Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Accord Agricole Maroc-UE : La réaction officielle du Maroc via MAEC
e
21 décembre 2016 20:11
Le Royaume du Maroc prend note de la décision rendue, mercredi, par la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) au sujet de l’Accord agricole Maroc-UE, indique un...

Lire l'article associé
e
21 décembre 2016 20:11
dans le derch de boutef & Co
L
21 décembre 2016 20:47
Les frais d'avocat doivent être élevés, c'est un dossier qui a pris des mois de travail à plusieurs avocats
p
21 décembre 2016 21:05
c'est pas graves c'est encore le nif algérien qui va payerptdr
Citation
Lmaghrabi a écrit:
Les frais d'avocat doivent être élevés, c'est un dossier qui a pris des mois de travail à plusieurs avocats
m
21 décembre 2016 22:24
Avec quoi ?! crying( les caisses sont vides, le peu qui restait a été transféré vers des paradis fiscaux à l'étranger.
Wa sauve qui peut, tant qu'il est encore temps SOS

Citation
punisher8877 a écrit:
c'est pas graves c'est encore le nif algérien qui va payerptdr



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/12/16 22:30 par moden.
K
21 décembre 2016 23:07
Je serai curieux de connaitre le pourcentage qu'ingurgitent les polizebals dans le PIB algérien avec les procès engagés, déplacements, vivres, armement, dessous de table, corruption, communication, salaires, etc..

Ca doit être éléphantesque ! Pauvre peuple algérien son argent est jeté par la fenêtre.
Citation
Lmaghrabi a écrit:
Les frais d'avocat doivent être élevés, c'est un dossier qui a pris des mois de travail à plusieurs avocats
[b][center]ما كل ما يتمنى المرء يدركه - تجري الرياح بما لا تشتهي السفن[/center][/b] [center][i]أبو الطيب المتنبي[/i][/center]
c
22 décembre 2016 03:16
Lisez la Conclusion en fin de Page : Le Recours Polisario déposé en 2015 est rejeté ce qui signifie que l'accord UE Maroc reprend comme avant le Recours ( Sahara Compris)


[curia.europa.eu]*
H
22 décembre 2016 07:46
Bizarre la réponse du Maroc, très proche de celle de FAFA " prend note", l'agent charge de l'adaptation au makhzen n'a pas été très inspiré pour reprendre le discour du maître en entier .
Il prennent note d'une décision qui les spolié d'un territoire qu'il occuper depuis 40 ans et qu'ils présentent comme cause national à toutes les tables.
22 décembre 2016 22:24
Prend not'' vraiment tu n as pas honte de mentir. Le Maroc occupait les deux tiers du Nord Afrique et allait jusqu'à au Sénégal et Niger et ce qu il réclame maintenant ce n'est que le dixième de ses droits. Et ce n' est pas une réclamation mais une défense de ses droits et si les polijario veulent le territoire ils n ont qu à ademandé à ceux qui les poussent pour faire des obstacles devant le progrès du Maroc de les laisser habiter leur désert et construire leur pays la bas
22 décembre 2016 22:26
Bravo 3lik très bien dit
l
23 décembre 2016 02:20
tu pourra t'occuper de tout ça [www.tsa-algerie.com]
non? au lieu du maroc . tu sait que le makhzen comme tu dit ne sais méme pas si tu existe ? ptdr
m
23 décembre 2016 18:33
@Hamio Tu dois retourner à El MADRASSA pour améliorer ta culture générale

Apprends sur ce lien si tu es de bonne foi
[www.agoravox.fr]

Les historiens nous rapportent que dès le moyen âge, le Maroc possède deux attributs essentiels de l’Etat, selon la conception moderne, à savoir une population et un gouvernement central mais quant au troisième c'est-à-dire des frontières précises « il a fallu attendre le 16ème siècle pour que l’Etat marocain commence à souhaiter plus de précision dans la délimitation de ses frontières terrestre »[1] (paragraphe I). Quant à la délimitation maritime (paragraphe II), .
Paragraphe I) Délimitation des frontières terrestres
Rappelant que le Maroc a ses frontières terrestres avec l’Algérie à l’Est (1159 km) et avec la Mauritanie au Sud (au-delà du Sahara occidental) et qu’ont été le fruit de la colonisation[2]. Une des plus anciennes frontières africaines est celle qui sépare le Maroc et l’Algérie, dans sa section nord, disons jusqu’à Teniet es-Sassi. C’est aussi la première à avoir fait l’objet d’un accord de délimitation au début de la période coloniale, avec le traité de Lalla Marnia de 1845. Grosso modo, les frontières terrestres ont été délimitées pendant deux périodes fondamentales : délimitation antérieur à la décolonisation (I) et l’autre après la décolonisation (II).
I) Délimitation antérieure à la décolonisation
Sur le continent africain, les frontières issues du récent passé colonial, se superposent à des contextes historiques fort différents selon les pays et à des coutumes et traditions ancestrales. Si ce sont les frontières qui furent ébauchées par la Conférence internationale de Berlin (1884-1885) et modifiées au gré des intérêts coloniaux qui ont parfois été à l’origine d’Etats nations de construction récente, le cas du Maroc est tout autre. Il a eu ses propres frontières avant l’avènement du colonialisme (A). Ce denier a imposé arbitrairement des frontières servant ses intérêts géopolitiques (Cool.
A) Frontières précoloniales
Le Royaume du Maroc est une vieille nation qui naquit en 788 avec l’islamisation du territoire, et lorsque Idriss 1er fut proclamé roi[3]. Le règne des Idrissides a fondé les premières bases sur lesquelles, dynastie après dynastie, le Maroc moderne s’est construit, avec une alternance de périodes de consolidation et de périodes d’émiettement.
« Depuis plus de douze cents ans, […], avec des moments d’essor et d’autres de déclin, jamais l’existence de la Nation marocaine n’a été remise en question. Rares sont les Etats ayant une profondeur historique comparable à celle du Maroc»[4].
Ainsi, les frontières étaient au Maroc d’avant l’indépendance des frontières qui séparaient Dar al Islam (le monde musulman comprenant des Musulmans et des Non Musulmans) de Dar alharb
En effet, sous les Saâdiens et les Alawites, le Maroc se stabilise dans les frontières qui resteront les siennes jusqu’au 19ème siècle : le Maroc aura désormais pour limites à l’Est Oued Tafna, au sud le fleuve Sénégal et le Moyen Niger[5]. Bien que ces frontières (zone) n’ont pas la précision des tracés frontaliers actuels (lignes), mais il n’en demeure pas moins qu’à partir du 16ème siècle et cela sera encore plus vrai au 18ème siècle. Le Makhzen exerce son autorité d’une manière ferme (selon les périodes) sur le territoire que nous venons de définir et que ses partenaires internationaux reconnaissent comme étant son assise territoriale. [6]
Même si la frontière entre le Maroc et l’Algérie s’étendait au moins jusqu’à Figuig et date du début du XVIe siècle ; elle marque la limite occidentale de l’expansion des Ottomans qui ne parvinrent pas à y installer leur influence, en raison de la résistance des dynasties Sa’di puis Alawi.
Frontière fixée militairement, à l’ouest de Tlemcen, qui vers l’est couvrait les plateaux oranais et vers l’ouest était un passage obligé vers le seuil d’Oujda et la moyenne Moulouya[7], et qui fait l’enjeu de nombreuses batailles[8]. Du point de vue marocaine, il s’agissait bien d’une frontière au sens de lieu par où pouvait se présenter l’adversaire. La fixation de cette ligne d’arrêt contribua à orienter la concurrence commerciale (route de l’or et du sel) et religieuse (querelle de légitimité pour la direction de l’Umma) entre les deux Etats vers le sud, Sahara et Soudan. L’influence marocaine s’étendit non seulement sur la fleuve Sénégal (par Tindouf et la Seguiet el-Hamra vers les émirats Trarza et Brakna) et sur le Songhay (par l’axe Marrakech-Tombouctou) mais aussi sur le Bornou. Influence durable si l’on en croit l’appel à l’aide lancé en 1892 par le pacha de Tombouctou au roi du Maroc. Une des conséquences de la présence marocaine fut de bloquer l’avance ottomane..
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook