Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Les algeriens fabrique une centrale electrique solaire-gaz
M
22 juillet 2011 01:28
Algérie: inauguration de la première centrale électrique hybride

ALGER - L'Algérie a inauguré jeudi sa première centrale électrique hybride, solaire-gaz, la première de ce type dans le monde, d'une capacité de 150 mégawatts dans la région saharienne de Hassi R'mel, à quelque 500 km au sud d'Alger, selon des sources officielles.

Le ministre algérien de l'Energie et des Mines Youcef Yousfi l'a inaugurée en présence du ministre espagnol de l'Industrie, du Tourisme et du Commerce Miguel Sebastiàn, dont le pays a été partenaire dans la construction.

Une coopération fructueuse, a estimé M. Yousfi qui a appelé les Espagnols à poursuivre cette collaboration pour d'autres projets.

La capacité de production de la centrale est subdivisée en 120 mégawatts produits à partir du gaz et 30 mégawatts par l'énergie solaire.

Connectée au réseau électrique national, elle est destinée à la société nationale pétrolière Sonatrach qui la paiera 3,13 dinars (0,03 cent d'euro) le KW/heure.

Implantée dans la région de Tilghemt, à 25 km au nord de Hassi R'mel, qui abrite le plus grand gisement gazier d'Afrique, cette structure couvre 64 hectares où sont implantés 224 collecteurs solaires d'une longueur de 150 m chacun.

Première de son type dans le monde, cette centrale combinera une matrice de miroirs paraboliques concentrant la puissance solaire de 25 MW, sur une aire de 180.000 m3, en conjonction avec une centrale à turbines à gaz de 130 MW, réduisant ainsi les émissions de Co2, comparé à des centrales électriques traditionnelles, ont expliqué ses concepteurs cités par l'agence APS.

Le choix du site d'implantation de ce méga-projet énergétique dans la région de Tilghemt est dû notamment à la proximité du champ gazier de Hassi R'Mel, la disponibilité des installations de traitement de gaz, et l'ensoleillement de la région avec près de 3.000 heures par an.

La centrale a coûté 350 millions de dollars dans le cadre d'un accord de partenariat conclu en 2006 entre la société algérienne NEAL (New Energy Algeria) et la société espagnole Abener dans le cadre de la Joint-Venture de droit algérien Solar Power Plant One (SPP1).

Le contrat de construction avait été signé en janvier 2007.

NEAL est une coentreprise entre la société publique algérienne pétrolière Sonatrach, Sonelgaz, société publique algérienne de gaz, et le groupe industriel privé d'agroalimentaire SIM créé dans le but de développer des projets en énergies renouvelables.

Le gouvernement algérien prévoit de porter à 40% la part des énergies renouvelables dans la production nationale d'électricité à l'horizon 2030.


(©AFP / 14 juillet 2011 18h52)
L
22 juillet 2011 05:17
Les algériens ont tout fabriqués en une seule nuit, des centrales éclectiques des bébés,ils ont même fait pousser des montagnes d'or!
Ils feront encore plus, la nuit de demain, je pense!
ptdrptdrptdr
r
22 juillet 2011 10:26
avec le projet desertec qui va débuté l'algerie sera a l'abri pour ses energies renouvenables

[www.city-dz.com]
i
22 juillet 2011 10:49
jalousie quand tu nous tiens!
i
22 juillet 2011 10:50
jalousie quand tu nous colles!
M
22 juillet 2011 17:19
Citation
Le vrai de vrai a écrit:
Les algériens ont tout fabriqués en une seule nuit, des centrales éclectiques des bébés,ils ont même fait pousser des montagnes d'or!
Ils feront encore plus, la nuit de demain, je pense!
ptdrptdrptdr

- Non, la veille aussi, ils ont construit un deuxieme satellite ( 100% algérien) qui scrute du ciel, le territoire marocain !
Demain, c'est le port d'oran qui va accueillir les usines de constructions et d'entretiens de navires pour les ajouter aux sous marins algériens qui sillonnent déja la mer tout prés de septa et gibraltar.

Et comme tu es un fervent interessé par tout ce qui se passe de bien en algerie, je pourrai t'en rajouter encore, y a qu'a demander !
U
25 juillet 2011 07:56
C'est un excellent système d'utilisation d'énergie solaire, inventé et testé en Israël.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
a
25 juillet 2011 10:20
Nous sommes fiers qu'un des pays maghrebins reussisse et s'occupe un peu plus de son peuple , pendant ce temps là , le gouvernement algerien lache un peu son voisin et ainsi le Maghreb pourra se faire sur des bases solides.
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
A
25 juillet 2011 10:24
Salam,

C'est bien, ils ont des richesses naturelles autant les exploter avant que d'autres ne viennent en profiter.
Sourate 82
i
25 juillet 2011 21:00
on va te répondre avec cet article, ça sera suffisant pour toi aujourd'hui, tu mérites pas plus, au compte goutte c'est mieux.


--------------------------------------------------------------------------------

Chrysler veut s'implanter en Algérie
La première gamme de voitures électriques sera commercialisée en Algérie en 2011.

Il arrive avec des voitures électriques, des usines de montage, voire de production de pièces de rechange. Le géant automobile germano-américain Daimler Chrysler a annoncé hier, la signature d’un contrat de partenariat avec le groupe GMS Motors Algérie.

En effet, lors d’une conférence de presse animée à l’occasion de la fin de la visite de la délégation économique américaine, Steve Corle, vice-président chez Daimler Chrysler, a indiqué que le groupe automobile a «signé un contrat de partenariat avec le concessionnaire algérien GMS Motors».

Ce dernier a été motivé, selon ce responsable, par la place que détient l’Algérie dans le marché automobile en Afrique et portera dans un premier temps sur «l’exportation et la commercialisation de quelque 2000 véhicules par an». Il portera également sur la commercialisation en 2011, de la première gamme de voitures électriques en Algérie.

«Nous voulons ramener en Algérie entre 2011-2012 de nouvelles gammes de véhicules, notamment électriques (...) les voitures seront 100% électriques et autonomes, et pourraient atteindre une vitesse de 300km/h», a indiqué M.Corle à l’issue de sa visite de quatre jours en compagnie d’une trentaine de businessmen amércains.

Ce contrat de partenariat ne s’arrête pas là. Le président du groupe a également évoqué la possibilité que le groupe automobile implante une usine de montage en Algérie, voir de production de pièces de rechange.

Il a indiqué dans ce sens: «Notre premier accès au marché algérien sera en tant qu’importateur de véhicules, mais si nos produits sont appréciés, on pensera à mettre en place une usine de montage.»

Une information confirmée par Smail Chikhoun, président du Conseil d’affaires algéro-américain, qui a déclaré: «Dans un premier temps, ils ont eu à discuter sur la distribution de véhicules (...), ils vont peut-être penser à créer des usines de montage de certaines pièces de moteurs en premier lieu et peut-être de produire des pièces de rechange plus tard.»

Cette annonce est la première, depuis la décision des opérateurs chinois, iraniens et français de geler des projets similaires pour aller investir dans les territoires voisins.

Pour Don De Line, président du conseil d’administration du Conseil d’affaires algéro-américain (US-ABC), cette décision est surtout motivée par la volonté des entrepreneurs américains de redynamiser le secteur automobile, épine dorsale de l’économie américaine, aujourd’hui dans un stade de ralentissement total, et ce dans de bonnes conditions.

Il estime dans ce contexte que l’Algérie offre l’un des meilleurs climats d’investissement en ces temps de crise, et constitue une chance pour les entrepreneurs américains. «C’est une opportunité parfaite», a-t-il assuré lors de son discours.

Interrogé sur les obstacles que rencontrent ces derniers en prospectant le marché algérien, M. De Line a rétorqué qu’«il n’y a pas vraiment de problème pour le moment».

Une affirmation rejetée par le chef de la section économique de l’ambassade d’Algérie à Washington. En effet, Amor Nedjai a indiqué qu’il y avait beaucoup d’appréhension chez les hommes d’affaires américains suite aux dernières décisions gouvernementales dans les domaines pharmaceutique et industriel.

La première concerne l’interdiction d’importer certains médicaments génériques, alors que l’autre porte sur la détention algérienne à un taux majoritaire de 51% des parts dans les contrats avec des partenaires étrangers.

Il a toutefois nuancé ses propos en indiquant que cette visite a permis à ces investisseurs potentiels de mieux comprendre ces nouvelles dispositions.

Par ailleurs, il a indiqué que d’autres contrats ont été conclus lors de cette visite d’affaires. Il a cité à titre d’exemple, celui de la société nationale Hydro 3 activant dans les travaux hydrauliques, qui va signer le premier mai prochain lors d’une cérémonie à Seattle (Etat de Washington), un accord avec Breaking Forishing, compagnie experte dans le nettoyage des barrages et des cimenteries.

L'Expression
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook