«Les coups et les douleurs ne se discutent pas». En tout cas pas du côté des femmes marocaines qui souffrent, dans une large mesure, de violences conjugales. Selon le dernier rapport du réseau ANARUZ, 82% d’entre elles en seraient régulièrement victimes. Une violence qui ne s’arrête malheureusement pas aux portes du foyer conjugal, mais qui s’étend, pernicieusement, et sous diverses formes, à l’espace