellement, de tirer quelques conclusions provisoires à partir de cette mise en perspective chronologique. Je considérerai trois événements : la publication du Manifeste amazigh de Mohamed Chafik, la fondation de L’Institut Royal de la culture amazighe et la décision de transcrire le berbère en caractères tifinagh.

-Le Manifeste amazigh

Il ne s’agit pas, ici, de revenir sur le contenu de ce manifeste. Je l’avais fait en son temps. Ce qu’il importe de relever est la chose suivante : il est apparu à beaucoup d’observateurs et d’acteurs du mouvement culturel amazighe que ce manifeste se posait comme fondateur de la revendication identitaire berbère. Cette vision des choses a été étayée par l’argument 2 ci-dessous. Mais il y en a deux autres qui ont échappé à leur vigilance :

1. Mohamed Chafik est un nationaliste qui a vécu la période de la lutte pour l’indépendance nationale. Il en est tout imprégné y compris dans la langue qu’il utilise aujourd’hui. Ceci est un constat. Viendra peut-être un jour où les chercheurs s’intéresseront à cette langue au plan du lexique et du discours pour mieux comprendre cette période. Il n’est donc pas étonnant qu’il intitule son texte "Manifeste amazighe" car l’acte de naissance du Mouvement national est aussi un texte dont le titre est "Manifeste de l’indépendance". Cette similitude dans la dénomination des deux événements n’est pas fortuite. Elle est déterminée par une culture politique même si l’objet visé par Chafik n’a et n’est pas toujours admis par beaucoup de nationalistes. Dans tous les cas il ne figurait pas du tout dans les revendications nationalistes. Au contraire. De plus la structure et la forme du contenu des deux manifestes sont comparables. Des considérations historiques et sociologiques, on tire une liste de revendications. Certes, on peut croire que c’est la seule forme possible. Certainement pas pour nous qui savons, aujourd’hui, que tout nouveau contenu implique une forme particulière de discours sauf à diluer le nouveau dans de vieilles outres. Dans tous les cas, il est certain que le Manifeste amazigh peut être perçu par les tenants du nationalisme orthodoxe comme un manifeste pour l’autonomie, au sens large du terme, des Berbères. Cela a d’ailleurs été le cas. Même les compagnons de route de l’auteur du manifeste ont été surpris par le ton et le contenu du texte.

Une troisième similitude mérite d’être signalée : l’appel à la signature de ce manifeste. On sait que c’est exactement la même opération qui a été utilisée pour le Manifeste de l’indépendance. En ce qui me concerne, et pour autant que cela puisse intéresser l’opinion publique, j’ai signé ce manifeste parce qu’il comportait des revendications justes et le sont toujours même si j’ai été réservé sur l’analyse qui les précédait. Ce que je retiens de cette analyse formelle de ce texte c’est ceci : le Manifeste amazigh enracine la revendication dans la culture et la langue du nationalisme. Or, la revendication berbère déconstruit le dogme du nationalisme orthodoxe fondé exclusivement sur l’arabité et l’islamité. Elle veut, au moins, y inclure l’amazighité longtemps occultée, voire combattue, par les ténors du nationalisme arabo-musulman. Il n’est pas certain que cela rende justice à cette revendication. Mais, après tout, on peut voir dans le Manifeste une brèche importante de l’intérieur du discours nationaliste.

2. La caractéristique la plus importante du manifeste me semble être celle-ci : dans son contenu il ne fait aucune référence aux différents événements qui ont jalonné l’histoire du mouvement culturel berbère depuis les années soixante. Cet oubli ou cette occultation n’a pas échappé à certains acteurs de ce mouvement. Citons un texte très important qui, à mes yeux, est fondateur : la Charte d’Agadir. La dénomination est très importante : c’est un texte comportant un certain nombre de revendications minimales sur lesquelles les grandes associations du mouvement culturel berbère de l’époque étaient d’accord ; une plate-forme pour l’action en commun de ces associations. On notera donc que la différence dans la dénomination, le fait qu’il s’agit d’un texte négocié en commun par des institutions associatives reconnues juridiquement et socialement et non d’un texte individuel sont de nature tout à fait nouvelle dans l’histoire du mouvement berbère. C’est donc un événement important que ses promoteurs n’ont peut-être pas évalué à sa juste valeur.

En effet, la Charte d’Agadir sonne comme l’acte de naissance d’un mouvement qui risquait de devenir un mouvement de masse, comme on disait naguère. Il a d’ailleurs donné lieu à la création d’une multitude d’associations y compris dans les villages alors que, jusqu’à présent, la revendication était exclusivement citadine et concernait l’élite berbère citadinisée. La conclusion qui s’impose est donc la suivante : le Manifeste amazigh est, de ce point de vue, un catalyseur de cette orientation de masse vers un cadre plus restreint. Celui d’une revendication culturaliste, ce qui était l’inspiration première du mouvement berbère à ses début. C’était le cas, quoiqu’il en soit, de l’AMREC dès sa fondation.

-La création de l’IRCAM

Là encore, je ne reviendrai pas sur le contenu du Dahir (loi) instituant l’IRCAM. Je l’ai fait en son temps. Je reprendrai deux points qu’il est intéressant de méditer : la cérémonie publique de la création et les structures fondamentales, particulièrement le conseil d’administration.

1. J’avais noté que cette cérémonie était exceptionnelle par le lieu de son déroulement, le nombre et la qualité des invités. Le lieu est le bourg de la famille du roi du côté maternel. A ma connaissance aucun dahir n’a eu comme lieu de proclamation un lieu de ce genre. Le lieu naturel pour proclamer une loi est, au Maroc, le parlement et le journal officiel. Proclamer une loi en plein air est insolite dans l’histoire juridique de ce pays. Cela voulait dire que l’événement méritait cette proclamation insolite, exceptionnelle. Il l’est, en effet car il mettait fin symboliquement et juridiquement au monisme identitaire hérité du nationalisme triomphant et il fallait le gérer de telle manière qu’il ne fût perçu comme une "déviation" ou un désaveu de ce nationalisme. Mais tout simplement un oubli, un complément nécessaire promis, semble-t-il, par Hassan II depuis les débuts de l’indépendance. Promesse tenue donc !
2. Le nombre et la qualité des invités à cette cérémonie sont très significatifs. En effet, tous les représentants des institutions étatiques étaient présents, y compris les partis politiques, les syndicats, la société civile y compris les associations amazighes qui ont soutenu ou non le Manifeste amazighe.

Il est donc requis d’en conclure que la chose berbère est sortie du cadre purement revendicatif d’une catégorie de la population ; elle devient symboliquement l’affaire de l’Etat et de tous les Marocains.

3. Le conseil d’administration pose un autre problème plus délicat. La discussion se concentrait sur la question suivante : qui siègera en son sein ? Pour simplifier, deux positions s’affrontaient : la première est "universitaire" et proposait que seuls les spécialistes de la langue et de la culture en soient membres étant donné que la mission fondamentale de l’IRCAM est d’introduire la langue dans le système éducatif et de promouvoir la culture berbère dans les médias et la société ; la seconde est "militante" et revendique que le milieu associatif soit représenté. La première oublie que l’IRCAM, vu son statut juridique, ne peut être seulement de type universitaire car si sa nature était telle, il n’y avait aucune raison de le rattacher à la Cour royale ; il suffisait de le rattacher à l’Université. La trop grande proximité avec le lieu des décisions politiques impose qu’il ne soit pas exclusivement scientifique. La seconde oublie que l’IRCAM n’est pas un cadre pour la militance : comment se comporter en militant dans une institution des plus proches du centre du pouvoir ! Les deux positions sont donc dans la confusion des genres. La composition actuelle du conseil d’administration fait place aux scientifiques et à d’anciens militants. Certains y verront une confusion des genres justement. L’IRCAM est à la fois un lieu de production scientifique mais aussi un lieu de gestion de la question berbère.

L’adoption de la graphie tifinagh

Je résume, ici, l’analyse que j’ai publiée dans un mensuel marocain. Notons que c’est la première décision publique de cet institut. Le processus qui a mené à sa prise est double : il est interne et externe à l’IRCAM.

1. Le Centre d’aménagement linguistique, le seul à avoir recruté des spécialistes des sciences du langage de niveau universitaire, était en charge de préparer une analyse scientifique des trois alphabets concurrents pour préparer la décision du choix de la graphie officielle. Ce centre a fait son travail selon une méthodologie explicite et lisible dans ses documents. Le problème n’est pas de discuter la pertinence de cette méthodologie mais de savoir quel est son poids dans la prise de décision car cette dernière ne dépend pas que de l’aspect scientifique. Il y a nécessairement l’aspect politique à considérer. C’est là qu’intervient le processus externe.

2. Avant la réunion du conseil d’administration, un certain nombre d’associations se sont réunis à Meknès réclamant que la graphie à choisir soit de caractères latins. La presse a donné un grand écho à cette position et constitue ainsi une pression médiatique sur le conseil d’administration de l’IRCAM. Un peu plus tard, d’autres associations dites islamistes se réunissent et réclament que la graphie soit arabe. Mais aucune association, à ma connaissance, n’a réclamé la graphie tifinagh. Il est donc clair que l’antagonisme latin/arabe devient politique et pèsera très lourd sur le choix à faire au point que le point de vue scientifique va être complètement occulté. On choisira la graphie tifinagh pour "arbitrer" cet antagonisme. Et l’on argumentera que cet alphabet est non seulement adéquat mais il est l’alphabet originel. Ce qui, pour un spécialiste, est très loin de la réalité. Rappelons que l’alphabet choisi n’est pas le libyque, qui lui est originel et pose encore des problèmes de déchiffrement. Cet alphabet est ce que nous appelons, dans nos travaux, les néo-tifinagh. Il est un léger remaniement de l’alphabet diffusé par l’ancienne académie berbère de Paris destiné à noter le kabyle. Ce rappel historique était nécessaire car le public profane croit vraiment qu’il s’agit de l’écriture berbère ancienne.

On retiendra donc que la caractère hybride de la composition du conseil d’administration, dans ce cas précis, a joué en défaveur de la vérité scientifique et historique de la langue.

Je conclurai cette intervention en retenant deux idées importantes :

1. Quand je fais le bilan depuis 1967 à ce jour, incontestablement le mouvement amazigh a réussi des actions importantes : la visibilité associative berbère, la publication en berbère et sur le berbère, la production artistique berbère est en net éclosion, le fait que le berbère est redevenu un moyen de communication citadin, la reconquête de soi des Berbères qui avaient honte de leur langue, de leur origine au point d’en arriver à ce que l’on appelle la haine de soi bien décrite par A. Memmi dans Le complexe du colonioséet et par F fanon dans ses ouvrages oubliés depuis etc...

2. Néanmoins, il reste encore beaucoup à faire car tout un pan de la société marocaine n’a pas encore intégré que l’amazighité de l’identité marocaine est une donnée tangible et avec laquelle il faut compter à l’avenir. Car l’amazighité a réappris aux Marocains le pluralisme. Puisqu’ils revendiquent, du moins une frange non négligeable, les valeurs démocratiques universelles, il faut reconnaître au mouvement culturel berbère de n’avoir pas cédé sur cette pluralité linguistique et culturelle du pays, pluralité soulignée déjà dans la Charte d’Agadir. A cela il faut ajouter une autre tâche plus difficile et plus complexe : la revendication d’une amazighité résolument moderne. Mais cela est une autre question.

Je vous remercie de votre attention.

Source : tamazgha.fr
f
7 juin 2006 13:38
Lis cet article surtout


[www.rezki.net]
f
7 juin 2006 13:44
c etait pas cette connférence que je voulais poster


mais ma3lich
f
7 juin 2006 13:44
spinning smiley sticking its tongue out



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/06/06 09:18 par fatima35.
o
7 juin 2006 14:18
Citation
sawsen9 a écrit:
Citation
fatima35 a écrit:
Oui c est un premier pas


Je ne sais pas si tu es au courant de ce que les berbères subissent comme injustices au Maroc mais si tu en informée tu me surprends bcp par ton manque de compréhension !

non dis moi ce qu'ils subissent.

1° Dans leurs ecoles les instits st obligés de leur parler ds une langue qui n'est pas la leur(je me rappelle on comprenait à peine ce qu'ils disaient)

2° Interdiction des prenoms amazighs

3°Arabisation des nom de lieu, villes,quartier, rues,places,...

4° Mensonges sur l'histoire du maroc avant et aprés l'islam

5° Pas d'accés à leur culture via Radio TV(L'ETAT subventionne 6 TV arabophones et arabes(avec 10min de berbere) et ZERO TVS AMAZIGHS)
6° L'Armée est berbere mais les generaux sont TOUS FASSIS OU PROCHES DES ALOUITES(L'Etat n'a pas confiance en les berberes)
7° Ala douane, aux administrations on est prêt à accuelir TLM ds sa langue(arabe,francais,allemand,anglais )mais TAMAZIGHT est interdite. Qd tu demandes un traducteur on te traite de raciste car tu ne veux(ou tu ne sais pas) pas parler arabe.
....ETC
(Lire le manifeste berbere signé par un million de personnes tout y est)
Conclure: Les berberes forment le noyau de la population marocaine, Tamazight est la langue de nos ancêtres et appartient à TOUS LES MAROCAINS. A quoi ca sert de proteger les monuments historiques si on protége pas TAMAZIGHT
I
7 juin 2006 14:40
Vous étes vraiment marrants!
f
7 juin 2006 14:48
Vous etes vraiment jaloux !
o
7 juin 2006 15:41
Citation
Iron-man a écrit:
Vous étes vraiment marrants!

Malheureusement c'est pas marrant notre situatin est triste voire pathétique. Même les palestiniens st mieux que les berberes au maroc. Les palestiniens finiront par avoir leur pays car ils connaissent leur ennemi nous notre ennmi c'est nous même.
Les plus arabisants ce sont les berberes arabisés(fraichement).

tu comprends les mots que j'aligne ou pas?
f
7 juin 2006 15:49
Alors là bien parlé Outinghir vraiment bien parlé ! thumbs upspinning smiley sticking its tongue out
j
7 juin 2006 19:05
ce qui vous tue en fait ç'est ça;

JE SUIS UN JEBLI, UN BERBERE ARABISE car:
JE SUIS FIER DE MON ARABITUDE ainsi
JE RENIE MA LANGUE D'ORIGINE que je ne connais pas et que je ne veux pas connaitre, je n'en vois pas l'intêterèt!

JE SUIS MAROCAIN QUAND LA LANGUE OFFICIELLE NATIONALE LEGITIME EST L'ARABE, LA RELIGION L'ISLAM, ET LE CHEF MON ROI,
APRES LE TAMAZIGHT, LE RIFFI OU LE SOUSSI, ONT TOUTE LEUR PLACE EN TANT QUE LANGUES REGIONNALE, comme l'alsacien , le basque, le breton ou le corse le sont pour la france et son français !

mais si on fait un autre maroc, qui ne serait plus LE MAROC AUTENTIQUE avec pour langue officielle nationale une autre langue que l'arabe, donc amazight ou autres...alors moi je prend les armes pour défendre ce maroc que mes ancêtres jeblis arabisés et fièrs de l'être , ont construit: UN MAROC né DE L'ARRIVE DU FONDATEUR ARABE ,PETIT FILS DU PROPHETE, DE LA VILLE DE FES, PREMIERE VILLE IMPERIALE DU MAROC ET DE SON HISTOIRE,
car Avant cette touche arabe, il n'y avait pas de maroc tout court!!!

si votre but c'est revenir à la préhistoire marocaine, si ces temps-là vous manque à ce point, on va y revenir sans problème, à l'époque c'était chacun pour soi, et moi le jebli, je serai le premier à vous faire la preuve de votre victoire!!!
s
7 juin 2006 23:05
salut chere chelha, les arabes sont d'un nombre important au maroc, ils ne sont pas des bereres arabisés comme vous pretendez vous les berberes,si tu veux vraiment savoir l'histoire du maroc et du maghreb, je te conseille de lire le livre"al ibar....les conseils"tome6 d' ibn khaldoun, cet historien est tres hostile aux arabes,il les considerent comme des sauterelles qui ont envahi le nord africain,mais il avouent qu'ils sont devenus les seigneurs du maghreb,par leurs forces,leurs courages..biensur ils ont conquit le maghreb en nombre pas spectaculaire( ne depasse pas un million chez certains,et 200milles chez autres)mais dans l'espace des quelques siecles ils sont devenus majoritaire..qui peut pretendre que les 'ouled hariz" de chaouia sont des berberes?de meme pour les sofians de gharb,les abdas et les ouled fraj de doukkala? il suffit de comparer un berbere et un arabe(ou arabisé comme vous le dites)pour constater la difference!svp cessez de dire que nous sommes des berberes,car c'est un delire de dire des choses pareils!c'est comme une femme qui dit a son garçon qu'il une fille a cause de la haine des hommes!!biensur je suis different des arabes saudiens ou des emaratis, exactement comme un berbere de souss est different d'un kabyle!mais je suis de race arabe,et je ne veux en aucun cas contrarier mon sang et mon histoire pour vos yeux,et seccez de semer votre haine berbere et barbare au sein de notre pays!
i
7 juin 2006 23:40
je ne connais pas mon essence et je ne me permettrai jamais de me considérer comme un arabe pure ni un berbere pure,car la purté est dénuée de sens, je suis un métis et je n'appartiens qu'à une culture seule, celle d'être arabo-musulmane, je suis le garant de cette culture ne serai-ce quà cause de la diversité qui m'a procrée et celle qui m'a elevée, je fais ombrage aux berberistes pour la simple raison qu'ils cherchent à leur frustration une reconnaissance qu'ils ne méritent aucunement, néanmoins cette culture berbere dont ils se qualifient coulent dans mes veines ( la musique et la nourriture ancéstrale marocaine en témoignent) comme chez tous les marocains qui se respectent.
la seule chose où je serai intraitable avec les berbersistes est cette soumission inconsciente à cette assimilation facile d'un apport européen qui n'a d'objectif que d'affaiblir les maghribins en général là où la colonisatin a échoué
Je n'aurai que du mépris pour ces inconscients car ils oeuvrent pour leur personne et aucunement pour une communaté.
et j'aurai l'occasion de vous montrer leur procédé car il y en a un, bien que malheureusement certains sont déjà dedans comme mademoiselle fatima35
georges orwell
s
8 juin 2006 01:12
notre culture n'est pas berbere, notre gastronomie, notre musique.. je peux vous raconter ce que disaient Nas al ghiwane apres leur voyage au golf: il y a une ressemblane incroyable entre leur rytme et le rythme de la musique arabe du golf!si notre civilisation est d'origine berbere, pourquoi donc les berberes n'ont pas concervé leurs langue comme les perses et les turcs?mais pourquoi attendre 14 siecle pour revendiquer leur langue?!!à l'encontre des berberistes,je dis que notre histoire est arabe,meme plus arabe que les autres pays arabes d'orient,malheureusement qu'il y a des berberes au maghreb,ils n'ont pas de rapport avec la culture arabe, car ils se sont refugié aupres des montagnes apres l'invasion arabe; quelle merveilleuse histoire!!!quelques centaines de milliers ont gouvernés tout le nord africain peuplé dejà par des millions de berberes!la premiere bataille qui a opposé les arabes hilaliens et le roi ziride de la tunisie a été remporté par les arabes alors qu'ils sont 3000 et les berberes sont 30000!!un arabe face a dix berberes.franchement, je suis fier de mes ancetres que ben khaldoun les qualifient comme des betes sauvages invaincibles!pour comprendre la multiplication de leur nombre, ben khaldoun cite une loi historique( dans la mokaddima)lorsequ'un peulpe est gouverné par un autre ,le premier tend vers sa fin!une autre autre loi historique; lorsqu'un peuple mène la belle vie dans les plaines fertiles, leur nombre se multiplie gigantesquement...je dis a tous ces berberistes: je connais mon histoire,n'essayez pas de me dire que je suis un berbere,c'est unitile,vous ne me convaincrez jamais,car je sais que vous etes des fanatiques et vous essayerez toujours de falsifier l'histoire comme les juifs qui pretendent que la palestine est leur terre!vous n'avez pas notre noblesse notre honneteté notre genereusité!
a
8 juin 2006 01:31
Citation
said saidi a écrit:
notre culture n'est pas berbere, notre gastronomie, notre musique.. je peux vous raconter ce que disaient Nas al ghiwane apres leur voyage au golf: il y a une ressemblane incroyable entre leur rytme et le rythme de la musique arabe du golf!si notre civilisation est d'origine berbere, pourquoi donc les berberes n'ont pas concervé leurs langue comme les perses et les turcs?mais pourquoi attendre 14 siecle pour revendiquer leur langue?!!à l'encontre des berberistes,je dis que notre histoire est arabe,meme plus arabe que les autres pays arabes d'orient,malheureusement qu'il y a des berberes au maghreb,ils n'ont pas de rapport avec la culture arabe, car ils se sont refugié aupres des montagnes apres l'invasion arabe; quelle merveilleuse histoire!!!quelques centaines de milliers ont gouvernés tout le nord africain peuplé dejà par des millions de berberes!la premiere bataille qui a opposé les arabes hilaliens et le roi ziride de la tunisie a été remporté par les arabes alors qu'ils sont 3000 et les berberes sont 30000!!un arabe face a dix berberes.franchement, je suis fier de mes ancetres que ben khaldoun les qualifient comme des betes sauvages invaincibles!pour comprendre la multiplication de leur nombre, ben khaldoun cite une loi historique( dans la mokaddima)lorsequ'un peulpe est gouverné par un autre ,le premier tend vers sa fin!une autre autre loi historique; lorsqu'un peuple mène la belle vie dans les plaines fertiles, leur nombre se multiplie gigantesquement...je dis a tous ces berberistes: je connais mon histoire,n'essayez pas de me dire que je suis un berbere,c'est unitile,vous ne me convaincrez jamais,car je sais que vous etes des fanatiques et vous essayerez toujours de falsifier l'histoire comme les juifs qui pretendent que la palestine est leur terre!vous n'avez pas notre noblesse notre honneteté notre genereusité!

Que fais tu des analyses génétiques qui prouvent le contraire de ce que tu dis?
Les chaouias sont d'origine berbere, meme si au cours de l'histoire ils se sont inventé une ascendance "noble" arabe, preuve en est que le terme chaoui désigne dans tout le maghreb des populations berberes (de la Lybie jusqu'au Aures).
La seule confédération de la chaouia qui semble d'origine hilalienne est les mdraka.
Les exemples les plus frappant d'arabisations au Maroc:
Mzabite, tuarga, senhadja, mernissa, sahraoua (a part les beni maaquil qui sont arabes), houwara, Branes, ghyata, Doukala, meknassa, et j'en passe.
En inventant des origines arabes, tu joues la division parmi les marocains. Les marocains sont berberes arabisés et comme Jebly tu devrais accepter. Personne ne te demande de renoncer a la langue arabe, mais juste d'admettre la réalité en face et de cesser les mascarades.
Les marocains ne sont pas considérés comme arabes au machreq et c'est tant mieux!
Nous sommes marocains et nous devons etre fier de notre histoire, de nos coutume, de nos langues et de notre gastronomie. Et cessez de vous inventez des histoires abracadabrantesque.

Les analyses génétiques sont claires et elles vont toutes dans le meme sens, a moins que comme la justice marocaine tu ne crois pas en la génétique, voici une histoire qui atteste de notre sous-developpement:

Tribunal d’ El Jadida : Père malgré lui
Franco-Marocain, Mohamed Bellakhdim est depuis plus de 10 ans dans une bataille juridique qui frôle le ridicule ! Au nom de la tradition, la justice marocaine le contraint à être « le père légitime » d’une fille qui n’est pas la sienne. Des tests ADN effectués en France ont pourtant rejeté cette filiation. Des tests jugés « sans valeur juridique » au Maroc.

Au cœur de la guéguerre, un enfant ! Ce qui est souvent le cas au bout d’un divorce. Les enfants, les parents divorcés se les entredéchirent pour en obtenir la garde. Mais cette fois, l’enfant en question, les parents se l’entrejettent.

Mohamed Bellakhdim et Laila Ljourk, Franco-Marocains installés en France, ont divorcé le 2 février 1996. La divorcée est alors enceinte. La petite fille, Anissa, est née le 13 septembre 1996. Comme dans une histoire de divorce normal, c’est la maman qui obtient la garde de l’enfant et, naturellement, une pension alimentaire (Nafaka) portée à 3000 dirhams par mois et autres frais, notamment ceux de l’allaitement fixés à 600 dirhams mensuellement. Quelques mois après la naissance de l’enfant, Mohamed Bellakhdim en rejette la filiation. Son argument : le bébé, né en septembre 1996, aurait été conçu vers le début du mois de décembre 1995. Or, affirme-t-il, il aurait quitté définitivement le domicile conjugal le 11 novembre de cette même année et même n’avoir eu aucune relation sexuelle avec sa femme plusieurs mois avant cette date.

Pour démontrer la véracité de ses propos, Bellakhdim s’est tout de suite dit prêt à assumer toute expertise de filiation nécessaire. Le plaignant exigera donc ce type d’analyses biologiques pour rejeter définitivement tout lien de parenté avec Anissa, qui porte nom. Il sollicite également que son ex-épouse soit condamnée à lui verser 50.000 francs de dommages-intérêts du fait que « Laila Ljourk a engagé des procédures judiciaires (au Maroc) en vue d’obtenir des pensions alimentaires, alors qu’elle savait qu’il n’était pas le père de l’enfant ».

En novembre 1999, une expertise de filiation est ordonnée par le tribunal de Mulhouse en France. Pays de résidence des deux ex-époux et de la naissance de la fille. Un médecin expert judiciaire réalise des tests génétiques sur Mohamed Bellakhdim et la petite Anissa Bellakhdim. Les résultats en seront connus en février 2000 : « L’étude des groupes HLA et du polymorphisme de l’ADN permet d’exclure la paternité de Monsieur Mohamed Bellakhdim vis-à-vis de l’enfant Anissa Bellakhdim ». Suite à une telle certitude médicale, le tribunal de Mulhouse ne pouvait que rendre un jugement, quelques mois plus tard, où il exclut effectivement la paternité du plaignant vis-à-vis de l’enfant en décidant que celui-ci porterait désormais le nom de sa mère.

L’ADN contraire à la tradition ?

L’affaire est loin d’être ainsi close. Le mariage ayant eu lieu au Maroc, le divorce aussi, c’est le tribunal d’El Jadida qui devrait trancher définitivement sur cette question. Décembre 2000, Mohamed Bellakhdim reproduit donc devant ce tribunal le jugement de celui de Mulhouse, conformément à la Convention franco-marocaine du 10 août 1981, relative au statut des personnes et de la famille et de la coopération judiciaire.

Test ADN à l’appui, la demande du rejet de la filiation sera refusée au Maroc. La construction de la juridiction marocaine est pour le moins surprenante. On avancera alors que « le jugement est basé sur des analyses biologiques ; or, ces dernières sont contraires non seulement à la tradition musulmane mais à la loi marocaine », on ajoutera que « seul le serment d’anathème, prévu par le Coran, est juridiquement susceptible de rejeter une filiation imposée par la présomption ».

Etonnant, impensable même ! Toujours est-il que c’était effectivement ce que stipulait le code du statut personnel marocain à cette période. Mohamed Bellakhdim sera ainsi condamné par la justice marocaine à assumer une paternité qui ne lui revient pas. Il sera notamment contraint à continuer de verser la pension alimentaire comme étant un père légitime. Le jugement, aussi hallucinant soit-il, sera confirmé en appel puisque, précise-t-on, “la naissance de l’enfant était intervenue dans l’année du divorce, il est attribué automatiquement à l’ex-époux”, comme le stipule l’article 76 de l’ancienne Moudawana.

Quatre ans plus tard, Celle-ci est réformée. La nouvelle Moudawana, aux dispositions modernes et décidément bien plus logiques que celles de l’ancienne, n’arrangera pas mieux Mohamed Bellakhdim. C’est justement à ce niveau là que l’affaire Bellakhdim frôle de très près le ridicule.

« La justice marocaine doit me rendre ma dignité »

La nouvelle Moudawana vient avec de nouveaux textes de lois, a priori très favorables à la cause de Mohamed Bellakhdim, notamment l’article 153. Devant une telle perspective, le plaignant et son avocat déposent une nouvelle demande d’exécution du jugement du Tribunal de Mulhouse. « Nous avons estimé que ce jugement basé sur des analyses scientifiques n’était plus en contradiction avec la loi marocaine, ni avec l’ordre public », explique Abdelmoula Kourchech, l’avocat au Maroc de Mohamed Bellakhdim. En effet, la nouvelle version de la Moudawana insère, dans l’article 135, l’expertise scientifique parmi les preuves susceptibles d’annuler une filiation.

Rien n’y fait. Le tribunal d’El Jadida persiste à rejeter la preuve ADN et à insister sur la paternité légitime du plaignant. Et pour cause, « l’application de certains articles de la Moudawana, notamment celui concernant le rejet de la filiation, est portée à l’appréciation personnelle du juge », précise Me Kourchech. « Je peux bien comprendre que ces preuves scientifiques soient rejetées, il y a 4 ans. Mais cette position n’est plus tenable et n’est plus compréhensible aujourd’hui, après 2 ans de l’adoption de la réforme de la Moudawana », s’indigne Me Kourchech, « ceci est, en plus, une entrave ouverte à l’application de la convention établissant la coopération judiciaire entre le Maroc et la France ».

Bellakhdim Mohamed, lui, parle d’un “fiasco juridique”. N’ayant plus aucun contact avec son ex-épouse, il n’aurait jamais rencontré Anissa qui porte encore son nom. « Je ne connais pas cette petite fille et je n’ai aucun contact avec elle. Je l’ai croisée une seule fois le jour des examens sanguins », dit-il. Au bout de 11 longues années de guéguerre judiciaire avec son ex-femme, il déclare être “fatigué, usé, fragilisé et sali par l’injustice qui me frappe depuis des années (...). La justice doit tirer des conclusions de cette affaire et me rendre mon honneur et ma dignité d’homme”, enchaîne-t-il.

Lamia Bouzbouz - La Gazette du Maroc
- Publié le : 23 février 2006



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/06/06 01:32 par aitsadden.
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