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al-hamdoulilah a écrit:
Salam aleykoum et Aïd Moubarak !
Je vous explique un peu mon "problème". Alors je travaille depuis presque 2 ans dans une entreprise dans laquelle je me suis de suite entendue avec mes collègues dont un en particulier parce qu'on à tout de suite trouvé un centre d'intérêt en commun. À ce moment-là, je n'étais pas encore convertie alors que lui l'était depuis plusieurs d'années. Il y a un autre de mes collègues qui est musulman. Au fil du temps on parlait de plus en plus de religion tous les deux, et il était tellement bien lorsqu'il m'en parlait que je me suis de plus en plus intéressée à l'Islam. Il m'a offert des livres pour que j'en sache plus et répondait toujours à mes questions. Jusqu'au jour ou j'ai senti le besoin de me convertir, c'était comme si il manquait quelque chose à ma vie (pourtant quelques années plus tôt, je fréquentais un algérien et l'idée de me convertir était inconcevable pour moi !). Il m'a alors beaucoup aidé et je lui en serais toujours reconnaissante ! Le problème c'est que pour moi, la relation que nous avons est uniquement amicale voir fraternelle, je les vois (lui et mon autre collègue musulman) un peu comme mes grands frères parce qu'ils sont toujours là pour moi, à veiller sur moi, me protéger et vouloir mon bien. Mais avec ce collègue je sens une ambiguïté de sa part. Je m'explique : quand je travaillais encore avec lui (il a changé d'entreprise), lorsqu'il était en repos ou vacances il m'envoyait des sms disant "tu me manques, j'ai envie de te voir", naïve comme j'étais je pensais qu'il disait ça par gentillesse lol mais mes collègues femmes me disaient de faire attention, qu'il leur disait que j'étais limite la femme idéale... Il leur a même demandé si ça les choquait si il se mariait avec une fille de mon âge (il a presque le double de mon âge). Il y a même des amis à lui qui sont mariés, qui apparemment lui ont dit qu'ils voulaient me prendre comme deuxième épouse alors que je ne les connais pas du tout.
Depuis que je ne travaille plus avec lui on se voit très rarement. J'essaye de prendre mes distances pour ne pas lui faire de peine ou de mal. Il m'aide toujours au niveau de la religion, c'est la seule personne avec laquelle je peux discuter et en apprendre plus, il est toujours de bons conseils...
Il essaye souvent de me présenter des amis à lui pour que je me marie mais quand je lui parle d'une personne qui peut m'intéresser et qu'il connait, il passe du discours "c'est un homme très bien..." à "non mais c'est pas un homme pour toi, je vais te trouver quelqu'un d'autre..." . Je sais qu'il veut mon bien mais cette ambiguïté me gêne, il me dit souvent sur le ton de l'ironie "c'est toi que j'aurai du épouser" ou ce genre de choses, dans ces moments la je suis tellement mal à l'aise que je ne dis rien (je précise qu'il n'est plus marié et a un fils et une fille, d'ailleurs il me dit souvent "Tu sais que mes enfants t'aiment bien"
J'ai du mal à comprendre, je ne sais plus quelle attitude adopter sachant que je ne veux pas le blesser après tout ce qu'il fait pour moi ! Je l'apprécie beaucoup mais comme un ami voire un frère, pas plus...
Désolée pour ce long post, de plus je ne sais pas si je l'ai mis dans la bonne catégorie...
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al-hamdoulilah a écrit:
Salam aleykoum et Aïd Moubarak !
Je vous explique un peu mon "problème". Alors je travaille depuis presque 2 ans dans une entreprise dans laquelle je me suis de suite entendue avec mes collègues dont un en particulier parce qu'on à tout de suite trouvé un centre d'intérêt en commun. À ce moment-là, je n'étais pas encore convertie alors que lui l'était depuis plusieurs d'années. Il y a un autre de mes collègues qui est musulman. Au fil du temps on parlait de plus en plus de religion tous les deux, et il était tellement bien lorsqu'il m'en parlait que je me suis de plus en plus intéressée à l'Islam. Il m'a offert des livres pour que j'en sache plus et répondait toujours à mes questions. Jusqu'au jour ou j'ai senti le besoin de me convertir, c'était comme si il manquait quelque chose à ma vie (pourtant quelques années plus tôt, je fréquentais un algérien et l'idée de me convertir était inconcevable pour moi !). Il m'a alors beaucoup aidé et je lui en serais toujours reconnaissante ! Le problème c'est que pour moi, la relation que nous avons est uniquement amicale voir fraternelle, je les vois (lui et mon autre collègue musulman) un peu comme mes grands frères parce qu'ils sont toujours là pour moi, à veiller sur moi, me protéger et vouloir mon bien. Mais avec ce collègue je sens une ambiguïté de sa part. Je m'explique : quand je travaillais encore avec lui (il a changé d'entreprise), lorsqu'il était en repos ou vacances il m'envoyait des sms disant "tu me manques, j'ai envie de te voir", naïve comme j'étais je pensais qu'il disait ça par gentillesse lol mais mes collègues femmes me disaient de faire attention, qu'il leur disait que j'étais limite la femme idéale... Il leur a même demandé si ça les choquait si il se mariait avec une fille de mon âge (il a presque le double de mon âge). Il y a même des amis à lui qui sont mariés, qui apparemment lui ont dit qu'ils voulaient me prendre comme deuxième épouse alors que je ne les connais pas du tout.
Depuis que je ne travaille plus avec lui on se voit très rarement. J'essaye de prendre mes distances pour ne pas lui faire de peine ou de mal. Il m'aide toujours au niveau de la religion, c'est la seule personne avec laquelle je peux discuter et en apprendre plus, il est toujours de bons conseils...
Il essaye souvent de me présenter des amis à lui pour que je me marie mais quand je lui parle d'une personne qui peut m'intéresser et qu'il connait, il passe du discours "c'est un homme très bien..." à "non mais c'est pas un homme pour toi, je vais te trouver quelqu'un d'autre..." . Je sais qu'il veut mon bien mais cette ambiguïté me gêne, il me dit souvent sur le ton de l'ironie "c'est toi que j'aurai du épouser" ou ce genre de choses, dans ces moments la je suis tellement mal à l'aise que je ne dis rien (je précise qu'il n'est plus marié et a un fils et une fille, d'ailleurs il me dit souvent "Tu sais que mes enfants t'aiment bien"
J'ai du mal à comprendre, je ne sais plus quelle attitude adopter sachant que je ne veux pas le blesser après tout ce qu'il fait pour moi ! Je l'apprécie beaucoup mais comme un ami voire un frère, pas plus...
Désolée pour ce long post, de plus je ne sais pas si je l'ai mis dans la bonne catégorie...
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