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Actu d'agadir
h
19 mai 2010 00:20
Des commerçants refusent de signer le règlement intérieur

· Les élus intransigeants: pas d’accès pour les récalcitrants


Vent de tension dans le grand souk d’Agadir. La mise à niveau du centre commercial ne se passe pas sans heurts. Depuis la semaine dernière, des commerçants de fruits et légumes donnent du fil à retordre aux élus de la ville. Ils refusent de signer le règlement intérieur de la structure. Pourtant, le document a fait l’objet de longues discussions depuis des mois entre les différentes parties. Mais aujourd’hui, après le réaménagement de l’espace des étalages, des vendeurs refusent d’adhérer aux règles intérieures.
Le point de discorde entre les élus et les commerçants est en fait le caractère temporaire de l’occupation de l’espace et l’obligation pour les concernés de régler leurs redevances. Pour Tariq Kabbage, président du Conseil de la ville, il n’y a pas à revenir là-dessus. «L’espace des étalages fait partie du domaine public et dans ce sens, il ne peut faire l’objet que d’occupation temporaire et ne peut être cédé», souligne-t-il. Sur cette dernière disposition, la commune d’Agadir a cependant ouvert une brèche. Les ascendants des attributaires peuvent, en cas de décès de ces derniers, se prévaloir d’un droit de suite dans un délai de six mois. Mais cette disposition n’a pas changé les choses dans le milieu des commerçants. Certains refusent toujours de signer le règlement intérieur et de payer les redevances dues. Néanmoins, un échéancier a été mis en place et les signataires ont la latitude de régler les sommes dues jusqu’au 31 décembre 2010. «Nous serons cependant intransigeants à l’échéance», lance l’élu.
A la commune urbaine, la position des commerçants qui s’opposent aux nouvelles dispositions étonne plus d’un. Les taxes appliquées, selon des intervenants dans le dossier, sont minimes. «Les commerçants des étalages payent en semaine 0,50 DH/m² et 1 DH le m² le week-end. Pour certains, la redevance trimestrielle ne dépasse pas 54 DH», indique l’un d’eux. Mais difficile d’encaisser auprès de tous les concernés. Selon les responsables, 30 à 40% des bénéficiaires de l’espace des étalages ne payent pas. A noter que cette partie du souk abrite 524 vendeurs. Au total, le souk compte 1.800 commerçants. Malgré ce nombre, la commune ne réalise guerre de bénéfices au niveau de la structure. Bien au contraire, les élus avancent que la collectivité locale est plutôt déficitaire sur ce plan. Lobbying, spéculation sur le domaine public, redevances non réglées, eau à la charge de la commune… les dysfonctionnements dans le souk sont nombreux. Avec la mise à niveau entreprise, Kabbage compte bien mettre fin à tout cela.

De notre correspondante,
Malika ALAMI
assalam o alykoum
h
22 juillet 2010 23:06
Autoroute Marrakech-Agadir

