Si le roi Mohammed VI ne s’est pas rendu à Abuja (Nigeria) pour assister au sommet de la CEDEAO, les présidents mauritanien et tunisien s’y trouvent déjà. Mohamed Ould Abdelaziz veut récupérer le siège que son pays avait délaissé en 2000. Béji Caïd Essebsi, lui, entend glaner dans le capitale le titre de membre observateur de l’organisation ouest-africaine.