Un trafic moyen de 4.000 véhicules/jour


Casablanca-Agadir: 150 DH pour les véhicules légers

· Les poids lourds devront débourser 253 DH pour le même trajet


Fin de gratuité pour l’autoroute Marrakech-Agadir, ouverte récemment à la circulation. Désormais, ce tronçon de 180 km, gratuit depuis sa mise en service le 21 juin, est devenu payant depuis hier, mercredi 21 juillet. Ainsi, pour un départ de Berrechid, les usagers au volant de véhicules légers devront débourser à l’arrivée à Agadir 140 DH.
Quant aux chauffeurs de poids lourds, ils devront payer 238 DH pour le même parcours. Pour certains transporteurs professionnels, l’utilisation de l’autoroute n’est pas forcément synonyme d’économies. «En effet, pour un camion qui emprunte l’autoroute Casablanca-Marrakech, par exemple, les dépenses de carburant sont d’environ 1.100 DH aller-retour, contre près de 1.240 DH s’il passe par la route nationale», explique Mustapha Nguimat, président de la Fédération générale du transport sur routes et ports. Par conséquent, pour le professionnel du transport, l’avantage se situe plutôt au niveau du gain de temps et en sécurité routière. «C’est pourquoi nous avons écrit à plusieurs reprises à la direction d’ADM pour lui demander l’application d’un tarif préférentiel pour les conducteurs professionnels qui utilisent régulièrement l’autoroute, mais sans résultat à ce jour», déclare Nguimat.
Par ailleurs, ADM table sur un trafic moyen de l’ordre de 4.000 véhicules par jour dont 40% de poids lourds, contrairement aux autres tronçons autoroutiers où ce pourcentage varie entre 15 et 25%.
Rappelons que l’autoroute Casablanca-Agadir, qui a nécessité un investissement de près de 8 milliards de DH, s’étend sur 454 km contre 476 km pour la route. Avec cette nouvelle liaison autoroutière, le trajet Tanger-Agadir, qui atteignait auparavant plus de 14h, aura été réduit de moitié.
En principe, selon une moyenne de 120 km/h, la durée du trajet Casablanca-Agadir est de 4h12 contre 7h56 pour la route. Quant à l’axe Marrakech-Agadir, soit 234 km, il peut être parcouru en 2h18 mn. La ville de Chichaoua et le centre urbain d’Imintanout sont également desservis. L’ensemble du tronçon autoroutier comprend 8 échangeurs, 9 gares de péage ainsi que 4 aires de services. Celles de Chichaoua et d’Ameskroud sont déjà opérationnelles, tandis que l’aire de repos d’Imintanout est toujours en construction.
Avec l’entrée en service de l’autoroute Marrakech-Agadir, Autoroutes du Maroc (ADM) est aujourd’hui concessionnaire d’un réseau de 1.800 km, dont 1.096 km sont exploités et 492 km en cours de construction. Ces derniers correspondent aux axes autoroutiers Fès-Oujda et Berrechid-Béni Mellal. Le reste correspond aux autoroutes de contournement de Rabat, Tit Mellil, Berrechid et El Jadida-Safi.
Enfin, le démarrage des travaux de construction de l’autoroute de contournement de Rabat est prévu pour 2010.

Hassan EL ARIF

[www.leconomiste.com]
assalam o alykoum
a
24 juillet 2010 14:15
Bonjour à toutes et à tous

C'est une très bonne nouvelle l'ouverture de l'autoroute Marrakech / Agadir surtout pour les MRE de la région d'AGADIR qui risquaient leur vie chaque année avant d'arriver à Amskroud.
Avant de crier victoire il faut attendre 3 à 5 ans pour voir si les habitants d'Agadir ne regretteraient pas leur ville propre et tranquille , parce que Marrakech à 2h de route et Casa à 4h c'est l'invasion garantie avec tout ce qu'elle comporte comme inconvénients:drogue, vols, agressions, prostitution,saleté, vous me direz tout ça existe déjà, mais ça sera en forte augmentation.
J'espère sincèrement me tromper et être victime d'un pessimisme excessif.
Bonnes vacances à tous.
h
24 juillet 2010 17:45
Citation
akounkou a écrit:
Bonjour à toutes et à tous

C'est une très bonne nouvelle l'ouverture de l'autoroute Marrakech / Agadir surtout pour les MRE de la région d'AGADIR qui risquaient leur vie chaque année avant d'arriver à Amskroud.
Avant de crier victoire il faut attendre 3 à 5 ans pour voir si les habitants d'Agadir ne regretteraient pas leur ville propre et tranquille , parce que Marrakech à 2h de route et Casa à 4h c'est l'invasion garantie avec tout ce qu'elle comporte comme inconvénients:drogue, vols, agressions, prostitution,saleté, vous me direz tout ça existe déjà, mais ça sera en forte augmentation.
J'espère sincèrement me tromper et être victime d'un pessimisme excessif.
Bonnes vacances à tous.

tout a fait ...

premier mois etait gratuit ... y avait trop de mrrakchi, et des casaouis ... les loués des meublés ont flambé , la cote la nuit n'est plus fréquentable .. ... c'est fini ce qu'on disait sur agadir .. la ville des souassa, calme, propre, et accueillante ..
assalam o alykoum
z
24 juillet 2010 23:42
Citation
habib75 a écrit:
Citation
akounkou a écrit:
Bonjour à toutes et à tous

C'est une très bonne nouvelle l'ouverture de l'autoroute Marrakech / Agadir surtout pour les MRE de la région d'AGADIR qui risquaient leur vie chaque année avant d'arriver à Amskroud.
Avant de crier victoire il faut attendre 3 à 5 ans pour voir si les habitants d'Agadir ne regretteraient pas leur ville propre et tranquille , parce que Marrakech à 2h de route et Casa à 4h c'est l'invasion garantie avec tout ce qu'elle comporte comme inconvénients:drogue, vols, agressions, prostitution,saleté, vous me direz tout ça existe déjà, mais ça sera en forte augmentation.
J'espère sincèrement me tromper et être victime d'un pessimisme excessif.
Bonnes vacances à tous.

tout a fait ...

premier mois etait gratuit ... y avait trop de mrrakchi, et des casaouis ... les loués des meublés ont flambé , la cote la nuit n'est plus fréquentable .. ... c'est fini ce qu'on disait sur agadir .. la ville des souassa, calme, propre, et accueillante ..

Salam,

En tout cas vers là où je suis sans l'ouverture de l'autoroute cela avait déjà changé , près de chez nous il y a pas mal d'usine agro alimentaire ou des exploitations agricole qui ont vu le jour , et avec les conséquences que cela a généré.

Je sais pas si vous connaissez belfaa mais aujourd'hui c'est devenu un vrai coupe gorge comparer à ce que c'était il y a quelques années , il y a aussi el klea une ville après Aït Melloul idem trop de vol et de violence sans parler de la surpopulation dans cette ville.
h
18 août 2010 00:49
Agadir/Tourisme

L’autoroute dope le marché national


· Les Marocains reviennent dans la station balnéaire

· Les hôteliers ont fait le plein entre le 20 juillet et le 7 août

· Les prix des locations ont flambé


La ville d’Agadir a vraiment profité de l’ouverture de l’autoroute, en juin dernier. De fait, en juillet, les touristes se sont rués sur la destination faisant le bonheur des professionnels touristiques. Et donnant une agitation particulière à la capitale du Souss, avec une circulation intense et inhabituelle pour les habitants.
Tous les établissements d’hébergement ont affiché complet. «C’est la première fois depuis de nombreuses années que l’on n’a pas eu un tel afflux de touristes en été. Certains qui n’avaient pas effectué de réservations ont dû passer quelques nuits dans leur voiture», avance Saïd Iraâ Sbaï, hôtelier. Il faut dire que la destination était surbookée. Le pic s’est situé particulièrement entre le 20 juillet et 7 août. Selon les chiffres du Conseil régional du tourisme d’Agadir, le taux d’occupation moyen en juillet était de près de 80%. Avec une augmentation des arrivées et des nuitées respectivement de 25,67% et 22,09% comparativement à juillet 2009. La location informelle d’appartements et de maisons individuelles s’est aussi beaucoup développée car pour les familles nombreuses le produit est plus avantageux. Les prix se sont situés entre 300 et 1.500 DH par jour atteignant même parfois 2.000 DH/jour. C’est à la marina d’Agadir que les prix des appartements étaient les plus chers en raison de leur standing, allant de 1.000 DH à plus de 1.500 DH par jour pour un appartement meublé.
Si les étrangers étaient fort nombreux avec en tête les Français, le marché national s’est classé en juillet premier en matière de parts de marché. Ainsi, il a généré respectivement en terme d’arrivées et de nuitées 45,11% et 32,69% en juillet, d’après les données par le Conseil régional du tourisme. De l’avis d’hôteliers, l’autoroute Marrakech-Agadir a boosté l’activité dans la ville. «Parmi nos clients, nous avons eu des familles de Fès qui n’étaient pas venues à Agadir depuis 12 ans en raison de son éloignement», indique Markus Kempen, DG du Robinson Club Agadir. Samy Boukhaled, DG du Sofitel Agadir, confirme également les retombées positives de l’autoroute. «C’est la première fois que le marché national arrive au deuxième rang après le marché français et avant le marché anglais. D’habitude ce dernier surclasse le marché national», souligne l’hôtelier.
Les gargotes et petits cafés du quartier Talborjt, du port et de Souk Al Had ont aussi fait le plein. Seuls, les restaurants branchés ont vu leur activité quelque peu ralentie. La raison, l’essentiel des touristes était plutôt des visiteurs à petits budgets.
Maintenant, avec le ramadan, l’activité est freinée. Selon des professionnels, le taux d’occupation moyen de la ville va chuter à 40%. Ce qui n’est pas si mauvais que ça pour une période pareille. D’ailleurs, les hôteliers continuent de surfer sur une vague d’optimisme. A l’image de juillet, les sept premiers mois de l’année ont été marqués par une hausse du taux d’occupation des établissements d’hébergement de 1,06% avec plus de 52,17%, par rapport à la même période en 2009. Pour ce qui est des arrivées et des nuitées, l’augmentation était respectivement de 8% et de 3,83%, avec 353.990 arrivées et 2.519.755 nuitées. En 2001, année de référence pour la destination, le nombre des arrivées et des nuitées étaient respectivement de 384.468 et 2.541.643. Si on prend en compte que la ville a enregistré une capacité additionnelle de près de 7.000 lits entre 2002 et 2008, on peut dire que l’augmentation de l’activité est toute relative. Mais il ne faut pas oublier que près de 900 lits ne sont plus exploités. Par ailleurs, la ville compte des lits qui sont difficilement commercialisables. «Aujourd’hui sur les 26.000 lits, plus de 19.000 lits ont plus de 35 ans et ont besoin de rénovation», souligne Saïd Scally, professionnel du secteur et past-président du CRT.

Incivisme


En juillet dernier, la ruée des touristes a eu un effet néfaste sur l’environnement. Les plages sur le chemin de Taghazout ont croulé sous les ordures, notamment domestiques. Irresponsables, les estivants ont laissé derrière eux des détritus en tout genre. Pourtant, la sensibilisation n’a pas fait défaut.
Les élus locaux sont interpellés. Si les communes de la région d’Agadir disposent de peu de moyens pour assurer le transfert des ordures jusqu’à la décharge de la ville, la prévention aurait pu atténuer le fléau. Par ailleurs, elles auraient pu prendre exemple sur la commune urbaine d’Agadir qui, en partenariat avec la RAM, assure le nettoyage de la plage d’Agadir durant l’été ? Une bonne gestion communale, c’est trouver des moyens même quand on n’en a pas.

leconomiste.com

De notre correspondante,
Malika ALAMI
assalam o alykoum
h
18 août 2010 00:52
La Ville d’Agadir va accueillir 120 nouveaux bus Scania

La Ville d'Agadir attire de nombreux touristes chaque année: il s'agit de la plus grande station balnéaire du Maroc.
Elle souhaite développer son réseau de transports en commun afin de répondre aux besoins de déplacement grandissants.
La société Asla City Agadir, gérant le transport urbain de passagers d’Agadir, a commandé cet été au constructeur suédois Scania 120 nouveaux bus plus sobres et modernes : ils seront livrés petit-à-petit d'ici fin 2010.
Le gouvernement marocain soutient ce déploiement des transports alternatifs à la voiture personnelle en zones urbaines : il veut faire baisser les émissions polluantes engendrées par le secteur des transports et le tourisme tout en faisant des économies d'énergie.
assalam o alykoum
18 décembre 2010 18:00
Salam

UP à ce post avec cette photo
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h
3 janvier 2011 21:08
Le plus souk urbain en Afrique. 10 000 emplois.
Des transactions de plus d’ UN milliard de centimes par semaine.



Cela peut sembler à premier abord un peu prétentieux, mais pourtant vrai. En effet, Souk El Had d’Agadir est non seulement le plus grand souk urbain du Maroc, mais également le plus grand en Afrique. Avec ses 3000 commerces dont 1500 boutiques et 1500 carreaux commerciaux, Souk Al Had se différencie des autres souks par le fait que c’est un souk urbain ouvert 6 / 7, fermé uniquement le lundi pour nettoyage.
Sample Image
C’est également un souk très fréquenté à la fois par les locaux, par les visiteurs nationaux et par les touristes. Il est l’ attraction touristique commerciale la plus importante dans la destination Agadir et dans toute la Région. De ce fait, il n’a rien avoir avec les autres souks ruraux hebdomadaires qui se tiennent dans les villages marocains. L’autre particularité du Souk Al Had et qu’il génère des transactions commerciales évaluées à plus d’ Un milliard de centimes par semaine, soit quelque 50 milliards de centimes par an, quoique certains observateurs trouvent ce chiffre plus bas que ce que génère le souk. Là, il est vraiment imbattable et mérite bien son classement de Souk urbain N°1 en Afrique.

Souk Al Had est construit sur 11 ha, avec deux hectares en extension actuellement. Il a été renforcé, ces dernières années, avec la construction des murailles qui l’entourent et qui l’ont bien mis en valeur. Les tentes ont été supprimées et les travaux d’aménagement de 2009 ont complètement mis en valeur le souk : charpentes métalliques, assainissement et revêtement du sol, système d’alimentation en eau potable (en cours) et ouverture de l’extension juste à côté avec de nouvelles boutiques, prévue pour l’été 2011. L’extension a pour objectif de libérer les passages, assurer plus de fluidité, plus d’espaces pour la circulation avec les axes principaux et secondaires qui seront plus libérés. Cela permettra également une opportunité plus efficace pour les éventuelles interventions des pompiers et autres.

L’autre particularité du Souk Al Had et qu’il génère 10 000 emplois à travers les différentes activités commerciales : fruits et légumes, artisanat, boucherie, habillement, produits de terroir, fruits secs, ameublement, électro ménager etc… Bref chacun peut y trouver ce qu’il cherche dans une grande variété. C’est presque un endroit où l’on trouve un peu de tout. C’est d’ailleurs ce qui pousse les gens à y aller. On estime, au minimum à 1500 visiteurs par jour, une forte augmentation lors du week end et principalement trois jours avant les fêtes religieuses. Là le souk affiche son grand complet et les bousculades sont légendes partout. Le souk al Had est vraiment incontournable.

Géré par le Conseil Communal Agadir, le souk jouit également d’une bonne intervention des autorités locales avec la présence sur place d’un bureau pour un Khalifa qui veille à la sécurité dans le souk et aux applications de la réglementation en vigueur, lutte contre les divers délits et infractions en entière collaboration avec les représentants du Conseil communal d’Agadir. UN poste de police renforce également la participation à la bonne gestion du souk. D’ailleurs une amélioration de la sécurité est en vue par les Autorités locales et va permettre une couverture du souk 24 h / 24, nuit et jour. C’est également cette dimension qui démontre qu’on est là dans un cas bien particulier au sujet d’un souk urbain bien particulier, dans toutes ses composantes.

Reste à signaler que la plus forte attraction touristique du souk reste l’étalage des fruits et légumes produits dans la Région. On y trouve presque toutes sortes de fruits et légumes, déposées en vrac, ce qui donne une image de la diversité et de la quantité (aussi bien d’ailleurs que de la qualité) de la production agrumicole dont le Souss assure à lui seul 60 % des exportations nationales.
assalam o alykoum
h
3 janvier 2011 21:20
Le port d’Agadir concentre les difficultés du secteur : saturation des quais, bateaux bloqués par des suspensions de pêche concernant certaines espèces, dispersion des entreprises de transformation…

Situé à trente minutes du port, le parc Haliopolis, qui vise à faire de la ville un pôle de compétitivité dédié à l’exploitation des produits de la mer, devrait remédier en partie à ces problèmes. Sur 150 ha, il regroupera les activités de conditionnement pour l’exportation, un laboratoire d’analyses et une pépinière d’entreprises. Le concepteur du projet, MedZ (filiale de la Caisse de dépôt et de gestion), prévoit de créer 20 000 emplois, pour un investissement de 6 milliards de dirhams (530 millions d’euros). « Ce projet est sûrement très bien pour la pêche hauturière, mais les pêcheurs artisanaux auront du mal à s’adapter aux exigences de traçabilité accrues qu’il implique », commente un responsable de la conserverie Agadir Océan, qui ne compte pas s’y installer. Haliopolis doit encore séduire.
assalam o alykoum
23 novembre 2011 16:21
Salam,

Faites un petit tour à Agadir
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h
24 janvier 2012 20:17
Quelque 167 constructions anarchiques édifiées sur des terrains du domaine public ou d'autrui, ont été démolies dans les quartiers périphériques d'Agadir depuis début janvier, a-t-on indiqué auprès des autorités locales.

La commune rurale d'Aourir, à 14 Km d'Agadir sur la route côtière vers Essaouira, a été la plus touchée par cette campagne qui a ciblé habitations et magasins érigés de manière illicite et anarchiques sur le domaine maritime.

Il y a un peu plus d'une semaine, 51 constructions, dans les douars de Tihouarine et Tamraght ont été démolies, non sans heurts.

Une vingtaine de personnes avaient été interpellées, dont 3 déférées à la justice, précise-t-on de même source.

En parallèle, des enquêtes judiciaires ont été ouvertes contre certains agents d'autorité, élus et autres individus présumés impliqués dans la spéculation et la vente de constructions et de lots anarchiques.

D'aucuns estiment que l'intransigeance affichée depuis face à ce fléau semble avoir convaincu les contrevenants partout ailleurs au niveau de la préfecture d'Agadir Idaou tanane, que la violation du code de l'urbanisme ou l'occupation illégale du domaine de l'Etat ou de la propriété d'autrui ne seraient plus tolérées.

Jeudi, 76 autres constructions ont été démolies à Tamaouanza et Tihouarine, relevant de la même commune. Cette fois, l'opération s'est déroulée sans grande résistance ni tension particulière.

D'après les statistiques officielles, 13 constructions ont été aussi détruites dans le quartier d'Ighil Ou derdour et Ighi Oumadel, dans les piémonts. Situé sur le lit de l'oued Lahouar, le site est constamment menacé par les crues, ce qui représente une menace réelle pour la vie des résidents.

Dans le quartier Ahlaka, 27 habitations ont été détruites au cours de la semaine qui s'achève, portant à 167 le total des constructions anarchiques démolies en l'espace de trois semaines.

Autorités locales et élus de la ville d'Agadir assurent que les opérations de démolition se poursuivront, sous la supervision du parquet, pour éradiquer un phénomène qui a proliféré particulièrement ces derniers mois, en violation des règles d'urbanisme et des exigences de sécurité et d'esthétique supposés prévaloir dans un pôle urbain et touristique de l'envergure d'Agadir.

Si les opérateurs du secteur de l'habitat saluent la fermeté affichée face à ce fléau, associations de la société civile jugent tout aussi indispensable de sévir contre spéculateurs et intermédiaires qui encouragent les constructions anarchiques, et faciliter les procédures d'accès à un logement pour les couches les plus démunies.
assalam o alykoum
o
25 janvier 2012 18:38
Agadir ma ville natale. Bcp de souvenirs. Quand j'etais petit y avait meme pas de route
directe entre Marrakech et agadir. Fallait passer par Essaouira. Je me rappelle comment on s'arretait a essaouira,
manger les sardines dans le port visiter la grand mere et puis continuer vers
Agadir.

A taghazout j'ai failli laisser ma peau. J'allais me noyer. J'etais pris
en sandwich par les vagues et les rochers. Mais mon pere
qui est un grand nageur (Ne a Essaouira) m'avait sauve.

A taghazout j'ai appris le body surf. Mais a eviter pour les faiblars.
Les vagues sont imprevisibles. Une fois j'etais tellement haut
je pouvais voir toute la plage.
J'ai eu tres peur mais je n'ai pas panique.
Au final la vague m'a jete sur le sable. je me suis leve et je suis
aller m'assoir a cote de la maman qui visiblement n'a rien vu.

J'ai mange quelques sardines grillees avec du citron bien sur.
Depuis ce jour je n'ai jamais pratique le body surf. confused smiley
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